Nadège 2 - histoire érotique

Nadège est la fille de mon cousin. Elle vit à Montauban avec son copain. En stage à Paris pour quelques semaines, elle est descendue chez nous. C'est une jolie jeune femme de 29 ans, petite brune aux jolis petits seins en poire, belle chatte aux poils ras. J'ai pu l'admirer à plusieurs reprises mais jusqu'à présent je n'y ai pas touché....

Le samedi, rien à signaler. Nadège a fait quelques courses dans la journée et le soir après dîner elle est allée au ciné avec la fille de mes voisins qui a le même âge…
Dimanche calme mais le soir ma femme, infirmière prenait son service pour 4 nuits de suite de 20 heures à 8 heures le lendemain.

Nous avons donc dîné tous les 3 de bonne heure puis ma femme est partie.
Vaisselle terminée on s’est installé sur le canapé pour regarder le film du dimanche soir. Comme d’habitude, vers 22 heures Nadège est partie dans la salle de bain prendre sa douche.
De la savoir nue là à quelques mètres de moi me rendait fou mais je n’osais pas précipiter les choses. Le film fini, n’y tenant, je vais vers la salle de bain. La porte était entr’ouverte et Nadège est de dos entrain de s’essuyer les seins. Cette fois-ci je rentre et viens vers elle. Nadège feint de ne pas m’avoir entendu et continue de s’essuyer. Je prends une autre serviette et je commence à lui essuyer le dos. Nadège ne dit rien. Je descends au creux de ses reins, puis sur ses fesses. Pas de réaction, je passe la serviette dans la raie du cul. Je suis tout près d’elle. Elle sent bon, je l’embrasse doucement dans le cou. Elle se laisse faire. Elle a lâché sa serviette et poser ses mains à plat sur le mur. Moi aussi je laisse ma serviette et pose mes mains sur ses seins que je caresse doucement. Sa peau est douce et soyeuse, les nibards sont fermes, les tétons charnus. Je pétris maintenant plus franchement ses nichons. Je les malaxe, les écrase, les étire. Je prends ses pointes entre mes doigts et je les roule. Nadège soupire doucement. Elle apprécie la caresse…. Je prends les bouts et je tire dessus. Ils grossissent sous mes doigts Nadège gémit plus fort…

- enfin… ça fait presque 3 semaines qu’une main d’homme n’a pas caressé mon corps… J’en pouvais plus….

Vous je ne sais pas, mais moi j’ai pris ça pour une invite à continuer !

Ma main droite continue à pétrir ses roberts tandis que la gauche descend sur le ventre plat, le pubis. Mes doigts s’égarent un instant dans sa toison sur le mont de vénus. J’aime sentir ses poils ras sous ma caresse. Je continue mon exploration et ma main s’insinue dans l’entre jambes. Me voici enfin sur sa petite chatte.

Je n’ose y pénétrer mes doigts de peur qu’elle reprenne ses esprits et me repousse. Je me contente donc de caresser doucement sa moule gonflée de plaisir. Ma main enveloppe entièrement son minou. Je sens ses grandes lèvres charnues et bordées de petits poils légèrement bouclés frémir sous ma caresse. Soudain, Nadège vient poser une main sur la mienne. Délicatement, elle appuie sur mes doigts, mon majeur qui était posé sur sa fente pénètre légèrement. Nadège soupire….

Visiblement, elle en veut plus. Alors je ne me retiens plus. J’introduis maintenant mon doigt franchement dans sa chatte qui commence à mouiller. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier. Nadège a largement écarté ses jambes pour me faciliter le travail. Je fouille frénétiquement son petit con. Nadège crie quand je m’attaque à son clito que mes précédentes caresses ont fait sortir des plis de sa fente. Je le titille, le caresse, l’écrase. Nadège hurle carrément de plaisir.

Elle se retourne violemment et plaque sa bouche sur la mienne, sa langue force le passage de mes lèvres et Nadège me roule un patin magistral. Son corps est écrasé contre le mien. Je plaque mes mains contre son cul et je commence à pétrir ses fesses. Elles sont fermes et bien rondes, exactement comme je les aime ! Je les malaxe, je les écarte et un doigt vient se poser sur son anus. Immédiatement Nadège plonge encore plus profondément sa langue dans ma bouche. Mon excitation est extrême et je masse son étoile intime qui se dilate un peu, en tout cas suffisamment pour qu’une phalange puisse s’y introduire….

Nadège s’accroche à moi, les jambes sur mes hanches, elle facilite ainsi la pénétration de mon doigt dans son cul.

Elle se détache soudain et m’arrache littéralement mon short et mon slip. Nous sommes nus tous les deux. Nadège se plaque à nouveau contre moi et m’enlace comme tout à l’heure, ses jambes autour de mes hanches comme des lianes, elle se frotte contre ma bite bandée à l’extrême. Je la tiens par les fesses et met sa fente dégoulinante de sa mouille au niveau de mon chibre. D’une main elle le guide dans sa chatte béante et s’empale sur moi. Quel bonheur de baiser cette jeune donzelle debout, comme deux animaux en chaleur que nous sommes à ce moment…. Ses nibards sont à la hauteur de ma bouche et je ne me prive pas de les sucer, les lécher, les téter. Nadège s’agite comme une folle sur mon braquemart et bientôt je n’y tiens plus et je lâche ma purée au fond de son con, arrachant au passage un cri de jouissance intense à ma belle…

On reste comme çà, empalés quelques instants, puis on fini par se détacher. Ma queue est redevenue toute molle et j’enrage de la voir dans cet état alors que j’ai une aussi jeune beauté nue en face de moi. Nadège s’en aperçoit et entreprend de lui redonner de la vigueur. Elle se laisse glisser à genoux sur le carrelage de la salle de bains et commence à lécher ma bite. Sa langue s’enroule autour de mon gland. Elle lèche ma hampe sur toute sa longueur, nettoyant au passage les restes de sperme et sa mouille qui la souillait tandis qu’une main pétris mes couilles. Je ne tarde pas à rebander à nouveau. Nadège gobe alors littéralement mon braquemart qui disparaît entièrement dans sa bouche. La petite salope s’y connaît en pipe ! Elle s’active maintenant rapidement sur ma bite gonflée comme jamais. Elle lâche alors momentanément ma verge et passe sa langue sur mes couilles. Que c’est bon !

Je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps et j’ai envie de jouir sur sa figure.

- attend mon chéri, j’ai encore envie de me faire défoncer ! Viens dans ma chambre on sera mieux !