De ma vie étudiante...

- Par l'auteur HDS Lyat -
Récit érotique écrit par Lyat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : De ma vie étudiante... Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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De ma vie étudiante...
Cela fait maintenant plus de trois ans que je suis avec Adeline. La belle jeune fille, qui au début de notre relation était joueuse et ouverte côté jeux coquins, a fait place à une jeune femme assez rigide et ne voulant surtout pas sortir du train-train habituel. Fellations sur le lit ou debout, branlettes, cunnis, missionnaire et levrette. Après, c’est tout. Etant très endurant, la plupart du temps je dois me finir tout seul car elle a déjà bien jouis et elle ne supporte plus ma pénétration ni mon rythme car elle est toute irritée. En bref, ce n’était plus ça. Que de belles promesses à l’origine… Et très peu de fantaisies : string uniquement les « jours de fête » (sorties, réceptions chez des copains), jamais en jupe ni courtement vêtue, sous-vêtements style Petit Bateau.
Malgré tout, je lui restais fidèle car notre relation ne s’arrêtait pas uniquement à cela. Nous partagions tant et cela valait ces petites brimades. Des copines très jolies m’avaient déjà fait des avances, mais je les avais déclinées poliment, expliquant ma fidélité à Adeline.
Progressivement, cela empira. Plus une semaine sans deux ou trois prises de tête ou engueulades. Puis encore plus souvent. Quelques trêves adoucissaient le climat tendu, mais la reprise était rapide. Nous partagions tant de choses pourtant… Etant d’un naturel franc, je lui dis tout ce que j’avais sur le cœur… mais le plus souvent elle acquiesçait sans vraiment écouter ni vouloir comprendre…
Enfin, un jour je me décidais à tout lui dire, de A à Z et de faire un break entre nous. Evidemment, elle s’exclama que c’était n’importe quoi, que nous nous entendions très bien et pris le tout très mal. Elle partit de chez moi en pleurs sous le regard attristé de mes parents qui étaient dans le salon au rez-de-chaussée.


J’étais moi-même bien triste par tout ça, mais cela me semblait nécessaire. Deux jours plus tard, j’eu l’agréable surprise d’avoir un coup de fil de Laure sur mon portable me proposant de me faire une journée avec elle sur Paris pour me changer les idées. OK, Jeudi alors ! Ce qui me laissait 4 jours…
Laure était une copine de boulot qu’Adeline m’avait présentée et avec laquelle je m’entendais très bien. Trop bien même peut-être comme me le fit remarquer mon frère et ma sœur quand elle venait à la maison.
Je reconnais que j’étais très attiré par elle, car elle me correspondait tout à fait pour le caractère, les activités, les centres d’intérêts. Elle était très différente de Adeline, mais beaucoup plus proche de moi. 1,70m environ, les cheveux bruns coupés au carré, un superbe sourire et un regard joyeux. Je craquais vraiment sur ces expressions de visage.
Notre relation était tout à fait normale jusqu’au jour où je lui proposais une journée ensemble lors d’une conversation MSN. Adeline était partie au ski. Laure était en vacances et un peu désœuvré, et moi-même ayant un peu besoin de sortir, n’étant pas parti avec Adeline pour cause de préparation à des concours. Mais une journée de détente n’a jamais tué personne. Et j’en avais bien besoin. Donc, pour en revenir à MSN, je lui proposais une folle journée parisienne : Big Fish, puis ensuite expo au Museum d’HN et balade dans le parc. Elle me dit que cela la gênait par rapport à Adeline…je lui répondis que cela serait notre petit secret…je continuai à ce petit jeu ambigu… pour finalement être l’attrapeur attrapé ! Elle finit notre discussion sur deux trois phrases plus qu’ambiguës et me laissa sur ma faim jusqu’au jeudi prévu. Le mercredi soir, j’avais un mail m’expliquant qu’une réunion de boulot lui tombait dessus et qu’elle devait y aller absolument. Et voilà ! Histoire à l’eau et pas moyen de remettre ça… Que j’étais énervé. Je la menaçais de toute sorte de sévices à notre prochaine rencontre, mais elle m’expliqua alors calmement que ce style de jeu ne la branchait pas du tout. Dommage, me disais-je, moi j’aime bien un peu de temps en temps…
Puis plus rien…
Un autre plan pour se faire un ciné moi, elle et Adeline pris l’eau lamentablement… Décidément… Grrr….
Et finalement ce coup de fil inespéré !


Je n’avais pas trop envie de me lancer dans quoique ce soit avec elle… du moins pas en ce moment… Mes oraux approchaient rapidement, ma préparation stagnait, j’avais pas mal de problèmes à gérer. Pas besoin d’en rajouter en sortant avec une des meilleurs amies de mon ex.
Le jour venu, je me préparais, et arriva au rendez-vous 5 minutes en avance comme d’habitude. Mince ! C’est vrai qu’elle est toujours en retard…Tant pis, j’endurais alors le quart d’heure en retard réglementaire de la miss. Quand je la vis sortir de la bouche du métro, mon attente valait bien cette peine ! Lunettes de soleil dans les cheveux détachés, superbe sourire, pull légèrement décolleté mauve et pantalon moulant noir mettant en valeur ses belles jambes.
Bises de rigueur et hop ! C’était parti. Ciné dans le quartier de St Michel pour voir un Burton qu’elle n’avait pas encore vu, restaurant japonais, puis cap sur le Museum d’histoire naturelle. L’exposition sur les Mammouth visitée, nous nous dirigeâmes vers le pars pour profiter du beau temps. Nous discutâmes de tout et de rien, de ma récente rupture, des études, d’elle, de moi… Il commençait à faire un peu froid, et nous nous dirigeâmes vers un café proche pour nous réchauffer et boire un coup. Un café, puis deux bières pour moi et un petit whisky, offert par le patron qui était un ami. Un café et un Monaco pour Laure qui disait ne pas tenir du tout l’alcool. L’alcool, justement, me détendait un peu et me faisait partir dans un peu tous les sens dans la conversation. Je lui parlais des superbes salles de cours dans lesquelles j’étudiais à la Sorbonne, du Grand Amphi, de l’amphi Richelieu… Elle me dit qu’elle adorerait les visiter, mais qu’elle ne pouvait certainement pas.
« -Pas de problème, lui dis-je, tu as bien une carte d’étudiante pour cette année ? »
-« Oui, évidemment ! »
-« Bon, bah ça suffit amplement ! Allez viens !
Je la pris par la main et régla la note puis on se dirigea vers la Sorbonne. L’entrée ne fut qu’une formalité et je lui fis visiter alors toutes les salles que je connaissais. Elle en était enchantée !
Enfin, nous trouvâmes un petit coin tranquille au chaud où nous échouâmes, un café à la main.
On discuta alors de ma nouvelle condition de célibataire. Elle aussi l’était et je lui demandais en riant depuis combien de temps pour elle et ce qui était le plus difficile.
Cela faisait deux ans qu’elle était célibataire. Je la coupais en lui disant que je n’étais pas prêt à endurer deux ans d’abstinence ! (ça c’était vrai, mais l’effet de l’alcool y était pour quelque chose à mon avis pour que je le dise à haute voix). Elle fit une moue dubitative et m’expliqua qu’on faisait comme on pouvait et quand on ne trouvait que des abrutis…
-« Mais enfin Laure ! Tu es belle et jolie à croquer, intelligente, cultivée ! Comment cela se fait-ce ? (expression que j’aime bien car parfaitement française, mais provoquant souvent des réactions…) » avec un grand sourire.
-« Bah, pas trop le temps à ça tu vois… mes amis sont partis à droite à gauche… et je vois peu de garçons m’intéressant, et quand c’est le cas, ils ont une copine. » me dit-elle avec un petit regard en coin.
Je lui caressais et pris son visage de ma main droite.
-« Et si la copine n’est plus là… » et je me pencha vers elle pour l’embrasser tendrement.
Elle eut un petit réflexe de recul, puis se laissa faire. Sa bouche s’ouvrit et nos langues s’entremêlèrent, d’abord doucement, puis avec de plus en plus d’intensité.
Après quelques minutes je me dégageais alors et la regarda dans les yeux. Ceux-ci semblaient être un peu embué par un début de larmes.
-« Et alors ? Que cela fait-il après deux ans sans un tendre baiser ? »
-« Pour ça, ça ne fait pas deux ans. Je parlais alors de sexe ! » Avec un grand sourire et elle me tira la langue avec un clin d’œil.
-« Ah bon mademoiselle ! Et bien, je vais …et ne finissant pas la phrase, je glissais ma main dans son pantalon, puis directement sous sa culotte pour commencer à lui caresser le pubis… voir cela ! »
Aucune réaction négative, mais plutôt un petit soupir encourageant des plus prometteurs. Je lui embrassais le cou tout en continuant de m’activer doucement mais sûrement dans sa petite culotte. L’espace étant limité, je lui défis deux boutons. Mes doigts glissaient sur ses poils pubiens, puis arrivés près des grandes lèvres, commencèrent les caresser de l’extérieur. Je sentis des petits tressaillements le long de son corps. Son plaisir devait être long… Progressivement, mes doigts agiles s’approchaient de sa minette que je devinais toute mouillée par mes petits jeux digitaux. Ses petites lèvres dépassaient largement et dès que mes doigts les rencontrèrent, les yeux de Laure se révulsèrent accompagnés d’un petit gémissement. Je continuais consciencieusement mon ouvrage, m’attaquant à l’intérieur de son petit minou, jouant avec ses lèvres, titillant par moment son clitoris, changeant de rythmes et de techniques. Adeline raffolait de mes séances où je la masturbais longtemps. Elle disait que j’avais des doigts de fée et une technique comme elle n’en avait jamais rencontré. Et apparemment Laure appréciait aussi.
Sentant sa jouissance venir, je lui prodiguais avec toute mon attention un final dont elle se souviendrait longtemps.
Et en effet, sa main m’agrippa avec force la cuisse, plantant ses ongles dans mon pantalon, ses yeux se révulsèrent et elle émit un long gémissement. Heureusement que j’avais eu le réflexe de la bâillonner en l’embrassant à pleine bouche. On était pendant les vacances et dans un coin tranquille, mais tout de même des élèves et des profs pouvaient passer dans le coin et nous entendre !
Je sortis alors ma main de son pantalon et la porta à mes narines pour sentir ses effluves qui étaient… hum… délicieuses. Puis je suçais alors mes doigts tout en la regardant revenir à elle. Je lui fis un petit clin d’œil !
-« Et là, ça fait bien deux ans ?!? » et en profita pour lui tirer la langue.
-« Oui en effet, ça fait deux ans. Ca faisait longtemps. Mais je ne me souvenais pas que ce fût aussi bon ! Mais il n’y a pas que ça depuis deux ans » avec un grand sourire et un petit clin d’œil.
D’un coup nous nous retournâmes car la porte à battant venait de s’ouvrir brutalement. C’était un de mes profs qui me jeta un coup d’œil et vit deux jeunes l’un à côté de l’autre tendrement enlacés.
-« Et bien cher monsieur Lyat ! Même si vous semblez en charmante compagnie, je préférerais que vous soyez en bibliothèque pour travailler vos oraux d’agrégation ! »
-« Oui monsieur, j’y pense, soyez en assuré, mais là c’est mon quart d’heure de pause. »
-« Fort bien ! Le voici fini, ajouta-t-il en me regardant. Mademoiselle, ne m’en veuillez pas, mais ce beau jeune homme a du pain sur la planche si je puis dire ! Ca tombe bien, je vais préparer en bibliothèque mon prochain TD. Venez avec moi, vous allez m’aider et cela ne pourra qu’être bon pour ce que vous avez ! »
-« Bon, Ok monsieur. J’embrassais ardemment Laure, l’air un peu dépité par la tuile qui venait de me tomber dessus… J’arrive de suite. »
Je partis à sa suite, laissant Laure seule dans les couloirs de la Sorbonne… Pfff, quel manque de pot décidément ! ! . . .


Après avoir laissé lamentablement Laure, contre mon grès, dans les couloirs de la Sorbonne, je ne savais trop comment allait continuer cette si nouvelle relation… Les débuts étaient prometteurs, mais j’aurai compris qu’elle me tienne rigueur de la conclusion un peu… bâclée de notre première journée.
Je lui téléphonais donc le soir même pour m’excuser et l’inviter par la même occasion à boire un verre quand elle serait disponible.
Elle me dit de passer la prendre à la sortie de sa salle de cours, à son école, à 17h30 mardi.
-« Mais, si je viens te chercher à la porte, Adeline me verra et se demandera la raison de ma présence. Je préférerais un peu éviter ça si possible. »
-« C’est à prendre ou à laisser. »
-« OK, c’est bon, tu as gagné. Mais tu ne sais pas encore quoi… » Avec un petit rire et je racrochais.
Pffff bravo, pensais-je, qu’est ce qu’elle peut bien mijoter ? Je verrai bien…
Déjà, je pensais lui offrir un petit cadeau que j’adore : une chaîne de pied. Je trouve ça si sensuel… et si un des premiers cadeaux que j’offre à mes copines… Pour le reste du programme, c’était plutôt un flou très artistique… impro certainement… j’aime bien ça.

Le jour même j’allais à un de mes magasins préférés où j’achète tous mes bijoux et ceux de mes copines. J’y vais souvent accompagné, et ça fait toujours sourire malicieusement la vendeuse de me voir arriver avec une nouvelle amie…
J’ai choisi une jolie chaîne en argent, assez simple, mais très fine et sensuelle. L’argent allait bien avec son teint de porcelaine. Paquet-cadeau et zou !

Cinq minutes avant la sortie, j’attendis devant la porte, et je vis un petit renflement où je pourrai me dissimuler si par hasard Adeline venait à passer. Je ne tenais pas du tout à ce qu’elle me voit. Et puis mince, c’était bien Laure, sa meilleure copine, qui m’avait dit de l’attendre, au risque de voir Adeline. Elle se débrouillera si besoin, j’allais l’attendre devant la porte !
17:30. Bizarre. Aucun bruit ne provenait de la salle… Je tendis davantage l’oreille… Rien. La petite garce m’avait bien eu ! Ca commençait bien !
A cet instant une main me tapota l’épaule. Je me retournais alors et une bouche m’étreignit sauvagement et furieusement avant même que j’eus le temps de déterminer la personne. Laure ! Nous nous embrassâmes alors fougueusement. Mes mains parcourent ses doux cheveux et passèrent dans son dos pour la caresser tendrement. Hum… quel délice…
Elle relâcha son étreinte et me dit : - «Que voilà un courageux chevalier, qui était prêt à braver de graves dangers ! » en riant aux éclats « je ne savais vraiment pas si tu allais oser ! »
-« Je ne fuis jamais devant mes responsabilités. Je ne suis plus avec elle. C’était plus pour toi que je ne voulais pas trop faire de vagues. C’est ta meilleure amie quand même. Je ne veux pas être la pomme de discorde entre vous. »
-« C’est pas grave. » Elle me prit la main et voulu monter l’escalier proche.
- « Viens donc ! » me dit-elle avec un petit sourire espiègle.
Nous grimpâmes les marches quatre à quatre, sans trop savoir où elle m’emmenait. Au dernier étage, elle se dirigea vers le fond du couloir, l’air sûre d’elle. Arrivé au fond du couloir, un petit renflement nous permettrait de ne pas être vu…
Elle me prit par les épaules, me déséquilibra et me jeta presque au fond, et, avant même que je n’ai pu réagir, elle déboutonna mon jean.
-« Laure, j’adore ce genre de trip, mais là, nous sommes dans ton école, à une heure où pas mal de gens peuvent passer… »
Je ne pus finir la phrase car elle avait déjà baissé mon pantalon et jouais avec mon caleçon.
-« Tu vois, moi aussi je peux faire ça où j’ai cours » me dit-elle avec un grand sourire et en commençant à agiter un peu le contenu de mon caleçon.
La voir ainsi… hum qu’elle était belle et désirable… J’avais à peine eu le temps de la regarder. Elle s’était habillé de toute beauté ! ! Petit cache-cœur noir bien décolleté qui me permettait d’admirer un superbe paysage, jupe noire et … des collants ou des bas ! Argg ! Ma deuxième marotte…
Elle me regarda avec un petit air suppliant de petite fille sachant qu’elle va faire une bêtise ; ce qui ne l’empêchera pas de la faire… Sa main pénétra mon caleçon et son contact avec mon sexe me fit frissonner. Enfin, elle baissa le sous-vêtement la gênant dans son entreprise et commença à me branler doucement, puis plus vivement.
-« Alors ? Monsieur ne semble pas aussi gêné que cela ? »
Je n’eus encore pas le temps de répondre qu’elle approcha ses lèvres de ma verge et les passa sur toute la longueur, sortant la langue une fois arrivée au gland. Que c’était bon.
Elle continua consciencieusement et en s’appliquant sa fellation qui était véritablement divine. Elle modulait son ardeur, ses coups de langue et ses jeux de lèvres, qu’elle avait pulpeuses et très belles. A cela, elle ajouta pour me mettre vraiment à bout tout un jeu de mimiques, d’expressions de visage totalement… chavirantes !
L’esprit vraiment ailleurs, je réussi à mettre mes mains sur ses épaules pour la prévenir de l’imminence de ma jouissance. Elle continua de plus belle. Le monde aurait pu s’écrouler autour de moi, je n’aurai même pas fait attention tant j’étais aux anges ! Finalement, après avoir essayé de retarder pour en profiter au maximum, ma résistance fut anéantie et vaincue et mon orgasme me parut durer une éternité. Le temps s’était ralenti autour de moi. Laure de son côté essayait d’avaler tout sans rien perdre ce qu’elle arriva presque exceptée une goutte coulant à la commissure droite de ses lèvres.
Terrassé par un tel orgasme, comme je n’en avais jamais eu jusque là, je m’effondrais presque par terre. Je me rhabillais assez vite. Elle, de son côté, était grand sourire et apparemment semblait très contente de son effet !
-« Alors ? A ton avis, j’ai perdu depuis 2 ans sans pratique ? » En riant aux éclats « Je n’en suis pas tout à fait sûre. Qu’en penses-tu, comme ça, rapidement ? Mon petit échauffement est-il convenable à ton goût ? Suis-je meilleure qu’Adeline pour les jeux de langue ? »
Moi, un brin moqueur, et gros menteur, en rigolant : -« Pas mal pour un début, mais j’espère que ça va s’améliorer !! Bon potentiel ne demandant qu’à être améliorer et développer. »
Elle se jette sur moi pour me chatouiller en me traitant de gros mufle ! On continue de bien rigoler et de s’amuser comme des gamins encore quelques minutes, en s’embrassant.
-« J’ai un petit truc pour toi, et tu me sembles t’être vêtue pour la circonstance. » Je lui pris la main et nous retournâmes dans le couloir où un long banc semblait nous attendre.
-« Assis-toi ici s’il te plaît. Voilà, comme ça, et ne croise pas tes jambes. »
Elle me regarde, l’air un peu intrigué. Je m’agenouille devant elle et lui tendis mon petit paquet, qu’elle déchire tout de suite.
-« Oh merci beaucoup ! C’est quoi au fait ? »
Je lui prends la main et l’embrasse, puis attrape la chaîne. Ma main commence à descendre le long de sa jupe, doucement. Je la sens frissonner un peu. Mes doigts continuent leur descente et courent maintenant sur ses collants (ou est-ce des bas, je ne le sais encore). Mes lèvres ont suivi de peu mes doigts et parcourent ses jambes. J’arrive à sa cheville gauche, que je masse doucement, lentement, en prenant le temps. Puis je lui attache enfin sa chaîne. Je continue d’embrasser ses jambes gainées.
Je la regarde alors droit dans les yeux. Qu’elle est belle, pleine de charmes et de vie. Resplendissante.
Mes mains remontent un peu le long de ses jambes. Je remonte également afin de l’embrasser et de la prendre dans mes bras. Heureux. Je crois que nous le sommes vraiment. Mes mains redescendent et se glissent sous sa jupe.
Wooah ! Des bas ! Hum… j’adore vraiment trop et son petit air malicieux me fait penser qu’elle devait le savoir…
Je joue sous sa jupe à effleurer son entrejambe, le haut des cuisses, à bien la caresser sur sa culotte qui devient de plus en plus humide. Joueur, je la lui retire en la regardant droit dans les yeux. Elle ne semble pas trop chaude à vrai dire… mais elle avait allumé un feu qui semblait lui échapper...
Je la porte à mon visage pour la sentir… hum, quel délice… Puis, je me recule un peu. Là, son visage prend une drôle d’expression, mélange de curiosité, de mécontentement, de frustration…
-« Vas-y, abandonne toi à mon regard. Donne-moi du plaisir en t’en donnant. »
-« Non, tu es là pour ça. Finis ce que tu as si bien commencé s’il te plait. »
Le regard que je lui lance lui fait comprendre que c’est moi qui dirige là. Elle commence à s’exécuter, doucement. Ses mains détachent son cache-cœur, me laissant découvrir un soutif noir en dentelle très joli. Elle se caresse lentement, faisant descendre ses mains. Avec le bout des doigts, elle effleure ses bas en remontant doucement vers son entrejambe et relevant sa jupe. Je peux voir alors son joli fruit, presque défendu, bien taillé avec une pilosité de brune peu fournie, mais pas épilé. Très joli ! Puis, elle passe légèrement sur son pubis, ses grandes lèvres. Je la vois un peu tressaillir alors. Elle glisse son index entre ses petites lèvres et commence à gémir. Ses yeux se ferment pour apprécier davantage. Moi, je suis aux anges : voir Laure, à demi-nue au milieu d’un couloir, se donnant du plaisir, en bas et avec une chaîne de pied… Quel dommage de n’avoir rien pour immortaliser cette image…
De sa main droite elle écarte largement ses grandes lèvres pour que sa main gauche joue avec ses petites lèvres, son clitoris et l’entrée de son vagin. Son minou est maintenant tout trempé. Décidant que je l’avais suffisamment laissé jouer toute seule, je me rapprochais en silence. Je crois que de toute façon elle n’était plus là. Doucement à quatre pattes, j’arrivais à quelques dizaines de centimètres de son abricot.
Elle remonta sa main gauche vers sa bouche qu’elle ouvrit alors pour goûter à son nectar. Profitant de l’occasion, ma bouche prit la place de sa main absente. Elle grogna quand ma langue à plat remonta alors tout le long, en tournoyant par moment. Arrivé à son clitoris, je l’agaçais du bout de la langue, jouant avec, l’aspirant un peu, le suçotant. Mes mains ne restèrent pas inactives et lui caressèrent les jambes, le ventre, sa poitrine toujours prisonnière.
Comme j’adore le faire, je pris tout mon temps, pour la faire languir, la faire doucement, mais sûrement, monter petit à petit, pour la faire me supplier de la terminer. Par moment, je remontais l’embrasser, lui faisant partager son nectar si précieux et bon.
Enfin, je décidais de la finir en beauté. Je pénétrais son intimité de mon index droit, tandis que j’avais libéré sa poitrine de ses entraves et entreprenait de lui caresser avec ma main gauche. Ma langue continua à être joueuse, mais se fit plus précise, plus adroite, plus régulière et plus appuyée, tandis que mon index prenant un rythme proche de celui de ma langue.
Quelques secondes suffirent alors pour la voir se redresser, les yeux révulsés, gémir de plus en plus fort et crier un bon coup, en se laissant retomber.
Son cri ayant peut-être alerté quelqu’un, je me rassis vite à côté d’elle et l’embrassa fougueusement, sans trop la laisser se remettre de ses émotions, et l’enveloppant de mes bras pour ne pas trop exposer sa poitrine au cas où…
Enfin remise, elle me dit :
-« Du potentiel, sans aucun doute, mais qui demande encore un peu de pratique pour s’exprimer pleinement. Mention honorable. » En riant.
Qu’elle était belle quand elle riait. Encore plus belle que quand elle jouissant. J’étais sous le charme. Elle se rhabilla, pris ses affaires puis nous nous dirigeâmes vers l’escalier.
Arrivés à la porte vitrée qui sépare le couloir du palier, nous rencontrâmes Marie, une copine d’Adeline et Laure très jolie avec des traits de visages très fins, qui nous regarda marcher bras dessus bras dessous en souriant, tout heureux que nous étions. On discuta un peu, puis partîmes chacun de son côté.
C’est alors que je crus entr’apercevoir un clin d’œil de Marie adressé à Laure…
Nous avait-elle observée ? Mystère. . .

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