Nouvelles expériences 2
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvelles expériences 2
L’autre jour en rentrant à la maison, j’ai croisé une voiture qui semblait sortir de chez moi, un peu surpris, j’ai ralenti et j’ai discrètement observé le conducteur. C’était une belle femme blonde, à ce que j’ai pu voir, belle poitrine, dans des vêtements très stricts, du style « inspecteur des impôts ».
Une fois à la maison, j’ai demandé à Géraldine :
- Qui c’est la femme que j’ai croisé en arrivant ?
- Une copine pourquoi ?
- Pour rien, c’est moi qui l’ai faite partir, elle me parait très stricte.
- Oh non, pas du tout, c’est mon ancienne coloc, avant que je te connaisse.
- Tu avais une colocataire quand je t’ai connue ?
- Oui, ça aide bien pour payer le loyer quand on est étudiante.
- Mai il me semble qu’il n’y avait qu’un lit dans ton appart'.
- Et alors, on se le partageait c’est tout.
- Vous dormiez ensemble ?
- Oui, bien sur.
- Vous ne faisiez que dormir ensemble ?
- Euh…….. bien oui.
- Pourquoi tu hésites tant, je suis ton mari, tu peux tout me dire.
- Et bien oui, on se câlinait un peu aussi, c’est elle qui m’a fait avoir mon premier orgasme.
- Et bien voila, je sais maintenant que j’ai épousé une lesbienne en herbe.
- Ne racontes pas de bêtises, elle m’a juste montré qu’il y avait autre chose que le travail et les études dans la vie. Nous nous aimions bien, c’est tout, en plus, je ne t’aurais peut être jamais rencontré si elle n’avait pas été là.
- Ah bon ? Il faut que tu l’invites pour que je la remercie, elle vit seule ?
- Oui, elle n’a pas de mari si c’est ce que tu veux dire. Elle, elle est vraiment lesbienne.
- Il y a longtemps que tu la vois ?
- Non, je l’ai revue en faisant des courses il y a trois mois environ, nous avons bu un verre ensemble c’est tout.
- Tu ne l’as pas revue depuis ? Comment elle sait où tu habites ?
- Mais oui, je l’ai revue, elle s’est inscrite dans le même club de gym que moi, nous nous voyons toutes les semaines à la gym.
- Ah, tu fais du broute minou toutes les semaines.
- Arrêtes de dire des bêtises et viens m’embrasser.
Je me suis approché d’elle, l’ai embrassé fougueusement, elle était toute fraîche et parfumée comme si elle sortait juste de la salle d’eau.
- Les enfants ne sont pas là ?
- Non, ils sont au parc, j’ai demandé à Christine de les prendre a l’école et de les emmener jouer au parc.
- Ah oui, tu voulais être seule avec elle ?
- Arrêtes de dire des bêtises, on s’aime bien comme deux copines c’est tout.
- Oh oui, deux lesbiennes. Elle a connu des mecs ta copine ?
- Non, je ne pense pas, je l’ai toujours vue qu’avec des femmes.
- Et qu’est-ce qu’elle fait dans la vie ?
- Je ne sais pas, elle est fonctionnaire, je crois.
- Tu l’invites quand ?
- Je ne sais pas, je lui demanderai demain a la gym.
Quand les enfants sont revenus avec Christine, la fille de ma secrétaire, je l’ai prise à part pour lui payer ses heures.
- Non, monsieur, c’est déjà fait, Madame me paye tous les mois.
- Ah bon et vous venez souvent vous occuper des enfants ?
- Oui, tous les jours, je vais les chercher à l’école et deux fois par semaine je les emmène au parc comme aujourd’hui.
- Vous le faites depuis longtemps ?
- Oh non, deux mois à peu près.
- Ah bon, je n’étais pas au courant. Bonsoir, à demain alors.
Je découvrais des choses qui me paraissaient étranges. Que pouvais donc faire ma femme ces deux soirs où les enfants étaient au parc ? J’ai décidé de chercher à comprendre.
Par ma secrétaire, j’ai su quels étaient les jours où sa fille menait les enfants au parc. Le jeudi suivant je me suis garé devant la maison des voisins en début d’après-midi puis je me suis installé pour surveiller l’entrée de ma maison. Vers quatorze heures, une voiture est arrivée, s’est engagée dans l’allée de ma villa. J’ai observé. La belle blonde en est sortie, et d’un pas sur d'elle, s’est dirigée vers la porte, elle est entrée sans sonner, comme si elle était chez elle. Je n’ai pas résisté, je suis descendu de ma voiture et je me suis approché de la maison. Par la fenêtre de la cuisine j’ai observé. La belle fille blonde était assise dos à la fenêtre, ma femme était entrain de préparer du café à l’autre bout de la pièce. Je ne pouvais pas entendre les conversations, mais tant pis. Pas de risques je restais dans mon poste d’observation. Ma femme a apporté le café à table, a servi, elle semblait se raconter des histoires marrantes, j’ai vu ma femme rire deux ou trois fois en buvant son café. Au bout d’un moment la grande blonde s’est levée, a fait le tour de la table et s’est mise derrière Géraldine, ses mains sont parties de ses épaules, lui ont caressé la poitrine puis se sont mises à déboutonner son chemisier. En peu de temps, Géraldine était nue au milieu de la cuisine à se tordre de plaisir sous les caresses de la grande blonde. Qui elle était restée entièrement vêtue avec son tailleur très strict. Après avoir eu un orgasme énorme qui l’a fait crier tellement fort que le l’ai entendu, ma femme est retombée sur la table de la cuisine comateuse. La blonde s’est éloignée d’elle, a attrapé son sac et en a sorti différents trucs dont des menottes avec lesquelles elle a attaché les poignets de Géraldine aux pieds de la table puis ses chevilles. Ensuite elle a récupéré les tasses et le plateau toujours posé sur le bord de cette table pour les mettre dans l’évier. Je n’en revenais pas, je voyais ma femme attachée, entièrement nue, offerte, bras et jambes écartées et je ne pouvais rien faire.
La grande blonde a tiré une chaise puis s’est mise à déboutonner son tailleur si strict. Elle l’a retiré, plié et posé sur la chaise puis ce fut son chemisier blanc impeccable, puis sa jupe de suivre le même chemin. Je suis resté complètement sonné par le spectacle. Sous son tailleur et sa jupe très stricte elle ne portait qu’une guêpière noire qui lui faisait pigeonner sa magnifique poitrine et un porte jarretelle noire lui aussi qui encadrait son mont de vénus complètement épilé. De la voir dans cette tenue si érotique m’a fait bander instantanément. Une fois nue, elle est montée sur la table et a posé son sexe tout épilé sur la bouche de Géraldine qui semble ne pas s’être fait prier pour lécher avidement, à voir l’extase monter sur le visage de sa copine. J’étais tellement pris par ce spectacle que je n’avais pas remarqué les mains de la blonde qui pistonnaient le sexe de Géraldine, elle y allait très fort, c’est sa main qui disparaissait entièrement dans la petite fente de ma chère et tendre. Je ne pouvais plus tenir devant un tel spectacle, j’ai failli intervenir puis la raison a pris le dessus et je suis parti.
Je bandais toujours très fort, je ne pouvais pas rentrer au bureau dans cet état. J’ai pensé à mon amie Marie Christine et je suis parti chez elle. J’ai sonné a sa porte, elle a ouvert.
- Toi, Jean-Marc, que fais-tu là ? Tu sais que j’ai mes enfants aujourd’hui ?
- Oui, je sais, où sont-ils ?
- Chez un de leurs copains qui fête son anniversaire.
- Alors tu es seule ?
- Oui, je repars dans deux heures les chercher et après leur père passe les reprendre.
- Tu me fais entrer, j’ai très envie de toi.
- Non ce n’est pas possible, pas aujourd’hui.
- Mais si regarde comme je bande, j’ai pensé à toi au bureau je me suis mis à bander et je suis venu te voir.
- Non, ce n’est pas possible.
- Pourquoi, tu as deux heures de libre non ?
- Oui, c’est sur mais je n’ai pas mis mon diaphragme, et je suis dans ma période d’ovulation. Je ne veux pas courir de risques.
- Mais tu sais que je peux faire très attention, allez, laisses moi entrer, je te promets d’être sage.
- Oui, d’accord entres, tu veux boire un truc ?
- Oui, toi.
Je l’ai prise par le cou et je l’ai embrassé en la caressant. Dans un gémissement elle m’a répondu :
- Non, arrêtes, tu n’es pas sage comme tu l’avais promis.
Doucement en la caressant j’ai commencé à la déshabiller.
- Non, arrêtes, pas ici, penses aux voisins, ils peuvent nous voir.
Nous sommes montés dans sa chambre, j’ai terminé de la déshabiller puis je l’ai couché sur le lit et me suis mis à lui butiner de ma langue sa fente velue, m’attardant sur son petit bouton. Rapidement elle s’est mise à gémir de plaisir. J’ai enfoncé un doigt en elle puis deux et revoyant le spectacle de la main de la blonde entrant et sortant du sexe de mon épouse, j’ai essayé trois doigts puis quatre, elle n’arrêtait pas de gémir de plaisir. Enfin j’avais ma main en elle, c’était chaud humide, j’étais bien, je l’ai pistonné un peu pour la faire décoller puis je me suis relevé et déshabillé en la regardant reprendre son souffle sur le lit.
- Tu n’as jamais pensé à t’épiler le sexe ?
- Non, pourquoi, tu n’aimes pas ma touffe ?
- Oh oui, je l’adore mais c’est une idée qui m’a traversé l’esprit comme ça.
- Oui comme ton envie de me fister le minou ?
- Te fister le minou ?
- Oui, mettre ta main en moi, c’est un truc de lesbiennes.
- Ah bon, je ne savais pas. J’ai juste eut envie c’est tout.
- Allez, arrêtes de dire des bêtises et viens me faire l’amour mais attention, ne restes pas.
Je suis venu en elle, j’ai été surpris par la sensation d’être bien serré dans son sexe que j’avais tant dilaté juste avant. Nous avons fait l’amour comme des fous. A la fin, je me suis retiré de justesse pour lui arroser les fesses. Après un petit moment pendant lequel nous nous sommes caressés en reprenant notre souffle, elle s’est levée.
- Allez, la récréation est finie, il faut que je range tout et que j’aille chercher mes enfants. Habilles-toi vite et repars travailler.
J’ai obéis, je me suis rhabillé et je m’apprêtais à partir quand elle m’a arrêté, embrassé puis m’a dit :
- Je te trouve bizarre en ce moment.
- Moi, bizarre, non, pourquoi ?
- Je ne sais pas, ton envie que je m’épile le sexe, ton envie de me fister, qu’est-ce que tu as ?
- Moi, rien. Non, vraiment rien.
- Je ne crois pas. Enfin on en reparlera, va vite travailler.
Je suis parti soulagé, j’ai regardé l’heure, au lieu de partir au bureau je suis directement rentré à la maison. La voiture de la blonde n’étais plus là, je suis entré, du bruit à l’étage. J’ai appelé :
- Géraldine
- Oui, c’est toi, tu rentres bien tôt.
- Oui, c’est calme en ce moment, qu’est-ce que tu fais en haut ?
- Comme d’habitude, le ménage.
- Ah bon, tu as bientôt fini ?
- Oui, j’arrive dans cinq minutes.
Je me suis installé au salon et servi un verre. Quelques minutes plus tard elle était à coté de moi.
- Tu m’en sers un aussi.
- Oui, tout de suite.
En lui donnant son verre, je l’ai embrassé, elle était à nouveau toute fraîche et parfumée comme si elle sortait tout juste de son bain.
- Ta journée a été agréable ?
- Comme d’habitude, les gosses, les courses et le ménage pourquoi ?
- Non, pour rien, au bureau c’est très calme en ce moment. Où sont les enfants ?
- Au parc, avec Christine, il faut qu’ils s’aèrent un peu ces petits.
- Oui, tu as raison et c’est plus calme sans eux. Tu viens là à coté de moi me faire un petit câlin ?
- Non, ils ne vont pas tarder à rentrer, on n’a pas le temps.
- Tu as revue ta copine ?
- Oui, elle passera manger à la maison demain soir.
- Super, je vais voir la maîtresse de ma femme ma concurrente directe.
- Arrêtes de dire des bêtises, c’est une vieille copine c’est tout.
- Oui, une vieille copine qui te fais jouir plus que moi, non ?
- Ne racontes pas de bêtises, si elle me faisait jouir plus que toi, je serais toujours avec elle et je ne t’aurais pas épousé.
- Oui, c’est vrai. Tiens, justement j’entends les enfants qui rentrent.
A suivre
Une fois à la maison, j’ai demandé à Géraldine :
- Qui c’est la femme que j’ai croisé en arrivant ?
- Une copine pourquoi ?
- Pour rien, c’est moi qui l’ai faite partir, elle me parait très stricte.
- Oh non, pas du tout, c’est mon ancienne coloc, avant que je te connaisse.
- Tu avais une colocataire quand je t’ai connue ?
- Oui, ça aide bien pour payer le loyer quand on est étudiante.
- Mai il me semble qu’il n’y avait qu’un lit dans ton appart'.
- Et alors, on se le partageait c’est tout.
- Vous dormiez ensemble ?
- Oui, bien sur.
- Vous ne faisiez que dormir ensemble ?
- Euh…….. bien oui.
- Pourquoi tu hésites tant, je suis ton mari, tu peux tout me dire.
- Et bien oui, on se câlinait un peu aussi, c’est elle qui m’a fait avoir mon premier orgasme.
- Et bien voila, je sais maintenant que j’ai épousé une lesbienne en herbe.
- Ne racontes pas de bêtises, elle m’a juste montré qu’il y avait autre chose que le travail et les études dans la vie. Nous nous aimions bien, c’est tout, en plus, je ne t’aurais peut être jamais rencontré si elle n’avait pas été là.
- Ah bon ? Il faut que tu l’invites pour que je la remercie, elle vit seule ?
- Oui, elle n’a pas de mari si c’est ce que tu veux dire. Elle, elle est vraiment lesbienne.
- Il y a longtemps que tu la vois ?
- Non, je l’ai revue en faisant des courses il y a trois mois environ, nous avons bu un verre ensemble c’est tout.
- Tu ne l’as pas revue depuis ? Comment elle sait où tu habites ?
- Mais oui, je l’ai revue, elle s’est inscrite dans le même club de gym que moi, nous nous voyons toutes les semaines à la gym.
- Ah, tu fais du broute minou toutes les semaines.
- Arrêtes de dire des bêtises et viens m’embrasser.
Je me suis approché d’elle, l’ai embrassé fougueusement, elle était toute fraîche et parfumée comme si elle sortait juste de la salle d’eau.
- Les enfants ne sont pas là ?
- Non, ils sont au parc, j’ai demandé à Christine de les prendre a l’école et de les emmener jouer au parc.
- Ah oui, tu voulais être seule avec elle ?
- Arrêtes de dire des bêtises, on s’aime bien comme deux copines c’est tout.
- Oh oui, deux lesbiennes. Elle a connu des mecs ta copine ?
- Non, je ne pense pas, je l’ai toujours vue qu’avec des femmes.
- Et qu’est-ce qu’elle fait dans la vie ?
- Je ne sais pas, elle est fonctionnaire, je crois.
- Tu l’invites quand ?
- Je ne sais pas, je lui demanderai demain a la gym.
Quand les enfants sont revenus avec Christine, la fille de ma secrétaire, je l’ai prise à part pour lui payer ses heures.
- Non, monsieur, c’est déjà fait, Madame me paye tous les mois.
- Ah bon et vous venez souvent vous occuper des enfants ?
- Oui, tous les jours, je vais les chercher à l’école et deux fois par semaine je les emmène au parc comme aujourd’hui.
- Vous le faites depuis longtemps ?
- Oh non, deux mois à peu près.
- Ah bon, je n’étais pas au courant. Bonsoir, à demain alors.
Je découvrais des choses qui me paraissaient étranges. Que pouvais donc faire ma femme ces deux soirs où les enfants étaient au parc ? J’ai décidé de chercher à comprendre.
Par ma secrétaire, j’ai su quels étaient les jours où sa fille menait les enfants au parc. Le jeudi suivant je me suis garé devant la maison des voisins en début d’après-midi puis je me suis installé pour surveiller l’entrée de ma maison. Vers quatorze heures, une voiture est arrivée, s’est engagée dans l’allée de ma villa. J’ai observé. La belle blonde en est sortie, et d’un pas sur d'elle, s’est dirigée vers la porte, elle est entrée sans sonner, comme si elle était chez elle. Je n’ai pas résisté, je suis descendu de ma voiture et je me suis approché de la maison. Par la fenêtre de la cuisine j’ai observé. La belle fille blonde était assise dos à la fenêtre, ma femme était entrain de préparer du café à l’autre bout de la pièce. Je ne pouvais pas entendre les conversations, mais tant pis. Pas de risques je restais dans mon poste d’observation. Ma femme a apporté le café à table, a servi, elle semblait se raconter des histoires marrantes, j’ai vu ma femme rire deux ou trois fois en buvant son café. Au bout d’un moment la grande blonde s’est levée, a fait le tour de la table et s’est mise derrière Géraldine, ses mains sont parties de ses épaules, lui ont caressé la poitrine puis se sont mises à déboutonner son chemisier. En peu de temps, Géraldine était nue au milieu de la cuisine à se tordre de plaisir sous les caresses de la grande blonde. Qui elle était restée entièrement vêtue avec son tailleur très strict. Après avoir eu un orgasme énorme qui l’a fait crier tellement fort que le l’ai entendu, ma femme est retombée sur la table de la cuisine comateuse. La blonde s’est éloignée d’elle, a attrapé son sac et en a sorti différents trucs dont des menottes avec lesquelles elle a attaché les poignets de Géraldine aux pieds de la table puis ses chevilles. Ensuite elle a récupéré les tasses et le plateau toujours posé sur le bord de cette table pour les mettre dans l’évier. Je n’en revenais pas, je voyais ma femme attachée, entièrement nue, offerte, bras et jambes écartées et je ne pouvais rien faire.
La grande blonde a tiré une chaise puis s’est mise à déboutonner son tailleur si strict. Elle l’a retiré, plié et posé sur la chaise puis ce fut son chemisier blanc impeccable, puis sa jupe de suivre le même chemin. Je suis resté complètement sonné par le spectacle. Sous son tailleur et sa jupe très stricte elle ne portait qu’une guêpière noire qui lui faisait pigeonner sa magnifique poitrine et un porte jarretelle noire lui aussi qui encadrait son mont de vénus complètement épilé. De la voir dans cette tenue si érotique m’a fait bander instantanément. Une fois nue, elle est montée sur la table et a posé son sexe tout épilé sur la bouche de Géraldine qui semble ne pas s’être fait prier pour lécher avidement, à voir l’extase monter sur le visage de sa copine. J’étais tellement pris par ce spectacle que je n’avais pas remarqué les mains de la blonde qui pistonnaient le sexe de Géraldine, elle y allait très fort, c’est sa main qui disparaissait entièrement dans la petite fente de ma chère et tendre. Je ne pouvais plus tenir devant un tel spectacle, j’ai failli intervenir puis la raison a pris le dessus et je suis parti.
Je bandais toujours très fort, je ne pouvais pas rentrer au bureau dans cet état. J’ai pensé à mon amie Marie Christine et je suis parti chez elle. J’ai sonné a sa porte, elle a ouvert.
- Toi, Jean-Marc, que fais-tu là ? Tu sais que j’ai mes enfants aujourd’hui ?
- Oui, je sais, où sont-ils ?
- Chez un de leurs copains qui fête son anniversaire.
- Alors tu es seule ?
- Oui, je repars dans deux heures les chercher et après leur père passe les reprendre.
- Tu me fais entrer, j’ai très envie de toi.
- Non ce n’est pas possible, pas aujourd’hui.
- Mais si regarde comme je bande, j’ai pensé à toi au bureau je me suis mis à bander et je suis venu te voir.
- Non, ce n’est pas possible.
- Pourquoi, tu as deux heures de libre non ?
- Oui, c’est sur mais je n’ai pas mis mon diaphragme, et je suis dans ma période d’ovulation. Je ne veux pas courir de risques.
- Mais tu sais que je peux faire très attention, allez, laisses moi entrer, je te promets d’être sage.
- Oui, d’accord entres, tu veux boire un truc ?
- Oui, toi.
Je l’ai prise par le cou et je l’ai embrassé en la caressant. Dans un gémissement elle m’a répondu :
- Non, arrêtes, tu n’es pas sage comme tu l’avais promis.
Doucement en la caressant j’ai commencé à la déshabiller.
- Non, arrêtes, pas ici, penses aux voisins, ils peuvent nous voir.
Nous sommes montés dans sa chambre, j’ai terminé de la déshabiller puis je l’ai couché sur le lit et me suis mis à lui butiner de ma langue sa fente velue, m’attardant sur son petit bouton. Rapidement elle s’est mise à gémir de plaisir. J’ai enfoncé un doigt en elle puis deux et revoyant le spectacle de la main de la blonde entrant et sortant du sexe de mon épouse, j’ai essayé trois doigts puis quatre, elle n’arrêtait pas de gémir de plaisir. Enfin j’avais ma main en elle, c’était chaud humide, j’étais bien, je l’ai pistonné un peu pour la faire décoller puis je me suis relevé et déshabillé en la regardant reprendre son souffle sur le lit.
- Tu n’as jamais pensé à t’épiler le sexe ?
- Non, pourquoi, tu n’aimes pas ma touffe ?
- Oh oui, je l’adore mais c’est une idée qui m’a traversé l’esprit comme ça.
- Oui comme ton envie de me fister le minou ?
- Te fister le minou ?
- Oui, mettre ta main en moi, c’est un truc de lesbiennes.
- Ah bon, je ne savais pas. J’ai juste eut envie c’est tout.
- Allez, arrêtes de dire des bêtises et viens me faire l’amour mais attention, ne restes pas.
Je suis venu en elle, j’ai été surpris par la sensation d’être bien serré dans son sexe que j’avais tant dilaté juste avant. Nous avons fait l’amour comme des fous. A la fin, je me suis retiré de justesse pour lui arroser les fesses. Après un petit moment pendant lequel nous nous sommes caressés en reprenant notre souffle, elle s’est levée.
- Allez, la récréation est finie, il faut que je range tout et que j’aille chercher mes enfants. Habilles-toi vite et repars travailler.
J’ai obéis, je me suis rhabillé et je m’apprêtais à partir quand elle m’a arrêté, embrassé puis m’a dit :
- Je te trouve bizarre en ce moment.
- Moi, bizarre, non, pourquoi ?
- Je ne sais pas, ton envie que je m’épile le sexe, ton envie de me fister, qu’est-ce que tu as ?
- Moi, rien. Non, vraiment rien.
- Je ne crois pas. Enfin on en reparlera, va vite travailler.
Je suis parti soulagé, j’ai regardé l’heure, au lieu de partir au bureau je suis directement rentré à la maison. La voiture de la blonde n’étais plus là, je suis entré, du bruit à l’étage. J’ai appelé :
- Géraldine
- Oui, c’est toi, tu rentres bien tôt.
- Oui, c’est calme en ce moment, qu’est-ce que tu fais en haut ?
- Comme d’habitude, le ménage.
- Ah bon, tu as bientôt fini ?
- Oui, j’arrive dans cinq minutes.
Je me suis installé au salon et servi un verre. Quelques minutes plus tard elle était à coté de moi.
- Tu m’en sers un aussi.
- Oui, tout de suite.
En lui donnant son verre, je l’ai embrassé, elle était à nouveau toute fraîche et parfumée comme si elle sortait tout juste de son bain.
- Ta journée a été agréable ?
- Comme d’habitude, les gosses, les courses et le ménage pourquoi ?
- Non, pour rien, au bureau c’est très calme en ce moment. Où sont les enfants ?
- Au parc, avec Christine, il faut qu’ils s’aèrent un peu ces petits.
- Oui, tu as raison et c’est plus calme sans eux. Tu viens là à coté de moi me faire un petit câlin ?
- Non, ils ne vont pas tarder à rentrer, on n’a pas le temps.
- Tu as revue ta copine ?
- Oui, elle passera manger à la maison demain soir.
- Super, je vais voir la maîtresse de ma femme ma concurrente directe.
- Arrêtes de dire des bêtises, c’est une vieille copine c’est tout.
- Oui, une vieille copine qui te fais jouir plus que moi, non ?
- Ne racontes pas de bêtises, si elle me faisait jouir plus que toi, je serais toujours avec elle et je ne t’aurais pas épousé.
- Oui, c’est vrai. Tiens, justement j’entends les enfants qui rentrent.
A suivre
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