Ophélie, de femme à femelle (12)

- Par l'auteur HDS Ophelie13000 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ophélie, de femme à femelle (12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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(8.0 / 10)

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Ophélie, de femme à femelle (12)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après avoir usé et abusé de mon cul et, jouis dans mes intestins, Arnaud me laissa glisser au sol, anéantie par tant de jouissance, tant de plaisir.
Je me recroquevillai sur moi-même, aux pieds de mon maître, essayant de reprendre mes esprits, mon calme, les laissant discuter entre eux. Je ne sais pas l’heure, mais je pense que l’après-midi est bien avancée, il faut que je rentre, retrouver mon mari, ma vie de famille, de bourgeoise coincée, mais, je n’en ai pas envie !
Je suis bien là, couchée aux pieds de mon maître, mes seins, enfin libérés mais toujours douloureux, l’anus débordant de sa semence. Pourquoi rentrer pour m’ennuyer chez moi ? Pour faire retomber mon excitation ? Pour me sentir abandonner ?
Comment puis-je penser ça ? Je laisse mon corps décider pour moi, il faut que je reprenne le contrôle avant que je ne devienne une véritable salope, une pute….. Mais comment résister aux puissantes jouissances, aux pénétrations brutales et douloureuses, humm, j’ai de nouveau le feu au ventre, je sers les cuisses pour essayer de me calmer mais c’est trop tard, je le sais, je le sens, il me faut encore ma dose de sexe.
Je me tourne à même le sol, m’allonge sur le dos, tout en écartant au maximum mes cuisses, devant mon maître, lui exhibant ma chatte brulante et brillante. Je sens leurs regards sur moi, et ça me met dans un état d’excitation folle, je fais glisser mes doigts jusqu’à mon sexe, jouant avec mes lèvres, avec ma mouille, me mettant 2 doigts dans ma chatte en feu. Je suis en chaleur, j’en peux plus, je ne remarque même pas qu’Arnaud c’est levé et, est au-dessus de moi, le sexe pendant vers moi. J’ai envie de le surprendre, de l’exciter mais, mon initiative n’a fait que de l’énerver. Il empoigna mes tétons, les serrant si fort que j’ai un réflexe avec ma main, essayant de les repousser. En ouvrant les yeux je vois de la colère dans son regard, il commence à me tirer les seins, me soulevant du sol, en aboyant :
- Qui t’as permis de te toucher sale truie ? qui t’as permis de jouer avec ta chatte ?

Au bord des larmes, je le supplie d’arrêter, de me lâcher, que je suis désoler, que je ne recommencerai plus, mais apparemment, ça ne le calme pas, il me soulève toujours par les seins, je ne sens plus mes tétons, trop étirés et pincés. Lorsqu’il me lâche, je retombe lourdement par terre et, quand je regarde mes seins, je vois des bleus et des marques. Mon dieu, comment je vais expliquer toutes ces marques ?

- Pierre, donne lui ses vêtements et fous la dehors, pas de temps à perdre ! dit-il tout en s’éloignant de moi.

D’un coup, prise de panique, je me jette à ses pieds, m’agrippant à son mollet pour le retenir, lui demandant de me pardonner, que je ne recommencerai plus. Il essaie de se dégager, me repoussant du pied, levant la jambe mais je m’accroche de toutes mes forces, me faisant trainer par terre, comme un boulet.
Agacé par mon attitude, Arnaud m’empoigne les cheveux, me tire vers le haut et m’administre une gifle magistrale qui me fait siffler l’oreille.

- Si je te garde, je vais te punir si fort que tu t’en souviendras pour toujours ! c’est vraiment ce que tu veux sale trainée ? aboya Arnaud tout en me secouant la tête.

Les yeux pleins de larmes et la joue encore cuisante de la gifle reçue, je continu de le supplier de me garder, de faire ce qu’il veut de moi, de me punir comme je le mérite. Je sais que je vais être maltraitée, mais je ne peux pas me résoudre à le perdre.
Pour toutes réponses, il me jette mon téléphone.

- Appelle ton mari, dit lui que tu ne rentres pas ce soir, tu as du boulot et demain, tu invites tes responsables à déjeuner pour travailler à la maison.

J’obéis comme une bonne élève, je tombe sur l’aide-soignante, lui expliquant que je suis bloquée au bureau pour d’important dossier, que je ne pourrais pas rentrer mais que demain, je lui donne sa journée car je travaille à la maison.
Elle comprend plus ou moins bien, et elle me passe mon mari qui me dit qu’il m’aime, que je lui manque et me souhaite bon courage, comme si il devinait ce que j’allais subir. Je le remercie et raccroche, attendant dans l’angoisse ma punition, qui fut effectivement très dure. Pierre me releva et, me maintiens les coudes coulés dans le dos, faisant ressortir mes gros seins qui furent fouetter, cravacher par un badine si fort, que quelques gouttes de sang coulèrent jusqu’à mes tétons. Malgré mes plaintes et pleurs, Arnaud continua jusqu’à ce que le résultat lui plût. Ensuite, je fus conduite dans une salle d’eau, lavée au jet comme en prison, insistant bien sur mon cul. Une fois la toilette terminée, Pierre m’apporte mes affaires à mettre. Un top beaucoup trop petit, comprimant ma poitrine meurtrie, et une minijupe si courte qu’elle ne couvre pas entièrement mes fesses, le tout agrémenté de talons de 10cm. En me regardant ainsi vêtue, mal coiffée et pas maquillée, je ressemble vraiment à une prostituée d’aire d’autoroute.
Une fois prête, je me pose devant mon maitre, tête baissée, mains dans le dos. Il fait le tour, me complimentant sur ma tenue, me disant que je ressemble à une vraie pute et, pour vérifier mon état, il me passe sa main sur ma chatte à peine couverte.

- C’est bon, Pierre tu nous suis, on a une dure nuit qui nous attends, dit-il en rigolant.

En montant dans la voiture, je me rends compte qu’il est plus de 22 heures, que cela fait plus de 12 heures que je suis en train de me faire baiser, maltraiter et, je commence à fatiguer. D’ailleurs, à peine le portail franchi, je plonge dans un sommeil réparateur, ne me souciant pas de l’endroit où nous allons, je m’endors tranquillement, à coté de mon maitre en sécurité.
Je me réveille en sursaut, par le bruit de quelqu’un tapant à la vitre. Essayant de faire le point rapidement, je remarque que je suis toute seule dans la voiture, la jupe relevée face à deux hommes derrière la vitre.
Je panique et essaie de me cacher, mais je remarque tout de suite un mot signé de mon maitre, me disant que je suis là pour exciter les routiers et, passants, que je suis autoriser à tout pour les vider, mais interdiction de descendre de voiture. Ca me rassure en lisant qu’ils sont justes derrière, et que j’allais recevoir des instructions au fur et à mesure.
Reprenant de l’assurance, je regarde autour de moi pour voir ou nous étions et, je reconnais l’endroit, une fameuse aire de repos à la sortie de Marseille, juste derrière la station-service. Mais je vois que mes voyeurs s’impatientent, frappant de nouveaux à la vitre.
Je décide donc de leur offrir un beau spectacle, ouvrant mes cuisses pour leur exhiber ma chatte toute lisse, me caressant les lèvres et mon clito tout gonflé de désir, me doigtant avec 2, puis 3 et 4 doigts, tout ça a quelques centimètres de leurs glands coulant de plaisir. En les regardant dans les yeux, je sors mes doigts de mon intimité pour les lécher, les enfoncer dans ma bouche, mimant une fellation puis les replonge dans ma chatte brulante. Je vois le premier des hommes jouir sur la vitre, laissant de longues trainées de sperme, il a l’air ravis de ma prestation. Je sens le deuxième accélérer le mouvement, pour le finir, je décide de sortir ma langue, comme si je lécher le sperme à l’extérieur du véhicule. Pour lui, c’est le coup de grâce, il approche son sexe prêt de la vitre et ce déverse comme son collègue.
Pendant une bonne demi-heure, ils sont 5 ou 6 à venir se vider sur la vitre passagère, me faisant jouir à chaque fois, les doigts dans ma chatte inondée, lorsque que mon téléphone vibra.
Un message de mon maitre, m’indiquant d’entrouvrir la fenêtre conducteur.
Nouvel ordre :Côté passager= voyeurCôté conducteur=clients5€ tu le suce, 20€ tu le laisse t’enculer !
Préservatif dans la boite à gantsAu boulot sale pute !

Mon dieu, il veut me prostituer ! J’hésite à obéir, trouvant ca plus que dégradant mais, quand je vois le premier billet de 5€ tomber par la fenêtre, mon corps prends le contrôle et je me retrouve à 4 pattes sur les sièges passagers et conducteurs, ouvrant la vitre pour laisser pénétrer la bite qui se présente.
L’avalant en entière, léchant les couilles, le gland, l’aspirant comme jamais, exhibant mon cul au côté voyeurs. Je n’ai eu que 3 clients ce soir, je suis déçue de ma prestation, que des fellations, rien d’autres.
Arnaud en me rejoignant, vu ma mine déçue, me demandant ce que j’ai.

- Je n’ai pas eu assez de clients, je ne suis pas assez bien c’est pour ça Monsieur ?
- Mais non petite gourde, c’est ta première fois, attends un peu, qu’ils fassent de la pub pour toi !

Cette réponse me rassura et me fis peur également. Me rassura sur mon pouvoir de séduction, et me fis peur parce que ça sous entendait qu’il y aura d’autres séances. Tout en démarrant la voiture, il se penche à mon oreille en me murmurant :
- T’inquiète pas, on va bien s’occuper de ton cul cette nuit.

Cette confidence me donne un frisson dans le bas ventre, et pour me calmer Arnaud me tire les cheveux pour je le suce pendant qu’il conduit. La position est inconfortable mais je ne lâche pas sa bite, suçotant son gland durant tout le trajet du retour, chez moi, sachant qu’ils n’en avaient pas fini avec moi, que cette nuit allait être longue, avec le risque que mon époux se réveille.
Mais ai-je le choix ?
Après tout je lui appartient désormais et, il me le fais savoir dès l’arrivée dans mon allée, descendant de la voiture la bite a l’air, droite et gonflée de désir, il ne laisse même pas le temps de sortir, il me place à genoux sur le siège passager, m’écarte les fesses de ses deux et je sens déjà son gland contre ma rosette.
D’un coup sec il me perfore le cul, me faisant pousser un soupir d’aise, agrippe mes hanches pour bien m’empaler à fond. Il me lime le cul sans douceur, faisant claquer ses couilles contre ma chatte, je suis pleine, comblée, vivante ! Je ne me soucis même pas des voisins qui pourraient me voir, je n’ai qu’un but, qu’une envie, faire plaisir à mon Maître, lui servir de vide-couilles, d’être sa chose.
Ses coups de butoir sont de plus en plus violents, ses insultes de plus en plus crues, je gobe le pommeau du levier de vitesse pour ne pas hurler mon plaisir et, lorsqu’il se retire d’un coup sans avoir jouis, je ressens un grand vide, un manque. Mais il veut faire durer le plaisir, m’humilier, me posséder.
23h45, la bourgeoise que je suis, se retrouve à quatre pattes devant chez elle, le cul et les mamelles à l’air, aux pieds de deux hommes, attendant de rentrer chez elle pour devenir une chienne soumise aux yeux de tous.

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