Kamila et Lotfi, Episode 5.1

- Par l'auteur HDS GERACHE -
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 99 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de GERACHE ont reçu un total de 1 672 989 visites.
Récit libertin : Kamila et Lotfi, Episode 5.1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2011 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 10 169 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Kamila et Lotfi, Episode 5.1
Voix de Lotfi
Le trio que nous formions Kamila, Abdelkrim et moi – et qui se transformait en quatuor avec la participation de Ali – continua un temps à vivre sa sexualité débridée et assumée. Chacun de nous y trouvait exactement ce qu’il recherchait: le plaisir sans limite. Ali, qui était devenu, surtout pour Kamila, un membre essentiel du groupe ne vivait pas en permanence avec nous. Il avait des engagements et des responsabilités par ailleurs, qu’il lui fallait assumer. Entre autres, des responsabilités familiales, qui lui interdisaient de venir s’installer chez nous, comme l’avait fait Abdelkrim. Depuis qu’il avait fait connaissance avec Kamila et moi, il n’avait encore jamais passé une seule nuit avec nous. Il se contentait de se mêler, en général en fin d’après-midi après l’entraînement, aux ébats enflammés de notre trio et d’en devenir, petit à petit, l’élément moteur. Il était de fait celui qui procurait à chaque membre de notre groupe le maximum de plaisir. Pour Abdelkrim et moi, un plaisir de candauliste et pour Kamila de la jouissance et des orgasmes qui la transportaient vers les plus hautes cimes du plaisir érotique.
Ali, lui aussi y prenait un plaisir non feint ; et il le disait. Mais à la fin des ébats – qui pouvaient durer jusqu’à deux heures d’affilée – il quittait le groupe et allait vaquer à ses occupations familiales – il avait une maman veuve et deux jeunes sœurs adolescentes, dont il s’occupait – laissant à chaque fois un vide dans le cœur de Kamila, qui s’était très fortement attachée à lui. Elle adorait les moments où elle subissait les assauts furieux de l’énorme zob de l’homme ; elle en tirait un plaisir immense, chaque fois renouvelé et jamais démenti. Cela faisait maintenant plus de deux mois qu’elle était devenue sa maîtresse et ne se rassasiait toujours pas de sa vigueur dans l’acte et de la capacité de son manche à toujours rester debout. Il avait toujours envie de baiser. Et elle adorait cela.
Mais ce qu’elle aimait le plus chez Ali, c’était sa manière de la posséder : tout en puissance ! Au lit, il était le taureau que sa physionomie lourde et ramassée, laissait transparaître. A chaque fois, malgré que depuis, elle connaissait par cœur la force de pénétration du manche de son amant, la douleur était toujours présente. On aurait dit que sa chatte et son cul n’avaient pas été élargis par les dizaines de pénétrations de l’immense zob, en forme de sabre recourbé. Elle le ressentait toujours aussi fortement et la brutalité des coups de reins de l’homme, lui faisait toujours aussi mal. Elle adorait cette douleur ! Et elle le criait !
Quand, pour une raison ou une autre – problèmes familiaux ou regroupement de l’équipe nationale de judo pour des entraînements ou des compétitions – Ali ne venait pas, Kamila était dans tous ses états. Elle qui était toujours d’humeur égale – devenait nerveuse et irascible. Elle tournait dans l’appartement comme un animal en cage. Elle n’était pas à prendre avec des pincettes. Même ma présence et celle de Abdelkrim ne lui apportait pas l’apaisement qu’elle recherchait. Et quand nous nous y prenions à deux pour l’apaiser sexuellement et la faire jouir, elle nous consentait un ou même deux orgasmes - d’intensité moyenne, il faut bien l’avouer - puis reprenait rapidement son humeur de femme insatisfaite. De femme à qui il manquait quelque chose ou quelqu’un de vraiment indispensable à son équilibre.
AEK et moi nous nous étions bien rendu compte du changement de comportement de Kamila depuis l’arrivée d’Ali, mais nous n’en étions pas jaloux pour autant. Nous adorions regarder le couple faire l’amour et atteindre les plus hautes cimes du plaisir. Que nous participions ou non aux ébats amoureux du couple, nous prenions nous aussi notre pied et étions très contents de voir notre « épouse » si heureuse entre les bras d’Ali, le taureau. Nous aussi, à l’image de Kamila, nous nous morfondions de ses absences plus ou moins longues.
Et quand il revenait, c’était vraiment la fête ! Avec feux d’artifice et séances de rattrapage des moments perdus ! Ali se prêtait volontiers à toutes les expériences que Kamila, Abdelkrim et moi voulions lui faire faire pour accroître encore plus l’intensité du plaisir que nous vivions. La nouvelle lubie de Kamila – sa punition pour son absence ? - était de se faire prendre debout, adossée contre le mur du salon. Elle obligeait Ali à la soulever du sol, à la maintenir à hauteur de son pubis, à la plaquer contre le mur et à la pénétrer debout et en force. Kamila étant lourde et le bonhomme, malgré sa force herculéenne, devait faire des efforts surhumains pour satisfaire sa partenaire, sans faiblir et sans la laisser tomber.
La position debout, conjuguée au poids de la belle et à la durée de l’acte, faisait qu’au bout de l’opération, Ali était sur les rotules. Mais Kamila, elle, était au comble du plaisir. Elle avait exactement tout ce qu’elle voulait : un énorme sexe qui la pénétrait en force jusqu’au plus profond d’elle-même ; son homme qui devait faire de plus en plus d’efforts pour la satisfaire – plier les jambes pour sortir du tunnel et repartir à l’intérieur par une poussée accompagnée d’un ahanement de bucheron entrain de s’attaquer à un arbre centenaire ; une forte douleur à chaque pénétration du sexe qui raclait tout sur son passage ; les bras de l’homme qui la maintenait en suspension en l’air, pour pouvoir pilonner sa chatte ; le visage du partenaire sur lequel elle pouvait lire et l’effort et le plaisir et, à la fin du parcours, la fatigue; et enfin la jouissance qui arrivait pour tous les deux, énorme et incommensurable. Elle déchargeait à chaque fois une quantité incroyable de cyprine, qui se mélangeait à tout le sperme épais et brulant qui giclait en force et en masse dans son tunnel et qui allait s’étaler par terre, après avoir transité par les bourses du bonhomme. Et elle hurlait son bonheur !
- Yemma ! Arrouahi t’choufi bentek ! T’a’ati souwet’ha le radjel li a‘andou zeb kh’chin ! li yenik ’ha bel wegfia! (Maman viens voir ta fille! Elle offre sa chatte à un homme qui a un gros zob ! Un homme qui la baise debout !) Radjel li yetla’a ’ha le sma essaba’a ! (Un homme qui la transporte au septième ciel !) Choufi bentek ach hal sa’ida ! (Regarde ta fille comme elle est heureuse !)
Kamila, même après avoir joui comme une folle, en appelant très fort sa maman, voulait rester dans la même position, pour qu’Ali puisse repartir à l’assaut immédiatement après. Elle ne se contentait jamais d’une seule fois ; elle en voulait toujours plus : deux fois, puis trois et même quatre fois de suite. Malgré sa grande résistance, Ali finissait par terre, à genoux, avec la femme qui refusait encore de laisser le manche quitter sa chatte. Ce n’était que quand, il s’affalait totalement, qu’elle acceptait finalement de libérer Ali ; elle s’allongeait alors à ses côtés et le remplissait de baisers, en lui répétant à chaque fois, que la prochaine fois qu’il s’absentera encore, elle le punira plus fort.
- ’Hakdha ma te’awoudch troh ou t’khelini ! (Comme cela tu ne m’abandonneras plus!)
- Bel a‘aks ! ’hakdha li n’rouh ! Ou koul mara en’nikek bel wegfia! (Au contraire! C’est comme cela que je recommencerais! A chaque fois je te tirerais debout!)
AEK et moi pendant ce temps, ne perdions pas une seule once du spectacle. Spectacle tellement érotique et bandant, que tous les deux nous sortions nos manches en érection et nous nous masturbions doucement en nous regardant de temps en temps. Nous nous sourions et puis nous reprenions, chacun de la place où nous nous étions réfugiés, notre séance de voyeurisme. L’un et l’autre étions toujours au comble de l’excitation. Voir notre « épouse » se faire tirer comme cela et prendre autant de plaisir, nous procurait une joie indicible. Il m’était impossible de me mettre à la place de ma femme pour savoir exactement ce qu’elle ressentait sous les coups de reins furieux de son amant, mais j’étais certain que notre jouissance à Abdelkader et à moi, était aussi intense que la sienne. Et pourtant, nous ne participions presque jamais à leurs ébats.
Parce que même quand ils ont fini de baiser comme des bêtes, ils restaient enlacés comme des amoureux et refusaient de se séparer. Ce n’est que quand Ali s’en allait, la nuit tombée, pour rejoindre sa famille, que Kamila devenait disponible pour nous. Parfois, elle s’offrait à nous. C’était alors le bonheur à l’état pur. C’était surtout quand elle avait besoin d’une double pénétration, qu’Ali ne pouvait pas lui assurer tout seul, qu’elle se faisait câline avec nous et nous offrait ces moments de pur bonheur. Et nous la prenions – Abdelkader, toujours par devant et moi par derrière – et en ces moments là, elle jouissait aussi fort qu’avec Ali. Et nous jouissions nous aussi fort que Ali, un peu avant nous.
Mais la plupart du temps Kader (nous l’appelions de temps en temps par ce diminutif de Abdelkader) et moi, nous nous contentions du spectacle de notre belle entrain de faire l’amour avec Ali. Et cela nous suffisait. Abdelkader se masturbait alors vigoureusement et allait éjaculer sur Kamila, qui n’avait encore jamais refusé de recevoir son foutre et de s’en enduire le haut du corps avec ses mains ; il lui arrivait même de lécher ses doigts pour avaler un peu de sperme, tout en nous regardant avec son air malicieux et coquin. Il m’arrivait aussi, quand mes bourses étaient vraiment trop pleines, de me masturber vigoureusement et d’éjaculer sur Kamila – en exigeant quant à moi, que cela soit directement dans sa bouche. Et elle acceptait et avalait avec délectation tout ce qu’elle recevait. Elle savait que j’adorais la voir ainsi et elle me faisait ce plaisir. Je crois qu’elle avait réellement fini par aimer le goût du sperme ; le mien comme celui de ses deux autres hommes.
../..
Notre vie continua ainsi environs deux mois encore. Et puis tout bascula à partir d’une phrase que Kamila prononça plusieurs fois au cours de ses ébats avec Ali. Elle disait – nous l’avions entendu clairement Kader et moi - qu’elle voudrait être baisée par plusieurs hommes en même temps. Elle disait qu’elle voulait voir tous ses trous remplis par de gros zobs et qu’elle aimerait en même temps voir d’autres hommes attendre leur tour pour la niquer. Elle le disait, comme à son habitude en arabe et avec ses mots crus.
- Djibouni a’achra erdjal inoukouni ! (Amenez-moi dix hommes pour me niquer !) A’Achra zboub ! (Dix zobs !) I a’amrouli etqabi ! (Ils me rempliront mes trous !) I redouni qahba ! (Ils me transformeront en pute !) Bghit en’weli qahba ! (Je veux devenir une pute !) Redouni qahba ! (Transformez-moi en pute !)
Elle disait certainement cela sous l’effet des sensations qu’elle avait sous les coups de boutoir du magnifique zob d’Ali ! En ces moments-là j’avais remarqué qu’elle n’était plus elle-même ; qu’elle se dédoublait totalement : une partie d’elle subissait les assauts furieux de son amant ; l’autre partie planait dans les airs et jouissait du spectacle. C’était certainement cette partie qui fantasmait ainsi et s’exprimait de la sorte. Kamila-bis voulait se regarder entrain de subir les assauts d’une dizaine d’amants et démultiplier d’autant le plaisir qu’elle était entrain de prendre avec Ali.
Longtemps, nous n’avions pas accordé d’importance à ces dérapages verbaux de notre compagne. Ni Kader, ni Ali, ni même moi, ne nous étions arrêtés sur cela. Nous oublions les phrases dès la fin des ébats qui étaient à leur origine. Mais inconsciemment, l’idée faisait son chemin dans ma tête. En fait, ce fut sur moi que cette idée de voir ma femme baisée en même temps par une dizaine de garçons, fit le plus d’effets. Une quinzaine de jours après avoir entendu ma femme formuler ce vœu sous l’effet du plaisir qu’elle prenait avec Ali, je m’en ouvrais à Kader pour savoir ce qu’il en pensait.
- Que penses-tu de l’idée que Kamila soit baisée en gang bang ? Tu as entendu comme moi, le nombre de fois qu’elle nous l’a demandé ! Tu crois qu’elle est vraiment sérieuse ? J’ai un peu honte de te le dire, mais l’idée me titille vraiment ! Et toi ?
- Moi aussi !
- Tu crois qu’on peut organiser ça ?
- Sans aucun problème, avec mes amis, les judokas du club ! Tu crois vraiment qu’elle acceptera ? Et qu’Ali marchera ?
- Nous leur demanderons quand le moment sera propice. Ça te plairait vraiment ?
- Je crois que oui ! Si Kamila accepte, bien entendu ! Il ne faut pas que cela soit contre son gré ! Tu crois qu’elle appréciera vraiment d’être jetée en pâture à un groupe de jeunes hommes affamés de sexe, qui la transformeront en objet de satisfaction de leur luxure ? En chienne ?
- Je ne sais pas, mais j’ai vraiment envie de voir ça ! Je ne suis pas normal, n’est-ce pas ?
- Nous ne sommes pas normaux tous les deux ! Parce que moi-aussi j’ai vraiment envie d’assister à ce spectacle ! Et je suis certain que j’en prendrais énormément de plaisir !
../..
Voix de Kamila
Quand, le lendemain matin, AEK vint me susurrer à l’oreille la « bonne nouvelle », je tombais littéralement des nues.
- J’ai six magnifiques garçons pour toi ! Tous des sportifs de haut niveau, beaux et forts ! Et probablement super bien membrés !
- …
- Tu as toujours voulu te faire tirer par plusieurs hommes en même temps. Tu n’as pas arrêté de le hurler depuis près d’un mois, pendant que tu baisais avec Ali. Et bien j’ai ce qu’il te faut : six jeunes hommes bien virils – des judokas qui font partie de mon club - qui te transporteront encore plus loin dans le plaisir, que ce que tu as connu jusqu’ici avec nous. Ne me dis pas que ce n’était pas sérieux. Que ce n’était qu’une manière pour toi d’exprimer le plaisir que tu prenais avec Ali.
- Je ne disais pas cela sérieusement. D’ailleurs, je ne me rappelle même pas avoir émis un pareil désir. Les paroles ont certainement dépassé ma pensée. Je me vois mal livrée, comme un vulgaire objet, à une bande de mecs qui feront de moi ce qu’ils voudront.
- C’est pourtant bien ce que tu disais et j’ai fait le nécessaire pour que cela advienne dès demain. Je ne peux plus revenir sur ma parole. Il me serait impossible de retourner m’entraîner au club, si je ne tenais pas parole.
- Mais tu es fou ! Je refuse ! Je ne suis pas une pute ! Et même si je l’étais, je n’aurais pas accepté ! Et puis que penserait Lotfi ! Et Ali !
- C’est Lotfi qui, le premier, a eu l’idée. Et Ali ne sera pas là demain. Il sera absent pour toute la semaine. Il part à l’étranger pour une compétition. C’est une occasion en or pour toi de vivre une expérience très différente de ce que tu as vécu jusqu’ici. Cela ne t’engage que pour cette fois-ci. Fais-le pour Lotfi et moi. Depuis une quinzaine de jours, nous ne rêvons que de ça. Ne nous déçois pas.
Pour être vraiment franche, je ne sais pas aujourd’hui encore ce qui m’avait poussée à tenter cette expérience, qui ne faisait aucunement partie de mes fantasmes sexuels. J’avais bien sûr, au cours de mes ébats avec Ali, émis ce désir de me faire tirer par plusieurs hommes en même temps, mais ce n’était pour moi qu’une manière d’accroître l’intensité de l’excitation et du plaisir que je prenais, en ces moments là, sous les coups de reins de mon amant. Les phrases que je prononçais ne servaient en fait qu’à cela: elles avaient un pouvoir aphrodisiaque énorme et j’adorais cela. Mais voila que mes « maris » avaient pris ces mots au pied de la lettre et voulaient qu’ils se concrétisent. Ils avaient même fait le nécessaire pour que l’expérience ait lieu le lendemain, en l’absence d’Ali, qui aurait probablement été réticent pour une telle expérience.
J’étais décidée à refuser net. Mais au lieu de cela, je n’avais rien dit. Et qui ne dit rien consent, disait l’adage ! Et bien, AEK avait pris mon silence pour un accord. Et il alla immédiatement l’annoncer à Lotfi. La joie qu’ils affichèrent tous les deux, avait fini par me convaincre. Je passais le reste de la journée à penser à la chose et à me mettre en situation. Au réveil le lendemain, j’étais psychologiquement prête à me transformer en objet sexuel offert en pâture à une bande de jeunes affamés, qui allaient faire de moi absolument tout ce qu’ils voudront. Et en fait, cela ne me posait plus aucun problème moral.
Je n’espérais même pas en tirer du plaisir. Je me disais que le plaisir érotique ne pouvait pas provenir de telles pratiques. Je ne voyais pas par quel phénomène, je pouvais être heureuse, offerte à plusieurs hommes en même temps ; des hommes qui auront sur moi absolument tous les droits, sans que je n’aie rien à dire. J’avais bien entendu vu, à travers de vidéos pornographiques, des séances de gang bangs et je savais de quoi il en retournait. Cela ne m’avait jamais vraiment emballée. Et malgré cela j’avais accepté de vivre l’expérience ! Je me consolais en me disant que je ne ferais cela que pour faire plaisir à mes deux « époux ».
Ce fut, le cœur un peu serré, que vers dix sept heures, nous arrivâmes, AEK, Lotfi et moi devant le club de judo. Nous entrâmes – moi, essayant de ne rien montrer de mes appréhensions – dans la salle d’entraînement où se trouvaient six jeunes hommes en kimonos blancs, qui étaient entrain de s’échauffer. Ce fut tout d’abord la forte odeur de fauve qui régnait dans la salle qui me frappa. Un mélange d’odeur de sueur, de respiration et de pieds. Et ce fut cette odeur qui annihila toutes mes inhibitions et me mit en situation psychologique favorable pour affronter les six bonshommes qui avaient arrêté leur échauffement pour me regarder. Ils m’observaient de la même manière qu’un animal prédateur épiait sa proie, avant de l’attaquer.
En respirant la forte odeur de fauve qui régnait dans la salle, je me rappelais que Ali et AEK, quand ils revenaient à la maison après l’entraînement, avaient toujours sur eux le parfum du gel douche ou du savon qu’ils avaient utilisés pour se laver. Ils n’avaient plus aucune trace des efforts physiques qu’ils avaient fournis pendant l’entraînement. Je n’avais encore jamais réfléchi à ce qu’ils pouvaient dégager comme odeur, s’ils ne s’étaient pas douchés. Et bien maintenant, je le savais : une odeur de fauve ! Et cette odeur avait eu immédiatement sur moi un énorme effet aphrodisiaque. J’avais tout de suite ressenti comme un fourmillement au niveau de mon bas-ventre et ma chatte s’était même mise à mouiller.
Plus rien ne comptait plus que cette envie de faire l’amour. Je regardais plus attentivement les jeunes hommes qui étaient en face de moi. Ils étaient six, tous différents les uns des autres. Et parmi eux, il y avait même un noir ! Mon fantasme érotique suprême ! Une espèce de brute épaisse, aussi haut que large, la tête complètement rasée ; les yeux de feu, presque rouges ; la bouche énorme avec des lèvres épaisses, qui s’ouvraient sur une superbe dentition d’une blancheur immaculée. Il était aussi noir qu’un africain d’un pays subsaharien. Mais ce n’en était pas un ; il était originaire du grand sud algérien et sa couleur d’ébène devait s’expliquer par une absence totale de métissage dans ses gènes. C’était très rare dans le pays, où les mélanges étaient la règle. Il n’arrêtait pas de sourire de toutes ses dents, tout en me dévisageant de manière effrontée, avec ses yeux de feu, se demandant certainement à quelle sauce, ou dans quelle position, il allait me consommer. Et ce regard, et toutes les promesses de stupre que j’y lisais, m’avaient immédiatement transporté dans un monde de désir charnel de plus en plus intense. Je ne voyais que mon black - tous les autres n’existaient plus - et inconsciemment, je le dévorais déjà du regard. Je le voulais ! J’étais sûre qu’il avait un immense pilon ! Et je voulais son immense pilon ! Je voulais gouter à sa force de pénétration ! Immédiatement !
Je jetais un regard rapide - beaucoup moins intéressé - sur le reste des jeunes hommes. Ils étaient eux aussi impressionnants - tout de même moins que mon black ! : tous grands – taille minimale, un mètre quatre-vingt – et vigoureux. Quatre d’entre eux étaient très bruns et basanés. Quant au cinquième, c’était un énorme rouquin dont la morphologie me rappelait cette de Ali. Sauf que, contrairement à ce dernier, le rouquin était beau ! Tous les six étaient entrain de jauger ce cadeau qui leur tombait du ciel et imaginaient tous le plaisir qu’ils allaient prendre en me possédant. D’évidence, ils appréciaient ma beauté et les appâts que je présentais. Ils ne s’attendaient certainement pas à un tel cadeau.
J’étais vêtue d’un jogging d’été – en coton léger et à manches courtes – qui mettait en valeur toutes les formes de mon corps. Et des formes, j’en avais à revendre !
- Je vous présente K. Vous voyez que je ne vous avais pas menti en vous assurant que j’allais vous amener une vraie beauté. Je te présente – de gauche à droite : Rabah, Mohammed, Krimo, Redhouane. Le rouquin c’est Lyes ! Le grand noir c’est Menouar ! Il nous vient de Béchar. Il n’a que vingt deux ans et une immense carrière de champion poids lourd l’attend. Choffou essel’a ! (Matez un peu la marchandise !)
Tout en parlant, il s’était placé derrière moi et d’un seul coup, il fit passer le haut de mon jogging par-dessus ma tête. Je restais ainsi torse nu avec mes seins en forme d’obus de canon de gros calibre, pointés vers l’avant. Je savais que j’étais belle – si j’osais, je dirais même magnifique – et l’effet que ma demi-nudité fit sur les six hommes était à la hauteur des attentes de Kader. Ils avaient tous les yeux qui voulaient sortir de leurs orbites, tant ce qu’ils voyaient les excitaient. J’étais sûre qu’ils commençaient à bander comme des cochons; mais leurs kimonos cachaient leur entrejambes et je ne pouvais encore rien voir.
AEK ne s’arrêta pas là. D’un geste brusque, il descendit le pantalon de mon jogging sur mes chevilles et présenta ainsi tout le bas de mon corps nu - je ne portais pas de petite culotte - à ses amis. Un silence de mort se fit dans la salle. Chacun des six hommes étaient plongé dans son observation éhontée du corps de la splendide femme qui leur tombait du ciel. Menouar bavait littéralement en regardant mon mont de vénus rond et brillant, sans aucune trace de poil et, en dessous, mes grandes lèvres longues et ourlées qui, me semblait-il - tant j’en ressentais l’humidité - luisaient de mouille. Les autres bonshommes étaient dans le même état d’excitation. Mais moi je ne voyais que mon magnifique black. Je le voulais ! Je voulais que les autres - tous les autres - disparussent et nous laissassent seuls, Menouar et moi.
- Nehou houwayedjkoum ou weriw l’ha kifach khadmine ! (Enlevez vos tenues et montrez-lui comment vous êtes faits !) weriw l’ha wach ‘a’andkoum bin redjlin ! (Montrez-lui ce que vous avez entre les jambes !) weriw l’ha wach i stena ’ha ! (Montrez-lui ce qui l’attend !)
Après une brève hésitation, chacun des garçons enleva le haut de son kimono et resta un moment torse nu, hésitant à aller plus loin. AEK dût insister pour qu’ils, Menouar le premier, enlèvent le pantalon et le slip ou le boxer qu’ils portaient. Moi, je ne surveillais que mon black. J’attendais en tremblant ce qui allait apparaître sous son boxer. Et merveille des merveilles, ce qui apparut était d’une splendeur absolue ! Une superbe queue, longue, grosse, lisse et brillante, surmontée d’un immense gland, large et pointu ! Une queue vraiment belle, et bien entretenue ! Il n’y avait pas la moindre trace de poils, aussi bien sur son pubis que sur les couilles, grosses et contractées – qui paraissaient aussi dures que de la pierre. Il n’y avait pas non plus de poils sur toute la hampe; ni même une de ces grosses veines qui enlaidissaient souvent les zobs les plus puissants. Je me fis la réflexion que ce zob là devait avoir la force de pénétration d’un marteau piqueur ! Un marteau piqueur qui allait creuser en moi et m’emmener au sommet des plus hautes montagnes du plaisir.
J’avais du mal à retenir ma main qui voulait se tendre et aller à la rencontre de cette énorme queue. Elle était encore trop loin de moi. AEK qui était resté derrière moi et me tenait par la taille, me souleva de terre et me posa sur le tatami à une cinquantaine de centimètres de Menouar. Il me susurrait à l’oreille :
- A’adjbek el kahlouch ! A’andou zeb kbir ki t’a’a lahmar ! A’adjbek zebou ! (Il te plait, le black ! Il a un zob aussi grand que celui d’un âne ! Son zob te plait !) Bghitou yedkhoul fik ! Bghitou ye ga’arek ! (Tu veux qu’il te pénètre ! Tu veux qu’il te transperce !)
- Bghiiiiiiiiitttttt ! Goul lou i nik ni ! (Je veeeuuuux ! Dis-lui de me niquer !) I nik ni ’houa ! Ghir ’houa ! (qu’il me nique lui ! Rien que lui !) Loukhrin i chouffou bark ! (Les autres devront se contenter de regarder !) I nikou ni ki ’houwa ye’ayia ! (Ils me baiseront quand lui sera fatigué !) Arouah, nik ni bel wegfia ! (Viens, baise-moi debout !)
Je venais de m’adresser directement à mon black, en lui ordonnant de me tirer en position debout. Je voulais sentir de suite toute la force de son manche. Je voulais qu’il me prenne brutalement et qu’il me fasse mal. Il était grand, fort et puissant. Je voulais qu’il me soulève de terre et qu’il me maintienne très haut, tout en pilonnant ma chatte. Je voulais que son manche me pénètre au plus profond et qu’il atteigne ma gorge ! Qu’il ressorte par la bouche ! Je délirais littéralement en attendant qu’il se positionne devant moi et qu’il s’occupe de ma chatte. Il s’approcha à quelques centimètres, mit ses immenses paluches sur ma taille et me souleva aussi facilement que si j’étais un fétu de paille.
- Helli redjleik ! (Ecarte tes jambes !)
Il m’ordonna cela d’une voix douce, mais sans appel. J’écartais mes jambes pour les placer de part et d’autre de sa taille. Il me tenait par en dessous des fesses pour me garder à la bonne hauteur. La hauteur qui permettait à son manche de se placer à l’entrée de ma chatte. J’avais le visage au même niveau que le sien. Il en profita pour m’embrasser goulument sur la bouche. Ses lèvres étaient de véritables ventouses. Il aspira littéralement les miennes, tout en cherchant à faire pénétrer sa langue à l’intérieur de ma bouche. Je laissais faire et en profitait pour gouter à sa salive. Elle était délicieusement sucrée ! Le baiser qu’il m’appliqua dura une éternité !
Tout en m’embrassant goulument, il tortillait des hanches pour pouvoir positionner son membre entre mes grandes lèvres. Il mit un peu de temps pour trouver la bonne position. Il ne pouvait pas s’aider d’une de ses mains pour guider son manche. Elles étaient toutes les deux occupées à me tenir dans la position dans laquelle j’étais. Je ne pouvais pas non plus l’aider, mes mains étant elles-mêmes occupées à m’accrocher à son cou pour tenir la position. J’étais en attente qu’il me pénètre ! Mais pas impatiente ! Je profitais intensément de la merveilleuse sensation du membre – en même temps très dur et très doux – qui frottait contre mes grandes lèvres, cherchant l’ouverture qui lui permettrait de pénétrer à l’intérieur de mon nid. C’était divin ! Peut-être aussi bon que la pénétration qui allait fatalement advenir ! Je coulais littéralement sur le manche qui frétillait d’impatience de se retrouver dans sa maison !
Je jubilais ! Car même si le manche n’arrivait pas encore à trouver l’ouverture, le frottement qu’il produisait en cherchant, me transportait déjà de plaisir. Il frottait contre mon clitoris et provoquait en moi de divines décharges électriques. C’était si bon de sentir toute la force et la vigueur du monstre ! Je voulais en même temps qu’il trouve l’ouverture pour pénétrer à l’intérieur de mon trou, qui lui aussi piaffait d’impatience de le recevoir et qu’il continue comme cela à frotter l’extérieur de ma chatte et à titiller mon clito. Je gémissais doucement. J’hésitais encore à me lâcher complètement ; je ne savais pas pourquoi, mais il restait en moi comme un brin de retenue. J’avais peur d’être considérée par mon black comme une pute ! Alors que je me comportais comme une vraie pute ! Comprenne qui voudra !
Et puis l’immense gland finit par trouver le chemin de mon vagin. Il y pénétra d’un seul coup, à la suite d’une forte poussée qui me déchira presque la vulve et me fit un mal de chien. Je n’avais pas souvenir d’avoir jamais eu aussi mal au cours d’une pénétration ! Même les coups de boutoir d’Ali, les premières fois qu’il me tira par devant et même par derrière avec son manche à la forme si particulière, n’avaient pas été aussi douloureux. Je poussais un cri d’orfraie et ne put m’empêcher de protester :
- Aiiieeeeeeeeee ! Kassartli hatchouni ! (Tu m’as détruit la vulve !) Bla’aqel ! (Doucement !)
- Kessartlek hatchounek! Ou mazal n’zid en’kessar ’halek! (Je t’ai détruit la vulve ! Et je continuerai de te la casser!) Zebi i heb i kessar ! i heb el hatchoun ! (Mon zob adore détruire ! Il adore la chatte !) Kifach ethassi’h ? (Comment tu le sens ?)
- ‘Amar li sawti ! En heb ki y’amar li souwa ! En’mout ’ala zboub kima en ta’ek ! Zid nik ni ’hakdha! Zid wedj’ani! En’heb ki tewdj’ani ! (Il me remplit toute la chatte! J’adore quand il me remplit la chatte ! Je suis prête à mourir pour des zobs comme le tien ! Continue à me niquer comme ça ! Continue à me faire mal ! J’adore quand tu me fais mal !)
Et Menouar continuait imperturbablement à pilonner ma chatte avec de plus en plus de force. Il continuait de me porter à bout de bras et ne semblait absolument pas sentir mon poids. Ses hanches étaient insérées entre mes cuisses et il me maintenait à la bonne hauteur par les fesses. Il rugissait à chacun de ses coups de boutoir et sa gorge produisait comme un sifflement, quand il revenait à l’entrée de ma vulve. Je sentais sa respiration, chaude et humide, sur mon cou ; et j’avais dans le nez l’odeur forte de sa sueur. Contrairement à tout ce que j’avais entendu et lu sur l’odeur désagréable des peaux noires, celle de mon amant avait sur moi un effet aphrodisiaque très fort. Conjuguée aux frottements de son énorme sexe sur la paroi de mon vagin et à la force qui se dégageait de tout le corps de mon homme, l’odeur de sa transpiration ajoutait une très forte dose de désir et de plaisir.
Mes gémissements timides de tout à l’heure se transformaient en hurlements de plaisir. J’étais heureuse et je voulais que tout le monde alentour le sût. Et comme à mon habitude dans ces cas là, je me mettais à débiter des phrases de plus en plus cochonnes et des mots de plus en plus crus. Ils titillaient un peu plus ma libido et je voyais qu’ils avaient le même impact sur mon amant.
- Nik qahbtek ! (Baise ta pute !) Nik kelbtek ! (Baise ta chienne!) Kessarel ’ha souwet ’ha! (Détruit-lui sa vulve !) Goul-li en’hab hatchounek ! (Dis-moi : j’adore ta chatte !) En’heb zebek ! En’mout a’ala zebek ! Zebek kbir ! Zebek skhoun ! Zebek m’lih ! Zebek ! Zebek ! (J’aime ton zob ! J’adore ton zob ! Ton zob est si grand ! Ton zob est chaud ! Ton zob est si bon ! Ton zob ! Ton zob !)
Menouar continuait à me tirer comme cela, en force. Il ne disait rien, mais semblait vraiment adorer mon délire verbal, conséquence d’un immense plaisir. Il continuait de rugir et de siffler, avec une intensité de plus en plus forte. Je ne pouvais voir son visage qui rayonnait de plaisir. Il était aux anges de pouvoir baiser ainsi une femme qui aimait autant le sexe. Je me disais qu’il n’allait pas tarder à fatiguer de me porter ainsi et en même temps de dépenser autant d’énergie pour me tirer. Je me disais aussi qu’à cette allure, il n’allait pas tarder à avoir un orgasme très fort et à m’abandonner.
Je ne voulais pas qu’il m’abandonne ! Je voulais qu’il reste comme cela en moi toute la vie ! Je ne voulais pas qu’il jouisse ! Du moins pas encore ! Je voulais que son magnifique zob reste en érection ! Qu’il continue de me remplir le vagin ! Qu’il ne ramollisse jamais ! J’avais moi-même envie de jouir, mais je me retenais. Je ne voulais pas que cela s’arrête. Et je le lui dis :
- Ma tahbesch ! (Ne t’arrête pas !) Ma tferaghch ! (N’éjacule pas !) Esstena ! (Attends !) Egou’ad fiya ! (Reste en moi !)
- En’has ra’hi djaya ! (Je sens que je vais jouir !) Ma t’khafich en’zid en’nikek ! (Ne crains rien je vais encore te baiser !) Ma nahbesch hata ki ittih el lil ! (Je n’arrêterai que quand il fera nuit !)
Tout en parlant, je le sentis qui se crispait et, au bout d’un tout petit moment, son rugissement s’intensifia et se transforma en un hurlement de plaisir. Il éjacula en moi une première fois une quantité incroyable de sperme, qui retomba presque immédiatement sur le tatami. Il éjacula encore trois fois de suite et arrêta son cri. Il releva sa tête qui, reposait tout ce temps là sur mon épaule droite, pour me regarder. Il vit que j’étais vraiment déçue qu’il s’arrête de me tirer.
- Goultlek ma t’khafich ! Mazalni mwegeff ! Mazalni en’nikek ! Ma nehbesch hata ittih el lil ! (Je t’avais dit de ne pas avoir peur ! Je bande toujours ! Je vais encore te niquer ! Je n’arrêterai pas de te niquer jusqu’à ce que la nuit tombe !)
J’étais rassurée ! Et de fait, je sentais que le manche de Menouar était toujours en forme, malgré le fort orgasme qu’il venait d’avoir. Il n’avait pas ramolli ! Il avait recommencé son œuvre de destruction dans ma chatte ! Et je me remis immédiatement à gémir et crier mon plaisir de le voir encore en si bonne forme. Je me disais que comme cela, je n’avais même pas à me retenir de jouir. Puisque mon amant n’arrêtera pas de me tirer, même après plusieurs orgasmes. Je laissais donc un premier orgasme dévaler en moi. Je jouis très fort et très bruyamment, en suppliant Menouar de ne pas arrêter de me pilonner comme cela, en force et de plus en plus vite. Je déchargeai longuement et faillit même m’évanouir, tant le plaisir était intense.
Mon homme ralentit fortement le rythme de ses coups de reins, pour me permettre de reprendre mon souffle. Il se contentait de bouger doucement ses hanches pour que je continue de sentir la présence de la bête en moi. Je commençais à reprendre petit à petit mes esprits et ma respiration redevenait à peu près normale. Ce fut à ce moment que je sentis qu’il se passait quelque chose de bizarre derrière moi. Je sentis deux mains puissantes s’emparer de mes fesses et les palper. Je me retournais pour voir ce qui se passait. Je vis, debout derrière moi, bandant comme un âne, Lyes le rouquin, qui s’occupait de mes fesses, pendant que Menouar continuait d’aller et venir doucement dans mon vagin. Je sentis un énorme doigt s’insérer dans la raie et aller tâter mon anus. Mon excitation qui était entrain de renaître sous les coups de reins de mon black, atteignit très vite son paroxysme, au contact de l’énorme doigt sur mon œillet. Mon imagination y alla immédiatement de son scénario : une double pénétration debout ! Je n’avais encore jamais vécu cela; pour dire vrai, je n’avais même pas pensé auparavant à une telle position. Et maintenant je la voulais !
Je me préparais mentalement à cette nouvelle expérience. Je me mis en état d’attente délicieuse. J’attendais, tout en continuant à apprécier les va-et-vient tranquilles de Menouar dans mon vagin, de sentir l’arrivée du gros zob du rouquin dans mon cul. Il avait lui aussi un beau manche ; moins imposant que celui du black, mais avec de bonnes dimensions. Et puis comme Lyes ressemblait beaucoup à Ali, je me disais qu’il devait être aussi brutal dans ses pénétrations. Je m’attendais donc à vivre un superbe moment, avec mes deux trous occupés par de beaux manches, durs et brutaux. Deux manches qui allaient me faire encore très mal et m’apporteront beaucoup de plaisir et de bonheur.
Je sentis le doigt qui pénétrait dans mon cul pour en tester la lubrification. Il le ressortit aussitôt. Moins d’une seconde plus tard, ce furent trois doigts remplis de salive qui vinrent tenter de lubrifier l’entrée de mon cul. Lyes refit l’opération trois fois de suite, jusqu’à ce qu’il juge que mon anus était assez mouillé pour permettre à son manche de pénétrer sans trop d’effort. Et immédiatement après je sentis la douceur d’un gland sur mon œillet, suivie d’une forte poussée qui fit pénétrer tout le zob à l’intérieur de mon cul. Il ne me fit pas très mal, mais je le sentis bien. Il resta un moment au fond de mon boyau, pendant que Menouar continuait d’aller et venir tranquillement dans ma chatte.
Et puis, Lyes se mit lui aussi à aller et venir dans mon cul, d’abord au même rythme que Menouar ; puis de plus en plus vite, obligeant mon autre partenaire à accélérer pour se mettre au diapason du rouquin. Quelle sensation que ces deux magnifiques zobs qui allaient et venaient verticalement dans mes deux trous, qui se croisaient et se frottaient l’un à l’autre, et qui me procuraient une sensation nouvelle de plaisir, que les doubles pénétrations « classiques » que j’avais vécues auparavant ne m’avaient pas procurée ! C’était en même temps la même chose – mes deux trous remplis et les deux membres qui se frottaient l’un à l’autre à travers les parois du rectum et du vagin – et très différent. La différence venait de la station debout des deux hommes, dont les va-et-vient étaient verticaux, de ma position à moi - tenue à bout de bras sous les fesses par Menouar - et de la force de pénétration des deux zobs que ces positions permettaient.
Je ne savais pas ce que ressentaient mes deux hommes – certainement beaucoup de plaisir, si je devais en juger aux gémissements de plus en plus rauques qu’ils poussaient, aux moments où leurs deux manches se frottaient l’un à l’autre – mais moi j’étais emportée par une énorme vague de plaisir qui me faisait hurler – avec toujours les mêmes mots crus - tout le bonheur que je vivais, jusqu’au moment où – après un nombre incalculable de va-et-vient et de croisements des deux sexes – je ne pus retenir l’énorme orgasme qui s’empara de moi et me fit décharger, avec autant d’intensité et de force que la première fois, des litres de cyprine qui remplirent les couilles de Menouar, avant de s’étaler sur le tatami.
Lyes, le premier éjacula plusieurs fois directement dans mon cul un liquide visqueux épais et brulant, qui ressortit en totalité pour aller rejoindre mon jus sur le tapis. Malgré la forte jouissance qu’il venait d’avoir, le manche de Lyes avait gardé la forme. Il ne voulait pas quitter les lieux ; il était resté planté dans mon anus, attendant certainement que Menouar jouisse à son tour, pour recommencer à me pilonner le cul, ou, peut-être pour prendre la place du black dans ma chatte.
Menouar, continua imperturbablement à aller et venir dans ma chatte, sans monter la moindre trace de fatigue de ses muscles ou de son membre. A ce jeu, ce fut Lyes qui se fatigua le premier. Après avoir joui une deuxième fois dans mon cul, il se retira, laissant en moi une désagréable impression de vide, rapidement rempli par un autre membre du groupe qui vint prendre la place du rouquin. Je ne savais pas qui c’était – d’ailleurs cela n’avait pas d’importance – mais j’éprouvais les mêmes sensations que tout à l’heure avec Lyes. Le nouveau zob fit le même chemin que l’ancien et au bout de cinq à dix minutes, je le sentis qui se vida à l’intérieur de mon boyau. Tout le sperme ressortit et alla agrandir la mare qui était entrain de se former sous moi, sur le tatami.
Mon black quant à lui continuait imperturbablement à aller et venir – parfois vite, parfois plus doucement pour retenir la jouissance qu’il sentait arriver – dans mon vagin. Il s’y prenait maintenant avec plus de douceur qu’au début. Il semblait plus serein et moins affamé. Il avait recommencé à m’embrasser sur tout le visage et le cou ; et sur la bouche. J’aimais beaucoup la sensation que me procurait son énorme bouche - avec ses immenses lèvres - qui se comportait telle une ventouse et me procurait une douce sensation de chaleur qui contrastait avec la fureur de ses coups de reins de tantôt dans ma chatte. « Un peu de douceur dans un monde de brutes » disait la pub ! Et bien c’est exactement cela que je ressentais ! Mais moi j’aimais autant la douceur de la bouche que la brutalité de son zob ! De tous les zobs qui s’occupaient de mes trous !
A un moment, je me disais que Menouar devait être mort de fatigue, à force de me porter ainsi à bout de bras depuis le début. Je profitais de la sortie de mon anus du deuxième homme pour demander à black de me déposer sur le tatami pour qu’il puisse se reposer. Il refusa tout net ! Comme un enfant à qui on venait de demander de prêter son jouet à un autre enfant !
- La ! La ! Negoua’ad ’hakda fi souwtek ! Ma en’khili ’hech le wahad akhor ! (Non ! Non! Je vais rester comme cela dans ta chatte! Je ne vais pas la laisser à quelqu’un d’autre !) En’ta’i ! (Elle m’appartient !)
../..

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Quelle baiseuse; J'aimerais etre a sa place

Histoire Erotique
c'est de la baise de qualité. on en redemande

Histoire Erotique
super imagine cette histoire avec ma femme

Histoire Erotique
JE vous tir chapeau mr rien a dire 1récit bien détaillé bien écrit.je suis fans de tes
récits vraiment.j'aimerai bien faire votre connaissance.VIVEMENT LA SUITE.

Histoire Erotique
de plus en plus bandante cette femme, vivement la suite



Texte coquin : Kamila et Lotfi, Episode 5.1
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.