Grenouille de bénitier

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Grenouille de bénitier Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Grenouille de bénitier
Je m’appelle Jean Marc, j’ai maintenant 45 ans, j’ai une belle vie bien remplie, j’ai une jolie femme, deux beaux enfants, une fille et un garçon.
Je me mets à écrire au jourd’hui parce que l’autre jour, j’ai rencontré une fille, elle était très belle et ressemblait beaucoup à une de mes anciennes conquêtes. Elle me semblait complètement perdue et je lui ai proposé mon aide.
Après avoir fait connaissance, j’ai vite compris que c’était bien la fille d’Amandine, mon ancienne copine, je lui ai demandé des nouvelles, elle est restée très évasive. Puis ne comprenant pas trop pourquoi si jeune elle était partie de sa petite ville je lui ai demandé :

- Comment es-tu arrivé à être obligée de tout quitter comme ça ?

- C’est simple, depuis que je suis toute petite, ma mère n’arrête pas de me pousser dans la religion, mon frère aussi est maintenant au séminaire, il sera bientôt un curé.

- Quoi, ta mère, très religion ! Elle n’était pas comme ça quand je l’ai connu.

- Ah bon, enfin comme je suis la plus assidue à l’église, il y a trois mois de cela, j’ai accompagné un groupe de jeunes filles pour leur retraite avant leur communion. Comme j’étais la plus sérieuse et âgée, je devais guider ces dix jeunes filles dans la voie du seigneur tout en restaurant une vieille ferme qui était la propriété de notre église. Je devais leur apprendre la bible et les beautés qui nous entourent. Le curé de notre église nous avait accompagnés et aidés à nous installer puis il nous a laissé là pour passer une semaine juste entre nous et dieu. Il n’y avait ni l’eau courante ni l’électricité. C’étais merveilleux, nous devions tout faire par nous même, pour nous chauffer et cuisiner nous devions ramasser du bois et faire le feu, pour se laver il y avait l’eau du puis ou l’étang. La plupart des filles ont choisie l’eau du puis, qu’elles faisaient chauffer un peu au coin du feu. Moi j’ai préféré aller à l’étang, c’était plus vivifiant,beaucoup plus naturel. Le premier soir, j’ai trouvé un coin isolé, je me suis déshabillée sur la rive, et je suis rentrée dans l’eau pour me laver, c’étais merveilleux de se sentir ainsi en totale communion avec la nature. Mon bain a duré très longtemps et j’ai profité de ma solitude pour me caresser et jouir dans l’eau, c’était divin. Le lendemain, nous avons fait une très longue marche dans la campagne et les bois environnants, à midi nous avons pique niqué dans une clairière, et au bout d’un petit moment nous avons été rejoint par un groupe de garçon, c’étaient des scouts, celui qui semblait être leur chef s’est approché en disant :
- bonjour les filles je m’appelle Pierre, je suis le chef de cette bande de scout et nous campons pour la semaine dans la clairière à coté d’ici.
Puis il s’est approché de moi et m’a salué en me demandant :
- C’est toi, Vénus qui est leur chef ?
Je l’ai repris en lui disant que je m’appelais Thérèse comme la sainte qui a donné sa vie pour la gloire du seigneur, et non pas Venus puis nous avons longuement discuté. Ils étaient très sympa, j’ai rapidement remarqué que des couples se formaient entre les scouts et mes filles, l’ambiance était très agréable et nous n’avons pas vu le temps passer finalement, nous avons eut beaucoup de mal a nous décider pour reprendre notre route. Au moment de repartir, nous nous sommes tous bien embrassé. Nous étions toutes très excitées par cette rencontre et pendant tout le trajet de retour elles n’ont pas arrêté de papoter. Le soir venu, je suis repartie à l’étang pour faire ma toilette et une fois dans l’eau, au moment où je commençait à me caresser pour jouir une nouvelle fois de ma communion avec la nature, j’ai senti des mains attraper mes épaules, c’était Pierre, j’étais complètement paralysée par sa présence et son contact, me sachant entièrement nue, je me suis mise à rougir et ne pouvais rien dire, il a tendu le bras, m’a doucement tiré vers lui et m’a embrassé. Après un long et fougueux baiser il a simplement dit :
- j’avais raison, tu es bien la Vénus du lac.
Comme je ne répondais pas, il a recommencé à m’embrasser puis ses mains se sont mise à parcourir mon corps. Rapidement, je me suis mise à gémir sous ses caresses. Avec le soleil qui se couchait, le paysage était magnifique, je n’étais plus Thérèse la responsable du groupe, je n’étais plus qu' Ève dans le jardin d’Éden qui jouissait sous les caresses d’Adam. Je l’ai laissé me caresser jusqu'à l’orgasme, c’étais merveilleux, je n’avais jamais éprouvé autant de plaisir. Après un très long moment, je suis redescendue sur terre, j’ai réalisé ce que nous étions entrain de faire, c’étais un péché, je l’ai repoussé, je suis sortie de l’eau et toute honteuse du plaisir que je venais d’avoir, je me suis rapidement séchée et rhabillée puis je suis partie sans me retourner. Toute la nuit, j’ai rêvé de ce beau garçon qui m’avait donné tant de plaisir. Pendant toutes nos activités du lendemain, j’ai eu des flashs de la veille et il me tardait que le soir arrive pour retourner me laver à l’étang avec le secret espoir de l’y retrouver.
Enfin le soir est arrivé, je suis partie me laver, après avoir regardé tout autour de moi, je me suis déshabillée au bord de l’eau, puis j’ai plongée dedans. J’ai attendu longtemps, je me suis caressée en pensant à ce que j’avais vécu la veille, j’ai jouis mais le plaisir était bien moins intense. J’ai continué à l’attendre en vain jusque au moment où le froid de l’eau m’a obligée à sortir. Je me suis rhabillée et je suis retournée à la ferme. De ne pas l’avoir vu faisait naitre en moi une sorte de frustration incompréhensible. Le lendemain, j’ai insisté pour que tout le groupe parte dans les bois à la recherche de la clairière où campaient les garçons. Après de longues heures, nous avons trouvé leur camp mais il était vide. Ils étaient surement partis en expédition. Nous sommes rentrées et nous avons passé le reste de la journée à essayer de réparer le toit de la ferme et étudier la bible puis, le soir venu, au moment de la toilette je suis repartie au bord de l’étang.
Il n’y avait personne, je me suis déshabillée et je me suis lavée puis au moment de sortir de l’eau une étrange sensation dans mon ventre m’a poussée à me caresser. Je sentais le plaisir monter doucement en moi, je décollais complètement en pensant à Pierre. Au moment ou, les yeux fermés, j’allais enfin jouir, des mains ont attrapées ma poitrine et une bouche avide s’est posée sur la mienne. Je me suis laissé emporter par le plaisir, il était revenu. C’était merveilleux. J’étais toute à lui. Après m’avoir fait jouir deux fois dans l’eau avec ses caresses, il m’a guidé sur la petite plage, m’a couchée sur la serviette et sa bouche s’est emparée de mon minou. Pour la première fois de ma vie, je sentais une langue avide s’enfoncer en moi et mon plaisir a, à nouveau explosé. Je n’étais plus que jouissance, c’étais merveilleux. Je ne sais pas comment il s’y est pris mais au bout d’un moment alors que je criais mon plaisir, il m’a embrassé, sa langue s’est enfoncée dans ma bouche en même temps que son sexe dans mon intimité. C’était la première fois de ma vie qu’un garçon me pénétrait, j’avais entendu dire que ça faisait mal, moi, je n’ai pas eu mal, bien au contraire, mon plaisir s’est encore amplifié à tel point que j’ai perdu connaissance.
Quand j’ai refait surface, il faisait nuit noire, il n’était plus là, j’ai porté mes mains à mon sexe, il était tout englué. Je suis retourné dans l’eau pour le nettoyer puis je me suis rhabillée et je suis partie vers le camp des garçons.
De la lisière du bois, je les ai observé, au bout d’un moment, j’ai trouvée la tente de Pierre, quand il est parti se coucher, je suis discrètement allé le rejoindre. Il a été tout étonné de me voir entrer dans sa tente puis il m’a attrapé et embrassé en me caressant. Je sentais le plaisir remonter en moi mais je l’ai arrêté dans son élan et je lui ai proposé de me rejoindre le lendemain matin au bord du lac et après un fougueux baisé, je suis retournée rêveuse à la ferme pour organiser une course d’orientation qui allait occuper les filles toute la journée. Le lendemain matin, après le petit déjeuner, j’ai séparé les filles en trois groupes et je leur ai donné les instructions pour la course. Après leur départ, je suis partie retrouver mon chéri au bord du lac.
Il était là, tout de suite nous nous sommes embrassé, caressé, mutuellement déshabillé. J’éprouvais un plaisir immense d’être dans ses bras nous nous sommes couchés sur la serviette et il est entré en moi. Mon plaisir était immense, je n’arrêtais pas de jouir puis il s’est contracté et s’est retiré juste au moment où j’allais jouir une nouvelle fois. J’ai regardé son sexe pour qu’il revienne en moi, et là, mon plaisir est tombé d’un coup, il était entrain de se retirer un préservatif. Je l’ai arrêté en lui disant ce qu’on m’avait toujours appris :
- c’est un péché d’utiliser ce truc, c’est le pape qui l’a dit.
Il m’a eut l’air surpris puis il m’a répondu :
- oui, je veux bien ne plus en mettre, je ferais attention comme hier soir.
- Qu’est-ce que tu as fait hier soir ?
- Hier soir, je n’avais pas de capotes alors je me suis retiré pour ne pas te mettre en cloque.
- nous avons commis une grande faute, c’est écrit dans la bible. Se retirer avant l’orgasme est une pratique interdite, à cause de ton comportement inconscient nous risquons de gros ennuis.
- Mais je ne veux pas te mettre en cloque moi.
- Non, il ne nous arrivera rien si nous croyons très fort en dieu. Regarde, hier, tu étais le premier garçon à me faire l’amour et je n’ai pas eu mal, bien au contraire, c’est dieu qui t’a mis sur ma route pour que je connaisse le plaisir avec toi. il n’arrivera rien si nous suivons la volonté de dieu. Par contre Nous aurons des problèmes si nous ne nous plions pas à sa volonté si tu mets un préservatif comme tout à l’heure ou si tu te retires.
Je ne sais pas si c’est mon discours qui lui a fait de l’effet mais il bandait à nouveau il m’a embrassé pour me faire taire et a guidé son truc pour s’enfoncer en moi. J’ai jouis tout de suite, le plaisir que j’avais en le sentant, au plus profond de mon ventre, était tellement grand que j’en ai encore perdu connaissance.
Quand je me suis réveillée, j’avais le corps parcouru de frissons, il était allongé à coté de moi et me caressait doucement la poitrine.
Je sentais mon ventre tout englué et je lui ai demandé ce qu’il avait fait.
- Je me suis retiré pour jouir sur ton ventre.
J’ai été choquée par cette révélation, je lui ai répondu :
- - tu n’as rien compris à ce que je t’ai expliqué tout à l’heure nous avons commis à nouveau un grand péché, c’est écrit dans la bible. Se retirer avant l’orgasme est une pratique interdite.
- Mais je t’assure que je ne veux pas te mettre en cloque moi.
- Non, il ne nous arrivera rien si nous croyons très fort en dieu. N’oublie pas que c’est dieu qui t’a mis sur ma route pour que je connaisse la joie de l’amour avec toi. Nous aurons des problèmes si nous ne nous plions pas à sa volonté si tu te retire a nouveau ou si tu remets un préservatif comme tout à l’heure. Par contre il n’arrivera rien si nous suivons la volonté de dieu et que nous nous aimions sans retenues.

Comme il bandait de nouveau et que j’avais très envie de recommencer, je suis passée sur lui et me suis empalée. Nous nous sommes agités un très long moment, j’ai eut plusieurs orgasmes merveilleux mais je suis resté sur lui jusqu’au moment où je l’ai senti exploser au fond de mon ventre. La brulure de son plaisir au fond de mon ventre m’a, à nouveau fait avoir un orgasme énorme mais je suis resté sur lui. Pendant un long moment nous sommes resté immobile, l’un sur l’autre et je l’ai senti tout doucement débander en moi. Quand son sexe est sorti de moi, je me suis relevée et nous sommes parti nous baigner puis après s’être séché et rhabillé, nous sommes partis à la ferme pour manger, faire l’amour donne très faim...

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Texte coquin : Grenouille de bénitier
Histoire sexe : Une rose rouge
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