Ma voisine a aimé ma bite dans sa bouche et ma bouche sur son cul - histoire érotique

Ma voisine a aimé ma bite dans sa bouche et ma bouche sur son cul


Depuis six mois, j'habite un joli studio à Hilversum. C'est une maison avec un studio au rez-de-chaussée et un deux pièces à l'étage. J'ai tout ce qu'il me faut. J'ai une entrée commune avec l'autre locataire. L'appartement du haut a été mis en location depuis un mois, mais jusqu' à maintenant, on n' a pas encore trouvé de nouveau locataire.
Je me présente, je m'appelle Tom, j'ai 25 ans et souvent les dames disent que je suis un bel homme. Je travaille depuis deux ans à plein temps. Bien sur j'éprouve beaucoup de plaisir en compagnie de jolies filles que je rencontre en fin de semaine lors de sorties, mais je n'ai pas encore trouvé l'amour de ma vie.
Le mois d'avril touche à sa fin et le propriétaire a vu plusieurs personnes pour la location du deux pièces, mais rien n'a pu se conclure encore. Je rentrais chez moi un vendredi et j'aperçus une camionnette devant la maison, la porte était ouverte et j'entrais pour voir un homme montant l'ecalier. Je lui demandais s'il était le nouveau locataire.
Il me répondit que c'est sa soeur Anneliese qui allait habiter dans l'appartement. Elle descendit l'escalier se dirigeant vers la camionnette, elle se tenait devant moi et je lui proposais de l'aider. Lorsque toutes ses affaires furent déposées dans l'appartement, elle me dit, qu'il était temps de prendre un verre.
Le frêre nous dit qu'il va ramener la camionnette et revenir à la maison devant se lever à 3 heures du matin pour se rendre en Espagne avec sa camionnette. Anneliese et moi-même nous bûmes notre verre à la table de la cuisine. Puis nous avons discuté un peu, elle me damanda ce que je faisais dans la vie et depuis quand je demeurais dans cette maison.
Je lui demandais pourquoi elle était venue habiter ici. Puis elle me dit qu'elle avait 41 ans, qu'elle n'avait pas d'enfant et qu'elle travaillait dans un magazin de confection en tant qu'acheteuse.
Elle me dit qu'elle a loué cet appartement en attendant d'en trouver un plus grand, car ce n'est pas une chose facile. Je la rassurais en lui disant que son appartement était très bien et que le quartier particulèrement bien fréquenté.
Anneliese est encore vraiment une très belle femme pour son âge, elle a de longs cheveux noirs et ses yeux sont bleus, elle a un joli visage, un corps splendide, un beau cul et une paire de nichons pointus.Ils ne sont ni gros, ni petits ses lolos et je pense que ce sont des seins que beaucoup d'hommes aimeraient caresser.
Après avoir bu un deuxième verre, je lui demandais si je pouvais encore l'aider. Elle me demanda, si je pouvais avec elle mettre tout en place dans son appartement. L'appartement n'était pas très spacieux et nous avons commencé à entreposer pas mal d'affaires dans la salle de bain. Après avoir déposé plusieurs caisses, elle me demanda si je pouvais installer la machine à laver que son frêre avait déposée dans la salle de bain.
Je lui dis qu'il n'avait aucun problème et elle alla dans la salle de séjour. Pendant que nous entreposions les affaires dans la salle de bain, j'avais une corbeille pleine de linge dans les mains, probablement parce qu'elle devait quitter la maison rapidement qu'elle n'avait pas pu faire la lessive. En branchant la machine à laver, je jetais un coup d'oeil dans la corbeille à linge pour voir s'il n'y avait pas un culotte. J'ai écouté, mais elle était occupée dans la salle de séjour.
J'ouvris la corbeille et je vis d'abord un corsage noire et un string noire aussi. Je le pris et je le reniflais me disant que cette femme était vraiment excitante, ma bite grossit dans mon pantalon et je me dis que je devais posséder cette charmante femme le plus tôt possible. J'étais curieux et avant de ranger le string, je voulais le lécher car il dégageait un parfum envoutant.
Le gout était aussi agréable que l'odeur ce qui m'excitait davantage. Après avoir rangé le string et terminé l'installation de la machine à laver, je retournais au salon. Elle avait fière allure, me remercia de l'avoir si gentiment aidée et me donna un baiser sur la joue.Nous avons ensemble fait un peu de rangement et avons aménagé un petit coin, où nous pouvions nous asseoir confortablement : un banc, une table une chaise, un poste de télévision et petit à petit le salon sera installé.
Je repensais au moment où je léchais son string dans la salle de bain, et maintenant elle était devant moi, j'imaginais son string enfoncé dans sa raie culière et j'avais envie d' y gouter. Anneliese proposa d'arrêter le déballage des caisses, de faire une pause et de boire un verre de bière.
Anneliese est une femme formidable, elle est jolie, elle parle bien et elle a de l'humour. Je la prends dans mes bras, ses yeux brillent d'excitation. Elle approche sa tête vers moi, nous nous regardons un long moment, nos lèvres vont se toucher et bientôt nous nous embrassons amoureusement, ce fut un très très long baiser.
Nous étions de plus en plus excités, nous ne pouvions nous séparer notre baiser s'éternisait et j'aurais voulu qu'il dure au moins une heure...Je la serrais dans mes bras tout en continuant de l'embrasser, je posais ma main sur ses seins, sur son ventre, sur son cul, que je révais dèjà de défoncer. Je lui ôtais son corsage et elle retira ma chemise. Je vis un magnifique soutien gorge et j'empoignais ses seins à travers le soutien gorge.
J'avais décollais mes lèvres des siennes et maintenant je baisais son cou, tout en pétrissant ses seins amoureux. Elle soupirait légèrement lorsque j'embrassais son cou, j'allais avec ma langue au fond de son oreille et je prenais le lobe se son oreille dans ma bouche, puis je dirigeais ma bouche vers ses nichons. Avec ma main, je sortais son sein droit du soutien gorge et j'enfonçais le mamelon dans ma bouche. Elle gémissait plus fort et je remarquais qu'elle était très excitée. Son mamelon était dure, je mordais dedans et je pétrissais avec mon autre main son sein gauche.
Elle se dégagea de mon étreinte et me demanda si je voulais aller avec elle. Je pensais imediatement qu'elle voulait aller au lit, mais elle m'amena dans la salle de bain. Dans la salle de bain, elle me déshabilla en m'embrassant. Ma bite se dressa comme un I et elle sortait de mon pantalon. Puis elle se deshabilla à son tour, je voyais sa belle paire de nichons, le reste je ne le voyais pas encore, parce qu'elle retira sa pantalon et sa culotte en me donnant un long baiser.
Elle ouvrit le robinet de la douche et maintenant je pouvais voir son beau cul bien cambrée et plutôt gros. J'étais ravi car j'adore les gros pétards de femme. Je me plaçais derrière elle et je dirigeais ma grosse et très longue bite de 35 cm devant le petit trou de son cul, je l'effleurais un tout petit peu et elle m'attira sous la douche. Sous l'eau chaude nos langues s'entrelacèrent amoureusement. D'une main j'empoignais un de ses demi culs et de l'autre main, j'allais à la recherche de son con.
Puis je m'agenouillais et je lui soufflais dans le trou de son cul, elle me dit que cela lui faisait du bien, et me demanda si j'aimerais également qu'elle me souffle dans le trou de mon cul, sur ma bite et sur mes couilles. Je n'ai pas eu à lui répondre et bientôt je ressentais une sensation raffraichissante que je n'oublierai jamais. Je retournais à sa chatte et j'enfonçais deux doigts dedans, elle était rasée et c'était chaud et gluant, j'adorais les lèvres de ce con de femme amoureuse. J'allais par la suite à l'encontre de l'ouverture en passant par le clito que je caressais délicatement.
Je remarquais que son minou était mouillé. Avant de le pénétrer, je voulais savourer sa mouille. J'enfonçais un doigt dans son trou d'amour et elle commença à gémit de plaisir. Je la doigtais de cette manière tout en baisant sa bonne bouche, puis elle saisit ma pine pour la branler, elle lui donna d'excitants petits baisers, surtout sur le gland. Elle me lécha de ma poitrine jusqu'à ma verge qu'elle branla de nouveau et lécha ensuite mes couilles et le trou de mon cul. J'aimais lorsqu'elle parvenait à enfiler la moitié de sa langue dans mon trou du cul et elle m'enculait ainsi de façon merveilleuse.
Puis elle passa sa langue tout autour de mon gland, c'était une caresse incroyablement excitante, quand elle faisait des petits cercles sur la chair si sensible. Après m'avoir gâté de la sorte pendant 20 minutes, elle se mit à me sucer, elle enfonça profondément ma bite dans le fond de sa gorge et après 15 minutes de ce traitement érotique, ma bite de 35 cm de longueur atteint sa glotte.
Ce que je ne savais pas et que je n'avais jamais expérimenté c'est qu'Anneliese aimait les gorges profondes. Ainsi je laissais ma bite dans le fond de sa gorge pendant environ15 minutes, puis je lui dis que j'étais prêt à décharger. Alors elle retira ma verge de sa bouche et la tenait au niveau de son visage et se remit à la branler. Je sentais mon foutre dans mes couilles se diriger dans ma bite et je lui disais de nouveau que j'allais jouir, alors elle me branla plus fort, plus rapidement , je criais en déchargeant et mon foutre jaillissait soudainement pour se répandre partout sur son beau visage et même dans ses cheveux.
J'avais compris, elle ne voulait pas que je décharge dans son con, car elle craignait que je lui fasse un bébé, pourtant j'aurais été si content de l'engrosser et lui faire une jolie fillette qui a l'âge de 12 ans aimerait sans doute se faire enculer par son camarade de classe préféré.
Elle se releva et nous nous sommes savonnés pour ne rendre beaux.La douche terminé é elle me donna un serviette. Je vis un string noir sur le sol qu'elle avait ôté. De nouveau d'un beau noir. Je pensais encore pouvoir vraiment la baiser. Une fois séchés, nous sommes allés dans la chambre à coucher. Son lit n'était pas encore monté et nous nous sommes allongés sur le matelas qui était sur le sol. Nous nous sommes embrassés amoureusement, mais nous avons cessé de nous embrasser car je voulais aller avec ma langue plus bas. Je léchais et mordillais de nouveau ses mamelons. Je sentais qu'elle était excitée ?
J'allais plus loin avec ma langue pour atteindre sa chatte en passant par son nombril, j'embrassais les lèvres de sa chatte et je les écartais avec mes doigts, j'allais lécher son clito. Elle gémit fortement er je remarquais qu'elle prenait beaucoup de plaisir, mes doigts atteignirent son petit trou et elle était mouillée. Je pensais toujours pouvoir la baiser aussi je touchais son petit trou mouillé. Elle avait un bon gout, c'était une déesse. Elle passait son doigt elle même sur son clito et continuait de gémir.
Je voulais aller encore plus loin pour la lécher, je trouvais que c'était mangifique de lécher la petile étoile d'une femme, son petit trou du cul pour parler cru, oui le trou du cul est la plus intime partie d'une femme. Je continuais à lécher et j'écartais ses jambes davantage.Je remarquais qu'elle était très calme, parce qu'elle ne savait pas ce que j'allais faire ou peut -être aussi parce qu'elle avait peur, mais lorsque ma langue lécha son trou du cul, elle grogna de plus en plus fort et finit pas se doigter elle même son mignon petit clito.
Comme j'essayais de gâter son trou du cul et qu'elle sentait ma langue, elle était presque sur le point de jouir. Elle se doigtait encore plus fort et jouit en poussant un petit cri. Elle trembla violemment et je cessais de la lécher. Je m'approchais de sa bouche et alors qu'elle tremblait encore je lui donnais un long baiser d'amour. Ma bite qui entre temps était redevenue très raide se trouvait au niveau de son con et je l'enfonçais entièrement dans cette fournaise d'amour. Nous commençâmes à baiser avec fougue comme si nous devions nous rattraper de n'avoir pas encore pu baiser et aussi parce que nous étions tous les deux très excités.
Elle me repoussa er se mit en position de levrette. Je savais ce que devais faire et je la saisissais fermement. Je faisais des allers et retour dans sa chatte en je posais mes mains sur son cul merveilleux, un vrai cul d'amour..Ce que je ne savais pas, c'était que dans cette position, elle jouissait facilement.
Je dechargeais mon foutre dans le fond de son trou délicieux. Nous sommes restés allongés sur le matelas complètement épuisés. Je tirais une couverture sur nous et nous nous endormîmes très vite après avoir fait un "69" d'enfer, Anneliese avait ma bite dans sa bouche et moi ma bouche sur son trou du cul.