Titre de l'histoire érotique : Une journée d'exhib.

- Par l'auteur HDS Jeunenimoise -
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Une journée d'exhib. Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Une journée d'exhib.
Je suis Claire, une petite provinciale, 45 ans plutôt bien faite de ma personne, je vis en couple depuis 15 ans et nous sommes amoureux. Mon mari se prénomme William, et il adore me voir jouir. Depuis quelques mois, il aime que je me promène sans culotte et parfois que je m’exhibe un peu pour émouvoir les hommes que l’on croise, il adore savoir ma chatte nue et je dois dire qu’après quelques sorties nocturnes, mon minou c’est retrouvé tout humide, je prenais goût à la situation. Etant extrêmement amoureuse de mon homme, j’ai décidé de le laisser exploiter les situations qui devenaient de plus en plus sensuelles, excitantes, et surtout pleines de jouissance.
C’est l’histoire que je vais vous raconter.
Un weekend de juillet, nous sommes invités par ma vieille tante dans station balnéaire de notre belle région méditerranéenne, il fait chaud, je suis habillée léger et surtout assez court vêtue, avec un micro string et pas de soutien gorge. Nous arrivons à l’heure de l’apéritif, comme d’habitude tout est prêt, biscuits, tranche de saucisson…, nous prenons un pastis, l’alcool nous enlève nos dernières inhibitions, dés qu’il le peut, William me soulève la jupe, me caresse les fesses, quand ce n’est pas le minou. A un moment, la tata est dans la cuisine, et l’homme de ma vie en profite pour glisser un doigt sous mon string et l’insinuer entre mes lèvres intimes, je le repousse fermement mais gentiment lui adresse un baiser et effleure la boursouflure de la braguette, tata reviens….. elle nous propose de passer à table, je m’installe face à mon cher et tendre et commence à le titiller, profitant de l’absence provisoire de notre hôtesse, je me tortille sur la chaise et fait glisser ce fin rempart, qui cache ma chatte, jusqu'à mes pieds, l’attrape vivement et tend à William cette petite boule de tissu, je vois ses yeux s’agrandir de surprise, mais il n’est pas au bout !
Le repas se passe tranquillement, je glisse de temps à autre mon pied jusqu’entre ses jambes et appui fermement sur cette bosse qui ne fait que grossir. Lui fait régulièrement tomber sa serviette et en profite pour mâter la fourche de mes jambes que j’expose le plus possible.
L’heure du café sonne est William s’extrait de la table pour se faire servir sur le canapé,
Je débarrasse et en profite pour m’exhiber encore un peu plus, je me penche en avant pour qu’il puisse se rassasier de l’image de mes seins libres, je m’arrange pour plonger sur la table et lui offrir une vue imprenable sur le haut de mes cuisses, jusqu'à la naissance de ma raie, j’adore de plus en plus le rôle de garce que je suis entrain de jouer.
Pour boire le café je m’assoie en face de lui, dos à la cuisine et étant sur un siège bas je peut facilement écarter les genoux pour lui montrer mon minou dépourvu de poils et surtout luisant de l’effet que me procure mon petit manège, tel est prise celle qui croyais prendre.
Nous décidons de faire une petite promenade digestive sur le quai, nous longeons donc main dans la main l’eau saumâtre du port pour arriver à la capitainerie, et puis directement, nous débouchons sur un brise lames constitués de gros bloc de rocher, il faut crapahuter pour arriver à toucher l’eau, je soupçonne William d’avoir prémédité l’affaire,
Il me tient par la main tout en me précédant, il descend devant moi et se retrouve en contrebas juste sous ma jupette, il me tend les bras pour m’attraper et en profite pour la faire remonter comme une ceinture, un pêcheur se rince l’œil l’espace d’une seconde, il croit rêver. Aussitôt en bas, un minuscule espace de sable fin, comme un écrin, nous permet de nous allonger, nous sommes serrés, mais je commence à le souhaiter vivement, je caresse le short de William et extrait vivement sa bite tendu, le gland est violacé, gorgé de sang, prêt à éclater, j’englouti ce vit et le suce à fond, je prends plaisir à l’enfoncer au fond de ma gorge, mais je souhaite qu’il me prenne là sans attendre plus, je n’en peut plus de refouler cette jouissance latente, je me retourne et m’offre en levrette, j’ai la chatte en feu, je mouille comme une folle et la bite dressée a vite fait de me transpercée, j’adore ce moment ou je suis sa chienne, sa garce, sa chose pantelante de désir, je sens l’onde de jouissance commencer à poindre au fond de mon ventre, c’est à ce moment que William se retire et remballe sa belle queue.
Il me dis « c’est pour les souffrances endurée depuis ce matin » avec un sourire câlin et il remonte sur les rochers, je remets de l’ordre dans ma tenue et le rejoins.
Nous approchons de deux pêcheurs à la ligne, nous montons sur le muret et Will commence à discuter avec le plus proche des deux, complètement en contre bas, celui-ci se retrouve avec une vue sur le haut de mes cuisses, l’ayant compris et souhaitant exciter encore plus mon mâle, je m’arrange pour écarter les cuisses et laisser voir l’humidité de mon minou, le pêcheur s’étrangle et moi je jubile, je me retourne et me penche en avant pour sauter du muret et continuer notre parcours, de loin j’entends les borborygmes du pauvre homme seul avec sa ligne, qu’importe !
Sous quelques pins parasols , un banc nous accueille, il fait face à la mer mais est un peu éloigné des passants, je m’assois tout en ayant soin de remonter ma jupe, mes fesses nues son au contact du bois et cela ranime mon désir, William me connaît bien et voit mon œil s’allumé, je prends sa main et la guide vers mon entre jambes, mes sécrétions débordent du replis de mes lèvres vaginales, son doigt s’insinue sur la crête de mes replis secrets et s’enfonce directement sur mon bouton de plaisir, tendrement, amoureusement il joue avec, le fait durcir, l’affole, le quitte, le reprends, enfonce deux doigts dans ma chatte détrempée, remonte sur mon clito, je soupire d’aise et d’amour, je flux des ondes bienfaitrices reprennent leur ballet, je vais jouir !
Un raz de marée, un tsunami bienfaiteur m’oblige à écarter les jambes, je crie ma jouissance, cela ne passe pas inaperçue mais je m’en moque, je suis heureuse.
Après quelques minutes, je relève ma tête de son épaule et propose de continuer notre périple jusqu’au retour à l’appartement. Nous arrivons à une petite guinguette tenue par une charmante jeune fille d’une trentaine d’année, nous nous offrons une boisson rafraichissante et j’arrive enfin à exprimer à William toutes la force de cette jouissance qui fut contenue une bonne partie de la journée, il me dit être jaloux de ce plaisir solitaire car lui n’avait pas joui.
Je me redresse d’un bond et l’attrape par la main, il se laisse guider jusqu’à un recoin derrière le bungalow, une petite porte entrouverte nous attire, nous entrons et je dégrafe son short pour sortir et câliner cette bête qui sommeille, il ne lui faut qu’une seconde pour être au sommet de sa forme, une petite gâterie pour me faire plaisir, puis je me retourne et m’incline en avant, cette verge tant désirée vient se ficher au plus profond de mon vagin, je ne peux contenir les couinements qui sortent de ma bouche, je me mord les lèvres, William me burine, me laboure les chairs pourtant lubrifiées au maximum, je sens ma cyprine couler le long de ma cuisse, il sort de ma chatte pour humidifier du bout de son ma petite rondelle, j’écarte encore plus les fesses, je tire dessus avec mes deux mains, il replonge dans mes sécrétions et vient explorer mon cul, le pieu vient se positionner puis pousse délicatement sur mon sphincter, pour s’enfoncer jusqu’aux couilles, Will ne bouge plus, il attends que mon anus s’habitue au diamètre de cet intrus, mon anneau se détends et je dois dire que je prends plaisir à cette pénétration, je demande à mon seigneur et maitre de me prendre plus fort encore, la violence de ses coups de rein me font décoller, je mouille encore plus et même mon cul semble se lubrifier, j’ondule du bassin pour accroitre cette superbe union et je sens le sexe de William grossir, grossir, avec mes muscles anaux je le comprime au maximum et dés que je le sens prêt à exploser, je le libère, je sens ses saccades au plus profond de mes boyaux, cette inondation me fait partir dans un délire de jouissance, je ruisselle.
Nous sortons du réduit et prenons le chemin de l’appartement….épuisés !!!

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