Titre de l'histoire érotique : Semaine Marocaine 3, suite de nos vacances... - histoire érotique

Semaine Marocaine 3.

Lundi, nous sommes lundi, comme tous les matins le Muezzin nous réveille à 5h00, la prière du matin me permets de me réveiller tranquillement, mes yeux s’habituent à la lumière naissante, Ben est réveillé lui aussi, il se retourne, dégage le drap qui masque son anatomie et se lève. Dans le contre jour, j’aperçois la verge qui pends splendidement au dessus de deux bourses bien pleine, Benjamin reviens des toilettes et s’étire devant le lit, comme une exhib. volontaire pour bien mettre en évidence ce corps que je connais si bien, son sexe commence à durcir, je me rapproche et au dernier moment, l’évite et je me dirige, à mon tour vers les WC, mon amour me suit et bloque la porte, je comprends l’invite et écarte un peu plus les cuisses pour faire mon pipi abondant du matin, une fois terminé il passe une main sur mes grosses lèvres et porte sa main à sa bouche, son regard s’embrase en même temps que son sexe, il me prends dans ses bras et me jette sur le lit, notre étreinte est brève, sauvagement son genou m’ouvre les cuisses et son pieu me transperce, me brule la chatte, il accélère puis me retourne sans ménagement et m’encule sans se préoccuper de mon plaisir, je m’extirpe et par jeu, je me dérobe, me refuse à lui, à ses jeux. Excitée par ses gestes, je me jette sur sa bite dressée et le suce avidement, l’avale goulument jusqu'à la base, mes lèvres touche son pubis et cette colonne de chair, m’arrache un haut le cœur involontaire, j’insiste et je sens arriver le point de non retour, je ne veux pas avaler son sperme, je me retourne pour lu offrir mon sillon culier, mon petit trou offert aux audaces de mon mari, il comprends le message et calmement cette fois, me pénètre jusqu’à me soulever du lit, me sodomise à fond et me fais jouir, mes sécrétions sont abondantes et voyant l’effet produit, il jouis à son tour dans mon fondement, nous nous effondrons, son sexe enfiché au fond de moi.
Vers 9h00, nous corps ont repris vie, le temps d’enfiler une chemise de Ben et lui un short, nous descendons déjeuner, Nadia, notre hôtesse, nous a préparé crêpes, pain grillé, thé à la menthe et beurre, le temps de nous asseoir et nous dévorons, nos câlins du matin nous ont ouvert l’appétit. La bonne n’arrête pas de mater ma chemise mal ajustée avec mes seins baladeurs qui cherchent à s’en échapper en permanence, il faut dire qu’un seul bouton est attaché et sur le ventre donc…..mais elle semble s’intéresser au corps du mâle en présence, son short est béant et laisse échapper une couille démuni de poils, Ben se rase le sexe, innocemment elle laisse échapper une petite cuillère qui atterrie sur le sexe de Benjamin, sans hésitation elle avance la main et s’en vas ramasser l’objet, au contact de cette main baladeuse la bite se dresse presque instantanément, les doigts de Nadia, très agiles, s’empare du pieu et le caresse sans gène, elle le masturbe comme si je n’existais pas puis me regarde droit dans les yeux et de son air salope m’allume pour m’inciter à partager ce morceaux de roi, je plonge, non pas sur le vit dressé, mais entre les jambes de la jolie fille, mes doigts s’égarent dans sa fente humide, remontent sur le clitoris que je décalotte et pince pour le faire se dresser encore plus, je reviens en arrière et insère un doigt puis deux dans son cul déjà ouvert, elle s’écarte les fesses de sa main libre et cambre encore plus son postérieur pour s’ouvrir davantage, mes quatre doigts en entonnoir s’enfoncent dans son antre et la servante se pâme, elle demande la saillie, je la retourne, dos vers Ben, et la force à s’asseoir sur la barre de chair pour l’enculer d’un seul coup de rein, Nadia écarte encore plus son sillon et d’elle-même, s’empale jusqu’au couilles glabres de mon Amour, celui-ci repousse ce fessier accueillant et fait allonger ce corps sur la table, la pénètre violemment à nouveau, je me sens délaissée, ma main droite s’englue dans ma chatte brulante et ruisselante, ma main gauche attrape cette bite adorée, l’arrache à son fourreau si étroit et je l’embouche pour la sucer jusqu’au bout, Nadia ne l’entends pas ainsi et vient partager mon festin de salope, avec sa langue vient titiller le méat, descends sur le frein et jusqu’au couilles, remonte pour aspirer le gland humide, et le pomper jusqu’à l’explosion finale, Benjamin a de la ressource mais là, deux petits jets de semence viennent s’écraser sur les lèvres de notre hôtesse, et je vient me délecter de ce nectar sur ses lèvres charnues.
Une douche s’impose, nous y allons tous trois et sous les jets revivifiant nous nous laissons aller à de simples caresses, les seins, les couilles, mais aussi le trou du cul de Ben subit nos assauts, il rebanderai presque, mais notre choix se porte sur notre excursion du jour et nous laissons là Nadia pour la journée.
Mais ceci fera l’objet d’une autre histoire….