Titre de l'histoire érotique : Douce après-midi parisienne
Récit érotique écrit par Lyat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Douce après-midi parisienne
Rendez-vous 15h devant l’entrée principale du parc de Bagatelles.
Tu arrives, rayonnante comme à ton habitude avec un petit haut bleu assez décolleté qui fait ressortir à merveille la couleur de ta peau, une petite jupe noir avec des bottines et des collants (ou bas je ne sais pas encore) assortis. On en croquerait…
On se fait la bise, les yeux pétillants, et nos lèvres dérapent en glissant très légèrement. Tu me prends par le bras et nous voici nous baladant dans ce si joli parc.
Je te fais rire en te racontant des bêtises comme à l’accoutumée. Tu souries et je te sens vraiment très heureuse, loin de tes problèmes qui te minent depuis quelques temps malheureusement pour toi.
On décide de s’installer sur un banc un peu à l’écart du passage, on s’installe l’un conte l’autre. Je te prends dans mes bras et on papote, on papote. Au fil des rires et discussions, ton décolleté descend et tu me surprends les yeux dedans.
- « Je ne te dérange pas au moins. Tant qu’on y est, tu peux toucher aussi ! » me dis-tu en plaisantant.
Me souvenant de nos discussions précédentes et de nos lèvres il y a peu, j’avance doucement ma main et te caresse la zone entre ton cou et ton décolleté, du dos de la main. J’ai conscience que ça peut faire basculer pas mal de chose, mais j’en ai trop envie.
Tu te laisses faire et tu fermes même les yeux, profitant de ce contact chaud.
Nous reprenons notre conversation comme si de rien n’était mais nous sentons comme une vague de chaleur entre nous se lever…
Le jour vient à baisser et je te propose d’aller se poser dans un bar sympa pour continuer nos papotages. Tu te poses sur la banquette et j’en profite pour admirer la lisière de tes bas. Délicieux je dois dire. Nous parlons d’un peu de tout. Tu commandes un chocolat chaud, moi un café. Je sens ton pied contre le mien et qui remonte le long de ma jambe. Tu me fais un magnifique sourire pour bien confirmer que ce n’est pas par inadvertance. Tu continues ce petit jeu pendant quelques minutes.
Tu ne peux pas t’en apercevoir mais ces petits jeux commencent à m’exciter. Je te le dis et tu me réponds par un petit clin d’œil.
Je retire mon pied de ma chaussure et je commence à caresser tes jambes du bout du pied, avec les bas la sensation est très agréable pour moi et ton petit coup de rouge aux joues me fait penser qu’il en est de même pour toi.
Sur la table nos mains se caressent. Je sens de plus en plus une certaine rigidité naître dans mon anatomie.
Tu t’excuses et tu te lèves. Le garçon t’indique la direction des toilettes et te t’engouffre dans le couloir à moitié éclairé.
5 minutes plus tard, je te vois revenir, en passant près de moi tu trébuches et t’agrippe à mon manteau. Tu te remets à ta place. Tes petites joues sont toutes rouges. C’est très mignon.
- « Lyat, je sais que ta fête est dans longtemps mais comme tu as pensé à la mienne, et que je ne t’ai rien offert, j’ai quelque chose pour toi. » Ton joli sourire s’élargit.
- « Regarde dans la poche gauche de ta veste, tu verras » avec un petit clin d’œil coquin.
Je mets ma main dans ma poche et sens du tissu très doux au toucher et légèrement humide. Je tilte de suite sur ce que cela peut bien être.
Je te remercie et te promets de la garder précieusement. Quel joli cadeau. Je résiste à l’envie de la sortir et de l’admirer car le lieu est modérément adapté. Si elle est assortie, elle est bleue pâle…
Nous ressentons tous les deux un délicieux instant de flottement. Je peux remarquer que tes joues ont délicatement rosies sous l’effet d’une audace dont je te pensais incapable. A tort.
Tu sors de ton sac l’Officiel des spectacles et tout de go tu m’annonces que nous allons à la séance qui est dans 15 min au cinéma d’à côté. Je n’ai même pas le nom du film que tu te lèves, me prend la main et nous nous dirigeons vers le comptoir pour payer.
Une fois l’addition payée, tu te loves tout contre mon bras, posant ta tête sur mon épaule et nous allons tranquillement vers le cinéma. Arrivés à la caisse nous prenons 2 billets pour un film qui m’est totalement inconnu. Salle 12, hum… petite salle à l’autre bout du complexe…
Ouvrant la porte, nous ne pouvons constater qu’il n’y a que peu de monde à cette séance et à peine sommes-nous installés que la lumière se tamise pour laisser place aux bandes-annonces et publicités.
Tu te colles contre moi, ta tête posée sur mon épaule. Je sens ton souffle sur ma peau à travers ma chemisette. Tu as posé un bras sur mon torse et en fait, tout ce qui est autour de nous n’a que peu d’importance. Chacun de notre côté, nous profitons de l’instant, de l’autre, de ce que nos sens peuvent ressentir. Ton parfum, tes cheveux, ma peau, ton souffle… Ma main se pose sur ton genou…
L’obscurité se fait totale et le film commence. Je sens doucement ta cuisse se rapprocher de moi. Je me tourne vers toi pour déposer un bisou dans tes cheveux. Puis un deuxième, un troisième… Quand j’arrête pour « regarder » ce film, je te sens bouger et à ton tour me déposer de tendres baisers dans le cou. Ma main se réveille doucement sur ton genou et commence un jeu de caresses presque imperceptibles mais qui grâce à tes bas me parait tout à fait sensuel.
Je tente de tourner mon visage pour t’embrasser mais tu as semble-t-il envie de jouer et me laisse en plan. Par contre je sens toujours ta jambe se rapprocher et s’appuyer contre moi, s’écartant de ce fait. Je prends cela pour une invitation et ma main accentue ces caresses, puis très subtilement remonte le long jusqu’à arriver à la lisière de ton bas. Après avoir joué un peu avec l’attache, tâtant un peu le terrain si je puis dire, mes doigts commencent un doux et délicieux ballet sur ta peau si douce. Je te regarde et vois tes yeux fermés. Ta respiration devient saccadée. Je te sens attentive aux mouvements, aux caresses de mes doigts, surtout te sachant sans string. Tu bouges un peu de ton siège pour t’avancer et écarter un peu plus tes jambes. Ta tête est toujours sur mon épaule, les paupières closes, ta respiration qui semble toujours tenue à un fil invisible.
Mes lèvres se posent sur tes cheveux et y déposent un tendre baiser auquel tu réagis en te tournant vers moi pour me faire un de tes plus beaux sourires. Puis tu te réajustes contre moi. Je repousse un pli de ta robe pour faciliter la progression de ma main. L’idée du cinéma s’avère très sympathique et intéressante. Du dos de ma main je caresse la douce peau de tes cuisses et je !e sens frôler ton intimité, toute chaude et me paraissant humide.
Mes doigts, ma main continuent leur douce ballade sensuelle, sur tes bas, sur ta peau… tantôt de la cuisse droite, tantôt de la gauche… Je te sens émettre de petits bruits, de légers gémissements. Du bout de mon majeur je remonte jusqu’à atteindre enfin après ce petit jeu ton entrejambe et je caresse doucement ton pubis qui est très doux. Je descends un peu plus et je te sens retenir ta respiration.
Je sens ta main se poser sur mon entrejambe et commencer à me caresser pour apprécier ma rigidité qui s’accroit sous cette délicieuse initiative.
Quand ma main se dépose sur tes grandes lèvres, passe dessus pour en ressentir toute la douceur, et également l’humidité ainsi que la chaleur. Tu as une petite réaction brusque quand mon majeur se pose sur ta fente et découvre ton clitoris. J’appuie légèrement dessus en tournant imperceptiblement. Tes soupirs se font plus lourds. Je te sens remuer sur ton siège, tantôt pour me faciliter semble-t-il la tâche, tantôt pour te défiler un peu.
Ta main se fait plus appuyée sur mon entrejambe et je te sens remonter pour défaire mes boutons. Je t’aide au maximum et me voici le boxer à l’air. Ta main continue ses caresses et passe en dessous pour se poser sur ma verge et passer tes doigts fins dessus. C’est exquis.
Mes doigts caressent maintenant ton intimité entière, tes grandes et petites lèvres si humides, ton bouton d’amour si doux, et même entrent doucement en toi. Tu ahanes et gémis sous cette lente pénétration.
Ta main se retire alors de mon boxer, tu te retournes vers moi pour me chuchoter :
- « Attend un peu. Laisse-moi faire s’il te plait. »
Tu reposes doucement ma main. Tu poses ton visage dans mon cou.
- « Je suis sûre que tu vas adorer »
Dans la pénombre je te vois relever complètement ta robe, tes jambes magnifiques avec leurs bas m’apparaissent ainsi que ton très jolie minette que je vois bien luisante de ton excitation. Ta main débute des caresses très légères et doucement se pose sur ta petite chatte pour débuter une masturbation lente, très sensuelle, où je sens ton corps répondre et réagir à chaque contact. Telle que tu t’es installée j’entends parfaitement ton souffle. Je vois un, puis deux doigts doucement disparaître entre tes petites lèvres et doucement te pénétrer et entamer des mouvements concentriques puis quelques allers-retours. Enfin ils ressortent tout humides et ma main se pose alors sur la tienne pour la prendre et porter tes doigts à ma bouche. Je les suce et lèche doucement. Tu as un goût très délicat, très doux… Puis je te laisse de nouveau agir et tu reprends ton œuvre de manière un peu plus énergique. Tu vibres tout contre moi, tes halètements se font plus rapides, plus intenses. Ton corps se tend, s’agite à mesure que monte en toi ton plaisir, ta jouissance. Au tout début de ta jouissance, tu plonges ton visage contre moi pour étouffer ton cri… tu me mords même légèrement, ce qui n’est pas pour me déplaire. Ton corps tout entier se relâche après ce plaisir que tu as su me faire partager.
Je me penche vers toi pour déposer un doux baiser au coin de tes lèvres, puis je descends de mon fauteuil pour me positionner entre tes jambes, un petit baiser sur tes lèvres, un petit coup de langue aussi qui te fait sursauter.
Je me réinstalle ensuite à mon siège et nous reprenons notre position initiale : toi lovée tout contre moi et nous essayons de reprendre le cours du film dont pour ma part je n’ai pas du voir 3 plans d’affilée. Nous pouffons tous les deux de rire, nous reprenons nos affaires et sortons discrètement de la salle, tout heureux.
Tu arrives, rayonnante comme à ton habitude avec un petit haut bleu assez décolleté qui fait ressortir à merveille la couleur de ta peau, une petite jupe noir avec des bottines et des collants (ou bas je ne sais pas encore) assortis. On en croquerait…
On se fait la bise, les yeux pétillants, et nos lèvres dérapent en glissant très légèrement. Tu me prends par le bras et nous voici nous baladant dans ce si joli parc.
Je te fais rire en te racontant des bêtises comme à l’accoutumée. Tu souries et je te sens vraiment très heureuse, loin de tes problèmes qui te minent depuis quelques temps malheureusement pour toi.
On décide de s’installer sur un banc un peu à l’écart du passage, on s’installe l’un conte l’autre. Je te prends dans mes bras et on papote, on papote. Au fil des rires et discussions, ton décolleté descend et tu me surprends les yeux dedans.
- « Je ne te dérange pas au moins. Tant qu’on y est, tu peux toucher aussi ! » me dis-tu en plaisantant.
Me souvenant de nos discussions précédentes et de nos lèvres il y a peu, j’avance doucement ma main et te caresse la zone entre ton cou et ton décolleté, du dos de la main. J’ai conscience que ça peut faire basculer pas mal de chose, mais j’en ai trop envie.
Tu te laisses faire et tu fermes même les yeux, profitant de ce contact chaud.
Nous reprenons notre conversation comme si de rien n’était mais nous sentons comme une vague de chaleur entre nous se lever…
Le jour vient à baisser et je te propose d’aller se poser dans un bar sympa pour continuer nos papotages. Tu te poses sur la banquette et j’en profite pour admirer la lisière de tes bas. Délicieux je dois dire. Nous parlons d’un peu de tout. Tu commandes un chocolat chaud, moi un café. Je sens ton pied contre le mien et qui remonte le long de ma jambe. Tu me fais un magnifique sourire pour bien confirmer que ce n’est pas par inadvertance. Tu continues ce petit jeu pendant quelques minutes.
Tu ne peux pas t’en apercevoir mais ces petits jeux commencent à m’exciter. Je te le dis et tu me réponds par un petit clin d’œil.
Je retire mon pied de ma chaussure et je commence à caresser tes jambes du bout du pied, avec les bas la sensation est très agréable pour moi et ton petit coup de rouge aux joues me fait penser qu’il en est de même pour toi.
Sur la table nos mains se caressent. Je sens de plus en plus une certaine rigidité naître dans mon anatomie.
Tu t’excuses et tu te lèves. Le garçon t’indique la direction des toilettes et te t’engouffre dans le couloir à moitié éclairé.
5 minutes plus tard, je te vois revenir, en passant près de moi tu trébuches et t’agrippe à mon manteau. Tu te remets à ta place. Tes petites joues sont toutes rouges. C’est très mignon.
- « Lyat, je sais que ta fête est dans longtemps mais comme tu as pensé à la mienne, et que je ne t’ai rien offert, j’ai quelque chose pour toi. » Ton joli sourire s’élargit.
- « Regarde dans la poche gauche de ta veste, tu verras » avec un petit clin d’œil coquin.
Je mets ma main dans ma poche et sens du tissu très doux au toucher et légèrement humide. Je tilte de suite sur ce que cela peut bien être.
Je te remercie et te promets de la garder précieusement. Quel joli cadeau. Je résiste à l’envie de la sortir et de l’admirer car le lieu est modérément adapté. Si elle est assortie, elle est bleue pâle…
Nous ressentons tous les deux un délicieux instant de flottement. Je peux remarquer que tes joues ont délicatement rosies sous l’effet d’une audace dont je te pensais incapable. A tort.
Tu sors de ton sac l’Officiel des spectacles et tout de go tu m’annonces que nous allons à la séance qui est dans 15 min au cinéma d’à côté. Je n’ai même pas le nom du film que tu te lèves, me prend la main et nous nous dirigeons vers le comptoir pour payer.
Une fois l’addition payée, tu te loves tout contre mon bras, posant ta tête sur mon épaule et nous allons tranquillement vers le cinéma. Arrivés à la caisse nous prenons 2 billets pour un film qui m’est totalement inconnu. Salle 12, hum… petite salle à l’autre bout du complexe…
Ouvrant la porte, nous ne pouvons constater qu’il n’y a que peu de monde à cette séance et à peine sommes-nous installés que la lumière se tamise pour laisser place aux bandes-annonces et publicités.
Tu te colles contre moi, ta tête posée sur mon épaule. Je sens ton souffle sur ma peau à travers ma chemisette. Tu as posé un bras sur mon torse et en fait, tout ce qui est autour de nous n’a que peu d’importance. Chacun de notre côté, nous profitons de l’instant, de l’autre, de ce que nos sens peuvent ressentir. Ton parfum, tes cheveux, ma peau, ton souffle… Ma main se pose sur ton genou…
L’obscurité se fait totale et le film commence. Je sens doucement ta cuisse se rapprocher de moi. Je me tourne vers toi pour déposer un bisou dans tes cheveux. Puis un deuxième, un troisième… Quand j’arrête pour « regarder » ce film, je te sens bouger et à ton tour me déposer de tendres baisers dans le cou. Ma main se réveille doucement sur ton genou et commence un jeu de caresses presque imperceptibles mais qui grâce à tes bas me parait tout à fait sensuel.
Je tente de tourner mon visage pour t’embrasser mais tu as semble-t-il envie de jouer et me laisse en plan. Par contre je sens toujours ta jambe se rapprocher et s’appuyer contre moi, s’écartant de ce fait. Je prends cela pour une invitation et ma main accentue ces caresses, puis très subtilement remonte le long jusqu’à arriver à la lisière de ton bas. Après avoir joué un peu avec l’attache, tâtant un peu le terrain si je puis dire, mes doigts commencent un doux et délicieux ballet sur ta peau si douce. Je te regarde et vois tes yeux fermés. Ta respiration devient saccadée. Je te sens attentive aux mouvements, aux caresses de mes doigts, surtout te sachant sans string. Tu bouges un peu de ton siège pour t’avancer et écarter un peu plus tes jambes. Ta tête est toujours sur mon épaule, les paupières closes, ta respiration qui semble toujours tenue à un fil invisible.
Mes lèvres se posent sur tes cheveux et y déposent un tendre baiser auquel tu réagis en te tournant vers moi pour me faire un de tes plus beaux sourires. Puis tu te réajustes contre moi. Je repousse un pli de ta robe pour faciliter la progression de ma main. L’idée du cinéma s’avère très sympathique et intéressante. Du dos de ma main je caresse la douce peau de tes cuisses et je !e sens frôler ton intimité, toute chaude et me paraissant humide.
Mes doigts, ma main continuent leur douce ballade sensuelle, sur tes bas, sur ta peau… tantôt de la cuisse droite, tantôt de la gauche… Je te sens émettre de petits bruits, de légers gémissements. Du bout de mon majeur je remonte jusqu’à atteindre enfin après ce petit jeu ton entrejambe et je caresse doucement ton pubis qui est très doux. Je descends un peu plus et je te sens retenir ta respiration.
Je sens ta main se poser sur mon entrejambe et commencer à me caresser pour apprécier ma rigidité qui s’accroit sous cette délicieuse initiative.
Quand ma main se dépose sur tes grandes lèvres, passe dessus pour en ressentir toute la douceur, et également l’humidité ainsi que la chaleur. Tu as une petite réaction brusque quand mon majeur se pose sur ta fente et découvre ton clitoris. J’appuie légèrement dessus en tournant imperceptiblement. Tes soupirs se font plus lourds. Je te sens remuer sur ton siège, tantôt pour me faciliter semble-t-il la tâche, tantôt pour te défiler un peu.
Ta main se fait plus appuyée sur mon entrejambe et je te sens remonter pour défaire mes boutons. Je t’aide au maximum et me voici le boxer à l’air. Ta main continue ses caresses et passe en dessous pour se poser sur ma verge et passer tes doigts fins dessus. C’est exquis.
Mes doigts caressent maintenant ton intimité entière, tes grandes et petites lèvres si humides, ton bouton d’amour si doux, et même entrent doucement en toi. Tu ahanes et gémis sous cette lente pénétration.
Ta main se retire alors de mon boxer, tu te retournes vers moi pour me chuchoter :
- « Attend un peu. Laisse-moi faire s’il te plait. »
Tu reposes doucement ma main. Tu poses ton visage dans mon cou.
- « Je suis sûre que tu vas adorer »
Dans la pénombre je te vois relever complètement ta robe, tes jambes magnifiques avec leurs bas m’apparaissent ainsi que ton très jolie minette que je vois bien luisante de ton excitation. Ta main débute des caresses très légères et doucement se pose sur ta petite chatte pour débuter une masturbation lente, très sensuelle, où je sens ton corps répondre et réagir à chaque contact. Telle que tu t’es installée j’entends parfaitement ton souffle. Je vois un, puis deux doigts doucement disparaître entre tes petites lèvres et doucement te pénétrer et entamer des mouvements concentriques puis quelques allers-retours. Enfin ils ressortent tout humides et ma main se pose alors sur la tienne pour la prendre et porter tes doigts à ma bouche. Je les suce et lèche doucement. Tu as un goût très délicat, très doux… Puis je te laisse de nouveau agir et tu reprends ton œuvre de manière un peu plus énergique. Tu vibres tout contre moi, tes halètements se font plus rapides, plus intenses. Ton corps se tend, s’agite à mesure que monte en toi ton plaisir, ta jouissance. Au tout début de ta jouissance, tu plonges ton visage contre moi pour étouffer ton cri… tu me mords même légèrement, ce qui n’est pas pour me déplaire. Ton corps tout entier se relâche après ce plaisir que tu as su me faire partager.
Je me penche vers toi pour déposer un doux baiser au coin de tes lèvres, puis je descends de mon fauteuil pour me positionner entre tes jambes, un petit baiser sur tes lèvres, un petit coup de langue aussi qui te fait sursauter.
Je me réinstalle ensuite à mon siège et nous reprenons notre position initiale : toi lovée tout contre moi et nous essayons de reprendre le cours du film dont pour ma part je n’ai pas du voir 3 plans d’affilée. Nous pouffons tous les deux de rire, nous reprenons nos affaires et sortons discrètement de la salle, tout heureux.
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