Encule moi, c'est bon - histoire érotique

Encule moi, c'est trop bon

Je suis un jeune entrepreneur, mon entreprise est petite et comme toutes les
entreprises, j'ai besoin d'une secrétaire pour s'occuper des travaux de bureau, étant
donné que je suis souvent absent pour me rendre chez les clients et les fournisseurs
et quand je ne suis pas en visite, je suis dans mon atelier et je travaille avec mes
employés. Je faisais appel à une agence de travail temporaire qui dans la passé
m'avait toujours fourni des collaborateurs très compétents. On m'a présenté deux
jeunes femmes, et j'hésitais à engager l'une d'entre elles, qui avait 35 ans et qui
était très expérimentée et une jeune fille de 20 ans, qui était sortie de l'école de
secrétariat l'année dernière, et qui semblait sure d'elle, et me fiant à mon instinct,
je me décidais à l'engager, mais je savais qu'elle devait être formée, car elle avait
beaucoup à apprendre.
Etant une fille intelligente et éveillée, elle réussit à apprendre tout ce qui était
nécessaire et en peu de temps elle est devenue un très bonne secrétaire .Un après
midi, elle me demanda si elle pouvait faire des heures supplémentaires, car elle avait
besoin d'argent et comme il y avait beaucoup de travail, je lui donnais mon accord
également parce que la franchise avec laquelle elle m'avait parlé de sa situation
financière m'avait plu.
C'est rare de trouver des personnes dans le monde d'aujourd'hui qui vous parlent
franchement de leurs problèmes d'argent. Elle commença à faire une heure
suppplémentaire tous les jours. J'ai toujours aimé lire des histoires érotiques qui
relatent des faits réels et ainsi quand j'entrais dans mon bureau, je me mettais
devant l'ordinateur et je commençais à lire ces histoires, ce qui m' excitait au plus
haut point. Je devais souvent déboutonner mon pantalon, c'est que ma bite grossissait
et me faisait mal, car elle se sentait trop à l'étroit et je ne vous cacherais pas que
je me branlais parfois en lisant ces récits. Un après midi j'étais complètement pris
dans le feu de l'action, que je ne m'étais pas aperçu qu'Angela, ma secrétaire était
entrée dans mon bureau. J'étais très géné comme un adolescent pris sur le fait par sa
mère à se masturber. Je ne pouvais pas dire un mot tant j'avais honte et je crois
c'était aussi ce que pensait Angela.
C'est elle qui qui brisa ce slience génant, elle s'approcha de mon bureau en me disant
qu'il y avait des papiers à signer, j'étais encore à moitié habillé et je commençais à
signer les papiers pendant qu'elle regardait le texte qui s'incrivait sur l'écran de
mon ordinateur. Elle était maintenant très intéressée par l'histoire que j'avais
choisie, ce qui m'excita encore plus.
Je ne sais pas comment elle est arrivée à s'appuyer sur le bureau les bras posés
légèrement dessus pour se mettre en position de levrette. L'excitation que je
ressentais me fit perdre la tête. Je me suis levé et je me plaçais derrière elle... Je
dirigeais ma bite vers son trou du cul à travers sa robe pendant qu'avec mes deux
mains je saisissais ses nichons que je pétrissais lentement. Je pensais recevoir une
gifle ou qu'elle m'accuse de harcèlement sexuel, mais elle prit ma bite avec sa main
et commença à me branler.
Je soulevais sa robe, je baissais sa culotte et je la pénétrais d'un coup sec. Elle
gémit de douleur puis de bonheur, ce qui me rendit fou d'amour. Je ne comprenais plus
rien. Je voulais la baiser comme un fou et en fait c'est ce que je faisais. Lorsque
j'étais prêt à décharger elle essaya de se dégager, mais je tins bon et ma bite rentra
de nouveau gentiment dans son trou. Elle aussi était devenue complètement folle et
elle était ravie de se sentir posséder et acceptait tout ce que je lui demandais sans
discuter..
Je la baisais en bouche sans aucune difficulté. Je ne suis pas un super baiseur, mai
j'ai quand même une bite de 23 cm qui n'est pas toujours facile pour une femme
d'engloutir dans sa gorge que bientôt j'inondais de foutre qui jaillit pendant de
longues secondes. Je retirais ma bite de son four pour ne pas l' étouffer. Après que
je m'étais remis de mes émotions, j'avais peur de sa réaction après l'avoir baisée,
mais elle me répondit :
"Je pense que je devrais faire davantage d'heures supplémentaires à partir de demain"
Nous avons beaucoup de choses à voir et elle me donna un long baiser sur la bite qui
maintenant avait perdu beaucoup de sa vigueur, puis elle alla aux toilettes.
A partir de ce jour, elle fit deux heures supplémentaires. Nous avions désormais le
temps de nous épanouir et de goutter aux plaisirs de l'amour. Dés que les employés
avaient quitté leur travail, elle venait tous les jours dans mon bureau et là, nous
nous en donnions à coeur joie. Comme elle était trè jeune, elle n'était pas encore une
experte dans le domaine de la baise, mai elle avait la volonté d'apprendre tout ce
qu'il fallait savoir pour bien faire l'amour.
Je me rappelle encore la première fois qu'elle voulut me faire un pompier, ce fut le
pire des désastres. Mais avec le temps et les explications que je lui avais donné,
elle comprit vite ce qu'elle devait faire pour bien sucer un homme pour lécher,
caresser sa bite et le faire jouir dans sa bouche le plus longtemps possible.
Finalement elle est devenue une très bonne fellatrice.
Il ne se passa pas un jour sans qu'elle me fasse un merveilleux pompier qui me
relaxait et qui me faisait oublier mes soucis professionnels.
Un après midi elle me dit que elle voulait partir plu tôt et que par conséquent nous
ne pourrions rien faire dans le domaine de l'amour, j'étais un peu triste car
désormais nous nous entendions très bien en amour et nous avons connu des parties de
baise particulièrement excitantes. Comme elle remarqua que j'étais contrarié, elle
s'approcha et me dit : "Ah ! Je ne vais pas te laisser comme çà et elle s'agenouilla
et commença à me masser sous la ceinture de mon pantalon et réussit très vite à me
faire raidir la bite en quelques secondes, J'avais voulu l'arrêter car quelqu'un
aurait pu rentré et nous nous serions trouvés dans une situation peu enviable.
J'avais à peine fini de penser à cet eventuel problème qu'un de mes employés appela
Angela à grand renfort de voix, laquelle ne répondit pas mais disparut sous le bureau,
se mit à deboutonner mon pantalon et baissa mon slip pour sortir ma bite qui était
maintenant raide comme un passe lacets.Je voulais la sortir de là et je lui demandais
de ne rien entreprendre, mais c'était trop tard, elle avait dèjà englouti entièrement
ma grosse et longue bite dans sa bouche et commença à me faire un pompier de grande
qualité, par bonheur mon bureau était fermé sur le devant, si bien que personne ne
pouvait voir ce qui se déroulait dessous.
Max entre dans mon bureau et demanda si j'avais vu Angela, je lui répondis que peut
être elle était aux toilettes. Je ne savais pas en fait. je m'efforçais de ne pas
éveiller ces soupçons du fait que je n'avais pas la voix qu'il me connaissait et Max
me demanda si j'allais bien et je lui mentis en lui disant que j'avais des maux
d'estomac depuis la veille... Il s'assis et me parla de ses problèmes de santé, il
avait un ulcère et me conseilla pour surmonter mes maux d'estomac, pendant que ma
jouisssance allait exploser.
Je déchargeais copieusement mon foutre dans la bouche d'Angela qui l'avala comme du
bon sirop, pendant que Max continuait à me donner ses conseils.Lorsqu'il eut termné sa
consultation Max se leva et retourna à l'atelier. Je sortis du bureau et je fis sortir
Angela, qui me regarda avec un sourire malicieux qui me fit oublier la peur d'être
surpris dans cette situation un peu particulière. En fait j'avais déchargé abondament,
stimulé par la crainte d'être découvert.
Cela fait maintenant un an que je baise avec Angela, nous avons beaucoup appris
ensemble, nous avons expérimenté les meilleures techniques pour bien faire l'amour et
donner du plaisir à son partenaire. Nous avons pratiqué toutes les positions
amoureuses, les plus classiques et les plus osées.
En fait nous avons profité de cette période pour devenir de parfaits amants.
Un soir que nous faisions l'amour sur mon bureau, j'adorais l'enculer ainsi, malgré
que son trou du cul était très serré. Je l'enculais et son portable se mit à
sonner, nous l'avons laissé sonner pendant quelque secondes puis nous avons voulu
savoir qui l'appelait et en regardant le petit écran nous avons constaté que c'était
son copain.
Elle a répondu tranquillment, alors que je continuais à enfoncer ma bite dans le trou
de son cul. Je supposais qu'il était près de l'atelier et qu'il avait téléphoné pour
inviter Angela à dîner avec lui. Elle lui répondit qu'elle devait encore travailler
car sa journée n'était pas terminée et qu'il devait revenir plus tard. Il lui dit
qu'il avait attendu et je compris qu'il avait demandé à sa copine s'il pouvait entrer,
mais elle lui répondit impérativement "mais tu es fou, je ne peux déjà pas te
répondre". Je me disais s'il savait que j'étais en train de l'enculer,et je ne pouvais
pas m'empêcher de rire, pendant que ma bite entrait et sortait de son beau cul.
Elle termina la conversation téléphonique et se tournant vers moi lui dit "Salope, tu
me fais jouir comme un fou et je viens de découvrir... rappelle toi le pompier que tu
m'as fait lorsque Max est arrivé, disais-je et un sourire de satisfaction de quelqu'un
qui assouvi sa vengeance apparut sur mes lèvres. Tu es une petite putain et elle
commença à pousser son cul vers moi pour bien faire rentrer ma bite dans son cul.
C'est alors que j'ai eu une idée, je la dirigeais vers la fenêtre où l'on pouvait voir
à lexterieur, mais pas voir à l'intérieur de la pièce et je lui ai demandé si son
copain était là. Je la regardais un moment , craignant qu'il puisse nous voir."Tu es
fou, s'il nous voit". Je l'ai arrêtée mais je voulais aller plus loin, je la tenais
pas les hanches et je l'ai calmée, elle se tranquillisa et retourna à l'endroit où
nous étions auparavent
Je me dis que je devrais l'enculer cette belle fille et voir ce que dirait ce cocu de
garçon et çà m'excitait beaucoup. Je déchargeais un quantité considérable de foutre
dans le trou du cul d'Angela qui inonda son intestin. Elle se rhabilla et sortit, je
saluais Angela qui me présenta son petit ami comme si rien"ne s'était passé entre
nous. Je les vis partir en voiture comme tous les couples d'amoureux. Je remarquais
que Angela avait appuyé sa tête sur son épaule. Je ris et je rentrais chez moi.
Les journées passaient tranquillement jusqu'à 17 heures , heure à laquelle, les
employés terminaient le travail, mes rapports avec Angela était uniquement
professionnels, il n'était plus question de plaisanter avec elle ou de se montrer
familier, puis tout le monde quittait l'entreprise. Angela était une belle salope qui
avait répondu favorablement à tous mes désirs.
C'était l'année dernière et Angela portait une robe resplendissante et toute la
journée j'avais envie de baiser, j'attendais avec impatience qu'il soit 17 heures pour
donner libre cours à mon désir qui augmentait de minutes en minutes. Il était 16H30
et je me préparais à déguster cette friandise, lorsque Angela arriva dans mon bureau
pour m'informer si j'étais d'accord pour qu'une de ses amies vienne apporter certaines
choses, précisant que sa visite ne durera pas longtemps.
Je trouvais sa demande très étrange car en tant qu'employeur je ne suis pas certain de
pouvoir controller tout ce que fait le personnel surtout Angela, donc je dis qu'il
avait un problème, ce retard ne ferait qu'augmenter mon désir d'être avec elle. Je
retournais à l'atelier et je me remis à travailler. Il était maintenant 17 heures et
les employés quittèrent leur travail, Angela sortit puis revint avec son amie qui
avait à la main une grosse enveloppe. Je me remis au travail en attendant que l'amie
parte.
Je travaillais encore pendant un quart d'heure, puis je me dirigeais vers mon bureau
où normalement Angela devait se trouver seule, mais il me sembla étrange qu'elle ne
m'ait pas appelé dés le départ de son amie. Peut-être est-elle encore là. Je ne
voulais pas l'appeller à haute voix et je me disais qu'elle avait du travail à
terminer et attendait que moi aussi je finisse le mien. J'entrais dans son bureau et
je constatais qu'il n'y avait personne. Je restais perplexe et je pensais qu'elle
était allée aux toilettes. J'allais dans mon bureau, j'ouvris la pote et le spectacle
qui soffrit à mes yeux était inimaginable : Angela était sur le bureau en position de
levrette, avec les bras touchant ses pieds, avec sa robe défaite et bien sur sans
petite culotte, ce qui me permit d'admirer toute son intimité, sa petite chatte bien
rose et son mignon trou du cul.
"Je t'attendais" , furent les premières paroles qu'elle prononça, accompagnée de ce
sourire malicieux que je connaissais que trop bien.
Sans doute ce fut une belle surprise, mais la question que je lui ai posé fut :
"Comment as tu fait pour t'attacher comme ça ? "La réponse me parvint à ma droite :
"Je l'ai aidée", je me retournais et je vis l'amie d'Angèle complètement nue, qui
tenait encore dans ses mains un morceau de corde..
Je ne comprenais pas ...C'était tellement inattendu, sans attendre une réponse, elle
imprima sur mes lèvres un long baiser aussi long que la distance de la terre à la
lune, sa bouche aussitôt se ferma pour accueillir sa langue capricieuse. Sans nous
en rendre compte, nous étions arrivés près du bureau et ses mains commencèrent déjà à
me deshabiller, dés que je m'intéressais à ce corps nouveau que je ne connaissais pas.
Ses seins étaient pleins et fermes avec de jolis mamelons bien droits très agréable à
caresser. Maintenant j'étais nu, et quand l'amie de Angela descendit sa main jusqu'à
ma grosse bite et la mit dans sa bouche chaude...c'était vraiment merveilleux, c'était
bon, vraiment bon et quand ma bite glissa de sa bouche, elle était triste qu'on
l'abandonne ainsi, mais elle trouva un autre refuge encore plus chaud dans la chatte
brûlante d'Angela qui jusque là n'avait fait que regarder. Je commençais à la baiser à
lui donnant de violents coups de bites gâtant ainsi son puits d'amour qui ne semblait
pas avoir de fond, pendant que son amie léchait amoureusement mes couiles pleines de
bon foutre que j'aurais bien voulu lui administrer pour la rendre mère.
Oui je désirais ardemment engrosser sa copine, la mettre en cloque, lui faire un
balon, lui foutre un gosse. En fait je voulais également engrosser Angela et lui faire
une belle petite fille aussi belle qu'elle. J'étais sur le point de jouir et je
voulais juter dans cette bouche nouvelle et si bonne, j'enfilais ma bite dans la
chatte de
Angela, et je la ressortis pour la fourrer dans la bouche de sa copine qui avala sans
faire sa mijaurée tout le foutre qui coulait dans sa gorge depuis plus d'une
minute....
C'était une expèrience extrêmement jouissive de lui prendre la tête et de la baiser en
bouche, oui lui remplir sa bouche comme on remplit une tonneau de bière. Je vis la
corde, je pris l'amie d'Angela et je la mis dans la même position qu'elle avait
auparavant. Après l'avoir attachée, je me postais derrière elle et finalement je
pouvais admirer deux beau culs roses et deux belles chattes prêtes à accueillir ma
longue bite qui se dressa dèjà comme un I .
Je décidais d'essayer la belle chatte nouvelle et je la pénétrais d'un coup sec, qui
la fit hurler de douleur car elle était encore serrée. Son cri de douleur me rendit
fou et j'étais très excité, ravi aussi d'être rentré en elle de la posséder comme le
plus beau des jouets d'amour. Je continuais à la besogner avec fougue tandis que je
pelotais et massais le clito et le trou du cul d'Angela que j'avais souvent défoncés
avant de goutter au cul étroit de sa copine. Elle n'était pas vierge du cul, mais je
pense que peu de bite avait pénétré son petit trou qui était difficile à dilater.
Cependant je réussisssais quand même à rentrer et à sortir pendant des heures de ce
trou du cul. J'aimais aussi beaucoup aller d'un trou du cul à l'autre, pour les
remplir et je sentais le plaisir des deux filles qui augmentait, ce qui les faisait
crier très fort. Je ne voulais pas faire de tort à aucun des quatre trous qui
s'étaient offerts à moi. J'ai défoncé le trou du cul et le con d'Angela avec le même
plaisir que j'ai dévasté le trou du cul et le con de sa copine. Après chaque séance de
baise, nous étions épuisés mais si heureux.
Maintenant l'amie d'Angela préférait donner son trou du cul, plutôt que son con et
elle venait se faire remplir les deux trous au moins une fois par semaine.