Elle a sucé ma bite dans l'autobus - histoire érotique

Elle m'a sucé la bite dans le bus.


C'était au cours de l'été, mon ami et moi-même nous devions aller en bus en Espagne et nous nous sommes assis au milieu du bus. Sur les sièges en face de nous, il y avait quelques jolies filles. Nous n'avons pas tardé à discuter avec deux belles nanas qui s'appelaient Anja et Carina. Mon ami et moi-même nous avons 25 ans et Anja et Carina ont toutes les deux 23 ans.
Afin que le voyage nous semble pas trop long, nous avons joué aux cartes, aux échecs, Carina ne savait pas jouer aux échecs, mais désirait apprendre. J'ai échangé ma place à Anje, si bien que Carina et moi-même nous étions assis l'un à côté de l'autre. Le jeux d'échec n'est pas précisement le jeu le plus facile à apprendre.
On ria beaucoup lorsque Carina se trouva en face de toutes les pièces du jeu d'échec, elle était plutôt désespérée. Carina était une jolie fille à l'esprit fantasque et toujours de bonne humeur.
Tu m'intimides, déclara Carina et elle me pinça sur le côté, quand je me suis moqué d'elle la voyant s'enméler les pinceaux avec ce jeux d'échec.
Je la pinçais en retour et il n y eut plus de problème.
A un moment donné, Carina posa sa main sur ma cuisse et je la pinçais et elle posa sa main sur la mienne et dit qu'elle pouvait aussi tenir sa main sans pincer pour autant. Nos yeux se se sont rencontrés et je pouvais voir qu'elle était déjà bien excitée
Je commençais à bien aimer sa cuisse, je passais ma main sur son ventre et à jouer un peu avec ses lolos, lorsque j'étais certain que personne nous voyait.
Carina posa une main sur ma cuisse, et puis la dirigea en direction de ma bite et de mes couilles qu'elle massa lentement. Je portais un jogging et comme je suis bien membré une grosse boule s'était rapidement formée et je pus remarquer que Carina était déjà bien excitée.
Carina avait ma bite dans sa main et elle la laissa glisser dans mon jogging, mais même si c'était la nuit, et qu'il faisait déjà sombre dans le bus, je l'ai arrêtée, car c'était génant de la laisser continuer son petit manège à cause de la présence des 40 passagers dans le véhicule.
Carina se leva, prit une couverture dans son sac et l'étala sur nous. Elle laissa sa main glisser dans mon pantalon et saisit ma bite, elle joua avec ma grosse pine et mes couilles pleines de bon foutre que j'aurai aimé faire couler au fond de sa chatte pour luit faire un gros bébé, oui pour l'engrosser, pour la mettre en cloque pour notre plus grand plaisir.
Je remarquais que son corps tremblait de bonheur.
"Mais où est la grosse verge si belle que je voudrais bien avoir dans ma bouche maintenant me murmura-t-elle à l'oreille.
- Tu ne peux pas me sucer la bite ici disais-je, mais elle n'était pas décidée à arrêter.
- Ne pourrions nous pas nous installer sur le siège à l'arrière du bus, il n'y a personne là bas.
Je suis assis sur le siège arrière et Carina s'est allongée sur moi, la tête sur mes cuisses, puis elle étala la couverture sur sa tête, il n'y avait personne dans les deux rangées devant nous, ainsi nous étions seuls au fond du bus.
Carina baissa mon jogging et mon slip, l'élastique de mon slip pressait mes couilles. Elle commença à lécher ma bite depuis la racine jusqu'à la pointe et lorsqu'elle s'approchait du bout, elle passait ses lèvres de nouveau sur la hampe et descendait lentement jusqu'aux poils de ma bite qui la chatouillaient, remontait, puis descendait, et elle fit ce voyage le long de ma bite plusieurs fois.
Je remarquais qu'elle ralentissait le mouvement et comme elle devint de plus en plus
impatiente, je remarquais qu'elle commençait à avoir des mouvements compulsifs et je déplaçais sa tête sur le côté.
- Tu peux décharger dans ma bouche, cela n'a pas d'importance, car j'aime ça"
Elle suçait maintenant à une rythme que je n 'avais jamais vu auparavant, quelques minutes plus tard je giclais dans sa bouche tout le contenu de mes couilles et Carina avala le foutre jusqu'à le dernière goutte. Je remis ma pine dans mon pantalon et Carina s'assit près de moi et murmura à mon oreille :
- J'étais si excitée et ma chatte a besoin de ta bite, je sens que mon corps va exploser, c'est la pipe la plus osée que j'ai fait, mais nous n'avons pas encore baisé. Peu après le chauffeur de bus annonça que nous allions faire une pause de 40 minutes.
Lorsque l'autobus s'arrêtera, nous chercherons un endroit, où nous pourrions baiser, si tu le peux encore, dit Carrina en souriant.
-Oui, ma bite pourra encore se dresser et grossir, quand elle l'a fait une fois, elle peut le faire encore et encore et ça durera plus longtemps, aussi, ta chatte va recevoir la visite de ma belle, longue et grosse bite tant qu'elle pourra la supporter, disais-je avec un sourire ironique.
- Tu dois me baiser violemment et longtemps par derrière, ajouta Carina.
- Oui mais d'abord je vais lécher et sucer ta jolie petite chatte, lui disais-je.
- Cela me semblait bon. N'oublie pas de prendre la couverture.
Le bus s'arrêta sur une aire de pique nique entourée de kiosques et à 300 mètres des kiosques, il y avait un restaurant qui était fermé. Carina et moi-même nous nous sommes regardés et nous savions bien ce que nous cherchions, nous sommes allés derrière le restaurant où il y avait une pelouse et nous avons étendu la couverture. Carina s'était deshabillée en 10 secondes. Elle s'allongea sur le dos, je m'agenouillais entre ses jambes et je glissais ma main sous chacune de ses fesses et je lui dis qu'elle devait écarter les lèvres de sa chatte, je pétrissais ses demi-culs, pendant que je lèchais son joli petit minou qui était déjà humide, peu après je me mettais à sucer ses deux trous d'amour, son con et son cul. Plus je suçais fort, plus fort elle gémissait. Je suçais maintenant vite et j'écartais avec ma main son con et le baisais avec 2 doigts. Pendant que je la suçais je remarquais qu'elle était sur le point d'exploser.
Elle se retourna et se mit en position de levrette et dit :
- Baise moi, je dirigeais la pointe de ma bite dans sa fente mouillée.
Ce que je ne savais pas maintenant, mais que j'ai réalisé cinq secondes plus tard, c'est que Carina s'était mise à crier. Quand je suis entré en elle, elle a hurlé, alors j'ai commencé à la baiser tranquillement. A chacun de mes mouvements elle poussait un cri. Elle tourna la tête vers moi et criait encore plus fort. Je pensais que maintenant je pourrais la baiser. Je la tenais par les hanches et je commençais à la baiser sauvagement et elle a crié très fort, après avoir pompé ma grosse bite pendant environ 10 minutes, elle eut un violent orgasme qui dura au moins une minute. Elle prit ma main et me fit signe d'arrêter. Elle tomba sur le tapis comme une poupée de chiffon. Je me mis à côté d'elle, elle me regarda et dit :
- Vous me promettez de me baiser comme çà, tous les jours en Espagne ? Je répondis :
- Oui, très volontiers Melle Jenssen.
- Assieds toi et elle s'assit près de moi, elle mis une de ses mains sur son con et l'autre main saisit ma bite, elle joua avec sa chatte et avec ma pine pendant un moment.
- C'est la plus belle bite que j'ai vue de ma vie, c'est une bite qui me baise bien, c'est une bite qui encule et engrosse les filles, je l'aime beaucoup ta superbe verge d'amour, disait Carin .Je lui demandais si elle voulait de nouveau la recevoir dans sa mignonne petite chatte.
- Oui, me répondit-elle.
- Dans quelle position désires tu que je te l'enfile ?
- Par derrière et enfonce la avec force, j'aime que ta bite rentre rapidement dans mon con, et dans mon cul, car c'est si bon, je sais que mon trou du cul est très serré et je ne sais pas si tu pourras m'enculer, mon trou du cul est très très étroit.
Cette fois ci je me cramponnais à ses fesses et je posais ma bite sur son trou et je l'enfonçais avec une violence inoui, comme elle aimait, je la sortais pour la replonger dans son trou d'amour, dans ce trou qu'il faut utiliser pour faire des bébés aux filles, pour leur faire tous les neuf mois un gros bébé. J'aurai voulu l'engrossée, mais qui sait ce jour viendra. Elle a crié de joie. Je la baisais maintenant avec un rythme soutenu et elle bougea son cul pour permettre un pénétration très profonde.
Elle a crié.Ma sueur dégoulinait sur son dos. Je n'étais pas encore prêt à décharger, mais je voulais arrêter de lui donner ces violents coups de bite pour respirer, car j'étais hors d'haleine. Mais elle m'a dit :
- Baise moi encore, continue de projeter ta pine dans le trou que tu aimes tant. Je pus constater que son con se contractait pour presser fortement ma bite, une minute après les contractions, elle jouit violemment. J'étais moi aussi sur le point de décharger, mais elle se dégagea, "je n'en peux plus", dit-elle en gémissant.
- Puis-je asperger tes nichons ?
-Oui, gicle sur mes lolos et mon visage.
J'ai arrosé de foutre ses doudounnes et son visage et nous sommes tombés tous les deux épuisés sur le tapis.
- Qu'avons nous fait ? dit Carina.
-Nous avons baisé...
-Quelle heure est-il ?
Je regardais ma montre, il était presque 1H30'
- Dépèche toi, nous devons être dans le bus dans deux minutes.