Fantasmes noirs. Deuxième partie : Kamla, black d’Algérie

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Fantasmes noirs.  Deuxième  partie : Kamla, black d’Algérie Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fantasmes noirs. Deuxième partie : Kamla, black d’Algérie
Fantasmes noirs

Deuxième partie : Kamla, black d’Algérie

Environ vingt années plus tard, à quarante cinq ans, toujours célibataire, j’habitais seul un ancien logement de fonction - devenu depuis ma propriété - à une trentaine de kilomètres à l’est d’Alger. J’étais directeur dans un organisme public de formation au management et chaque jour je devais faire le trajet sur la capitale, pour rejoindre le bureau. Le bâtiment de cinq étages dans lequel se trouvait mon appartement, comprenait douze logements, tous occupés, à l’exception d’un seul, se trouvant au rez-de-chaussée, qui avait été vendu par son propriétaire, parti habiter la grande villa qu’il avait fait construire.
Un matin, en sortant pour rejoindre mon véhicule, je trouvais sur le seuil du bâtiment, s’apprêtant elle aussi à aller quelque part, une splendide jeune femme, que pour le moment je ne voyais que de dos, dont la silhouette dessinée par la lumière extérieure, avait quelque chose de vraiment exceptionnel : une grande taille, mince, épaules larges, taille de guêpe, hanches étroites, fessier rond et haut perché, et de longues jambes fines, avec tout de même une légère et très coquine culotte de cheval. Elle avait aussi une chevelure noir corbeau, très fournie, qui arrivait au ras de ses épaules et dont les cheveux raides et lisses avaient, d’évidence, fait l’objet de traitements continus de défrisage.
La créature qui était là devant moi était une black, une jeune black. Je voyais cela à ses bras nus sous un chemisier de coton blanc, demi manches. Elle avait une peau couleur chocolat, tirant vers le marron foncé. Une couleur très chaude, comme celles des métis des îles caraïbes ou du Brésil. Je pense qu’elle avait dû sentir le poids insistant de mon regard sur elle; elle se retourna pour voir de quoi il en retournait. Elle me vit, me lança un superbe sourire, qui dévoila deux rangées de petites dents blanches et brillantes ; des dents de jeune femme gourmande, aimant croquer la vie, me dis-je.
- Bonjour monsieur !
- Bonjour mademoiselle !
Et cela s’arrêta là ! J’en profitai tout de même pour observer et admirer la beauté de cette superbe plante. Tout ce que qu’annonçait la vision de dos était confirmé par la vue de face : une vraie merveille ! Une black – une métisse appris-je plus tard, après avoir découvert sa famille : un père, noir originaire du Sahara, une mère blanche des Aurès - d’environ vingt et un ans (peut-être vingt deux), grande et élancée, avec des traits fins, des épaules larges et rondes, une poitrine juvénile, avec de coquins petits seins pointant sous son chemisier ; une taille fine mettant en valeur son ventre plat et des hanches étroites et rondes; et des jambes interminables, sous un jean délavé et moulant. Elle avait certainement dû remarquer mon regard scrutateur et concupiscent, mais elle n’en montra rien. Elle était certainement habituée à ce genre de regards de mâles en chaleur et n’en tenait plus compte.
Je partis donc en la laissant à la même place ; elle devait certainement attendre quelqu’un. Le lendemain matin, j’eus droit au même spectacle : elle était encore là, en haut de la volée d’escalier à l’entrée du bâtiment. Elle était habillée de la même manière (à l’exception du chemisier, remplacé par un tee-shirt noir très moulant) et la lumière extérieure dessinait les contours de sa magnifique silhouette. Je m’arrêtai pour admirer la beauté du spectacle, en espérant qu’elle ne s’en rendrait pas compte. Je ne voulais pas que, dès le départ, elle me juge mal; qu’elle me prenne pour une espèce de désaxé sexuel, bavant devant une belle fille.
Comme la veille, un sixième sens lui fit sentir ma présence elle se retourna, m’envoya encore son merveilleux sourire et me dit :
- Bonjour, monsieur !
- Bonjour mademoiselle !
Et ce fut encore tout ! Le manège dura environ une semaine. Et puis un jour, après m’avoir souhaité le bonjour, elle n’attendit pas que je lui réponde pour continuer :
- Je peux vous demander un service ?
- Bien entendu ! répondis-je tout heureux d’avoir enfin une conversation plus poussée avec elle.
- Les trains sont en grève illimitée; je ne sais pas comment me rendre à la fac à Bab-Ezzouar. Vous pouvez me déposer ?
- Bien sûr ! répondis-je en me retenant de montrer ma grande satisfaction. C’est sur mon chemin ! (Ce qui n’était pas très vrai, car cela me faisait faire un long détour).
Elle monta donc avec moi dans la voiture et pendant un moment, ni elle ni moi, ne parlâmes. A mon grand étonnement, j’étais un peu intimidé; je me demandais de quoi nous pouvions bien parler. Ce fut elle qui prit la parole pour me dire qu’elle s’appelait Kamla (un prénom plutôt rare, qui signifiait « qui a toutes les qualités » ou « A qui rien ne manque »), que son père venait d’être nommé directeur d’un Institut chargé de la Protection de la Propriété Industrielle et que sa famille venait d’aménager dans l’appartement du rez-de-chaussée, qu’elle venait d’acheter. Elle était étudiante en troisième année de Génie Chimique et elle comptait décrocher son diplôme d’ingénieur dans un peu plus de deux ans. Elle avait une grande sœur qui venait de se marier et un tout petit frère qui concentrait l’essentiel de l’attention de ses parents. Elle se sentait un peu seule et n’avait aucune distraction en dehors de ses études.
- Je n’ai pas d’amies (seulement une camarade étudiante qui habite la cité à côté) et encore moins d’amis. Je m’ennuie beaucoup !
Nous continuâmes de parler (en réalité ce fut surtout elle qui parlait) de choses et d’autres. J’avais remarqué que pendant tout le trajet elle n’arrêtait pas de m’observer; chaque fois que je détournais mon regard de la route pour la regarder, je rencontrai ses immenses yeux noirs fixés sur moi. J’en étais presque gêné, mais ne disais rien. Au moment où nous arrivâmes et que je m’arrêtai en face du grand portail de l’université, elle descendit et en me regardant bien en face, elle me dit :
- Tu es beau ! J’ai envie de te croquer !
Et sans attendre ma réponse (de toutes les façons, je n’aurais pas su quoi lui répondre), elle s’en alla en dandinant du cul, comme pour me narguer. Je ne redémarrais qu’après qu’elle eut complètement disparue de ma vue. Elle se retourna trois fois et à chaque fois, elle m’envoya son magnifique sourire. Je lui avais proposé auparavant de repasser la prendre, le soir, quand elle sortirait. Elle me répondit que cela lui ferait vraiment plaisir et lui éviterait de prendre le transport des étudiants.
Je passais la journée à penser à elle et à me poser un tas de question sur les sentiments qui me submergeaient. D’un côté je la trouvais super belle et sensuelle; d’un autre, elle me paraissait trop jeune et que certainement elle attendait un prince charmant de son âge, avec lequel elle fera sa vie. Et ce prince charmant ne pouvait pas être moi, qui avais plus du double de son âge, et qui était un célibataire endurci. Mais d’un autre côté, elle m’attirait vraiment, tellement elle était belle et bandante. En pensant à elle, je sentais mon cœur battre plus vite et plus fort et une chaleur douce irradier dans tout mon corps. J’avais envie de la prendre dans mes bras et de lui faire sentir toute l’envie que j’avais d’elle.
En la reprenant le soir, après ses cours, mais bien avant mon heure habituelle de sortie (je lui avais menti sur mes horaires de travail, pour qu’elle accepte que je repasse la prendre à la sortie des cours), je me sentais joyeux comme un pinson. Elle dût le remarquer parce qu’au lieu de me saluer ou de tendre sa main pour une poignée amicale, elle déposa un baiser sonore sur ma joue droite. J’en fus vraiment ému.
- Je t’ai manquée ? dit-elle d’un air effronté et moqueur.
- Plus que tu ne peux le croire ! Je n’ai pas arrêté de penser à toi ! Tu es tellement belle ! Et tu parais tellement sensuelle !
J’avais débité ma tirade à toute vitesse, presque sans réfléchir, craignant sans doute de laisser passer l’occasion de lui dire ce que je pensais d’elle en réfléchissant trop.
- Je te plais ? Tu as envie de me croquer, comme moi j’ai envie de te croquer ?
- Oui ! Mais tu es trop jeune pour moi ! Je ne peux pas avoir de visées de ce genre sur toi !
- Tu veux dire que je suis trop jeune pour devenir ta maîtresse ! Tu as vu les formes que j’ai ! Ce sont des formes de femme, pas de jeune fille ! Regarde ma poitrine, c’est vrai que mes seins ne sont pas immenses, mais ils sont fermes et doux ! Ils ne demandent qu’à être caressés par les mains d’un homme mûr et beau comme toi ! Dis-moi seulement que tu me veux ! Le reste n’est pas ton affaire ! Je suis majeure et je fais de mon corps ce que je veux !
Quel bonheur d’entendre cela de la bouche de cette jeune femme, si belle et si tentatrice ! Je me gardais bien d’insister sur son âge, sur le mien et sur tout ce qui pouvait m’interdire de la prendre dans mes bras et de lui faire vivre de merveilleux moments d’amour. Et de vivre moi-même ces mêmes moments. Je ne voulais pas lutter contre mon envie d’en faire mon amante; je la voulais; c’était tout ce qui comptait. Les seules questions que je me posais étaient d’ordre pratique: comment faire en sorte qu’elle vienne chez moi, cette nuit (ou une autre nuit) sans attirer l’attention de ses parents et sans que personne n’en sache rien. Je le lui dis. Elle se mit à rire en m’expliquant qu’il n’y avait rien de plus facile. Ses parents ne s’occupaient absolument pas de ce qu’elle pouvait bien faire: d’un côté, ils avaient confiance en elle et d’un autre, seul comptait pour eux le petit frère qui avait monopolisé la totalité de leur attention (et de leur amour, ajouta-t-elle !)
- Je peux venir cette nuit en prétextant des révisions avec une camarade de classe qui habite dans une cité à côté. Je t’assure qu’ils ne se poseront aucune question, tant ils ont l’air de se ficher totalement de ce qu’il peut advenir de moi. D’ailleurs ma grande sœur avait fait les quatre cents coups avant de se marier, sans que, ni mon père, ni ma mère ne s’émeuvent. Quand elle s’était mariée, cela faisait belle lurette qu’elle n’était plus vierge et qu’elle naviguait entre plusieurs amants. Tu vois donc que du côté de mes parents, tant que je ne fais pas trop de vagues, ils me laisseront totalement libre de mes faits et gestes. Alors dis-moi seulement oui, et je serais totalement à toi !
- Oui ! Mille fois oui !
Elle vint me rejoindre chez moi vers dix neuf heures en me disant qu’elle avait bien fait attention de ne pas se faire voir par les voisins (elle craignait plus la curiosité malsaine des voisins, que celle de ses parents). Elle était habillée avec les mêmes habits qu’elle portait la journée. Mais elle avait avec elle un petit sac qui, m’avoua-t-elle, contenait son pyjama pour passer la nuit avec moi. Je tendis les bras pour qu’elle vienne se blottir contre moi. C’était la première fois que la prenais dans mes bras: elle sentait bon. Elle s’était légèrement parfumée et le parfum qu’elle avait mis était certainement un parfum de qualité, léger et entêtant.
- Tu sens bon ! lui dis-je.
- Je me suis parfumée pour toi ! Comment me trouves-tu ? Dis-moi que je suis belle ! Je veux t’entendre me répéter que je te plais ! Que tu aimes tout en moi ! Même ma couleur !
J’étais estomaqué par cette dernière phrase. J’étais à mille lieues de m’attendre qu’elle faisait un complexe, parce qu’elle était noire. Alors que toute sa beauté était assise sur la couleur de sa peau ! Une couleur chocolat qui lui donnait un charme incomparable ! Il est vrai aussi qu’elle avait les traits relativement fins, qui la faisaient ressembler aux belles métisses brésiliennes : mise à part, sa grande bouche lippue, tous les traits de son visage étaient fins. Elle avait d’immenses yeux noirs qui brillaient comme des braises et un petit menton arrondi et ferme. Le tout, avec son corps de déesse, était d’une beauté ardente. Je fis celui qui ne comprenait pas.
- Pendant toute mon enfance et mon adolescence j’ai entendu les filles et les garçons me traiter méchamment de « Kahloucha » (négresse) parce que j’étais différente d’eux. Cela m’a beaucoup marqué et a créé en moi un grand complexe.
- Tu as vraiment tort ! Tu es magnifique ! Et si tu es magnifique c’est surtout parce que tu as une couleur de peau magnifique ! Ne laisse personne te dire le contraire !
Elle se serra encore plus fort dans mes bras et colla tout son corps contre le mien. Je pris sa tête entre mes mains, la regardai un long moment droit dans les yeux et l’attirai contre mon visage pour l’embrasser. Je voulais lui donner un baiser doux et tendre pour lui communiquer mes sentiments et la rassurer. Mais Kamla ne l’entendait pas de cette oreille: elle voulait un vrai baiser d’amant passionné et plein de désir. Elle me le fit savoir en collant ses lèvres contre les miennes, en écartant ses dents et en envoyant sa langue à l’assaut de ma bouche. A partir de là, tout dérapa : je lui rendis son baiser torride en faisant jouer à nos langues le jeu du chat et de la souris et en mélangeant nos salives.
Elle savait s’y prendre pour embrasser et transmettre tout le désir qui était en elle. Je la soupçonnais d’avoir beaucoup pratiqué les baisers torrides ; mais je n’avais pas à m’en plaindre. Au contraire, elle y mettait tant d’ardeur, que tout mon corps se mit à frémir de désir. Je sentais une chaleur douce irradier dans tout mon bas ventre et mon sexe s’émouvoir; il grandissait à toute vitesse et commençait même à me faire un peu mal. Il se sentait à l’étroit à l’intérieur du pantalon et du slip qui l’emprisonnaient. Tout en lui rendant son baiser, je collais mon bas ventre contre le sien pour lui faire sentir mon excitation. Elle arrêta un moment son baiser, comme si elle était étonnée de la sensation que lui procurait mon sexe qui frottait contre son ventre. Car même s’il était comprimé par le pantalon et le slip, il faisait une énorme bosse sur le devant.
La sensation lui plaisait et me le faisait savoir en accentuant le mouvement des ses hanches et le frottement de son ventre contre moi. Elle reprit le baiser à l’endroit où elle l’avait arrêté et multiplia les entrée et sorties de sa langue dans ma bouche. Nous n’arrêtâmes qu’au moment où tous les deux nous nous trouvâmes au bord de l’asphyxie. Elle éloigna sa tête de la mienne pour me regarder et me lancer un sourire triomphal :
- J’embrasse bien ! n’est-ce pas ?
- Comme une experte ! Tu as dû en embrasser des garçons ! Et les exciter !
- Non tu es le premier que j’embrasse ou qui m’embrasse comme cela ! J’ai bien eu quelques flirts, mais rien de comparable à ce baiser ! C’étaient des petits baisers et des attouchements de rien du tout ! Je t’ai bluffé, n’est-ce pas ?
- Oui ! Viens allons dans la chambre !
- Oui vas-y, je te rejoins tout de suite. Je vais me changer dans la salle de bain et j’arrive.
Je l’ai laissée aller dans la salle de bain avec le petit sachet qu’elle avait amené avec elle. J’en profitais pour aller dans la chambre faire un peu de rangement. J’ai toujours été quelqu’un de désordonné. Je faisais rarement mon lit et ne savais pas m’occuper du ménage. Je confiais ces tâches à une femme de ménage, qui passait deux fois par semaine. Ce jour là elle n’était pas passée et la chambre était en désordre. J’essayais tant bien que mal d’y mettre un peu d’ordre. Quand Kamla revint, elle me trouva entrain d’essayer de remettre en place le couvre-lit. En la voyant, j’abandonnai ce que j’étais entrain de faire pour regarder et admirer le spectacle qui se présentait à moi. En guise de pyjama, qu’elle disait avoir apporté avec elle, il s’agissait d’une nuisette rouge super coquine, qui s’arrêtait à une dizaine de centimètres de ses magnifiques genoux ronds et brillants. En dessous elle ne portait qu’une petite culotte blanche, dont les contours se devinaient sous le tissu de soie. Ses petits seins, hauts perchés, pointaient vers moi tels des petits obus menaçants.
- Ouah ! fis-je en la regardant avec des yeux exorbités. Tu es superbe ! Viens vite me montrer ce qui se cache dessous.
Elle vint vers moi en dandinant comme pour me provoquer. Elle se jeta littéralement dans mes bras et me bouscula pour me faire tomber sur le lit. Je m’écroulais sous sa poussée, en l’entraînant avec moi. Elle s’allongea sur moi et me remplit de baisers : sur les joues, les yeux, le nez et le cou. Je la retournai pour la mettre sous moi. Je voulais la voir, la caresser; je voulais m’assurer qu’elle était bien réelle et que je ne fantasmais pas. Elle sentit que le moment était exceptionnel et elle arrêta de minauder et me regarda avec des yeux voilés – d’amour ou de désir, j’étais incapable de le dire – et me laissa la regarder longuement.
Je tendis la main droite pour lui caresser longuement les épaules et la poitrine sous le léger tissu de la nuisette. Ses petits seins étaient fermes et très excitables. Dès que je les touchai, je sentis le tout le corps de Kamla se tendre et elle poussa un tout petit gémissement de plaisir. Je compris tout de suite qu’elle aimait les caresses; je lui en donnai à satiété. Je me mis à lui palper avec douceur les deux seins en même temps et la regardai qui souriait aux anges. Elle posa ses deux mains sur les miennes pour leur imposer les caresses qui lui faisaient le plus d’effet. Le spectacle de ses mains sur les miennes et le mouvement que nous faisions ensemble, sur sa poitrine et ses seins, étaient d’un érotisme torride.
Nous regardions émerveillés nos mains et nos doigts s’entremêler et jouer sur la poitrine et les petits seins de ma belle. Elle se laissait aller au plaisir des caresses sans se retenir : elle aimait la sensation de ma main d’homme sur ses seins et aussi celle qu’elle éprouvait en les accompagnant dans leurs caresses et leurs palpations. Elle souriait aux anges en regardant tours à tour nos mains puis en levant les yeux pour me regarder droit dans les yeux.
- Je t’aime ! dit-elle. Tète-moi !
Et ce fut le départ d’un véritable feu d’artifice, qu’aujourd’hui encore je garde vivace dans ma mémoire. Kamla était Vénus faite femme ! Une Vénus noire ! Elle aimait l’amour et me le faisait savoir ! Je lui fis enlever sa nuisette, qu’elle fit passer par-dessus sa tête et qu’elle jeta au loin. Elle resta avec sa seule petite culotte offrant à mes yeux émerveillés le spectacle de son corps chocolat. Ses jolis petits seins pointaient fièrement vers le plafond. Ils avaient la même couleur chocolat que le reste du corps, avec des tétons noirs ébène à l’intérieur de deux larges auréoles marron foncé. Ils étaient si beaux, si fermes et si excitables ! Je me mis à embrasser légèrement d’abord, intensément ensuite, ses seins à tour de rôle. Puis j’introduisis le téton de son sein droit entre mes lèvres et me mit à le titiller avec le bout de ma langue. Kamla eut un petit rire, comme si je la chatouillais. Elle attrapa ma nuque et appuya sur elle doucement, pour m’indiquer son souhait de poursuivre l’opération; elle ne parlait pas. Elle se contentait de gémir et de saliver. Parfois ses gémissements se transformaient en sifflements, au moment où elle tentait de réintroduire sa salive à l’intérieur de sa bouche.
J’adorais la fermeté et la douceur de son téton sous mes lèvres. De temps en temps, elle me forçait à changer d’endroit et à aller m’occuper de l’autre sein. Pour ce faire, elle ne disait rien; elle se contentait de tirer sur mes cheveux et d’amener ma tête là où elle voulait qu’elle soit. Je ne me mis à la téter réellement qu’au bout d’un long moment. Je le fis avec l’agressivité d’un bébé affamé; je crois même lui avoir fait mal, non pas en la mordant accidentellement, mais en suçant trop fortement. Je l’entendis pousser un petit cri de douleur et dire :
- Doucement ! je suis très sensible des tétons.
Penaud, je relevai la tête et lui lançai un regard désolé, auquel elle répondit par son merveilleux sourire. Elle m’invitait, en silence, à continuer à téter un sein puis l’autre. Pour me montrer qu’elle aimait elle s’était mise à me caresser tendrement la nuque. C’était le paradis ! J’avais de plus en plus envie de ma belle. Je me dis qu’il était maintenant temps d’aller au-delà du flirt. Ma main droite alla caresser son ventre et descendit très lentement vers son bas ventre et sa culotte. Ma manière d’y aller par étapes, avec des allers-retours entre son ventre et son bas ventre, la mit dans une situation d’attente intenable.
Je la sentais qui attendait impatiemment le moment où ma main allait rencontrer son pubis, puis sa chatte, à travers la culotte. Chaque fois que ma main s’approchait de l’endroit fatal, elle relevait très haut ses hanches pour hâter la rencontre. Elle les rabaissait, un peu déçue, quand ma main repartait en sens inverse. Je sentais que ses nerfs étaient à bout. Je me décidais de plonger ma main directement sous le tissu de la culotte pour prendre possession de son mont de vénus, doux comme de la soie, bombé et ferme. Je ne décelai aucune trace de poils : elle venait de s’épiler !
- Dis-moi que c’est pour moi que tu t’es épilée ! Rien que pour moi !
- Rien que pour toi ! Descends plus bas ! Caresse-moi la chatte ! Elle a envie ! Elle a besoin ! Tu as vu combien je mouille ?
Et effectivement, les grandes lèvres que je sentais sous mes doigts étaient humides. En introduisant l’index et le majeur entre elles, pour les écarter, je me rendis compte qu’il ne s’agissait pas seulement d’humidité: ma belle était entrain de couler ! Elle était excitée au plus haut point ! Quel bonheur ! N’y tenant plus, je me mis à lui enlever la culotte, en m’y prenant de manière très maladroite. Je rabaissai un côté et essayait de tirer dessus pour que toute la culotte descendît. Je me rendis compte que si je continuais comme cela, je ne ferais que la déchirer. Ça aurait été une honte pour moi : incapable d’enlever la petite culotte de ma mie, sans la déchirer ! Elle vint rapidement à mon secours, en redressant ses hanches, en glissant deux doigts sous l’élastique et avec un déhanchement coquin, elle enleva le bout de tissu, qu’elle envoya rejoindre la nuisette à l’autre bout de la chambre.
Elle resta ainsi complètement nue et offerte à ma concupiscence et à ma cupidité. Le jardin d’éden de Kamla était à l’image du reste: d’une beauté à couper le souffle ! Le pubis, couleur chocolat, était brillant, bombé et ferme. Les grandes lèvres qui ressemblaient à s’y méprendre à ses lèvres buccales, étaient longues, dodues et presque noires. Le tout appelait les caresses et les baisers ardents. Je répondis à l’appel en promenant une main légère sur le pubis, puis sur les grandes lèvres, avant d’introduire délicatement deux doigts pour découvrir les petites lèvres presque roses, brillantes de mouille et palpitantes. Quand je les touchai, mon amante arrêta sa respiration et releva les hanches: elle voulait que je la caresse plus fortement. Ce que je ne voulais pas pour le moment. Je ne voulais prendre le risque de la dépuceler accidentellement.
Ce que voulais pour le moment, c’était lui bouffer la chatte; la lécher et la sucer; humer son parfum. Je voulais la faire jouir une première fais avec la bouche. Et de fait je me mis entre ses cuisses, qu’elle avait ouvertes très largement, et plongeai la tête et la bouche sur sa chatte. L’odeur de son parfum se mélangeait à son odeur naturelle, pour donner une senteur lourde et aphrodisiaque. Une senteur qui accentua mon érection, déjà au summum de son développement. J’embrassais, léchais, suçais et faisais faire à ma tête des allers-retours de plus en plus rapides et vigoureux sur sa chatte. J’essayais d’attraper son clitoris avec mes lèvres et même avec mes dents, pour le mordiller un peu, manière de lui dire que j’avais envie de la bouffer ! Je la sentais qui relevait ses hanches et qui me prenait la tête pour essayer de l’enfoncer plus encore dans sa chatte. Ma langue essaya de pénétrer à l’intérieur de son vagin trop étroit. Un vagin qui n’avait encore jamais servi !
Kamla n’arrivait plus à retenir son plaisir; elle gigotait de tout son corps. Ses hanches montaient et descendaient au rythme des allers-retours de ma bouche sur sa chatte. Parfois, elle les faisait tourner pour accroître la sensation de pénétration. Même son tronc n’arrêtait pas de gigoter, faisant bouger ses petits seins, qu’elle attrapait entre ses mains, pour les caresser et les palper. Elle poussait des petits cris de plaisir que j’entendais à peine, tant elle serrait ses cuisses sur ma tête, pour l’empêcher de quitter les lieux. Et puis, l’orgasme arriva de manière soudaine et inattendue pour moi : elle cria très fort (presque un hurlement de chatte en chaleur !) et déchargea des litres de cyprine dans ma bouche et à l’extérieur et s’affaissa fourbue dans le creux du lit. Je bus goulûment tout ce que je pouvais ramasser avec la langue et les lèvres.
Quand enfin, elle relâcha ma tête, prisonnière de ses cuisses et de ses mains, et que je pus me relever pour voir l’effet de mon cunnilingus sur ma belle, j’eus l’immense bonheur de la trouver les yeux fermés et un sourire de béatitude sur les lèvres. J’étais sûr que sa jouissance avait été très forte. Je sortis d’entre ses cuisses et allai lui donner un baiser très doux sur les lèvres. Elle ouvrit les yeux me regarda tendrement et me rendit le baiser de manière toute aussi douce.
- Je t’aime ! Tu viens de me donner beaucoup de bonheur ! Jamais je n’ai joui comme cela ! J’ai eu des jouissances en me caressant, mais je n’ai jamais atteint cette intensité !
- Ce n’est qu’un début ! Tu jouiras encore plus fortement avec mon engin !
- Montre le moi ! Déshabille-toi ! Je veux te voir aussi nu que moi ! Tu veux que je te déshabille ? J’ai toujours rêvé déshabiller un homme qui bande pour moi !
Et sans même attendre ma réponse, elle se leva se mit à genoux sur le lit et commença par dégrafer les boutons de ma chemise. Elle sortit les pans inférieurs du pantalon en tirant dessus et écarta le tout, pour dénuder ma poitrine velue. Elle s’arrêta un moment pour regarder et admirer le spectacle.
- Tu es beau et viril, dit-elle en me caressant très légèrement la poitrine et y déposant un très léger baiser. Lève-toi pour que j’enlève ton pantalon ! Je suis pressée de voir le monstre qui fait une telle bosse !
Je me mis debout sur le lit. Elle dégrafa la ceinture, ouvrit le bouton, descendit le zip et introduisit ses doigts à l’intérieur pour descendre en même temps et le pantalon et le slip sur mes mollets. Du coup, elle découvrit mon manche qui se retrouva à l’air libre et qui se mit à darder vers le plafond en frémissant.
- C’est un monstre ! Tu es sûr que tu ne vas pas me tuer avec un tel engin ?
- Tu verras comme tu l’aimeras, une fois que tu y auras goûté ! Je vais te donner un avant goût de sa force et en même temps de sa douceur : je vais te caresser la chatte avec, sans encore te pénétrer et te dépuceler.
- Tu vas me faire le pinceau ?
- Oui ! Je suis content que tu connaisses ! Tu l’as déjà pratiqué ?
- Je t’ai déjà dis que je n’ai jamais eu d’amant ! Même pour les plaisirs superficiels ! J’en ai simplement discutée avec ma grande sœur qui avait commencé ses aventures amoureuses comme cela; en se faisant caresser par les sexes de ses amants, sans pénétration.
Je ne voulais plus attendre. Je lui fis écarter et plier ses jambes sous ses fesses et me mis entre elles, le sexe dans la main droite. De la main gauche, j’écartai les grandes lèvres et vins poser le gland sur la raie. Je me mis à lui faire faire des allers-retours le long de la raie, en tentant de temps en temps des petites pénétrations sur ses petites lèvres et l’entrée de son vagin. J’allais ainsi à la rencontre de son clitoris pour le titiller avec mon engin. Chaque fois que le gland pénétrait entre ses petites lèvres et qu’il touchait son clitos, elle poussait un petit cri de plaisir en essayait de remonter ses hanche pour le faire pénétrer plus au fond. Je la retenais chaque fois, pour que son dépucelage ne soit pas accidentel.
- Doucement ? ma chérie, je ne veux pas te dépuceler comme cela par accident. Je veux seulement te donner du bonheur en te caressant la chatte avec mon sexe. Laisse-toi faire ! Et surtout ne gigote pas trop !
- Je ne peux pas me retenir ! C’est plus fort que moi ! C’est trop bon !
C’était donc à moi de faire attention. Kamla, de toute évidence ne savait pas résister au plaisir et à l’envie de précipiter l’orgasme. Elle avait envie de jouir; de jouir très fort; alors elle cherchait à accompagner les caresses de mon pénis sur sa chatte, par des coups de hanches et de reins qui multipliaient l’intensité de son plaisir. Par deux fois, l’accident fatal faillit arriver. Le gland pénétra assez profondément pour aller cogner sur l’hymen de Kamla. Elle sentit une petite douleur, comme celle d’un tympan qu’on titille avec une allumette, et arrêta immédiatement ses coups de reins intempestifs; pour les reprendre immédiatement après. J’avais autant de mal à tempérer le caractère explosif de ma mie, qu’à retenir l’éjaculation qui menaçait d’arriver à n’importe que moment. Je fis des efforts surhumains pour arriver à la faire jouir, sans me laisser aller au dépucelage et à l’éjaculation accidentels.
Quand la jouissance de ma mie arriva, aussi forte qu’un torrent en furie, j’eus encore plus de mal à tout canaliser. Elle hurlait qu’elle était entrain de jouir, tout en relevant très haut ses hanches et tirant très fort sur ma taille pour que je la pénètre. Je résistai à la force qui m’entraînait inexorablement vers le fond du vagin, tout en continuant les allers-retours du gland sur la raie et les petites lèvres. Elle déchargea longuement en maintenant son bassin très haut et en salivant comme une fontaine. Elle relâcha enfin tous ses muscles pour se laisser tomber au creux du lit. Elle mit longtemps à recouvrer ses esprits. Je m’allongeai à ses côtés et attendis impatiemment qu’elle rouvre les yeux et qu’elle me regarde. J’étais avide de voir ses yeux remplis de plaisir et de bonheur. Mon ego de mâle voulait lui aussi être titillé : je voulais lire dans ses yeux non seulement du bonheur, mais encore de la reconnaissance. Et ce que je vis me rendit vraiment heureux : un sourire béat, des yeux brillants de bonheur et une petite voix fatiguée qui me remerciait :
- Merci de ce que tu viens de me donner ! Merci ! Merci !
Je l’embrassai tendrement, en m’allongeant sur elle, sans trop peser ; uniquement pour lui faire sentir la chaleur de mon corps et la force de mon sexe, qui avait faim d’elle. Il n’arrêtait pas de palpiter de désir. Il voulait sa part ; et cette part c’était l’intérieur de la chatte de ma mie ; l’éclatement de son hymen; l’écoulement de son sang de vierge. Je laissai passer un peu de temps, pour qu’elle reprenne complètement ses esprits et lui dit :
- C’est maintenant que tu vas connaître le maximum de plaisir; que tu vas atteindre le septième ciel. Je vais te pénétrer et déchirer ta membrane.
- Tu vas me faire mal ?
- Oui un peu ! Mais tu verras, cela passera très vite et le plaisir va vite l’emporter sur la douleur ! Dis-moi que tu m’aimes et que tu veux devenir une vraie femme avec moi !
- Oui ! Je veux devenir une vraie femme ! Je veux devenir ta femme ! Ta maîtresse !
Je lui pris la main pour y déposer un baiser et lui faire sentir que je l’aimais et que j’avais beaucoup de tendresse pour elle. Je voulais qu’elle comprenne que j’avais envie de la posséder, mais pas seulement. Que je voulais lui donner aussi du bonheur. Elle me regardait avec des yeux brillants d’amour et de confiance. Elle me souriait tendrement; mais je sentais qu’elle avait peur de l’instant où je la déflorerai. Elle avait cette peur ancestrale des filles pour leur nuit de noces. Elle essayait de le cacher sous son sourire, mais je sentais sous mes caresses, son cœur battre très vite. Pour la rassurer je l’embrassais partout sur sa figure; des tous petits baisers plein de tendresse. Je lui susurrai à l’oreille des mots doux et réconfortants. Je lui disais qu’elle avait été formidable et qu’elle le sera encore plus quand je serai en elle. Elle me rendait mes baisers, mais ne disait rien.
Je me mis entre ses jambes que je lui fis écarter en douceur. Je lui demandai de s’ouvrir plus pour me laisser me placer entre ses cuisses. Je lui fis lever et plier les jambes. Elle fit tout ce que je lui demandais comme une automate. Je pris mon sexe, tendu et dur comme de la pierre, et posai le bout du gland sur ses grandes lèvres, qu’il écarta doucement en se promenant entre elles. Je ne voulais pas brusquer les choses; je voulais y aller progressivement pour calmer son angoisse. Je donnai une légère poussée avec mes hanches; juste de quoi faire pénétrer le gland et la partie supérieure de la hampe. Je la sentis se crisper, s’attendant à ce que j’y aille franchement et que je défonce la fine membrane.
Au lieu de cela, je revins en arrière et me remis à la caresser avec mon membre. Je refis une tentative de pénétration en douceur. Cette fois-ci, j’allai volontairement jusqu’à toucher l’hymen, mais sans trop appuyer dessus. Je voulais juste qu’elle sente le danger proche. Encore une fois je la sentis se crisper. Je revins en arrière pour la rassurer. Je m’y pris ainsi cinq ou six fois. Et ce ne fut qu’au moment où je la sentis vraiment détendue, parce que rassurée que je ne la déchirerai pas cette fois-ci encore, que je donnai une brusque poussée qui fit éclater l’hymen. Elle cria très fort et enfonça ses ongles dans mon dos. Je restai un long moment au fond de son vagin, doux, étroit, chaud et visqueux; le temps que la douleur s’apaisât. Je l’embrassais tout en lui parlant doucement; je lui disais que le mauvais moment était maintenant passé et qu’elle ne ressentira plus que du plaisir.
Tout en lui parlant et en l’embrassant, je fis faire à mon bassin des petits mouvements de va-et-vient qui se passaient presque totalement au fond de son vagin. Je regardais de temps en temps mon sexe qui sortait partiellement du vagin de ma partenaire et qui était devenu rouge du sang de la vierge. L’atavisme ancestral revint en moi et accrut mon excitation; la vue du sang qui coulait doucement de la chatte de ma mie, me fit bander encore plus et augmentait mon désir. Intérieurement, j’étais fier de moi ! (Allez savoir pourquoi !) Je voyais maintenant qu’elle était rassurée. La douleur était moins intense et les petits allers-retours de mon sexe en elle avaient réveillé son désir. Elle commençait à sentir le plaisir que lui procurait le monstre qui était en elle et qui la possédait avec douceur.
Elle s’accrochait à ma taille et accompagnait mes va-et-vient en tirant sur ses bras. Je commençais à augmenter l’amplitude des allers-retours, mais sans forcer. Je voulais habituer le vagin de Kamla à la force de mon engin. Je voulais qu’elle soit tellement excitée, qu’elle finirait par exiger d’y aller plus franchement et plus vite. Je regardais son visage qui s’éclairait de plus en plus, au fur et à mesure que mes coups de boutoir devenaient plus francs et plus rapides. Elle avait encore mal, mais maintenant, le plaisir prenait le dessus.
- Oui ! Comme-ça ! Continue ! Plus vite ! Aie ! Plus fort ! Plus fort ! Plus vite ! Je sens que je vais jouir très fort ! Oui jouiiiir ! Forrrrt !
Kamla était maintenant toute à son plaisir. Elle avait quitté son corps pour entrer dans le monde merveilleux de l’orgasme qu’elle venait de découvrir. Elle gigotait comme une folle; tout en elle bougeait pour accroître l’intensité des sensations qu’elle ressentait: ses hanches qui montaient et descendaient au rythme de mes coups de boutoirs de plus en plus forts et de plus en plus rapides; ses épaules et sa poitrine qui s’agitaient pour participer au plaisir ; sa tête qui partait dans tous les sens; sa bouche qui dégoulinait de salive; et ses mains qui avaient pris possession de ses deux seins et qui les palpaient en même temps que je la tirais. Ce fut pour moi un spectacle merveilleux. Je la voyais qui montait, montait, monter, … vers le septième ciel,qu’elle appelait de ses vœux.
- Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouiiiir !
Et effectivement elle jouit de toutes ses forces, en hurlant de plaisir. Inconsciemment, elle voulait montrer au monde entier toute l’étendue de sa jouissance et la force de l’orgasme qu’elle avait. Elle déchargea une grande quantité de cyprine qui venait se mélanger au sang qui avait coulé et le tout sortait de dessous mon sexe, expulsé par ses va-et-vient furieux. J’étais sur le point de jouir moi aussi à l’intérieur de son vagin, avant de me rappeler que nous n’avions pris aucune précaution pour éviter une malencontreuse grossesse. J’éjaculais donc à l’extérieur, sur son ventre, en frottant mon sexe gonflé à bloc contre son pubis et son bas ventre. Je la remplis ainsi de sperme épais et chaud. En me relevant, je ne pus m’empêcher de remarquer le contraste que faisait la couleur blanche de mon sperme, sur sa peau chocolat.
Je le lui fis remarquer, pensant la faire rire. Au contraire cela la rendit triste. Je ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Elle avait l’air tellement heureuse pendant que nous faisions l’amour et la voilà maintenant au bord des larmes. Je la pris dans mes bras pour la cajoler et lui demander ce qui la chagrinait. Elle se blottit contre moi, posa sa tête au creux de mon épaule, mais ne répondit pas tout de suite. Je sentis couler sur mon épaule un liquide chaud et je compris qu’elle pleurait.
J’étais vraiment désemparé. Je ne comprenais absolument pas ce qui avait bien pu se passer, pour qu’elle passe aussi vite du bonheur au désespoir. Elle regrettait peut-être ce qui venait de se passer; son dépucelage hors mariage. Je le lui dis. Mais elle ne répondait toujours pas. Je compris qu’il ne fallait pas que j’insiste ; qu’il fallait laisser passer l’orage; et qu’après qu’elle sera calmée, elle parlera et dira ce qui la chagrinait autant. Au bout d’une dizaine de minutes, qu’elle passa blottie contre moi en essayant de coller très fort son corps au mien, elle leva la tête, me regarda avec un petit sourire un peu triste et dit :
- Dis-moi que tu m’aimes, malgré la couleur de ma peau !
J’étais sidéré ! Je venais de comprendre que mon allusion à la couleur blanche de mon sperme et à la couleur foncée de sa peau avait réveillée en elle son complexe de femme de couleur.
- Ecoute-moi bien ma grande ! La couleur de ta peau n’est absolument pas un handicap pour toi ; c’est même elle qui te rend aussi belle. Je t’aime parce que tu es noire ! Non pas malgré que tu sois noire ! Alors arrête de déconner et reprend-toi. Dis-moi plutôt si tu as aimé l’œuvre de mon engin !
Elle eut un merveilleux sourire et m’embrassa tendrement. Elle semblait avoir retrouvé tout le bonheur qu’elle m’avait montré auparavant. Je lui racontai, ma vieille histoire avec une autre black – Giselle – et tout le bonheur qu’elle m’avait procuré. Je lui expliquai ce qui faisait la force de Giselle par rapport à elle : elle était fière d’être noire et l’affichait – peut-être même trop – avec sa coupe afro, sa démarche et son accent chantant d’africaine.
- Toi aussi tu dois être fière de la couleur de ta peau. Surtout qu’elle te rend si belle. Promet-moi que plus jamais tu n’auras ce complexe de la peau noire !
Elle promit et tint sa promesse. A ce jour, Kamla est encore avec moi. Nous sommes toujours amants. Et peut-être qu’un jour, si j’arrive à me débarrasser cette peur viscérale du mariage, je l’épouserais. Elle, pour sa part ne vit que pour cela!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
C'était magnifique.J'ai adoré. Par contre, je pense que personne ne doit avoir des
complexes à cause de sa couleur de peau. Je suis black et fière de l'etre.



Texte coquin : Fantasmes noirs.  Deuxième  partie : Kamla, black d’Algérie
Histoire sexe : Une rose rouge
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