Changement de situation 1
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Changement de situation 1
Alors que je dormais profondément une petite voix m’a réveillé en même temps que des caresses.
- Monsieur n’a pas pris ses pilules ce soir avant de se coucher.
- Ah c’est toi, laisses-moi dormir.
- Avales ça.
- Bon, d’accord. Mais j’en prends qu’une d’habitude !
- Là, c’est spécial, tu rattrapes, tu n’en as pas pris ce matin.
- D’accord.
J’ai avalé mes cachets. Au moment où je me calais pour me rendormir j’ai senti des mains sur mon sexe. Je me sentais gonfler doucement, j’ai ouvert les yeux, c’était Géraldine qui me branlait doucement.
- Tu n’en as pas eu assez ?
- Non, tu es à moi et je te veux pour moi toute seule au moins une fois.
- Non, je suis fatigué, je ne peux pas.
- Menteur, tu bandes déjà très fort.
- Et bien si je bande sers toi de moi et laisses moi dormir.
- Mets toi sur le dos que je puisse faire ce que je veux.
- Voilà c’est bien, ça te convient ?
Elle est passée sur moi et s’est empalée en gémissant. Tout en s’activant sur moi elle s’est mise à me raconter :
- Tu sais « l’outre à sperme », Ursula, je crois qu’elle ne prend rien pour se protéger, si il le faut elle est déjà en cloque depuis le temps que tu te les vides en elle.
- Non, ce n’est pas possible, elle nous l’aurait dit si elle n’avait pas eu ses règles.
- Oui, peut être ou pas, si elle désire comme moi un enfant.
Grands silence entrecoupé par ses gémissements de plaisirs et le flop, flop de mon chibre entrant et sortant d’elle. L’information qu’elle venait de lancer a mis un moment à arriver à mon cerveau. Puis je me suis inquiété :
- Tu prends toujours la pilule ?
- Oups, non, je l’ai arrêté, le mois dernier.
- Pourquoi tu ne m’as rien dit ?
- Je ne sais pas, un oubli peut être. Nos enfants sont grands maintenant et j’ai envie de pouponner tu n’as rien contre, j’espère ?
- Oh oui, je suis contre cette idée, je n’ai pas envie de replonger dans le cauchemar des biberons et des câlins silencieux pour ne pas réveiller bébé.
- C’est sûrement trop tard pour toi, avec tout ce que tu m’as mis ce week-end, je risque de gonfler très vite.
- Tu n’es qu’une grosse chienne, tu aurais pu me prévenir, je me serais retenu pour ne pas t’en faire un autre.
- C’est justement pour ça que je ne t’ai rien dit. Ça serait marrant qu'Ursula se retrouve elle aussi en cloque de toi, nous pourrions élever nos enfants ensemble.
- Ce n’est pas possible, la maison est trop petite.
- Et bien vends la pour en acheter une plus grande, avec piscine s’il te plait.
- Ce n’est pas encore fait, Ursula n’est pas encore enceinte et toi non plus.
En disant ça, je l’ai poussé sur le coté pour passer sur elle et je me suis activé pour la faire jouir très fort. Quand j’ai senti que j’allais éjaculer je me suis retiré et je lui ai arrosé tout le ventre et la poitrine.
- Petit con, tu me le paieras, j’ai horreur que tu me fasses ça.
- Ah bon, moi, j’ai horreur qu’on me fasse un enfant dans le dos.
Nous nous sommes couchés dos à dos et endormis. Le lendemain, j’ai travaillé d’arrache-pied toute la journée et je suis rentré complètement épuisé. A peine j’avais passé la porte que Géraldine avant même de m’avoir embrassé me tends un verre d’eau et deux comprimés.
- Mais j’en prends qu’un à la fois.
- Oui, un le matin et un le soir, tu ne l’as pas pris ce matin. Avales et tais-toi.
J’ai avalé à contre cœur. Après ça, elle m’a fougueusement embrassé puis je suis parti au salon me reposer en prenant un verre. De la cuisine elle me parlait :
- Tu as pensé à ce que je t’ai dit hier soir ?
- Non, tu m’as dit quoi ?
- Vendre la maison et en acheter une plus grande.
- Non, je n’y ai pas du tout pensé, on est bien ici.
- C’est trop petit, il nous faut une maison plus grande. Moi, j’ai cherché, regarde j’en ai encadré quelque unes dans la revue sur la table.
J’ai regardé la revue en question. Elle avait encadré de véritables petits châteaux, je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire :
- Tu me prends pour un milliardaire, ces maisons ne sont pas dans nos possibilités.
- Mais oui, en vendant la notre.
- Même, elles sont beaucoup trop chères, je n’ai pas les moyens.
- Et si tu vendais ton entreprise en plus ?
- Oui, j’aurais l’argent pour te payer un de ces châteaux mais nous n’aurions plus rien pour vivre. Arrêtes de rêver, il faut trouver une maison plus grande si tu veux mais beaucoup moins chère.
- Radin, je ne te voyais pas comme ça, si près de tes sous. Puisque les maisons que j’ai trouvé ne te conviennent pas, cherches en une qui rentre dans ton budget étriqué et montres la moi pour voir si elle me plait.
- D’accord demain je chercherai.
Nous nous sommes très vite couchés après un repas léger et j’ai dormi comme un plomb.
Le lendemain j’ai passé toute la matinée à chercher sur internet des maisons plus grandes que la mienne et dans mes prix sans succès. L’après midi, comme tous les Mardi, je suis passé chez Marie Christine, elle m’a paru bizarre, je lui ai demandé ce qu’elle avait. Sa réponse m’a laissé sans voix.
- Figure-toi, qu’en rentrant chez moi, hier, j’ai voulu retirer mon diaphragme pour me faire ma toilette. Il n’y était plus. Je ne sais pas comment ça a pu se produire mais je ne l’ai plus. C’est très grave, je risque de me retrouver enceinte, je ne pense pas que le gel seul pourra arrêter tout le sperme que tu as mis en moi.
J’ai réfléchi un peu à la soirée et je me suis rappelé.
- C’est Ursula qui te l’a enlevé quand elle t’a fisté, après ça, elle m’a branlé dans ton vagin.
- Ah la salope.
- Oui, même le matin en me levant je l’ai ramassé par terre et ne sachant pas ce que c’était je l’ai jeté à la poubelle.
- Et bien tu risques de m’avoir mise enceinte.
- Toi aussi, tu t’y mets !
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Géraldine a arrêté de prendre la pilule, elle a envie d’un autre bébé. Ursula ne s’est jamais protégée et risque de se retrouver en cloque et maintenant toi, tu m’annonces ça, ce n’est pas possible, c’est une conspiration.
- Non, je t’assure, je n’ai pas envie de me retrouver enceinte moi.
Tout en parlant je la caressais doucement, elle s’est éloigné de moi.
- Non, arrêtes, je ne veux pas, et puis il faut t’économiser pour vendredi, j’aurais acheté un autre diaphragme.
En buvant un café nous avons longuement discuté et quand je lui ai parlé des désirs de Géraldine et de mes recherches infructueuses elle m’a dit :
- Je pense que tu n’a plus à chercher, j’ai une copine qui travaille dans l’immobilier, elle a une très grande propriété à vendre depuis plusieurs années et elle n’arrive pas à la vendre. Si tu veux, je vais l’appeler.
Oui, ta copine c’est une lesbienne ?
Ah non, bien au contraire, c’est une dévoreuse d’hommes, c’est la seule qui m’a engueulé quand je me suis mariée. Mon mari la détestait.
- Elle est mignonne ?
- Oh oui, c’est un canon, elle le sait et en profite dans ses affaires mais elle n’arrive pas à vendre cette propriété. Je l’appelle tout de suite pour que tu la visites ……………………………… Allô, Mira, bonjour, comment va ? ………………………….. Tes amours ?……………………….. Ah bon, je t’appelle pour la propriété que tu as à vendre, …………………….. Oui, la grande, tu l’as toujours ? ………………………………….. J’ai un copain qui aimerait la voir, c’est possible ? …………………………. D’accord, je t’attends.
- Alors, elle l’a toujours ?
- Oui, elle passe dans une heure pour te la faire visiter. Tu vas voir, c’est magnifique.
- Oui, mais à quel prix ?
- Pas très cher, elle veut s’en débarrasser, ça fait plus de cinq ans qu’elle cherche à la vendre et ne trouve pas d’acquéreurs.
- Pourquoi, c’est si moche que ça ?
- Non, c’est une super propriété, il y a plusieurs bâtiments, un grand parc, une piscine en partie couverte, un jacuzzi, un sauna, un hammam, et c’est entièrement meublé.
- Ce n’est pas possible qu’elle n’arrive pas à vendre une telle propriété.
- Oh, non, il faut la voir pour comprendre, c’était un club libertin qui occupair ces locaux, le patron a été emprisonné pour un trafic il y a cinq ou six ans, il a besoin d’argent pour payer ses avocats et il vend tout. Dans un premier bâtiment, c’était les bureaux et le casino. Dans l’autre c’est le club et à l’étage il y a une dizaine de grandes chambres avec salle de bain et WC, le problème c’est le style de la décoration, très rococo, un peu boite à pute. Ah, j’oubliais, autour de la piscine il y a six ou sept studios complets. Voilà c’est ce que j’avais vu à l’époque quand je l’avais visité avec Mira, au début elle pensait qu’elle allait faire un carton avec cette propriété, maintenant, elle ne rêve que d’une chose, qu’on lui fasse une proposition de prix raisonnable pour qu’elle s’en débarrasse et je crois qu’elle lâchera si tu veux. J’argumenterai dans ton sens pour l’inciter à lâcher plus facilement.
- Oui, d’accord mais il me faut la voir avant tout et si ça me plait il faudra la faire visiter à Géraldine pour qu’elle donne son accord.
Nous avons discuté encore un moment puis Mira est arrivée, on est parti pour visiter cette merveille. C’était à trente minutes du centre ville, nous avons longé un grand mur puis nous sommes entrés par un grand portail dans une belle allée sur le coté, contre le mur de clôture une petite maison en partie en ruine. Mira nous a expliqué :
- C’est la maison du gardien, c’est une petite villa de cinq pièces qui n’entre pas dans l’inventaire de la vente car elle est quasiment en ruine, elle n’a jamais servi. L’ancien propriétaire n’avait pas besoin de gardien.
Elle a redémarré puis après une courbe, nous nous sommes arrêtés devant un premier bâtiment. Mira s’est mise à parler.
- Voila, c’est le premier bâtiment, l’ensemble de la propriété fait environ trois hectares de parc entièrement clôturé et vidéo surveillé. La salle de contrôle est à l’étage de ce bâtiment, si vous désirez avoir des chevaux, il y a des écuries derrière ce bâtiment. En bas vous avez une grande salle de réserves, un bar, une salle de jeux, des toilettes, une cuisine et une petite salle de restaurant. C’est tout équipé, il n’y a que les tables de jeux et les machines à sous qui ne soient plus là. A l’étage vous avez les bureaux, la salle de surveillance et un appartement de quatre pièces. Vous voulez entrer pour voir ?
- Non, je préfère voir la maison en elle-même.
- On y va.
La voiture redémarre, roule un peu et s’arrête devant une grande bâtisse, nous descendons, elle nous fait faire la visite. Une belle entrée avec un grand vestiaire et des toilettes. Nous passons une porte, une grande salle, avec des sortes de box fermé par des rideaux tout autour. On avance, un grand bar qui donne sur un couloir. D’un coté le sauna, de l’autre le hammam, en face le jacuzzi. Nous passons le jacuzzi pour tomber dans une pièce où se trouve une piscine qui s’arrête contre une baie vitrée. Nous repartons, de l’autre coté un couloir qui donne sur un grand escalier, en haut des chambres, et quelles chambres, des lits immense circulaires d’environ trois mètres de diamètre avec matelas à eau, des salles de bain dignes des grands palaces, robinetterie dorée, baignoire à bulles, douche multi jets. Je n’en revenais pas.
- Il y a combien de chambres comme celle-ci ?
- Dix, c’est tout l’étage.
- Bien et dehors derrière la baie vitrée de la piscine ?
- Dehors, c’est la piscine qui continue pour l’été, autour il y a d’un coté six studios complets, au fond les réserves et des cuisines et de l’autre coté une salle de restaurant avec la terrasse qui donne sur le coté de la piscine.
- C’est vraiment magnifique, vous en demandez combien ?
- Ça dépend du propriétaire, il faut voir, il a déjà baissé le prix trois fois depuis la mise en vente.
- Vous reprendriez une villa en centre ville pour une partie du prix ?
- Oui, une villa centre ville, ça se vends très bien et très vite.
- Et les murs d’une entreprise aussi ?
- Si c’est en ville bien sur. Le problème pour ici c’est que c’est loin de tout et c’est complètement isolé.
- Je vous ferais une proposition de prix demain, votre villa et les murs de votre entreprise, ils sont où ?
- Je vous donne les adresses, vous pouvez les visiter quand vous voulez.
A suivre
- Monsieur n’a pas pris ses pilules ce soir avant de se coucher.
- Ah c’est toi, laisses-moi dormir.
- Avales ça.
- Bon, d’accord. Mais j’en prends qu’une d’habitude !
- Là, c’est spécial, tu rattrapes, tu n’en as pas pris ce matin.
- D’accord.
J’ai avalé mes cachets. Au moment où je me calais pour me rendormir j’ai senti des mains sur mon sexe. Je me sentais gonfler doucement, j’ai ouvert les yeux, c’était Géraldine qui me branlait doucement.
- Tu n’en as pas eu assez ?
- Non, tu es à moi et je te veux pour moi toute seule au moins une fois.
- Non, je suis fatigué, je ne peux pas.
- Menteur, tu bandes déjà très fort.
- Et bien si je bande sers toi de moi et laisses moi dormir.
- Mets toi sur le dos que je puisse faire ce que je veux.
- Voilà c’est bien, ça te convient ?
Elle est passée sur moi et s’est empalée en gémissant. Tout en s’activant sur moi elle s’est mise à me raconter :
- Tu sais « l’outre à sperme », Ursula, je crois qu’elle ne prend rien pour se protéger, si il le faut elle est déjà en cloque depuis le temps que tu te les vides en elle.
- Non, ce n’est pas possible, elle nous l’aurait dit si elle n’avait pas eu ses règles.
- Oui, peut être ou pas, si elle désire comme moi un enfant.
Grands silence entrecoupé par ses gémissements de plaisirs et le flop, flop de mon chibre entrant et sortant d’elle. L’information qu’elle venait de lancer a mis un moment à arriver à mon cerveau. Puis je me suis inquiété :
- Tu prends toujours la pilule ?
- Oups, non, je l’ai arrêté, le mois dernier.
- Pourquoi tu ne m’as rien dit ?
- Je ne sais pas, un oubli peut être. Nos enfants sont grands maintenant et j’ai envie de pouponner tu n’as rien contre, j’espère ?
- Oh oui, je suis contre cette idée, je n’ai pas envie de replonger dans le cauchemar des biberons et des câlins silencieux pour ne pas réveiller bébé.
- C’est sûrement trop tard pour toi, avec tout ce que tu m’as mis ce week-end, je risque de gonfler très vite.
- Tu n’es qu’une grosse chienne, tu aurais pu me prévenir, je me serais retenu pour ne pas t’en faire un autre.
- C’est justement pour ça que je ne t’ai rien dit. Ça serait marrant qu'Ursula se retrouve elle aussi en cloque de toi, nous pourrions élever nos enfants ensemble.
- Ce n’est pas possible, la maison est trop petite.
- Et bien vends la pour en acheter une plus grande, avec piscine s’il te plait.
- Ce n’est pas encore fait, Ursula n’est pas encore enceinte et toi non plus.
En disant ça, je l’ai poussé sur le coté pour passer sur elle et je me suis activé pour la faire jouir très fort. Quand j’ai senti que j’allais éjaculer je me suis retiré et je lui ai arrosé tout le ventre et la poitrine.
- Petit con, tu me le paieras, j’ai horreur que tu me fasses ça.
- Ah bon, moi, j’ai horreur qu’on me fasse un enfant dans le dos.
Nous nous sommes couchés dos à dos et endormis. Le lendemain, j’ai travaillé d’arrache-pied toute la journée et je suis rentré complètement épuisé. A peine j’avais passé la porte que Géraldine avant même de m’avoir embrassé me tends un verre d’eau et deux comprimés.
- Mais j’en prends qu’un à la fois.
- Oui, un le matin et un le soir, tu ne l’as pas pris ce matin. Avales et tais-toi.
J’ai avalé à contre cœur. Après ça, elle m’a fougueusement embrassé puis je suis parti au salon me reposer en prenant un verre. De la cuisine elle me parlait :
- Tu as pensé à ce que je t’ai dit hier soir ?
- Non, tu m’as dit quoi ?
- Vendre la maison et en acheter une plus grande.
- Non, je n’y ai pas du tout pensé, on est bien ici.
- C’est trop petit, il nous faut une maison plus grande. Moi, j’ai cherché, regarde j’en ai encadré quelque unes dans la revue sur la table.
J’ai regardé la revue en question. Elle avait encadré de véritables petits châteaux, je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire :
- Tu me prends pour un milliardaire, ces maisons ne sont pas dans nos possibilités.
- Mais oui, en vendant la notre.
- Même, elles sont beaucoup trop chères, je n’ai pas les moyens.
- Et si tu vendais ton entreprise en plus ?
- Oui, j’aurais l’argent pour te payer un de ces châteaux mais nous n’aurions plus rien pour vivre. Arrêtes de rêver, il faut trouver une maison plus grande si tu veux mais beaucoup moins chère.
- Radin, je ne te voyais pas comme ça, si près de tes sous. Puisque les maisons que j’ai trouvé ne te conviennent pas, cherches en une qui rentre dans ton budget étriqué et montres la moi pour voir si elle me plait.
- D’accord demain je chercherai.
Nous nous sommes très vite couchés après un repas léger et j’ai dormi comme un plomb.
Le lendemain j’ai passé toute la matinée à chercher sur internet des maisons plus grandes que la mienne et dans mes prix sans succès. L’après midi, comme tous les Mardi, je suis passé chez Marie Christine, elle m’a paru bizarre, je lui ai demandé ce qu’elle avait. Sa réponse m’a laissé sans voix.
- Figure-toi, qu’en rentrant chez moi, hier, j’ai voulu retirer mon diaphragme pour me faire ma toilette. Il n’y était plus. Je ne sais pas comment ça a pu se produire mais je ne l’ai plus. C’est très grave, je risque de me retrouver enceinte, je ne pense pas que le gel seul pourra arrêter tout le sperme que tu as mis en moi.
J’ai réfléchi un peu à la soirée et je me suis rappelé.
- C’est Ursula qui te l’a enlevé quand elle t’a fisté, après ça, elle m’a branlé dans ton vagin.
- Ah la salope.
- Oui, même le matin en me levant je l’ai ramassé par terre et ne sachant pas ce que c’était je l’ai jeté à la poubelle.
- Et bien tu risques de m’avoir mise enceinte.
- Toi aussi, tu t’y mets !
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Géraldine a arrêté de prendre la pilule, elle a envie d’un autre bébé. Ursula ne s’est jamais protégée et risque de se retrouver en cloque et maintenant toi, tu m’annonces ça, ce n’est pas possible, c’est une conspiration.
- Non, je t’assure, je n’ai pas envie de me retrouver enceinte moi.
Tout en parlant je la caressais doucement, elle s’est éloigné de moi.
- Non, arrêtes, je ne veux pas, et puis il faut t’économiser pour vendredi, j’aurais acheté un autre diaphragme.
En buvant un café nous avons longuement discuté et quand je lui ai parlé des désirs de Géraldine et de mes recherches infructueuses elle m’a dit :
- Je pense que tu n’a plus à chercher, j’ai une copine qui travaille dans l’immobilier, elle a une très grande propriété à vendre depuis plusieurs années et elle n’arrive pas à la vendre. Si tu veux, je vais l’appeler.
Oui, ta copine c’est une lesbienne ?
Ah non, bien au contraire, c’est une dévoreuse d’hommes, c’est la seule qui m’a engueulé quand je me suis mariée. Mon mari la détestait.
- Elle est mignonne ?
- Oh oui, c’est un canon, elle le sait et en profite dans ses affaires mais elle n’arrive pas à vendre cette propriété. Je l’appelle tout de suite pour que tu la visites ……………………………… Allô, Mira, bonjour, comment va ? ………………………….. Tes amours ?……………………….. Ah bon, je t’appelle pour la propriété que tu as à vendre, …………………….. Oui, la grande, tu l’as toujours ? ………………………………….. J’ai un copain qui aimerait la voir, c’est possible ? …………………………. D’accord, je t’attends.
- Alors, elle l’a toujours ?
- Oui, elle passe dans une heure pour te la faire visiter. Tu vas voir, c’est magnifique.
- Oui, mais à quel prix ?
- Pas très cher, elle veut s’en débarrasser, ça fait plus de cinq ans qu’elle cherche à la vendre et ne trouve pas d’acquéreurs.
- Pourquoi, c’est si moche que ça ?
- Non, c’est une super propriété, il y a plusieurs bâtiments, un grand parc, une piscine en partie couverte, un jacuzzi, un sauna, un hammam, et c’est entièrement meublé.
- Ce n’est pas possible qu’elle n’arrive pas à vendre une telle propriété.
- Oh, non, il faut la voir pour comprendre, c’était un club libertin qui occupair ces locaux, le patron a été emprisonné pour un trafic il y a cinq ou six ans, il a besoin d’argent pour payer ses avocats et il vend tout. Dans un premier bâtiment, c’était les bureaux et le casino. Dans l’autre c’est le club et à l’étage il y a une dizaine de grandes chambres avec salle de bain et WC, le problème c’est le style de la décoration, très rococo, un peu boite à pute. Ah, j’oubliais, autour de la piscine il y a six ou sept studios complets. Voilà c’est ce que j’avais vu à l’époque quand je l’avais visité avec Mira, au début elle pensait qu’elle allait faire un carton avec cette propriété, maintenant, elle ne rêve que d’une chose, qu’on lui fasse une proposition de prix raisonnable pour qu’elle s’en débarrasse et je crois qu’elle lâchera si tu veux. J’argumenterai dans ton sens pour l’inciter à lâcher plus facilement.
- Oui, d’accord mais il me faut la voir avant tout et si ça me plait il faudra la faire visiter à Géraldine pour qu’elle donne son accord.
Nous avons discuté encore un moment puis Mira est arrivée, on est parti pour visiter cette merveille. C’était à trente minutes du centre ville, nous avons longé un grand mur puis nous sommes entrés par un grand portail dans une belle allée sur le coté, contre le mur de clôture une petite maison en partie en ruine. Mira nous a expliqué :
- C’est la maison du gardien, c’est une petite villa de cinq pièces qui n’entre pas dans l’inventaire de la vente car elle est quasiment en ruine, elle n’a jamais servi. L’ancien propriétaire n’avait pas besoin de gardien.
Elle a redémarré puis après une courbe, nous nous sommes arrêtés devant un premier bâtiment. Mira s’est mise à parler.
- Voila, c’est le premier bâtiment, l’ensemble de la propriété fait environ trois hectares de parc entièrement clôturé et vidéo surveillé. La salle de contrôle est à l’étage de ce bâtiment, si vous désirez avoir des chevaux, il y a des écuries derrière ce bâtiment. En bas vous avez une grande salle de réserves, un bar, une salle de jeux, des toilettes, une cuisine et une petite salle de restaurant. C’est tout équipé, il n’y a que les tables de jeux et les machines à sous qui ne soient plus là. A l’étage vous avez les bureaux, la salle de surveillance et un appartement de quatre pièces. Vous voulez entrer pour voir ?
- Non, je préfère voir la maison en elle-même.
- On y va.
La voiture redémarre, roule un peu et s’arrête devant une grande bâtisse, nous descendons, elle nous fait faire la visite. Une belle entrée avec un grand vestiaire et des toilettes. Nous passons une porte, une grande salle, avec des sortes de box fermé par des rideaux tout autour. On avance, un grand bar qui donne sur un couloir. D’un coté le sauna, de l’autre le hammam, en face le jacuzzi. Nous passons le jacuzzi pour tomber dans une pièce où se trouve une piscine qui s’arrête contre une baie vitrée. Nous repartons, de l’autre coté un couloir qui donne sur un grand escalier, en haut des chambres, et quelles chambres, des lits immense circulaires d’environ trois mètres de diamètre avec matelas à eau, des salles de bain dignes des grands palaces, robinetterie dorée, baignoire à bulles, douche multi jets. Je n’en revenais pas.
- Il y a combien de chambres comme celle-ci ?
- Dix, c’est tout l’étage.
- Bien et dehors derrière la baie vitrée de la piscine ?
- Dehors, c’est la piscine qui continue pour l’été, autour il y a d’un coté six studios complets, au fond les réserves et des cuisines et de l’autre coté une salle de restaurant avec la terrasse qui donne sur le coté de la piscine.
- C’est vraiment magnifique, vous en demandez combien ?
- Ça dépend du propriétaire, il faut voir, il a déjà baissé le prix trois fois depuis la mise en vente.
- Vous reprendriez une villa en centre ville pour une partie du prix ?
- Oui, une villa centre ville, ça se vends très bien et très vite.
- Et les murs d’une entreprise aussi ?
- Si c’est en ville bien sur. Le problème pour ici c’est que c’est loin de tout et c’est complètement isolé.
- Je vous ferais une proposition de prix demain, votre villa et les murs de votre entreprise, ils sont où ?
- Je vous donne les adresses, vous pouvez les visiter quand vous voulez.
A suivre
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