NA Leslie TR 36

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : NA Leslie TR 36 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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NA Leslie TR 36
Leslie à Paris – P36 - Les confidences de Laure, vacances avec Diane.

Vacances avec Diane.
Je suis en vacances avec ma nouvelle compagne, Diane, une femme de 27 ans et belle comme un cœur qui ne pense qu’au sexe et se donne sans compter lorsque nous faisons l’amour.
Hier soir m’en a encore donné la preuve et j’avoue que Charlotte ces temps si est bien loin de mes pensées.
Les parents de Diane sont au courant de son attirance pour les filles, car elle ne se cache pas et prends du plaisir à amener ses conquêtes chez eux.
De plus Diane m’a fait une confidence en me disant qu’ils étaient bisexuels et échangistes.
C’est sans surprise qu’il nous ont vus démarquer un samedi soir pour passer un mois près d’eux dans la maison familiale, voyant que nous nous entendions bien ils nous ont accueillies chaleureusement et plus particulièrement le père de Diane qui est un très bel homme.
Diane m’a dit que la compréhension de ses parents envers elle et son attirance pour les femmes venait de leur bisexualité, me prévenant que je pourrais me faire charmer par son père et tenter de me séduire pour profiter de mes charmes.

Au petit déjeuner, le premier matin, Diane me précisa :
- Tu sais avec mes parents j’ai l’habitude et je ne suis pas jalouse, mon père à charmé certaines de mes copines et ma mère en à profitée aussi.
Quelques jour sont passés car voilà une semaine que nous sommes chez les parents de Diane en congés, nous profitons de la nature en faisant de longues ballades et faisons parfois une sieste où nos corps vibrent tandis que nos cris emplissent la maison, et les nuits nous les passons à nous donner du plaisir en essayant de retenir nos cris de plaisir qui parfois s’échappent de nos gorges lors de notre jouissance.
Nous profitons aussi de la piscine où nous baignons nues sous les regards attentifs des parents de Diane, en fin fin d’après-midi ils viennent nous rejoindre pour se baigner avec nous, et c’est le moment dont j’ai d’ailleurs profitée pour observer attentivement le corps des parents de Laure.
Sa mère une femme de 50 ans possède un corps bien conservée qu’elle doit entretenir, sa poitrine généreuse est encore bien ferme et se tient encore bien, son corps élancé ne laisse apparaitre aucune cellulite et ses hanches étroites sont du plus bel effet, cambrée comme sa fille elle arbore un pubis taillé raz qui laisse apparaitre les lèvres généreuses de son sexe, comme sa fille elle doit aimer le sexe et ne se cache pas pour montrer ses charmes et dévoiler sans pudeur son intimité lorsqu’elle est allongée dans un transat, les cuisses largement ouvertes aux regards.
Son père est vraiment bel homme, la cinquantaine bien conservée d’un sportif qui s’entretient, les muscles noueux d’un corps bronzé et les tempes grisonnantes lui donnent bel allure, et puis son sexe, un sexe de bel dimensions au repos à faire pâlir de jeunes vierges, circoncis aux bourses généreuses, il est entièrement épilé ce qui rend ce sexe plus long.
Je suis certaine qu’ils m’ont vue les observer et sans pudeur ils m’ont laissés faire.

Comme un rituel, durant la première semaine le matin, les parents de Diane ne disent rien faisant comme s’ils n’avaient rien entendus, mais aux regards que me lance le père de Diane, je suis certaine qu’il se pose des questions sur nos nuits et que nos gémissements ont éveillés sa curiosité.
Le samedi matin, après une nouvelle nuit de folie, au petit déjeuner, alors que nous sommes tous installés autour de la table et que je suis assise du même côté que son père, tout se passe normalement quand soudainement je sens une main sur ma cuisse, je sursaute au contact mais je n’ose rien dire, c’est Armand, le père de Diane qui dit :
- Dites nous les filles que faites vous la nuit pour vous arracher tant de cris ?
Diane à remarquer la main de son père sur ma cuisse mais fait comme si elle n’avait rien vue, simplement un clin d’œil à mon intention en disant :
- Nous nous aimons si tu veux savoir.
Les yeux du père de Diane nous regardent et Diane rajoute :
- Tu sais Laure est une amante merveilleuse et pour tout te dire elle est délicieusement vicieuse !
Je sens la main d’Armand monter sous ma jupe, dessous laquelle je ne porte pas de culotte d’habitude et le père de Diane dont la main atteint mon intimité lui fait constater que je suis trempée, et Diane rajoute :
- D’ailleurs je pense que tu es en accord avec moi !
La main d’Armand quitte ma vulve et il dit :
- Entièrement ma chérie, je suis de ton avis.
Il nous fait un petit sourire et quitte la table pour aller dans sa chambre.

Le soir même avec Diane alors que nous reposons, allongées sur le lit, en regardant un film, des cris venant de la chambre des parents attirent notre attention, je regarde Diane avec interrogation et elle me dit :
- Ce n’est rien ma chérie, excité comme il est depuis la séance de ce matin je suis certaine que mon père encule ma mère.
- Tu es sûre ? Demandai-je à Diane.
- Oui certaine, d’ailleurs je les ai déjà observés dans des cas similaires en me masturbant.
- Ca t’excitait tellement toi la lesbienne de voir ta mère se faire sodomiser par ton père.
- Oh que oui ce n’est pas parce que j’aime les femmes que je ne suis pas un peu voyeuse, tu veux qu’on aille voir ? me dit-elle.
- Oui, dis-je.

Nous allons donc nues vers la chambre des parents de Diane et nous trouvons la porte entrebâillée laissant voir les parents en pleine action, Diane me précise :
- Je suis sûre qu’ils l’ont fait exprès, c’est leur côté exhibitionniste.
Je regarde par l’entrebâillement de la porte tandis que Diane se met derrière moi, se plaquent contre moi et me posant ses mains sur ma poitrine.
Claire, la mère de Diane est en levrette sur le lit et Armand positionné derrière elle, il la tient par les hanches et visiblement son sexe monstrueux est fiché dans le cul de Claire. A chaque coup de reins elle gueule comme une furie, la scène est excitante et je sens les mains de Diane me caresser les seins, puis doucement le long de mon ventre et finir sur mon pubis. Les doigts de Daine cherchent mon bouton en écartant doucement mes lèvres, ils les trouvent et Diane commence à le titiller faisant monter en moi des vagues de jouissance.
Je ne peu que difficilement retenir les gémissements qui s’échappent de ma gorge, Diane approche sa bouche de mon oreille et me dit doucement :
- Restes là je reviens mais continue de regarder, ne te retourne pas.
Dans la chambre les parents de Diane continuent, Armand prenant de plus en plus fort Claire qui gueule en disant :
- Ohhh, mon salaud, comme t’es gros mais comme c’est bon.
- T’aime ça, lui demande Armand.
- Ohhh oui, j’aime.
- Dis que t’aime te faire enculée par mon gros membre.
- Oui j’adore me faire prendre le cul par le gros membre de mon homme, dit claire entre deux respirations.
Je sens à cet instant que Diane est à nouveau derrière moi, elle me dit tout bas :
- Penches toi et cambres toi ma chérie.
Je m’exécute et sent un objet froid se poser sur mon anneau et dans l’instant d’après une douleur me vrille l’anus, Diane vient de m’embrocher avec le gode ceinture, Daine m’encule.
Je ne peux retenir un cri sous la pénétration de Diane, Armand à entendu et se retourne vers la porte pour me découvrir nue dans l’entrebâillement de la porte entrain de me faire enculée par sa lesbienne de fille, mais Armand fait comme s’il ne m’avais pas vu et redouble les assauts dans le cul de sa femme Claire, Diane règle ses assauts sur ceux de son père et l’indécence de la situation me fait jouir aussitôt, tandis qu’Armand sortit du cul de Claire arrose ses reins de longues giclées de foutre.

Retournées dans notre chambre diane me dit :
- Ainsi il saura ce que nous faisons.
- Oui mais maintenant il ne va pas me lâcher, lui dis-je.*
- Alors c’est ton petit cul qui risque de souffrir, me dit Diane, et puis ne me dit pas que .tu es insensible aux charmes de mon père car ce matin tu n’as rien dit.

A suivre……

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Texte coquin : NA Leslie TR 36
Histoire sexe : Une rose rouge
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