Ophélie, de femme à femelle (9) - histoire érotique

Voilà comment on vit quand on est une chienne ?
A même le sol, toute nue, attachée, couverte de sperme et, la chatte remplie pendant que le Maître dort tranquillement sur le canapé ! Cette position très inconfortable m’humilie et m’excita à la fois. Je constate même que ça m’excite plus que ça me gêne, vu que le gode glisse tout seul hors de ma chatte par toute ma mouille qui s’en écoule.
Je trouve le sommeil en repensant à toute cette soirée, aux plaisirs que cette jeune soumise à pris, à la fierté dans le regard de son maître face aux performances de sa chienne, j’espère qu’Arnaud aura le même regard en me regardant, en regardant sa chienne…..
Le repos fut très court, j’ouvre les yeux, essayant de faire au mieux le point mais le salon est toujours dans la pénombre. Je me relève difficilement, toute engourdie d’avoir dormi à même le sol, ne remarquant à peine qu’on m’avait libérer les poignets. Assise par terre, je regarde tout autour de moi, cherchant Arnaud, ne le trouvant pas. Je commence à m’inquiéter, m’aurait-il laissé toute seule ? M’aurait-il abandonnée ? Ca y est, je panique, d’autant que toutes ses « gadgets » ne sont plus la !
Je reste comme une cruche, au bord des larmes, me demandant pourquoi il est parti, je me sens perdue. Mais il apparait dans le couloir, sortant de la salle de bain, je me précipite vers lui, à quatre pattes, remuant du cul comme une chienne qui remue la queue. Je m’agrippe à sa cuisse, la serrant fort, comme pour le retenir. Je n’ai pas envie qu’il parte, qu’il m’abandonne.

- Eh ben, ma salope, je t’ai manqué tant que ça ?
- J’ai eu peur de vous avoir déçue Maître, que vous soyez parti.
Il rigole tout en me caressant les cheveux et, m’explique que si je le déçois, il ne m’abandonnera pas mais me corrigera. Je suis à la fois rassurer et, inquiète. Je me frotte sur lui, je frotte ma joue sur son pantalon, sentant son sexe à travers le fin tissu, mais il me repousse assez violement.

- T’es pleine de sperme séché salope, tu vas me salir ! viens avec moi que je te nettoie un peu !
Je le suis comme une bonne chienne jusqu’à la salle de bain ou il me fait couler de l’eau dans le bidet. Il me débarbouille avec un gant et un peu de savon, sans douceur, me lavant même la langue, le tout à quatre pattes, le visage au-dessus de l’eau. Pour le rinçage, il m’agrippe les cheveux pour me plonger la tête dans l’eau. Une fois fini, il me frotte avec une serviette, me coiffe les cheveux en arrière pour les attacher en queue de cheval. Voilà, il semble satisfait de lui et, commence à sortir de la salle de bain mais je reste sur place, sans bouger, tirailler par une envie présente.
Il me regarde, me demandant de le suivre. Je bredouille mon envie de faire pipi, rouge de honte, humiliée de dire à mon patron et maitre des choses aussi intimes.

- Je suis de bonne humeur ce matin, je t’autorise à aller faire tes besoins dans les toilettes ! Profites en, les prochaines fois ce sera dehors !
Tout en le remerciant, je me dirige vers les toilettes, suivi par Arnaud qui m’empêche de fermer la porte.
Assise sur les toilettes, je me retrouve face à lui, à quelques centimètre, je serre les cuisses, essayant de cacher ce moment très intimes mais, tout m’attrapant les tétons avec ses doigts, m’ordonne d’écarter les cuisses. J’obéis, gênée et à la fois excitée, essayant de me concentrer pour oublier sa présence, pour pouvoir me soulager mais, ça me bloque. Sa présence, ses mains sur mes seins, me bloque malgré l’envie, je n’y arrive pas.
Je le sens qu’il s’impatiente, il commence à me pincer les tétons, à les tirer.

- Dépêche-toi ma salope, on n’a pas toute la journée.
- Je suis désolé Maître, je suis trop gênée, je n’y arrive pas….
Il me gifle le sein, m’arrachant un petit cri de douleur, et m’explique qu’en tant que chienne, je dois oublier tout sens de pudeur. Il continu à me gifler les seins, l’un après l’autre, faisant balloter ma grosse poitrine de droite à gauche, insistant pour que je pisse devant lui, sinon je fais être punie. Ce traitement m’excite, je sens ma chatte couler, pas de l’urine mais de cyprine. Quelle salope, je suis assise nue sur les chiottes devant mon patron en train de me faire gifler les seins et ça m’excite ! Je me concentre en fermant les yeux et je commence à sentir mon urine jaillir, encore timidement, mais une fois parti, c’est difficile d’arrêter.
Satisfait, Arnaud arrête de me maltraiter les seins, et me pousse en arrière pour que je m’adosse contre le réservoir des toilettes, cuisses largement écartées, il peut de ce fait tout voir, toute mon intimité. Je garde les yeux fermés, pour ne pas me rendre compte de la situation mais, soudain je sens un doigt effleurer mon clitoris. Le contact avec mon petit bouton et le jet d’urine me font arquer sur les toilettes et, pousser un hum de satisfaction. Il me branle le clito durant tout le temps que j’urine et, lorsque mon jet se tarit, il m’enfonce d’un coup deux doigts dans ma chatte détrempée, me faisant pousser un AH de plaisir, me relever d’un coup et, agrippant son poignet pour le maintenir en moi. J’ouvre en grand les yeux, me retrouvant nez à nez avec mon Maitre et son sourire de pervers. Il sait que le moindre mouvement peut me faire jouir, il le sens et, me provoque du regard.

- T’es vraiment une vraie excitée ! une vraie petite chienne !
Je prends ça pour un compliment et, sans réfléchir, je tire sur son poignet pour faire sortir ses doigts et, les attire vers ma bouche pour les lécher, les sucer, les nettoyer, goutant au doux mélange de mon miel et mon urine. Une fois propre je les lâche et le regardant droit dans les yeux
- Votre chienne Maître !
Je le sens presque troublée, voir déstabilisé, mais reprenant le contrôle m’ordonne d’aller m’habiller en me donnant une belle claque sur ma fesse. Je regagne ma chambre, à quatre pattes, toute fière, et en passant devant la glace de l’armoire, je m’arrête pour me contempler, contempler la chienne que je deviens. Je me regarde de profil, les seins pendant sous moi, puis de dos, écartant les cuisses pour voir ma chatte toute rose, toute ouverte et brillante de mouille. Avec deux doigts je l’écarte, pour mieux la contempler, puis passe mes doigts entre mes fesses, les écartant pour découvrir mon anus. Je cambre mon dos pour faire ressortir toute mon intimité, je me caresse tout en me regardant dans cette glace. Je mouille comme une folle, ça m’excite de me voir comme ainsi, je m’enfonce deux doigts dans ma chatte brulante, je me doigte comme une salope, les yeux rivés sur ce spectacle.
C’est trop bon, j’imagine que c’est mon maitre qui me doigte, qu’il me désire, envie de moi, j’en oublie le temps qui passe, toujours les doigts dans ma chatte, cherchant mon plaisir.
C’est Arnaud qui me ramène à la réalité, me surprenant dans cette position, me tirant les cheveux en arrière, me demandant qui m’a permis de me masturber. Il commence à me claquer les fesses, en m’insultant de sale chienne, je tourne la tête pour voir sa main s’abattre sur mes fesses, les faisant rougir et je pousse des soupirs, non pas de douleur mais de plaisir. Après une dizaine de claques sur chaque fesses, il me lâche les cheveux pour que je reprenne mon souffle, je regarde toujours dans la glace mon cul rouge vif, et au lieu de pleurer de honte et de douleur je soupire un encore Maître, tout en tendant mon cul.
Il me regarde totalement étonné, déboussolé et, me glisse ses doigts le long de mes cuisses, récupérant ma cyprine qui a coulée pendant cette correction.

- Putain de chienne, ça t’excite d’avoir mal ! tu vas être servie salope, habille toi maintenant !
Déçue qu’il ne continu pas, j’ouvre ma penderie et, me voyant hésité, il me demande de mette la minijupe en cuir. Il prend ensuite un chemisier qu’il noue en dessous de mes seins, les faisant ressortir comme deux melons.
Enfin debout, il me demande d’aller dire au revoir à mon époux, laisse un mot à l’aide-soignante et, nous partons dans sa voiture direction le bureau. Il est 7 heures 45, j’ai dû dormir moins de quatre heures cette nuit et, pourtant je ne me sens pas fatiguée, excitée oui mais pas fatiguée.
Durant le trajet il me demande de le masturber dans les embouteillages Marseillais, ce que je fais avec plaisir, sentant son sexe gonflé dans ma main, ça m’excite encore plus.

- Ça t’excite de te voir entrain de te masturber salope ?
- Oui Maître, dis-je honteusement.
- Et te voir en train de te faire baiser ça t’exciterait aussi ?
Je n’ose pas répondre, c’est vrai de me voir pénétrer par Arnaud m’excite drôlement. Sans attendre ma réponse, il me dit qu’il va arranger cela, me laissant dans le vague.
8 heures 20, on arrive enfin dans le parking de la société, il se gare à sa place, me regarde et me dit en regardant son sexe hors de son pantalon.

- Allez, viens prendre ton petit déjeuner ma salope.
Comme une affamée, je me jette sur son sexe, ouvrant en grand la bouche, faisant attention de ne pas mettre les dents, essayant de la prendre le plus profond possible.

- Humm tu apprends vite ma salope ! allez, vas-y faire jouir ton maître chienne.
La position est inconfortable mais ces insultes et compliments m’encourage à me sonner à fond. J’ai les seins écrasés sur le levier de vitesse et le frein à main, la tête qui cogne contre le volant mais je ne lâche rien, je ne laisserai ma place à personne d’autre.
Mais un bruit de moteur et des phares nous font arrêter, je me redresse d’un coup, le menton pleins de bave, essayant de paraitre le plus naturelle possible. Une fois le danger passé, j’ai envie de le reprendre en bouche, mais il m’arrête dans mon élan, sort de la voiture et m’ordonne de le suivre. Il m’emmène derrière un gros poteau, me fais mettre à genoux, et commence à me baiser la bouche en me tenant par la queue qu’il a fait avec mes cheveux, l’utilisant comme une poignée. Je le sens grossir dans ma bouche, allant de plus en plus loin sans me faire vomir cette fois. Au bout de plusieurs minutes il sort de ma bouche, me dit de la garder ouverte pour se branler devant. Il m’envoie plusieurs jets de sperme contre mon palais, sur ma langue et, quelques gouttes sur mon menton. Je le regarde dans les yeux, la bouche pleine de son jus, fière de moi, attendant qu’il finisse de récupérer les dernières goutes avec son gland pour les mettre sur mes lèvres. Il me regarde l’air satisfait, et me demande de tout avaler. Je laisse glisser toute la semence dans ma gorge, tiède, légèrement poivré. Je ferme les yeux pour savourer cette première, que je ne trouve pas si désagréable que ça. En ouvrant les yeux, je vois mon maitre, rangeant son sexe, avec à côté de lui, un homme, le même qu’hier soir, le même qui est resté impassible près de moi, le maitre de Christelle.
Je me demande depuis combien de temps il est là, est ce qu’il a vu toute la scène ? Je me fais réprimander pour ne pas l’avoir saluer par mon Maître, et lui dit un bonjour monsieur timidement, rouge de honte.
Arnaud m’explique sa présence, il n’a pas le temps de s’occuper de moi ce matin, il a plusieurs rendez-vous, donc, il me confit à son ami, qu’il va m’emmener chez lui, pour m’estimer.
Je l’écoute sans rien comprendre, je n’ai qu’une envie, de le supplier de me garder auprès de lui, mais n’en fais rien de peur de le mettre en colère. Je l’écoute m’expliquer que Pierre, son ami est un Maître expert, propriétaire de plusieurs chiens et chiennes, d’un donjon, et tout ce qu’il faut pour m’évaluer. Je le regarde horrifiée, me demandant ce qui m’attend.
Il se tourne vers Pierre, me laissant au bord des larmes, et lui dit
- Elle est à toi, fais tout ce qu’il faut pour la tester et, je passe la prendre en début d’après-midi. N’oublie pas ce que je t’ai dit rajoute t’il en rigolant.
Je le vois s’éloigner, sans même un dernier regard pour moi, me laissant seule avec cet inconnu. J’ai envie de pleurer, de me précipiter derrière lui pour le supplier, mais je n’en fait rien, je reste immobile, voyant Pierre s’approcher de moi, une laisse et un large collier en cuir à la main. Il est devant moi, je n’ose le regarder, je ne vois que ces deux pieds de chaque côté de mes genoux.

- Lève la tête sale chienne !
Le ton est donné, j’obéis, levant la tête, regardant son gros ventre, ses grosses mains venir mettre ce collier de chien autour de mon cou. Me voici relier à lui par cette laisse en cuir, sur laquelle il tire pour me faire mettre debout, et que je suive vers son véhicule, un gros 4x4 tout boueux.
Il ouvre son coffre ou se trouve des couvertures.

- Monte ! m’ordonne Pierre en tirant sur la laisse.
Je m’exécute, sans réfléchir, sans même regarder autour de moi pour voir s’il y avait du monde, je monte et m’allonge sur les couvertures comme une bonne chienne. Pierre monte derrière le volant, démarre et je pars vers de nouvelles aventures, me demandant ce qui m’attends.
Le voyage dure longtemps et, j’arrive à me calmer et même m’assoupir, rêvant de mon maître et de ses mains claquant mes fesses. Je me fais réveiller par l’ouverture du coffre, découvrant une immense demeure, sans aucun voisin aux alentours, totalement perdue dans la forêt. Je le suis docilement, toujours tenue en laisse, on passe devant un chenil ou je vois des dizaines de chiens. Arriver devant la porte d’entrée, il s’arrête, se tourne vers moi et me dit que passer cette porte, je dois être toute nue.
J’obéis, en faisant tomber mon corsage et ma jupe, me dévoilant entièrement face à lui. Une fois finie, il me fait entrer dans son immense maison, on traverse le hall, et on entre dans une grande pièce, avec la lumière tamisée, décorée avec pleins de meubles et d’appareil ressemblant à des objets de torture, des établis et au fond des sortes cages en métal. Pierre me fais mettre à genoux pour traverser la salle, le donjon comme il l’appelle, arrivant près des cages, je remarque qu’elles sont occupées, il y en a 4, trois occupée, une de libre mais on s’arrête devant celle de Christelle, que je vois accourir vers la porte, à quatre pattes.
Il me fait entrer en ouvrant la grille, en détachant ma laisse tout en me laissant le collier.

- Vas avec Christelle, tu la connais déjà. Christelle, gentille avec la nouvelle, tu ne fais pas la méchante le temps que je prépare tout !
On croirait vraiment qu’il parle à un chien. Je rentre dans la cage, pas assez haute pour se mettre debout, à peine à genoux, donc je décide de faire comme ma congénère, je reste à quatre pattes. A peine la porte refermée, je sens le nez de Christelle se coller entre mes fesses, je pousse un petit cri de surprise.

- Christelle ! soit gentille, sinon gare à toi, lui cri Pierre tout en s’éloignant.
J’essaie de m’échapper à cette humiliation en réfugiant dans un coin, assise, les cuisses regroupées au niveau des seins pour me protéger. Mais Christelle n’a pas l’intention de me laisser tranquille, elle avance vers moi, avec un regard d’envie, les yeux brillant. Elle m’écarte les genoux pour se placer entre mes cuisses, collant ses gros seins sur le miens, son visage à quelques centimètres du mien. Je la supplie de me laisser tranquille, mais elle me répond qu’elle sera la lors de mon inspection avec son maitre, alors j’ai intérêt d’être gentille et, sans attendre ma réponse, colle ses lèvres sur les miennes. Je sens sa langue forcer le passage, venir chercher la mienne, je la sens frotter ses tétons frotter les miens, et je cède à ce baiser lesbien, le premier de ma vie.
Entant mon relâchement, elle devient plus bestiale, me léchant les lèvres et le visage, me mordant la lèvre inferieur, m’aspirant la langue. Elle se redresse d’un coup, reliées ensemble par un fil de bave, elle me prend la queue de cheval, me plaque le visage sur son seins, gonflé de plaisir.

- Viens vielle chienne, tête moi, aspire mon tétons hummm.
Je la tête, comme un bébé, jouant avec son anneau sur son téton, m’excitant un peu plus par la situation et le fait de me faire insulter. Elle me maintient comme ça quelques minutes, et d’un coup me tire en arrière, et tout en me tenant par les cheveux, se laisse tomber en arrière les cuisses grandes ouvertes et m’oblige à coller ma bouche sur sa chatte.

- Allez, lèche salope, bouffe moi ….
Je sors ma langue pour la mettre sur ces lèvres humides et chaudes, à quatre pattes entre ses cuisses, le cul en l’air, tenue par la queue de cheval comme une poignet. Elle ne me lâche pas, elle se sert de ma langue comme d’une serpillère, frottant toute sa chatte et son clitoris dessus, de mon menton jusqu’à mon nez, elle me badigeonne de sa mouille abondante, sur tout le visage et, d’un coup, elle m’agrippe mes cheveux a deux mains, tirant dessus pour me plaquer très fort sur son sexe, serrant les cuisses autour de ma tête en poussant des Oh et des Ah, m’aspergeant de cyprine, par petits jets, coulant partout sur mon visage et dans ma bouche.
Je comprends par la tension de son corps qu’elle est en train de jouir, tout ça grâce à moi, je fais jouir une femme, et je suis fière.
La jouissance passée, je sens son étreinte qui se relâche, desserrant les cuisses, me laissant respirer de nouveau. Elle me regarde, presque tendrement, et me dit que je suis une bonne bouffeuse de chatte. Pour ma première, j’en suis flattée. La voyant plus détendue, j’ose lui demander ou on est, ce que c’est cette pièce, qu’est ce qui m’attend, pourquoi on est enfermées……Elle se met à rire tout en se tournant sur le ventre, face à moi, et en relevant ses fesses tout en cambrant son dos elle me dit :
- Tu es trop curieuse toi ! Lèche-moi le cul et je te dis tout !
Je la regarde en train de remuer ses fesses de droite à gauche, son anus toujours aussi ouvert au-dessus de sa petite chatte trempée de sa jouissance. La curiosité l’emporte sur la raison, au point où j’en suis, j’avance vers son cul la langue tirée, pour la posé sur son anus tout ouvert. Je lui lèche le cul à cette gamine, comme une chienne, faisant courir ma langue entre ses fesses, frottant mon nez contre son cul, m’enivrant de ses odeurs intimes, m’excitant de plus en plus.
Elle me demande de lui écarter ses fesses pour que je la lèche plus profond, ce que je fais, pointant ma langue au milieu de son trou, je la sodomise avec ma langue et elle apprécie, elle m’encourage et m’excite. Serais-je gouine ? Je ne sais pas mais j’apprécie ce moment.
J’ai les deux mains sur ces fesses, la moitié de ma langue dans son anus, et je la sens se titiller le clito avec une de ses mains. Je sens ma chatte coulée de plaisir, encore plus quand je sens ces jets de cyprine frappait mon menton, mon cou et entre mes seins. Elle jouit de nouveau dans un grand râle, ma langue dans son cul, léchant son intestin. Elle s’écroule à plat ventre, terrassée par sa jouissance, à bout de souffle. Je lui caresse ses fesses, ses fines cuisses musclées, regardant son corps frêle, encore agité de soubresauts, me mettant un doute sur sa majorité. Je réalise d’un coup que nous ne sommes pas seul, derrière moi je vois un homme, à genoux, tout nu, le sexe emprisonné dans une cage en fer qui le compresse, je vois même un filet de sperme sortir de ce cage. En face une autre femme la trentaine, tatouée sur une grande partie du corps, chauve avec au niveau de son sexe, pleins d’anneaux. J’ai l’impression d’être dans un cirque, le stand des monstres.
Et devant la porte de notre cage, Pierre qui n’a rien perdu du spectacle, habillé d’un simple tablier en plastique, comme les bouchers, qu’il écarte pour nous faire voir son sexe, pas très long et très large, si large qu’il a du mal à faire le tour avec sa main.

- Putains de pétases, vous m’avez excité sales chiennes !
Je vois Christelle sourire et ronronner
- J’ai jouis pour vous Maître, ajoute-t-elle.
- Je le sais ma chienne, tu auras ta récompense toute à l’heure. Toi la vieille chienne, approche, tout est prêt.
J’obéis, la peur au ventre, j’avance à quatre pattes vers la prote qu’il ouvre pour accrocher la laisse à mon collier pour m’emmener vers de nouveaux plaisirs. Enfin je l’espère…..