Les jeunes nymphomanes 1/4
Récit érotique écrit par Alian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Les jeunes nymphomanes 1/4
Eté 1965, j’avais 18 ans et je passais toutes mes vacances dans un petit village rural où mes parents avaient une maison. 3 mois à la campagne, c’est long. Heureusement j’avais les copains et les copines. Mais ils étaient presque tous fils ou fille d’agriculteurs et l’été, c’est les moissons !
Je me suis fait « embauché » moi aussi dans une ferme, pas n’importe laquelle : celle de mes deux copines Sylviane et Françoise. Sylviane, l’ainée avait mon âge, jolie, gentille, un peu aguicheuse. Françoise était un peu plus jeune, moins jolie que sa sœur, mais adorable jeune fille et c’est d’elle que j’étais secrètement amoureux.
Les hommes moissonnaient dans les champs et les filles et moi étions chargés de ranger le foin dans le grenier. Travail moins dur mais confinés dans un grenier surchauffé, nous transpirions au bout d’une heure de travail et étions complètement déshydratés.
Le premier jour, rien à signaler : on a travaillé, transpiré, bu des litres d’eau et le soir on était fourbus. J’oubliais : pour bosser les filles portaient une blouse en nylon comme c’était l’habitude à cette époque. Avec la transpiration, le nylon collait à la peau ce qui me permettait de deviner les formes de mes coéquipières.
Deuxième jour. A 8 h 30 on est en place. Le premier tracteur arrive chargé de paille. Je réceptionne les gerbes avec Françoise, Sylviane ensuite les empile. Le 2ème tracteur suit et il est 10 heures quand on a enfin fini. On peut faire une pause. Il fait très chaud. Les filles s’éclipsent sans rien dire. Intrigué, je vais voir ce qu’elles font et là, surprise ! Elles sont toutes les 2 accroupies, culottes sur les chevilles entrain de pisser dans la paille ! Je ne vois malheureusement pas grand-chose, juste un peu le cul de Sylviane et le jet d’urine qui sort de leur chatte mais je fantasme dur ! Et je bande aussi !
Il faut que je vous avoue qu’à 18 ans, je suis puceau et je n’ai même jamais vu une fille nue « en vrai ». J’ai juste une fois vu les seins de ma sœur ainée qui sortait de la salle de bain et c’est tout.
Je retourne vivement à ma place avant qu’elles ne reviennent. Déjà les tracteurs arrivent…
Midi, pause déjeuner. A 13 heures, on reprend le boulot. Je suis le premier dans le grenier et les filles arrivent. Je m’aperçois tout de suite que quelque chose a changé dans leur tenue, mais quoi ?
Cette fois-ci les filles réceptionnent les gerbes et je suis au fond pour les ranger. Je peux mater mes copines sans qu’elles s’en rendent compte. Elles rigolent tout le temps et je vois bien qu’elles parlent de moi. Enfin la pause de l’après-midi, il fait très très chaud. On boit un coup puis c’est Sylviane qui se lance :
- Tu n’as rien remarqué ?
- Noon, pourquoi ?
- Dans nos habits.
Et là je comprends ce qui m’avait surpris tout à l’heure. Elles n’ont pas de soutien-gorge !
- Alors ?
- Vous n’avez plus de soutien-gorge ?
- Gagné ! il fait tellement chaud qu’on les a enlevés juste avant de monter.
Et les 2 nanas sortent leur soutif de la poche de leur blouse. C’est Sylviane qui continue :
- Tu as déjà vu des seins en vrai ?
- Juste une fois, ceux de Cathy (ma sœur ainée) en sortant de la salle de bain, elle ne savait pas que j’étais là. Mais elle s’est vite cachée. Je n’ai pas vu grand-chose.
- Tu veux voir les notre ?
- Vous me faites marcher, vous n’allez pas vous déshabiller devant moi ?
- Mais si ! Maintenant si ça ne t’intéresse pas….
- Si, si bien sûr !
C’est encore Sylviane qui commence. Elle déboutonne sa blouse, laissant fermé juste le bouton au niveau de la culotte. Françoise est plus timide et hésite un peu avant d’en faire autant. Je m’enhardi.
- Pourquoi vous gardez un bouton ?
- Il cache notre slip…
- Ben justement, vous avez un slip je ne verrais rien…
- Tu as raison.
Sylviane défait le dernier bouton et écarte les pans de sa blouse. Je suis sidéré. Pour la première fois je vois réellement une paire de seins, puis bientôt 2 car Françoise a fait pareil. J’ai devant moi deux belles ados, seins nus, en petite culotte ! Je bande et ça se voit forcément surtout que je suis en short.
- Laquelle a les plus beaux nénés ?
Je mate les nichons. Mes yeux vont de l’une à l’autre. Sylviane a 2 beaux obus, de belles poires haut perchées, arrogantes, terminées par de belles pointes marron. Françoise elle a des seins plus petits. Plutôt de petites pommes, avec un large cercle autour du téton, plus clair, presque rose.
J’ai envie de les toucher mais lorsque j’approche mes mains, elles reculent.
- Pas touche ! avec les yeux seulement. Alors lesquels tu préfères ?
- Ben, vous êtes toutes les 2 très jolies. Sylviane les tiens sont plus gros mais Françoise j’adore tes pointes….
Déjà on entend un tracteur qui revient et les 2 filles se reboutonnent rapidement. On se remet à travailler mais je mate sans cesse dans les décolletés car elles n’ont pas reboutonné jusqu’en haut.
Une heure plus tard, nouvelle pause. Françoise va chercher les goûters et me laisse seul avec Sylviane qui déboutonne immédiatement sa blouse.
- Tu veux voir ma foufoune ?
- Bien sûr que oui !
Lentement, elle fait glisser sa culotte le long de ses cuisses découvrant une belle toison brune pas très fournie. Puis elle continue à enlever son slip qui tombe sur ses chevilles. Elle écarte un peu les jambes m’offrant ainsi la vue d’une petite fente étroite et charnue. C’est la première fois de ma vie que je vois une minette et je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer. Sylviane écartes ses lèvres et me dévoile ses nymphes roses et humides. Je n’en peux plus. Je sors vite ma bite de mon short et j’éjacule abondamment envoyant tout mon sperme sur la paille. Sylviane est médusée et vient prendre ma queue dans sa main et me caresse doucement. Je profite de la situation pour peloter un nibard. Elle me laisse faire aussi quand je prends le téton en bouche.
Mais on entend Françoise qui revient et on se rhabille prestement. La journée se termine gentiment et c’est à regret que je quitte mes copines.
Je me suis fait « embauché » moi aussi dans une ferme, pas n’importe laquelle : celle de mes deux copines Sylviane et Françoise. Sylviane, l’ainée avait mon âge, jolie, gentille, un peu aguicheuse. Françoise était un peu plus jeune, moins jolie que sa sœur, mais adorable jeune fille et c’est d’elle que j’étais secrètement amoureux.
Les hommes moissonnaient dans les champs et les filles et moi étions chargés de ranger le foin dans le grenier. Travail moins dur mais confinés dans un grenier surchauffé, nous transpirions au bout d’une heure de travail et étions complètement déshydratés.
Le premier jour, rien à signaler : on a travaillé, transpiré, bu des litres d’eau et le soir on était fourbus. J’oubliais : pour bosser les filles portaient une blouse en nylon comme c’était l’habitude à cette époque. Avec la transpiration, le nylon collait à la peau ce qui me permettait de deviner les formes de mes coéquipières.
Deuxième jour. A 8 h 30 on est en place. Le premier tracteur arrive chargé de paille. Je réceptionne les gerbes avec Françoise, Sylviane ensuite les empile. Le 2ème tracteur suit et il est 10 heures quand on a enfin fini. On peut faire une pause. Il fait très chaud. Les filles s’éclipsent sans rien dire. Intrigué, je vais voir ce qu’elles font et là, surprise ! Elles sont toutes les 2 accroupies, culottes sur les chevilles entrain de pisser dans la paille ! Je ne vois malheureusement pas grand-chose, juste un peu le cul de Sylviane et le jet d’urine qui sort de leur chatte mais je fantasme dur ! Et je bande aussi !
Il faut que je vous avoue qu’à 18 ans, je suis puceau et je n’ai même jamais vu une fille nue « en vrai ». J’ai juste une fois vu les seins de ma sœur ainée qui sortait de la salle de bain et c’est tout.
Je retourne vivement à ma place avant qu’elles ne reviennent. Déjà les tracteurs arrivent…
Midi, pause déjeuner. A 13 heures, on reprend le boulot. Je suis le premier dans le grenier et les filles arrivent. Je m’aperçois tout de suite que quelque chose a changé dans leur tenue, mais quoi ?
Cette fois-ci les filles réceptionnent les gerbes et je suis au fond pour les ranger. Je peux mater mes copines sans qu’elles s’en rendent compte. Elles rigolent tout le temps et je vois bien qu’elles parlent de moi. Enfin la pause de l’après-midi, il fait très très chaud. On boit un coup puis c’est Sylviane qui se lance :
- Tu n’as rien remarqué ?
- Noon, pourquoi ?
- Dans nos habits.
Et là je comprends ce qui m’avait surpris tout à l’heure. Elles n’ont pas de soutien-gorge !
- Alors ?
- Vous n’avez plus de soutien-gorge ?
- Gagné ! il fait tellement chaud qu’on les a enlevés juste avant de monter.
Et les 2 nanas sortent leur soutif de la poche de leur blouse. C’est Sylviane qui continue :
- Tu as déjà vu des seins en vrai ?
- Juste une fois, ceux de Cathy (ma sœur ainée) en sortant de la salle de bain, elle ne savait pas que j’étais là. Mais elle s’est vite cachée. Je n’ai pas vu grand-chose.
- Tu veux voir les notre ?
- Vous me faites marcher, vous n’allez pas vous déshabiller devant moi ?
- Mais si ! Maintenant si ça ne t’intéresse pas….
- Si, si bien sûr !
C’est encore Sylviane qui commence. Elle déboutonne sa blouse, laissant fermé juste le bouton au niveau de la culotte. Françoise est plus timide et hésite un peu avant d’en faire autant. Je m’enhardi.
- Pourquoi vous gardez un bouton ?
- Il cache notre slip…
- Ben justement, vous avez un slip je ne verrais rien…
- Tu as raison.
Sylviane défait le dernier bouton et écarte les pans de sa blouse. Je suis sidéré. Pour la première fois je vois réellement une paire de seins, puis bientôt 2 car Françoise a fait pareil. J’ai devant moi deux belles ados, seins nus, en petite culotte ! Je bande et ça se voit forcément surtout que je suis en short.
- Laquelle a les plus beaux nénés ?
Je mate les nichons. Mes yeux vont de l’une à l’autre. Sylviane a 2 beaux obus, de belles poires haut perchées, arrogantes, terminées par de belles pointes marron. Françoise elle a des seins plus petits. Plutôt de petites pommes, avec un large cercle autour du téton, plus clair, presque rose.
J’ai envie de les toucher mais lorsque j’approche mes mains, elles reculent.
- Pas touche ! avec les yeux seulement. Alors lesquels tu préfères ?
- Ben, vous êtes toutes les 2 très jolies. Sylviane les tiens sont plus gros mais Françoise j’adore tes pointes….
Déjà on entend un tracteur qui revient et les 2 filles se reboutonnent rapidement. On se remet à travailler mais je mate sans cesse dans les décolletés car elles n’ont pas reboutonné jusqu’en haut.
Une heure plus tard, nouvelle pause. Françoise va chercher les goûters et me laisse seul avec Sylviane qui déboutonne immédiatement sa blouse.
- Tu veux voir ma foufoune ?
- Bien sûr que oui !
Lentement, elle fait glisser sa culotte le long de ses cuisses découvrant une belle toison brune pas très fournie. Puis elle continue à enlever son slip qui tombe sur ses chevilles. Elle écarte un peu les jambes m’offrant ainsi la vue d’une petite fente étroite et charnue. C’est la première fois de ma vie que je vois une minette et je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer. Sylviane écartes ses lèvres et me dévoile ses nymphes roses et humides. Je n’en peux plus. Je sors vite ma bite de mon short et j’éjacule abondamment envoyant tout mon sperme sur la paille. Sylviane est médusée et vient prendre ma queue dans sa main et me caresse doucement. Je profite de la situation pour peloter un nibard. Elle me laisse faire aussi quand je prends le téton en bouche.
Mais on entend Françoise qui revient et on se rhabille prestement. La journée se termine gentiment et c’est à regret que je quitte mes copines.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Délicieux ces premiers émois. Jusqu'où vont elles aller ? Ces deux allumeuses ? Vivement une suite.....