A l’ombre des maris – Série 2 Dixième partie : Mes retrouvailles avec Fadhela
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2012 dans la catégorie Plus on est
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A l’ombre des maris – Série 2 Dixième partie : Mes retrouvailles avec Fadhela
Il faut que je t’avoue que mon cœur penche pour un autre homme,
Nous nous parlons, nous nous voyons souvent et nous sommes même sortis ensemble
Il va me garantir une belle vie, il dispose d’une maison, il est riche …
Il ne lui manque qu’une épouse.
Djaffar Ait Menguellet – L’appel (Traduction libre de l’auteur)
Ma vie érotique avec mes deux femmes – Wissam et Farida – se poursuivit un certain temps, de manière plaisante et agréable. Le ventre de Wissam grossissait à vue d’œil et, paradoxalement la rendait encore plus belle et désirable. Elle-même, malgré qu’elle devenait plus lourde et qu’elle était handicapée par son nouveau tour de taille, avait encore des besoins sexuels tyranniques. Elle les assouvissait comme elle pouvait - la plupart du temps en levrette, car c’était pour elle la position la plus facile à tenir – et passait le relai à Farida pour me finir. Ce fut une période vraiment exceptionnelle: je passais plus de temps au lit ave Farida qu’avec Wissam, mais aucune des deux n’était jalouse de l’autre. Elle me partageait de la manière la plus naturelle possible. Je faisais l’amour avec Wissam, généralement en fin d’après-midi, après qu’elle ait fait sa sieste et qu’elle fut reposée. Et je passais la nuit dans le lit de Farida – souvent avec Salah, son mari, à nos côtés – à nous envoyer en l’air comme des bêtes. Ce fut une période vraiment heureuse ; avec aucune ombre au tableau.
Le changement vint avec la naissance de notre enfant, à Wissam et à moi. La première conséquence de l’accouchement, c’était que Wissam prit – presque naturellement – ses distances avec moi. Pour peu de temps, me disait-elle. Il lui fallait prendre ses repaires de nouvelle maman et s’habituer à élever un enfant. Elle mit au monde un joli petit poupon – un garçon – qu’elle prénomma Iliès. Le petit bout de chair de trois kilos à peine, allait bouleverser toute notre vie. Il devint immédiatement le centre de la vie de toute la maisonnée. Wissam s’entendit avec sa belle-mère Farida sur la manière de l’élever et vint s’installer – définitivement - chez ses beaux parents. Il y eut entre elles une vraie complicité dont le dénominateur commun fut Iliès, le bébé. J’eus un peu de mal à retrouver mes marques avec mes deux maîtresses. Je me sentais un peu délaissé; même si Farida, de temps en temps venait me rendre visite dans ma tanière, pour me dispenser un peu de tendresse. Cela ne me suffisait pas. J’étais entrain d’accumuler de la frustration. J’avais été habitué à être le centre de la vie de mes deux amantes et me voilà repoussé à la marge, par un bébé, qui en plus était le mien.
Je savais que j’étais injuste, mais je n’y pouvais rien. Heureusement que comme à chaque fois que j’étais dans une situation difficile, je pouvais toujours compter sur la fidèle Soraya, mon assistante. Elle me cajola, avec son savoir-faire habituel et me laissa la maltraiter sans jamais se plaindre. J’allais même écrire qu’elle prenait du plaisir à se laisser maltraiter par moi. Elle m’aimait vraiment et était à chaque fois très heureuse que je revienne à elle. Même si je ne l’avais jamais réellement abandonnée, je ne m’occupais d’elle que quand j’étais dans le besoin. C’était bien sûr injuste de ma part, mais c’était comme ça ! Soraya était pour moi, le rocher solide vers lequel je me retournais, chaque fois que j’étais dans le besoin. Et à chaque fois, elle était là. A mon service. Ou plutôt au service de ma libido et aussi de ma mauvaise humeur.
Tout mon côté pervers – et il était grand – ressortait en ces moments là. Et ma pauvre Soraya devait accepter que je la traite comme une chienne soumise à mes désirs de satyre ou comme une pute qui était à mon seul service. Aujourd’hui encore, je me pose la question sur l’immense patience dont elle avait fait preuve envers moi, malgré mon comportement de goujat. Ce fut Farida qui m’expliqua un jour, que Soraya m’aimait vraiment et qu’elle avait été très heureuse à chaque fois que je passais un moment avec elle. Même si pendant ces moments je me comportais très mal avec elle, elle était contente que je sois là et que je m’intéresse à elle. Elle lui aurait même affirmé que moi aussi je l’aimais, parce que c’était toujours vers elle que je me retournais, chaque fois que cela allait mal pour moi. Et c’est vrai que quand nous faisions l’amour, elle me donnait absolument tout ce que je lui demandais – et même ce que je ne lui demandais pas et qu’elle savait que j’adorais lui faire – et elle m’emmenait très haut dans le pays du plaisir sexuel. Elle-même jouissait beaucoup et ne s’en cachait pas. A chaque fois, elle rayonnait de bonheur et me remerciait de m’être occupé ainsi d’elle avec un sourire éblouissant, qu’elle gardait des journées durant.
Soraya s’occupa donc de satisfaire ma libido tyrannique tout le temps que dura « l’absence » de Farida et surtout de Wissam. En fait, je n’ai refait l’amour avec ma Venus noire qu’au bout de six mois, après la naissance du bébé. Le temps qu’elle reprenne son travail, après son congé maternité, prolongé par une mise en disponibilité de trois mois supplémentaires. Nous nous sommes revus régulièrement ; le plus souvent dans la maison de Farida, dans laquelle elle s’était installée avec notre fils. Toute la famille ne vivait plus que par et pour Iliès. Salah était devenu un vrai papi gâteux. Farida, aussi s’était découvert une âme de mamie, totalement au service de son petit fils. Rayan était un papa aux anges, toujours à l’écoute. Quant à Wissam, elle était devenue une mère exclusive. Plus rien ne comptait hors d’Iliès. Je me sentais presque rejeté. Je n’avais pas aimé cette période. Je regrettais presque la naissance de l’enfant, qui était pourtant le mien, mais envers lequel je n’avais pas de sentiments paternels particuliers. Je ne le considérais pas vraiment comme mon fils. C’était pour moi le fils de Wissam et de Rayan, dont, d’ailleurs il portait le nom.
Mais la venue au monde d’Iliès me permit de renouer le fil avec mon passé lointain. Il me permit de reprendre contact avec Fadhela, mon amour de jeunesse, qui m’avait quitté pour se marier avec un autre homme. Une après-midi, une quinzaine de jours après l’accouchement, elle vint rendre visite à sa nièce dans la maison de Farida. Cette après-midi là, j’étais là et ne pus m’empêcher de la rencontrer. J’étais assis sur le grand fauteuil du salon, attendant le retour de Salah qui était allé faire des courses dans le quartier. Elle entra dans le salon, accompagnée de Wissam qui me montra du doigt avant de s’éclipser. Ce que je remarquai immédiatement, c’était que Fadhela avait changé par rapport à la dernière fois que je l’avais aperçue : c’était au mariage de Wissam où je l’avais trouvée amaigrie, vieillie et enlaidie, engoncée dans un hideux hidjab marron. Cette fois-ci le hidjab avait changé de couleur, était plus élégant et luxueux et lui redonnait une partie de sa beauté d’antan. Il était en soie noire, bien assorti à la couleur chocolat de sa peau de métis. Elle me semblait plus en forme que la fois où je l’avais aperçue, près de deux années auparavant, au mariage de Wissam. Ses immenses yeux noirs et brillants, qui m’avaient ensorcelé vingt cinq ans auparavant, occupaient presque toute la superficie de son visage, entouré par un khimar en soie de la même couleur que le hidjab. Mais elle avait le regard triste. Plus rien du regard espiègle et plein de vie d’antan.
En la voyant, j’eus un léger mouvement de recul. En une fraction de seconde, toute une partie de mon passé m’était remonté en tête, accompagné de toute la rancœur que j’avais accumulée. Des années durant, je lui en avais voulu de m’avoir quitté pour se marier ave un autre. Et, je m’étais souvent dit que mon aventure avec Wissam n’avait pu avoir lieu que parce qu’elle en était le sosie parfait. J’avais l’impression en devenant son amant, que je prenais ma vengeance contre celle qui m’avait abandonné pour un péquenot qui n’avait rien de plus que moi, sinon qu’à l’époque, il avait déjà une situation et qu’il avait les moyens de l’épouser immédiatement. Tandis-que moi, je devais encore passer mon service militaire et trouver ensuite un job. J’étais resté sur cette rancœur très longtemps. Et au fond de moi, il y avait toujours cette blessure d’amour qui ne m’avait jamais quitté.
Fadhela eut elle aussi un instant d’hésitation en me voyant devant elle. Et puis immédiatement je vis un merveilleux sourire illuminer tout son visage. Le même sourire qu’il y a vingt-cinq ans. Le même sourire que celui de Wissam, sa nièce.
- Bonjour Rafik, fit-elle de la même voix chaude qui avait bercé ma jeunesse ! Comment vas-tu ? Wissam m’avait dit que tu serais là.
- Et tu es venue quand même ! Quel courage ! Tu n’as pas peur que ton mari sache que tu as rencontré ton ancien fiancé ?
Je ne pouvais pas m’empêcher d’être méchant. Je voulais presque la blesser. Je voulais lui faire mal. Comme elle, elle m’avait fait mal. Je vis son sourire s’effacer un très court instant, avant de revenir comme par enchantement. D’évidence, elle s’attendait à ma réaction. Wissam, à qui j’avais tout raconté sur mes rapports avec sa tante paternelle, lui avait certainement dit que je lui en voulais encore beaucoup et que ma blessure d’amour n’était toujours pas cicatrisée.
- Bien sûr que mon mari ne sait pas que j’allais te rencontrer. Il ne connait même pas ton existence. Je ne lui ai jamais parlé de toi. Et pour cause, c’est un jaloux intégral. D’une part, il ne m’aurait pas épousé s’il avait su que j’avais été amoureuse d’un autre garçon et que j’avais flirté avec lui. C’est un traditionaliste, devenu un islamiste depuis une vingtaine d’années. Et d’autre part, s’il apprenait que je ne suis venue visiter ma nièce que parce que je savais que tu seras là, il m’aurait égorgée.
- Tu es tombée aussi bas ? Tu as épousé un monstre ? Et tu es restée avec lui.
- Il n’est devenu monstre qu’après notre nuit de noces. Ce fut là que j’avais découvert sa vraie nature : un traditionnaliste avec toutes les tares qui vont avec. Pour lui une femme doit être enfermée et se « hidjabiser ». Elle doit faire des enfants et s’occuper de sa maison. Et c’est tout. Il m’a obligée, dès notre premier enfant à quitter mon travail. Et depuis, je ne sorts pratiquement pas. Heureusement que j’ai eu trois enfants qui ont été mon seul réconfort pendant tout ce temps, et le centre de ma vie.
- Je ne sais pas si je dois te plaindre ou en rire. Tu sais certainement combien j’ai souffert de ta trahison. Je n’avais pas compris pourquoi il te fallait absolument te marier aussi jeune. Alors que tu me répétais à longueur de temps que tu m’aimais. J’ai mis beaucoup de temps à me remettre de ton mariage. Mais au moins pendant tout ce temps-là, je pensais que tu étais heureuse. Et aujourd’hui, tu viens m’annoncer que ta vie d’épouse a été – et est encore aujourd’hui – un enfer. Alors pourquoi ?
- Je n’en pouvais plus de vivre avec mes parents. Tu connais ma mère – Dieu ait son âme - elle a toujours été très méchante. Elle me maltraitait beaucoup et me soupçonnait d’être une fille de mœurs légères, prête à m’offrir au premier venu. J’ai honte de te le dire, mais elle m’avait surpris un jour entrain de me caresser et elle en avait fait un drame. Et puis les parents de mon mari étaient venus demander ma main. Ma mère n’avait pas hésité une seconde. Elle la leur accorda, sans même m’en avertir. Elle savait que tu existais, et elle ne t’appréciait pas beaucoup. Tu n’étais pas un bon parti pour moi. En plus, elle savait qu’il te fallait encore quelques années pour être prêt au mariage. Trop de temps, par rapport au risque que la famille courait ave moi, toujours célibataire. Et tu connais la suite.
- Cela ne me suffit pas comme explication. Tu aurais pu m’en parler. En parler avec ton frère. Il aurait pu intercéder en ma faveur. Tu aurais pu fuir et venir chez moi. Tu n’aurais pas dû accepter aussi facilement. Il y a certainement autre chose.
- Oui ! Il était très beau ! Et j’ai cédé à la tentation. Il était l’image même du prince charmant. Et quand nous sommes sortis ensembles, après sa demande en mariage, il avait été tellement gentil, tellement intentionné, que je suis tombé dans le piège. Je m’étais dit que je gagnais au change, au moins physiquement. Tu étais beau toi aussi, mais pas comme lui. Tu as toujours été gentil, mais lui il avait la galanterie en plus. Du moins c’était ce que j’avais cru.
- Et maintenant ?
- Ne retourne pas le couteau dans la plaie. Je n’ai pas mis très longtemps à me rendre compte de mon erreur. Mais c’était déjà trop tard. J’étais son épouse et je lui devais respect et obéissance. J’étais prise au piège.
- J’espère que sexuellement au moins, ça marche entre vous.
- Tu penses ! Même au lit, c’est un traditionaliste. Je ne l’ai encore jamais vu nu. Et lui non plus ne m’a jamais vue nue. Il ne me fait l’amour que la nuit, dans le noir. Et il refuse absolument que j’aie une quelconque réaction de plaisir. Il répète toujours que seules les filles de rue prennent du plaisir en copulant. La copulation n’existe que pour procréer et, marginalement, pour permettre au mari de prendre son plaisir. L’épouse jamais !
Cette rencontre dans la maison de Farida – qui nous surveillait de loin, par peur que je brusque Fadhela dont elle avait appris qu’elle avait été mon amour de jeunesse – dura environ une heure, que nous passâmes à discuter ainsi de sa vie depuis vingt-cinq ans. Elle m’apprit aussi qu’elle avait trois enfant – une fille de vingt ans, qui avait entrepris des études de médecine, et deux garçons qui étaient encore au lycée – et qu’elle avait une énorme complicité avec eux. La fille surtout qui supportait mal le comportement rétrograde de son père vis-à-vis d’elles – la mère et sa fille - qu’il faisait surveiller de près. Je n’arrivais pas à analyser l’état mental dans lequel les confidences de Fadhela m’avaient mis. Il est certain que je ne lui en voulais plus autant. Il y avait en moi un mélange de pitié pour cette femme pleine de joie de vivre, transformée par son mari en machine à procréer et en prisonnière et de tendresse que je sentais monter en moi de manière inquiétante. J’avais peur de me remettre à éprouver pour Fadhela des sentiments qui nous mèneront elle et moi sur la pente glissante des relations interdites.
Je sentais que Fadhela aussi était sur le mode « nostalgie ». Si elle était venue rendre visite à sa nièce, c’était à cause de moi. Si c’était vrai, c’était parce qu’elle avait une idée pas très nette derrière la tête. Et je me disais que cette idée ne pouvait être qu’une reprise de nos relations, là où elles s’étaient arrêtées, il y a vingt-cinq ans. Pendant tout ce temps, elle n’avait pas vécu une seule heure de la vie dont nous avions rêvés elle et moi pendant les deux années où nous étions pratiquement fiancés. Nous avions beaucoup flirté et nous nous parlions beaucoup de sexe. Elle m’avait souvent laissé la caresser, même dans ses endroits les plus intimes et je l’avais souvent faite jouir en la caressant, en l’embrassant et surtout en lui appliquant des cunnilingus d’enfer. Elle me le rendait bien en me masturbant et en me faisant jouir avec sa bouche. Elle et moi attendions avec impatience le moment où nous pourrions faire vraiment l’amour ensemble. Elle n’ignorait rien de mon physique et elle n’hésitait pas à se mettre toute nue devant moi.
Et la voilà aujourd’hui en face de moi, quémandant en silence une reprise de nos relations. Elle n’osait pas me le demander, mais je sentais qu’elle était vraiment dans le besoin. Je soupçonnais un peu Wissam de lui avoir tout raconté sur notre relation torride et d’avoir semé en elle la graine du désir. Je ne savais pas quelle position il me fallait prendre. D’une part, moi-même je n’étais pas libre : entre Wissam, dont elle savait qu’elle était ma maîtresse, Farida, dont Wissam avait aussi dû lui la position vis-à-vis de moi et Soraya, dont elle ne connaissait pas encore l’existence, normalement il ne me restait pas de temps pour m’occuper d’une quatrième maîtresse. D’autre part, je me demandais comment elle pouvait se débrouiller pour trouver le moyen de me rejoindre chez moi, sans éveiller les soupçons de son mari. Je le lui dis.
- J’aimerai bien te revoir. Mais je me demande comment faire. Tu sembles ne disposer d’aucune liberté. Tu ne peux certainement pas te libérer toute une matinée ou une après-midi pour me rejoindre chez moi ;
- Tu veux encore de moi ? Tu m’aimes encore un peu ?
- Je ne sais pas si je t’aime encore, mais tu as réussi à réveiller en moi du désir. Ne m’en veux pas d’être aussi cru, mais si tu regardes un peu sur le devant de mon pantalon, tu verras une grosse bosse qui te prouveras combien j’ai envie de te tirer. J’ai envie de te montrer tout ce que tu as perdu pendant toutes ces années. Tu es choquée ?
- Non ! Moi aussi j’ai envie de goûter au plaisir sexuel. Et Wissam m’a affirmé que dans ce domaine, tu es un as. Bien sûr que je pourrais te rejoindre, une ou deux matinées par semaine, chez toi. Mon mari part deux fois par semaine à Oran pour récupérer des produits pour son magasin du Hamiz. C’est un gros commerçant en produits électroniques contrefaits. C’est comme cela qu’il est entrain de faire fortune. Et ces jours là, je suis seule à la maison. Si je n’avais pas peur que les voisins te surprennent, je t’aurais même demandé de venir me faire l’amour chez moi. Dans le lit conjugal. Cela me ferait tellement plaisir de le tromper avec toi, sous son propre toit.
…/…
Nous nous donnâmes rendez-vous chez moi pour le lendemain matin. A huit heures ; après le départ des enfants, qui à la faculté de médecine, qui au lycée. Le mari, lui, prenait la route aux aurores, pour Oran. Elle arriva chez moi à huit heures passée de quelques minutes. Elle avait pris le bus pour arriver au plus tôt. Elle sonna timidement, comme si elle était gênée par ce qu’elle allait faire avec un amant. Elle était dans le pécher et craignait la sanction divine. J’ouvris vite et la fis entrer dans le hall. Je refermais la porte et la pris dans mes bras pour la serrer très fort. Toute la nuit je n’avais pas arrêté de penser à elle. A ce que j’allais faire avec elle. A ce que j’allais faire d’elle. Je me disais que j’allais rattraper tout le temps perdu et prendre mon pied avec elle. Je me disais que j’allais la transformer en chienne pour lui faire payer toute ma souffrance passée. Je me disais qu’elle ne méritait pas cela et qu’au contraire j’allais me comporter avec elle en amant doux et attentionné et à la hauteur. Que j’allais la faire grimper aux rideaux et lui faire découvrir les merveilles de l’érotisme. Je mis du temps à m’endormir tellement j’étais impatient de la revoir. Et mon sommeil était lui-même rempli de Fadhela, Farida et Wissam qui se disputaient mes faveurs.
De nous deux, ce fut Fadhela la plus intimidée. Elle avait perdu l’habitude des rencontres galantes et ne savait pas comment se comporter. Elle semblait mal à l’aise entre mes bras. Je sentais son cœur battre très fort, comme devait battre le cœur d’une jouvencelle à son premier rendez-vous amoureux. Elle avait encore son hidjab en soie noire qu’elle portait la veille. Je voulais qu’elle s’en débarrasse pour paraître devant moi, comme elle était, il y a si longtemps. Je lui demandais donc d’enlever son Khimar pour dégager sa chevelure et son hidjab pour offrir son corps à mon regard concupiscent. Je n’essayais même pas de faire le geste de la déshabiller moi-même. Non pas parce qu’elle refuserait, mais parce que j’étais tellement maladroit que j’avais peur de lui déchirer ses vêtement. D’un geste gracieux, elle dégrafa l’épingle en or qui tenait son foulard et sa longue chevelure, couleur noir corbeau, ruissela sur ses épaules, lui donnant l’air d’avoir dix ans de moins qu’avec son khimar.
Je la regardais avec des yeux étonnés. Elle comprit que je la trouvais aussi belle qu’avant. Elle continua de se déshabiller en faisant passer par-dessus sa tête le hidjab noir, fait de plusieurs couches de tissu superposées pour enlever la transparente naturelle de la soie. Elle resta avec une petite chemise de nuit transparente, elle aussi de couleur noire, qui laissait deviner un soutien gorge à balconnets et une petite culotte, tous les deux de couleur blanche. Elle était magnifique ! Et tellement bandante. Elle ne semblait pas très à son aise. Elle paraissait gênée d’être presque nue devant moi. Depuis le temps, elle en avait perdu l’habitude. Elle ne savait plus quoi faire de ses mains. Un moment elle les mettait devant sa poitrine comme pour me cacher ses seins que je pouvais voir par transparence. Parfois elle les mettait devant son bas ventre pour essayer de me cacher la vision de son entrecuisse qui se devinait sous le tissu transparent de la chemise de nuit.
Pour mettre fin à son embarras, je la soulevai du sol et la portai directement dans la chambre à coucher. Je la jetai littéralement sur le lit et la fis s’allonger en travers. Je restai un moment debout à la contempler, avant de venir m’allonger à ses côtés. Je lui susurrais à l’oreille qu’elle était toujours aussi belle et désirable qu’avant. Et que j’allais lui faire vivre des moments intenses de plaisir. Et que si elle me laissait faire, elle se rappellera de ces moments toute sa vie. J’appuyais mes paroles par une série de baisers doux et tendres sur son visage et sur son cou nu. Elle commençait à se détendre et je sentis son corps frémir sous mes baisers. Je passais donc aux caresses. Je fis entrer une main sous le tissu de la chemise de nuit pour qu’elle soit au contact direct avec sa peau. Malgré le temps passé et l’âge, sa peau était restée aussi douce qu’avant : une peau de bébé, lui avais-je répété à l’époque. Mes caresses se firent de plus en plus pressantes et insistantes : sur son ventre, autour de ses seins, sur ses seins qui avaient perdu un peu de leur fermeté d’antan, mais qui étaient toujours aussi sensibles, sur ses épaules rondes et fermes.
Je voulais la voir toute nue. Je voulu la débarrasser de sa chemise de nuit et des autres tissus qu’elle avait encore sur elle et fis le geste de la déshabiller. Elle me précéda et en un tour de main elle se débarrassa de la chemise de nuit, du soutien gorge et, après une légère hésitation, de la petite culotte. Elle était maintenant toute nue. Splendide et offerte. Je ne pus m’empêcher de faire le parallèle avec le corps de Wissam. Exactement le même ; avec quelques années de plus et un empâtement coquin au niveau de sa taille. Elle avait aussi un tout petit ventre, qui la rendait encore plus désirable. Et le désir se voyait à la bosse impudique que j’avais sur le devant de mon pantalon de pyjama. Je pris sa main pour la poser sur la bosse. Elle eut un léger geste de recul, puis se rattrapa en s’emparant du monstre qui frémissait d’impatience/
- Ekhordji‘h men-essarwal ! Mazalou kima zman ! Kbir ou qwi ! Haki‘h ! (Sors-le du pantalon ! Il est toujours comme avant ! Grand et puissant ! Caresse-le !)
Je sentis sa main trembler un peu – l’émotion ! – puis passer par-dessous l’élastique du pantalon et aller directement s’emparer du manche. Je reçus une vraie décharge électrique ! Je ne pus m’empêcher de pousser un petit gémissement de plaisir, tant sa main avait gardé toute sa douceur d’avant. Elle promena sa main sur tout le manche, jusqu’aux couilles et revint titiller longuement le gland. Instinctivement je poussai les hanches vers l’avant pour lui signifier de continuer les caresses et même d’entamer une masturbation. Elle comprit très vite ce que je voulais. Elle me fit enlever complètement le pantalon et je restai habillé du seul tee-shirt que je portai. J’étais maintenant allongé sur le dos, le manche en érection maximale, brandi vers le plafond. Fadhela avait relevé le tronc pour mieux apprécier le monstre et pour être plus à l’aise pour me caresser.
Elle avait les yeux qui brillaient – de lubricité – et jouait avec mon manche comme si c’était un jouet mystérieux. Elle ne disait rien, mais chaque fois qu’elle tournait son visage vers moi pour me sourire, je voyais combien elle appréciait les mensurations du monstre ; ainsi que sa fermeté et sa douceur.
- Ach-hal chbab ! En-sit kifach kan ! En-sit kifach hlou ! Bghit en-di‘h m3aya ki en-roh ! (Qu’est-ce qu’il est beau ! J’avais oublié comment il était ! J’avais oublié combien il était doux ! J’ai envie de le prendre avec moi quand je partirai !)
Et elle avança la tête pour se rapprocher de lui. Elle déposa un tout petit baiser sur le méat du gland. Puis elle sortit sa langue pointue et agile et se mit à lécher tout le gland avant de passer à la hampe et aux couilles. Sa langue était aussi électrifiée que ses mains. Je sentais mon manche qui sursautait dans sa main droite. J’avais l’impression qu’il allait exploser tellement il avait grossi. Mon envie d’elle ne faisait que croître. Et avec elle, le besoin de la posséder immédiatement. Je n’avais plus la patience d’attendre la fin des préliminaires pour la pénétrer. Je la laissai me titiller le manche encore quelque secondes, mais au moment où elle s’apprêtait à ouvrir la bouche pour une superbe fellation – cela lui rappela qu’il y a longtemps, elle recevait régulièrement mon manche dans sa bouche, et qu’elle avait beaucoup aimée – je l’arrêtai en lui disant que je mourrais d’envie de passer aux choses sérieuses.
- Ma yendjemch yestena ! Lazem-lou yedkhoul fi souwtek ! 3amrou ma dkhoul fi souwtek ! Wekt i-dhoug‘ha ! (Il n’est plus capable d’attendre ! Il lui faut pénétrer dans ta chatte ! Il n’est encore jamais entré dans ta chatte ! Il est temps qu’il la goûte !)
Je vis le visage de Fadhela s’éclairer d’un immense sourire. Elle aussi voulait passer à l’essentiel. Elle voulait gouter à mon manche, dont elle était entrain de tester la force et la douceur. Elle accentua le sourire qu’elle avait sur les lèvres et me demanda de la prendre.
- Khoudh-ni ! Hayati kamla nemt zebek fi hatchouni ! Nemt yech-3al ennar fiya ! Nemt yetteffi nar li cha3lou ! Nemt yefferragh fiya litrat en-ta3 ezzal ! Yerekebli el-djouf ! (Prend-moi ! Toute ma vie, j’ai rêvé de ton zob dans mon vagin ! J’ai rêvé qu’il allumait un incendie en moi ! J’ai rêvé qu’il éteignait l’incendie qu’il a lui-même allumé ! J’ai rêvé qu’il déversait des litres de sperme en moi ! Qu’il m’engrossait !)
.../…
Je vins me mettre entre ses genoux légèrement relevés et lui fit écarter les cuisses de manière à avoir facilement accès à sa chatte. Je connaissais déjà cette chatte pour l’avoir, il y très longtemps, caressée et sucées. Elle avait gardée sa beauté initiale. Elle avait gardé la même couleur chocolat un peu plus foncé que le reste de son corps. Ses grandes lèvres étaient toujours aussi longues et ourlées et, d’après ce que je ressentais à travers le gland de mon sexe qui s’était posé sur elles, aussi fermes. L’intérieur- les petites lèvres fines, palpitantes et luisantes de mouille, et le clito en forme de tout petit zob - avait la même couleur cramoisie qu’avant. Et l’intérieur sombre de son entrée de vagin était aussi mystérieux qu’il y a vingt-cinq ans, quand elle me demandait de lui bouffer la chatte. Tout ce que j’avais en tête pour le moment, c’était de rattraper tout le temps passé sans avoir été le maître de cette chatte qui avait été l’obsession de ma vie.
Elle était maintenant sous moi, les cuisses écartées, les genoux relevés, prête à recevoir mon manche. Elle avait tendu les bras pour m’attraper par la taille et participer à la pénétration. Visiblement, elle était dans le même état d’attente que moi. Une attente en même temps insupportable et délicieuse. Nous étions en attente d’une délivrance que nous voulions immédiate. Ses bras commençaient à tirer sur ma taille pour que je commence à la pénétrer. Elle ne disait rien, mais ses yeux brillaient de mille étoiles. Ils m’invitaient – ils m’ordonnaient même - de la tirer sans plus attendre. J’avais une envie irrépressible de la pénétrer en force. De lui faire mal, dès le premier contact avec sa chatte. Mais je me retenais. Je voulais y aller lentement ; faire monter son excitation et son désir de plusieurs crans. Je voulais l’entendre me supplier de la pénétrer et de lui faire du bien. C’était cela qu’elle disait, il y a vingt-cinq ans, quand je caressais sa chatte avec mon sexe, en faisant un effort surhumain pour ne pas déraper : « fais-moi du bien !» Et je m’efforçais de lui faire du bien, en la faisant jouir avec les caresses de mon gland entre ses grandes lèvres, tout en faisant attention à ne pas provoquer d’accident.
Je présentai donc le gland de mon gourdin entre les grandes lèvres mouillées et caressai avec le clitoris et les petites lèvres palpitantes. Fadhela avait fermé les yeux, pour mieux ressentir les sensations qu’elle était entrain de vivre. Son visage était toujours éclairé par le sourire merveilleux qui ne l’avait pas quitté depuis qu’elle était allongée ainsi sous moi, offerte à mon désir de la posséder. Elle s’était mise à l’écoute des sensations que lui procurait le gland entrain de lui caresser la chatte. J’avais pris le manche dans ma main droite et le manœuvrais pour faire glisser le gland verticalement entre les grandes lèvres, en allant cogner à chaque fois sur le petit clito super sensible. Elle ne disait rien mais poussait des petits sifflements de plaisir. Je ne pouvais m’empêcher de penser à la manière de prendre du plaisir de Wissam : exactement la même. Elle sifflait, la bouche à moitié ouverte, en inspirant l’air dont elle avait un grand besoin. Je me faisais la réflexion, tout en continuant mes caresses que Fadhela et Wissam avaient les mêmes gênes. Sa respiration devenait de plus en plus rapide et ses sifflements de plaisir devenaient plus sonores. Son magnifique corps nu était tendu comme un arc sur le point de lâcher sa flèche. Un corps complètement en attente de la pénétration qui allait le délivrer de la pression qui était en elle. Pression qui était aussi en moi.
Et brutalement, j’enfonçais mon manche jusqu’au fond du vagin, inondé et chaud, de ma maîtresse. Bizarrement le tunnel que je traversais était très étroit. Je ne m’attendais pas à cela : vingt-cinq ans à se faire tirer par son mari aurait dû lui élargir le vagin. Ce n’était absolument pas le cas. Je lui fis très mal. Elle poussa un long cri de douleur, qui dura pendant tout le trajet de mon manche jusqu’au fond du tunnel et qu’elle essaya d’atténuer en découvrant mon étonnement. Dès le début de la pénétration et de la douleur, elle avait ouvert les yeux pour regarder et essayer de comprendre. Elle comprit très vite, et moi aussi par la même occasion, que le sexe de son mari, qu’elle n’avait jamais vu, devait vraiment être très petit par rapport au monstre qui était entrain de la posséder. Elle me lança un sourire éclatant et me fit signe de continuer, comme cela, en force. Elle était heureuse d’avoir mal. Elle me dit par la suite que c’était pour elle un nouveau dépucelage. Un vrai dépucelage !
J’étais heureux de lui montrer la force d’un vrai zob. J’en étais même très fier. C’était en quelque sorte ma revanche sur le sort qui m’avait fait perdre Fadhela et qui l’avait offerte à un homme qui ne la méritait pas. Il avait eu la primeur de son vagin et de son hymen, mais moi j’avais l’immense bonheur de démontrer à ma belle que j’étais le seul qui la méritait. J’étais celui qui lui montrerait pour la première fois de sa vie ce que signifiait un vrai zob d’homme. (Je sais pertinemment que c’était de la prétention de ma part, mais c’était réellement ce que je ressentais en ce moment béni où je prenais possession pour la première fois du vagin de Fadhela). Je ne pris plus aucune précaution et m’y pris presque brutalement pour la suite. J’entamai, en puissance et en force, un mouvement de va-et-vient qui me fit pousser à moi des rugissements successifs, marque d’un plaisir intense et à elle des sifflements de plaisir, mélangés à des petits cris de douleur, qui disparurent assez rapidement. Le plaisir fini par prendre le dessus sur la douleur de mes pénétrations brutales et violentes. Je regardais ma belle qui pâmait de plaisir; elle avait les yeux qui brillaient, la bouche grande ouverte et de la bave qui dégoulinait de la commissure de ses lèvres.
Elle n’était plus consciente de la situation dans laquelle elle se trouvait. Elle prenait un plaisir immense sous mes coups de boutoir et tout son corps me demandait de continuer de pilonner ainsi sa chatte. Elle tirait de plus en plus frénétiquement sur ses bras, pour que je la pine encore plus fort et plus vite. Des mots sortaient de sa bouche, mais mourraient sur ses lèvres avant de devenir audibles et compréhensibles. Je la regardais qui essayait de me dire quelque chose ; mais elle n’y arrivait pas. Sa respiration devenait de plus en plus haletante et il me semblait qu’elle n’allait pas tarder à étouffer, si je n’arrêtais pas. Mais je ne voulais pas arrêter. Et elle non plus. Elle voulait jouir très fort et elle sentait qu’elle n’allait pas tarder à le faire. Je suivais sur son visage la progression de l’immense orgasme qui pointait son nez. Ses lèvres s’étirèrent tellement qu’elles devinrent toutes blanches, comme si tout le sang qu’elles contenaient avait disparu ; sa bouche s’ouvrit largement et se tétanisa ; et ses yeux se fermèrent complètement. Et soudainement, elle se relâcha complètement et partit dans un râle de mourante, long, rauque et tellement sonore que tous les voisins avaient dû entendre. Et elle eut une longue, très longue, jouissance tellement intense, qu’elle sombra, un moment, dans l’évanouissement.
Je continuais à pilonner la chatte de ma mie. C’était tellement bon ! Son vagin étroit était un vrai paradis pour mon manche. C’était serré, chaud et humide ! J’y allais toujours avec autant de force et de puissance. Je limais de plus en plus fort la paroi du magnifique vagin. J’y allumais un énorme incendie que seul pouvait éteindre la tonne de sperme que je sentais arriver. Encore un aller-retour et je poussai un immense «aaaaah !» de jouissance, aussi sonore que le râle qu’avait poussé quelques secondes avant moi Fadhela. J’éclatai comme une bombe, en envoyant une énorme giclée de foutre, épais et brûlant, au fond du vagin, brulant et inondé, de ma maitresse. Je continuais un moment les allers-retours de mon manche dans le vagin tétanisé de Fadhéla et éjaculai tout ce qui me restait de sperme. Une grande partie ressortit sous l’aspiration de mon manche et alla s’étaler sous les fesses relevées de ma maîtresse. J’étais complètement essoufflé et me laissai tomber sur le ventre de Fadhela, qui avait toujours du mal à retrouver sa respiration normale. Elle me repoussa doucement, pour m’indiquer que je pesais trop lourd et que je l’empêchais de reprendre se respiration. Je sortis mon manche encore d’attaque du vagin de ma mie et m’allongeai à côté d’elle, en essayant moi aussi de reprendre tous mes esprits.
Quand les choses se remirent en place, quand la chambre arrêta de tourner autour de nous, et quand notre respiration reprit son rythme normal, nous ouvrîmes les yeux pour contempler le résultat de notre première union. L’union de nos deux corps et de nos deux âmes. Nos yeux étaient maintenant rivés les uns aux autres. Je lisais dans son regard comme dans un livre : elle était heureuse ! Heureuse d’avoir vécu quelque chose de très fort ; quelque chose qu’elle avait espéré vivre, il y a de cela vingt-cinq ans, mais qu’elle ne vécut que ce jour-là. Elle m’avoua en me regardant toujours dans les yeux, qu’elle n’avait jamais imaginé ou même rêvé d’un plaisir aussi intense. Je vis quelques larmes couler de ses yeux. Elle pleurait parce qu’elle avait maintenant conscience qu’elle avait perdu les meilleurs moments de sa vie, sans connaître le vrai bonheur. E moi, toujours aussi goujat, j’étais content de moi. Je venais de prendre ma revanche sur le sort. Et Fadhela, savait maintenant que c’était avec moi qu’elle aurait dû se marier Et surtout, elle savait pourquoi !
.../…
Nous nous parlons, nous nous voyons souvent et nous sommes même sortis ensemble
Il va me garantir une belle vie, il dispose d’une maison, il est riche …
Il ne lui manque qu’une épouse.
Djaffar Ait Menguellet – L’appel (Traduction libre de l’auteur)
Ma vie érotique avec mes deux femmes – Wissam et Farida – se poursuivit un certain temps, de manière plaisante et agréable. Le ventre de Wissam grossissait à vue d’œil et, paradoxalement la rendait encore plus belle et désirable. Elle-même, malgré qu’elle devenait plus lourde et qu’elle était handicapée par son nouveau tour de taille, avait encore des besoins sexuels tyranniques. Elle les assouvissait comme elle pouvait - la plupart du temps en levrette, car c’était pour elle la position la plus facile à tenir – et passait le relai à Farida pour me finir. Ce fut une période vraiment exceptionnelle: je passais plus de temps au lit ave Farida qu’avec Wissam, mais aucune des deux n’était jalouse de l’autre. Elle me partageait de la manière la plus naturelle possible. Je faisais l’amour avec Wissam, généralement en fin d’après-midi, après qu’elle ait fait sa sieste et qu’elle fut reposée. Et je passais la nuit dans le lit de Farida – souvent avec Salah, son mari, à nos côtés – à nous envoyer en l’air comme des bêtes. Ce fut une période vraiment heureuse ; avec aucune ombre au tableau.
Le changement vint avec la naissance de notre enfant, à Wissam et à moi. La première conséquence de l’accouchement, c’était que Wissam prit – presque naturellement – ses distances avec moi. Pour peu de temps, me disait-elle. Il lui fallait prendre ses repaires de nouvelle maman et s’habituer à élever un enfant. Elle mit au monde un joli petit poupon – un garçon – qu’elle prénomma Iliès. Le petit bout de chair de trois kilos à peine, allait bouleverser toute notre vie. Il devint immédiatement le centre de la vie de toute la maisonnée. Wissam s’entendit avec sa belle-mère Farida sur la manière de l’élever et vint s’installer – définitivement - chez ses beaux parents. Il y eut entre elles une vraie complicité dont le dénominateur commun fut Iliès, le bébé. J’eus un peu de mal à retrouver mes marques avec mes deux maîtresses. Je me sentais un peu délaissé; même si Farida, de temps en temps venait me rendre visite dans ma tanière, pour me dispenser un peu de tendresse. Cela ne me suffisait pas. J’étais entrain d’accumuler de la frustration. J’avais été habitué à être le centre de la vie de mes deux amantes et me voilà repoussé à la marge, par un bébé, qui en plus était le mien.
Je savais que j’étais injuste, mais je n’y pouvais rien. Heureusement que comme à chaque fois que j’étais dans une situation difficile, je pouvais toujours compter sur la fidèle Soraya, mon assistante. Elle me cajola, avec son savoir-faire habituel et me laissa la maltraiter sans jamais se plaindre. J’allais même écrire qu’elle prenait du plaisir à se laisser maltraiter par moi. Elle m’aimait vraiment et était à chaque fois très heureuse que je revienne à elle. Même si je ne l’avais jamais réellement abandonnée, je ne m’occupais d’elle que quand j’étais dans le besoin. C’était bien sûr injuste de ma part, mais c’était comme ça ! Soraya était pour moi, le rocher solide vers lequel je me retournais, chaque fois que j’étais dans le besoin. Et à chaque fois, elle était là. A mon service. Ou plutôt au service de ma libido et aussi de ma mauvaise humeur.
Tout mon côté pervers – et il était grand – ressortait en ces moments là. Et ma pauvre Soraya devait accepter que je la traite comme une chienne soumise à mes désirs de satyre ou comme une pute qui était à mon seul service. Aujourd’hui encore, je me pose la question sur l’immense patience dont elle avait fait preuve envers moi, malgré mon comportement de goujat. Ce fut Farida qui m’expliqua un jour, que Soraya m’aimait vraiment et qu’elle avait été très heureuse à chaque fois que je passais un moment avec elle. Même si pendant ces moments je me comportais très mal avec elle, elle était contente que je sois là et que je m’intéresse à elle. Elle lui aurait même affirmé que moi aussi je l’aimais, parce que c’était toujours vers elle que je me retournais, chaque fois que cela allait mal pour moi. Et c’est vrai que quand nous faisions l’amour, elle me donnait absolument tout ce que je lui demandais – et même ce que je ne lui demandais pas et qu’elle savait que j’adorais lui faire – et elle m’emmenait très haut dans le pays du plaisir sexuel. Elle-même jouissait beaucoup et ne s’en cachait pas. A chaque fois, elle rayonnait de bonheur et me remerciait de m’être occupé ainsi d’elle avec un sourire éblouissant, qu’elle gardait des journées durant.
Soraya s’occupa donc de satisfaire ma libido tyrannique tout le temps que dura « l’absence » de Farida et surtout de Wissam. En fait, je n’ai refait l’amour avec ma Venus noire qu’au bout de six mois, après la naissance du bébé. Le temps qu’elle reprenne son travail, après son congé maternité, prolongé par une mise en disponibilité de trois mois supplémentaires. Nous nous sommes revus régulièrement ; le plus souvent dans la maison de Farida, dans laquelle elle s’était installée avec notre fils. Toute la famille ne vivait plus que par et pour Iliès. Salah était devenu un vrai papi gâteux. Farida, aussi s’était découvert une âme de mamie, totalement au service de son petit fils. Rayan était un papa aux anges, toujours à l’écoute. Quant à Wissam, elle était devenue une mère exclusive. Plus rien ne comptait hors d’Iliès. Je me sentais presque rejeté. Je n’avais pas aimé cette période. Je regrettais presque la naissance de l’enfant, qui était pourtant le mien, mais envers lequel je n’avais pas de sentiments paternels particuliers. Je ne le considérais pas vraiment comme mon fils. C’était pour moi le fils de Wissam et de Rayan, dont, d’ailleurs il portait le nom.
Mais la venue au monde d’Iliès me permit de renouer le fil avec mon passé lointain. Il me permit de reprendre contact avec Fadhela, mon amour de jeunesse, qui m’avait quitté pour se marier avec un autre homme. Une après-midi, une quinzaine de jours après l’accouchement, elle vint rendre visite à sa nièce dans la maison de Farida. Cette après-midi là, j’étais là et ne pus m’empêcher de la rencontrer. J’étais assis sur le grand fauteuil du salon, attendant le retour de Salah qui était allé faire des courses dans le quartier. Elle entra dans le salon, accompagnée de Wissam qui me montra du doigt avant de s’éclipser. Ce que je remarquai immédiatement, c’était que Fadhela avait changé par rapport à la dernière fois que je l’avais aperçue : c’était au mariage de Wissam où je l’avais trouvée amaigrie, vieillie et enlaidie, engoncée dans un hideux hidjab marron. Cette fois-ci le hidjab avait changé de couleur, était plus élégant et luxueux et lui redonnait une partie de sa beauté d’antan. Il était en soie noire, bien assorti à la couleur chocolat de sa peau de métis. Elle me semblait plus en forme que la fois où je l’avais aperçue, près de deux années auparavant, au mariage de Wissam. Ses immenses yeux noirs et brillants, qui m’avaient ensorcelé vingt cinq ans auparavant, occupaient presque toute la superficie de son visage, entouré par un khimar en soie de la même couleur que le hidjab. Mais elle avait le regard triste. Plus rien du regard espiègle et plein de vie d’antan.
En la voyant, j’eus un léger mouvement de recul. En une fraction de seconde, toute une partie de mon passé m’était remonté en tête, accompagné de toute la rancœur que j’avais accumulée. Des années durant, je lui en avais voulu de m’avoir quitté pour se marier ave un autre. Et, je m’étais souvent dit que mon aventure avec Wissam n’avait pu avoir lieu que parce qu’elle en était le sosie parfait. J’avais l’impression en devenant son amant, que je prenais ma vengeance contre celle qui m’avait abandonné pour un péquenot qui n’avait rien de plus que moi, sinon qu’à l’époque, il avait déjà une situation et qu’il avait les moyens de l’épouser immédiatement. Tandis-que moi, je devais encore passer mon service militaire et trouver ensuite un job. J’étais resté sur cette rancœur très longtemps. Et au fond de moi, il y avait toujours cette blessure d’amour qui ne m’avait jamais quitté.
Fadhela eut elle aussi un instant d’hésitation en me voyant devant elle. Et puis immédiatement je vis un merveilleux sourire illuminer tout son visage. Le même sourire qu’il y a vingt-cinq ans. Le même sourire que celui de Wissam, sa nièce.
- Bonjour Rafik, fit-elle de la même voix chaude qui avait bercé ma jeunesse ! Comment vas-tu ? Wissam m’avait dit que tu serais là.
- Et tu es venue quand même ! Quel courage ! Tu n’as pas peur que ton mari sache que tu as rencontré ton ancien fiancé ?
Je ne pouvais pas m’empêcher d’être méchant. Je voulais presque la blesser. Je voulais lui faire mal. Comme elle, elle m’avait fait mal. Je vis son sourire s’effacer un très court instant, avant de revenir comme par enchantement. D’évidence, elle s’attendait à ma réaction. Wissam, à qui j’avais tout raconté sur mes rapports avec sa tante paternelle, lui avait certainement dit que je lui en voulais encore beaucoup et que ma blessure d’amour n’était toujours pas cicatrisée.
- Bien sûr que mon mari ne sait pas que j’allais te rencontrer. Il ne connait même pas ton existence. Je ne lui ai jamais parlé de toi. Et pour cause, c’est un jaloux intégral. D’une part, il ne m’aurait pas épousé s’il avait su que j’avais été amoureuse d’un autre garçon et que j’avais flirté avec lui. C’est un traditionaliste, devenu un islamiste depuis une vingtaine d’années. Et d’autre part, s’il apprenait que je ne suis venue visiter ma nièce que parce que je savais que tu seras là, il m’aurait égorgée.
- Tu es tombée aussi bas ? Tu as épousé un monstre ? Et tu es restée avec lui.
- Il n’est devenu monstre qu’après notre nuit de noces. Ce fut là que j’avais découvert sa vraie nature : un traditionnaliste avec toutes les tares qui vont avec. Pour lui une femme doit être enfermée et se « hidjabiser ». Elle doit faire des enfants et s’occuper de sa maison. Et c’est tout. Il m’a obligée, dès notre premier enfant à quitter mon travail. Et depuis, je ne sorts pratiquement pas. Heureusement que j’ai eu trois enfants qui ont été mon seul réconfort pendant tout ce temps, et le centre de ma vie.
- Je ne sais pas si je dois te plaindre ou en rire. Tu sais certainement combien j’ai souffert de ta trahison. Je n’avais pas compris pourquoi il te fallait absolument te marier aussi jeune. Alors que tu me répétais à longueur de temps que tu m’aimais. J’ai mis beaucoup de temps à me remettre de ton mariage. Mais au moins pendant tout ce temps-là, je pensais que tu étais heureuse. Et aujourd’hui, tu viens m’annoncer que ta vie d’épouse a été – et est encore aujourd’hui – un enfer. Alors pourquoi ?
- Je n’en pouvais plus de vivre avec mes parents. Tu connais ma mère – Dieu ait son âme - elle a toujours été très méchante. Elle me maltraitait beaucoup et me soupçonnait d’être une fille de mœurs légères, prête à m’offrir au premier venu. J’ai honte de te le dire, mais elle m’avait surpris un jour entrain de me caresser et elle en avait fait un drame. Et puis les parents de mon mari étaient venus demander ma main. Ma mère n’avait pas hésité une seconde. Elle la leur accorda, sans même m’en avertir. Elle savait que tu existais, et elle ne t’appréciait pas beaucoup. Tu n’étais pas un bon parti pour moi. En plus, elle savait qu’il te fallait encore quelques années pour être prêt au mariage. Trop de temps, par rapport au risque que la famille courait ave moi, toujours célibataire. Et tu connais la suite.
- Cela ne me suffit pas comme explication. Tu aurais pu m’en parler. En parler avec ton frère. Il aurait pu intercéder en ma faveur. Tu aurais pu fuir et venir chez moi. Tu n’aurais pas dû accepter aussi facilement. Il y a certainement autre chose.
- Oui ! Il était très beau ! Et j’ai cédé à la tentation. Il était l’image même du prince charmant. Et quand nous sommes sortis ensembles, après sa demande en mariage, il avait été tellement gentil, tellement intentionné, que je suis tombé dans le piège. Je m’étais dit que je gagnais au change, au moins physiquement. Tu étais beau toi aussi, mais pas comme lui. Tu as toujours été gentil, mais lui il avait la galanterie en plus. Du moins c’était ce que j’avais cru.
- Et maintenant ?
- Ne retourne pas le couteau dans la plaie. Je n’ai pas mis très longtemps à me rendre compte de mon erreur. Mais c’était déjà trop tard. J’étais son épouse et je lui devais respect et obéissance. J’étais prise au piège.
- J’espère que sexuellement au moins, ça marche entre vous.
- Tu penses ! Même au lit, c’est un traditionaliste. Je ne l’ai encore jamais vu nu. Et lui non plus ne m’a jamais vue nue. Il ne me fait l’amour que la nuit, dans le noir. Et il refuse absolument que j’aie une quelconque réaction de plaisir. Il répète toujours que seules les filles de rue prennent du plaisir en copulant. La copulation n’existe que pour procréer et, marginalement, pour permettre au mari de prendre son plaisir. L’épouse jamais !
Cette rencontre dans la maison de Farida – qui nous surveillait de loin, par peur que je brusque Fadhela dont elle avait appris qu’elle avait été mon amour de jeunesse – dura environ une heure, que nous passâmes à discuter ainsi de sa vie depuis vingt-cinq ans. Elle m’apprit aussi qu’elle avait trois enfant – une fille de vingt ans, qui avait entrepris des études de médecine, et deux garçons qui étaient encore au lycée – et qu’elle avait une énorme complicité avec eux. La fille surtout qui supportait mal le comportement rétrograde de son père vis-à-vis d’elles – la mère et sa fille - qu’il faisait surveiller de près. Je n’arrivais pas à analyser l’état mental dans lequel les confidences de Fadhela m’avaient mis. Il est certain que je ne lui en voulais plus autant. Il y avait en moi un mélange de pitié pour cette femme pleine de joie de vivre, transformée par son mari en machine à procréer et en prisonnière et de tendresse que je sentais monter en moi de manière inquiétante. J’avais peur de me remettre à éprouver pour Fadhela des sentiments qui nous mèneront elle et moi sur la pente glissante des relations interdites.
Je sentais que Fadhela aussi était sur le mode « nostalgie ». Si elle était venue rendre visite à sa nièce, c’était à cause de moi. Si c’était vrai, c’était parce qu’elle avait une idée pas très nette derrière la tête. Et je me disais que cette idée ne pouvait être qu’une reprise de nos relations, là où elles s’étaient arrêtées, il y a vingt-cinq ans. Pendant tout ce temps, elle n’avait pas vécu une seule heure de la vie dont nous avions rêvés elle et moi pendant les deux années où nous étions pratiquement fiancés. Nous avions beaucoup flirté et nous nous parlions beaucoup de sexe. Elle m’avait souvent laissé la caresser, même dans ses endroits les plus intimes et je l’avais souvent faite jouir en la caressant, en l’embrassant et surtout en lui appliquant des cunnilingus d’enfer. Elle me le rendait bien en me masturbant et en me faisant jouir avec sa bouche. Elle et moi attendions avec impatience le moment où nous pourrions faire vraiment l’amour ensemble. Elle n’ignorait rien de mon physique et elle n’hésitait pas à se mettre toute nue devant moi.
Et la voilà aujourd’hui en face de moi, quémandant en silence une reprise de nos relations. Elle n’osait pas me le demander, mais je sentais qu’elle était vraiment dans le besoin. Je soupçonnais un peu Wissam de lui avoir tout raconté sur notre relation torride et d’avoir semé en elle la graine du désir. Je ne savais pas quelle position il me fallait prendre. D’une part, moi-même je n’étais pas libre : entre Wissam, dont elle savait qu’elle était ma maîtresse, Farida, dont Wissam avait aussi dû lui la position vis-à-vis de moi et Soraya, dont elle ne connaissait pas encore l’existence, normalement il ne me restait pas de temps pour m’occuper d’une quatrième maîtresse. D’autre part, je me demandais comment elle pouvait se débrouiller pour trouver le moyen de me rejoindre chez moi, sans éveiller les soupçons de son mari. Je le lui dis.
- J’aimerai bien te revoir. Mais je me demande comment faire. Tu sembles ne disposer d’aucune liberté. Tu ne peux certainement pas te libérer toute une matinée ou une après-midi pour me rejoindre chez moi ;
- Tu veux encore de moi ? Tu m’aimes encore un peu ?
- Je ne sais pas si je t’aime encore, mais tu as réussi à réveiller en moi du désir. Ne m’en veux pas d’être aussi cru, mais si tu regardes un peu sur le devant de mon pantalon, tu verras une grosse bosse qui te prouveras combien j’ai envie de te tirer. J’ai envie de te montrer tout ce que tu as perdu pendant toutes ces années. Tu es choquée ?
- Non ! Moi aussi j’ai envie de goûter au plaisir sexuel. Et Wissam m’a affirmé que dans ce domaine, tu es un as. Bien sûr que je pourrais te rejoindre, une ou deux matinées par semaine, chez toi. Mon mari part deux fois par semaine à Oran pour récupérer des produits pour son magasin du Hamiz. C’est un gros commerçant en produits électroniques contrefaits. C’est comme cela qu’il est entrain de faire fortune. Et ces jours là, je suis seule à la maison. Si je n’avais pas peur que les voisins te surprennent, je t’aurais même demandé de venir me faire l’amour chez moi. Dans le lit conjugal. Cela me ferait tellement plaisir de le tromper avec toi, sous son propre toit.
…/…
Nous nous donnâmes rendez-vous chez moi pour le lendemain matin. A huit heures ; après le départ des enfants, qui à la faculté de médecine, qui au lycée. Le mari, lui, prenait la route aux aurores, pour Oran. Elle arriva chez moi à huit heures passée de quelques minutes. Elle avait pris le bus pour arriver au plus tôt. Elle sonna timidement, comme si elle était gênée par ce qu’elle allait faire avec un amant. Elle était dans le pécher et craignait la sanction divine. J’ouvris vite et la fis entrer dans le hall. Je refermais la porte et la pris dans mes bras pour la serrer très fort. Toute la nuit je n’avais pas arrêté de penser à elle. A ce que j’allais faire avec elle. A ce que j’allais faire d’elle. Je me disais que j’allais rattraper tout le temps perdu et prendre mon pied avec elle. Je me disais que j’allais la transformer en chienne pour lui faire payer toute ma souffrance passée. Je me disais qu’elle ne méritait pas cela et qu’au contraire j’allais me comporter avec elle en amant doux et attentionné et à la hauteur. Que j’allais la faire grimper aux rideaux et lui faire découvrir les merveilles de l’érotisme. Je mis du temps à m’endormir tellement j’étais impatient de la revoir. Et mon sommeil était lui-même rempli de Fadhela, Farida et Wissam qui se disputaient mes faveurs.
De nous deux, ce fut Fadhela la plus intimidée. Elle avait perdu l’habitude des rencontres galantes et ne savait pas comment se comporter. Elle semblait mal à l’aise entre mes bras. Je sentais son cœur battre très fort, comme devait battre le cœur d’une jouvencelle à son premier rendez-vous amoureux. Elle avait encore son hidjab en soie noire qu’elle portait la veille. Je voulais qu’elle s’en débarrasse pour paraître devant moi, comme elle était, il y a si longtemps. Je lui demandais donc d’enlever son Khimar pour dégager sa chevelure et son hidjab pour offrir son corps à mon regard concupiscent. Je n’essayais même pas de faire le geste de la déshabiller moi-même. Non pas parce qu’elle refuserait, mais parce que j’étais tellement maladroit que j’avais peur de lui déchirer ses vêtement. D’un geste gracieux, elle dégrafa l’épingle en or qui tenait son foulard et sa longue chevelure, couleur noir corbeau, ruissela sur ses épaules, lui donnant l’air d’avoir dix ans de moins qu’avec son khimar.
Je la regardais avec des yeux étonnés. Elle comprit que je la trouvais aussi belle qu’avant. Elle continua de se déshabiller en faisant passer par-dessus sa tête le hidjab noir, fait de plusieurs couches de tissu superposées pour enlever la transparente naturelle de la soie. Elle resta avec une petite chemise de nuit transparente, elle aussi de couleur noire, qui laissait deviner un soutien gorge à balconnets et une petite culotte, tous les deux de couleur blanche. Elle était magnifique ! Et tellement bandante. Elle ne semblait pas très à son aise. Elle paraissait gênée d’être presque nue devant moi. Depuis le temps, elle en avait perdu l’habitude. Elle ne savait plus quoi faire de ses mains. Un moment elle les mettait devant sa poitrine comme pour me cacher ses seins que je pouvais voir par transparence. Parfois elle les mettait devant son bas ventre pour essayer de me cacher la vision de son entrecuisse qui se devinait sous le tissu transparent de la chemise de nuit.
Pour mettre fin à son embarras, je la soulevai du sol et la portai directement dans la chambre à coucher. Je la jetai littéralement sur le lit et la fis s’allonger en travers. Je restai un moment debout à la contempler, avant de venir m’allonger à ses côtés. Je lui susurrais à l’oreille qu’elle était toujours aussi belle et désirable qu’avant. Et que j’allais lui faire vivre des moments intenses de plaisir. Et que si elle me laissait faire, elle se rappellera de ces moments toute sa vie. J’appuyais mes paroles par une série de baisers doux et tendres sur son visage et sur son cou nu. Elle commençait à se détendre et je sentis son corps frémir sous mes baisers. Je passais donc aux caresses. Je fis entrer une main sous le tissu de la chemise de nuit pour qu’elle soit au contact direct avec sa peau. Malgré le temps passé et l’âge, sa peau était restée aussi douce qu’avant : une peau de bébé, lui avais-je répété à l’époque. Mes caresses se firent de plus en plus pressantes et insistantes : sur son ventre, autour de ses seins, sur ses seins qui avaient perdu un peu de leur fermeté d’antan, mais qui étaient toujours aussi sensibles, sur ses épaules rondes et fermes.
Je voulais la voir toute nue. Je voulu la débarrasser de sa chemise de nuit et des autres tissus qu’elle avait encore sur elle et fis le geste de la déshabiller. Elle me précéda et en un tour de main elle se débarrassa de la chemise de nuit, du soutien gorge et, après une légère hésitation, de la petite culotte. Elle était maintenant toute nue. Splendide et offerte. Je ne pus m’empêcher de faire le parallèle avec le corps de Wissam. Exactement le même ; avec quelques années de plus et un empâtement coquin au niveau de sa taille. Elle avait aussi un tout petit ventre, qui la rendait encore plus désirable. Et le désir se voyait à la bosse impudique que j’avais sur le devant de mon pantalon de pyjama. Je pris sa main pour la poser sur la bosse. Elle eut un léger geste de recul, puis se rattrapa en s’emparant du monstre qui frémissait d’impatience/
- Ekhordji‘h men-essarwal ! Mazalou kima zman ! Kbir ou qwi ! Haki‘h ! (Sors-le du pantalon ! Il est toujours comme avant ! Grand et puissant ! Caresse-le !)
Je sentis sa main trembler un peu – l’émotion ! – puis passer par-dessous l’élastique du pantalon et aller directement s’emparer du manche. Je reçus une vraie décharge électrique ! Je ne pus m’empêcher de pousser un petit gémissement de plaisir, tant sa main avait gardé toute sa douceur d’avant. Elle promena sa main sur tout le manche, jusqu’aux couilles et revint titiller longuement le gland. Instinctivement je poussai les hanches vers l’avant pour lui signifier de continuer les caresses et même d’entamer une masturbation. Elle comprit très vite ce que je voulais. Elle me fit enlever complètement le pantalon et je restai habillé du seul tee-shirt que je portai. J’étais maintenant allongé sur le dos, le manche en érection maximale, brandi vers le plafond. Fadhela avait relevé le tronc pour mieux apprécier le monstre et pour être plus à l’aise pour me caresser.
Elle avait les yeux qui brillaient – de lubricité – et jouait avec mon manche comme si c’était un jouet mystérieux. Elle ne disait rien, mais chaque fois qu’elle tournait son visage vers moi pour me sourire, je voyais combien elle appréciait les mensurations du monstre ; ainsi que sa fermeté et sa douceur.
- Ach-hal chbab ! En-sit kifach kan ! En-sit kifach hlou ! Bghit en-di‘h m3aya ki en-roh ! (Qu’est-ce qu’il est beau ! J’avais oublié comment il était ! J’avais oublié combien il était doux ! J’ai envie de le prendre avec moi quand je partirai !)
Et elle avança la tête pour se rapprocher de lui. Elle déposa un tout petit baiser sur le méat du gland. Puis elle sortit sa langue pointue et agile et se mit à lécher tout le gland avant de passer à la hampe et aux couilles. Sa langue était aussi électrifiée que ses mains. Je sentais mon manche qui sursautait dans sa main droite. J’avais l’impression qu’il allait exploser tellement il avait grossi. Mon envie d’elle ne faisait que croître. Et avec elle, le besoin de la posséder immédiatement. Je n’avais plus la patience d’attendre la fin des préliminaires pour la pénétrer. Je la laissai me titiller le manche encore quelque secondes, mais au moment où elle s’apprêtait à ouvrir la bouche pour une superbe fellation – cela lui rappela qu’il y a longtemps, elle recevait régulièrement mon manche dans sa bouche, et qu’elle avait beaucoup aimée – je l’arrêtai en lui disant que je mourrais d’envie de passer aux choses sérieuses.
- Ma yendjemch yestena ! Lazem-lou yedkhoul fi souwtek ! 3amrou ma dkhoul fi souwtek ! Wekt i-dhoug‘ha ! (Il n’est plus capable d’attendre ! Il lui faut pénétrer dans ta chatte ! Il n’est encore jamais entré dans ta chatte ! Il est temps qu’il la goûte !)
Je vis le visage de Fadhela s’éclairer d’un immense sourire. Elle aussi voulait passer à l’essentiel. Elle voulait gouter à mon manche, dont elle était entrain de tester la force et la douceur. Elle accentua le sourire qu’elle avait sur les lèvres et me demanda de la prendre.
- Khoudh-ni ! Hayati kamla nemt zebek fi hatchouni ! Nemt yech-3al ennar fiya ! Nemt yetteffi nar li cha3lou ! Nemt yefferragh fiya litrat en-ta3 ezzal ! Yerekebli el-djouf ! (Prend-moi ! Toute ma vie, j’ai rêvé de ton zob dans mon vagin ! J’ai rêvé qu’il allumait un incendie en moi ! J’ai rêvé qu’il éteignait l’incendie qu’il a lui-même allumé ! J’ai rêvé qu’il déversait des litres de sperme en moi ! Qu’il m’engrossait !)
.../…
Je vins me mettre entre ses genoux légèrement relevés et lui fit écarter les cuisses de manière à avoir facilement accès à sa chatte. Je connaissais déjà cette chatte pour l’avoir, il y très longtemps, caressée et sucées. Elle avait gardée sa beauté initiale. Elle avait gardé la même couleur chocolat un peu plus foncé que le reste de son corps. Ses grandes lèvres étaient toujours aussi longues et ourlées et, d’après ce que je ressentais à travers le gland de mon sexe qui s’était posé sur elles, aussi fermes. L’intérieur- les petites lèvres fines, palpitantes et luisantes de mouille, et le clito en forme de tout petit zob - avait la même couleur cramoisie qu’avant. Et l’intérieur sombre de son entrée de vagin était aussi mystérieux qu’il y a vingt-cinq ans, quand elle me demandait de lui bouffer la chatte. Tout ce que j’avais en tête pour le moment, c’était de rattraper tout le temps passé sans avoir été le maître de cette chatte qui avait été l’obsession de ma vie.
Elle était maintenant sous moi, les cuisses écartées, les genoux relevés, prête à recevoir mon manche. Elle avait tendu les bras pour m’attraper par la taille et participer à la pénétration. Visiblement, elle était dans le même état d’attente que moi. Une attente en même temps insupportable et délicieuse. Nous étions en attente d’une délivrance que nous voulions immédiate. Ses bras commençaient à tirer sur ma taille pour que je commence à la pénétrer. Elle ne disait rien, mais ses yeux brillaient de mille étoiles. Ils m’invitaient – ils m’ordonnaient même - de la tirer sans plus attendre. J’avais une envie irrépressible de la pénétrer en force. De lui faire mal, dès le premier contact avec sa chatte. Mais je me retenais. Je voulais y aller lentement ; faire monter son excitation et son désir de plusieurs crans. Je voulais l’entendre me supplier de la pénétrer et de lui faire du bien. C’était cela qu’elle disait, il y a vingt-cinq ans, quand je caressais sa chatte avec mon sexe, en faisant un effort surhumain pour ne pas déraper : « fais-moi du bien !» Et je m’efforçais de lui faire du bien, en la faisant jouir avec les caresses de mon gland entre ses grandes lèvres, tout en faisant attention à ne pas provoquer d’accident.
Je présentai donc le gland de mon gourdin entre les grandes lèvres mouillées et caressai avec le clitoris et les petites lèvres palpitantes. Fadhela avait fermé les yeux, pour mieux ressentir les sensations qu’elle était entrain de vivre. Son visage était toujours éclairé par le sourire merveilleux qui ne l’avait pas quitté depuis qu’elle était allongée ainsi sous moi, offerte à mon désir de la posséder. Elle s’était mise à l’écoute des sensations que lui procurait le gland entrain de lui caresser la chatte. J’avais pris le manche dans ma main droite et le manœuvrais pour faire glisser le gland verticalement entre les grandes lèvres, en allant cogner à chaque fois sur le petit clito super sensible. Elle ne disait rien mais poussait des petits sifflements de plaisir. Je ne pouvais m’empêcher de penser à la manière de prendre du plaisir de Wissam : exactement la même. Elle sifflait, la bouche à moitié ouverte, en inspirant l’air dont elle avait un grand besoin. Je me faisais la réflexion, tout en continuant mes caresses que Fadhela et Wissam avaient les mêmes gênes. Sa respiration devenait de plus en plus rapide et ses sifflements de plaisir devenaient plus sonores. Son magnifique corps nu était tendu comme un arc sur le point de lâcher sa flèche. Un corps complètement en attente de la pénétration qui allait le délivrer de la pression qui était en elle. Pression qui était aussi en moi.
Et brutalement, j’enfonçais mon manche jusqu’au fond du vagin, inondé et chaud, de ma maîtresse. Bizarrement le tunnel que je traversais était très étroit. Je ne m’attendais pas à cela : vingt-cinq ans à se faire tirer par son mari aurait dû lui élargir le vagin. Ce n’était absolument pas le cas. Je lui fis très mal. Elle poussa un long cri de douleur, qui dura pendant tout le trajet de mon manche jusqu’au fond du tunnel et qu’elle essaya d’atténuer en découvrant mon étonnement. Dès le début de la pénétration et de la douleur, elle avait ouvert les yeux pour regarder et essayer de comprendre. Elle comprit très vite, et moi aussi par la même occasion, que le sexe de son mari, qu’elle n’avait jamais vu, devait vraiment être très petit par rapport au monstre qui était entrain de la posséder. Elle me lança un sourire éclatant et me fit signe de continuer, comme cela, en force. Elle était heureuse d’avoir mal. Elle me dit par la suite que c’était pour elle un nouveau dépucelage. Un vrai dépucelage !
J’étais heureux de lui montrer la force d’un vrai zob. J’en étais même très fier. C’était en quelque sorte ma revanche sur le sort qui m’avait fait perdre Fadhela et qui l’avait offerte à un homme qui ne la méritait pas. Il avait eu la primeur de son vagin et de son hymen, mais moi j’avais l’immense bonheur de démontrer à ma belle que j’étais le seul qui la méritait. J’étais celui qui lui montrerait pour la première fois de sa vie ce que signifiait un vrai zob d’homme. (Je sais pertinemment que c’était de la prétention de ma part, mais c’était réellement ce que je ressentais en ce moment béni où je prenais possession pour la première fois du vagin de Fadhela). Je ne pris plus aucune précaution et m’y pris presque brutalement pour la suite. J’entamai, en puissance et en force, un mouvement de va-et-vient qui me fit pousser à moi des rugissements successifs, marque d’un plaisir intense et à elle des sifflements de plaisir, mélangés à des petits cris de douleur, qui disparurent assez rapidement. Le plaisir fini par prendre le dessus sur la douleur de mes pénétrations brutales et violentes. Je regardais ma belle qui pâmait de plaisir; elle avait les yeux qui brillaient, la bouche grande ouverte et de la bave qui dégoulinait de la commissure de ses lèvres.
Elle n’était plus consciente de la situation dans laquelle elle se trouvait. Elle prenait un plaisir immense sous mes coups de boutoir et tout son corps me demandait de continuer de pilonner ainsi sa chatte. Elle tirait de plus en plus frénétiquement sur ses bras, pour que je la pine encore plus fort et plus vite. Des mots sortaient de sa bouche, mais mourraient sur ses lèvres avant de devenir audibles et compréhensibles. Je la regardais qui essayait de me dire quelque chose ; mais elle n’y arrivait pas. Sa respiration devenait de plus en plus haletante et il me semblait qu’elle n’allait pas tarder à étouffer, si je n’arrêtais pas. Mais je ne voulais pas arrêter. Et elle non plus. Elle voulait jouir très fort et elle sentait qu’elle n’allait pas tarder à le faire. Je suivais sur son visage la progression de l’immense orgasme qui pointait son nez. Ses lèvres s’étirèrent tellement qu’elles devinrent toutes blanches, comme si tout le sang qu’elles contenaient avait disparu ; sa bouche s’ouvrit largement et se tétanisa ; et ses yeux se fermèrent complètement. Et soudainement, elle se relâcha complètement et partit dans un râle de mourante, long, rauque et tellement sonore que tous les voisins avaient dû entendre. Et elle eut une longue, très longue, jouissance tellement intense, qu’elle sombra, un moment, dans l’évanouissement.
Je continuais à pilonner la chatte de ma mie. C’était tellement bon ! Son vagin étroit était un vrai paradis pour mon manche. C’était serré, chaud et humide ! J’y allais toujours avec autant de force et de puissance. Je limais de plus en plus fort la paroi du magnifique vagin. J’y allumais un énorme incendie que seul pouvait éteindre la tonne de sperme que je sentais arriver. Encore un aller-retour et je poussai un immense «aaaaah !» de jouissance, aussi sonore que le râle qu’avait poussé quelques secondes avant moi Fadhela. J’éclatai comme une bombe, en envoyant une énorme giclée de foutre, épais et brûlant, au fond du vagin, brulant et inondé, de ma maitresse. Je continuais un moment les allers-retours de mon manche dans le vagin tétanisé de Fadhéla et éjaculai tout ce qui me restait de sperme. Une grande partie ressortit sous l’aspiration de mon manche et alla s’étaler sous les fesses relevées de ma maîtresse. J’étais complètement essoufflé et me laissai tomber sur le ventre de Fadhela, qui avait toujours du mal à retrouver sa respiration normale. Elle me repoussa doucement, pour m’indiquer que je pesais trop lourd et que je l’empêchais de reprendre se respiration. Je sortis mon manche encore d’attaque du vagin de ma mie et m’allongeai à côté d’elle, en essayant moi aussi de reprendre tous mes esprits.
Quand les choses se remirent en place, quand la chambre arrêta de tourner autour de nous, et quand notre respiration reprit son rythme normal, nous ouvrîmes les yeux pour contempler le résultat de notre première union. L’union de nos deux corps et de nos deux âmes. Nos yeux étaient maintenant rivés les uns aux autres. Je lisais dans son regard comme dans un livre : elle était heureuse ! Heureuse d’avoir vécu quelque chose de très fort ; quelque chose qu’elle avait espéré vivre, il y a de cela vingt-cinq ans, mais qu’elle ne vécut que ce jour-là. Elle m’avoua en me regardant toujours dans les yeux, qu’elle n’avait jamais imaginé ou même rêvé d’un plaisir aussi intense. Je vis quelques larmes couler de ses yeux. Elle pleurait parce qu’elle avait maintenant conscience qu’elle avait perdu les meilleurs moments de sa vie, sans connaître le vrai bonheur. E moi, toujours aussi goujat, j’étais content de moi. Je venais de prendre ma revanche sur le sort. Et Fadhela, savait maintenant que c’était avec moi qu’elle aurait dû se marier Et surtout, elle savait pourquoi !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres exitente bien intreprete .....mais avec une suite .......ca doit pas arrete a une
seule rencontre......!
seule rencontre......!
Vous avez beaucoup de tallent Djaffar merci pour ces récits.