Leslie RE25 - Souvenirs – Des rêves en attente de réalisation
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie RE25 - Souvenirs – Des rêves en attente de réalisation
Leslie RE25 - Les récits érotiquesSouvenirs – Des rêves en attente de réalisation
C’est toujours pareil, les hommes rêvent d’avoir des sexes plus gros et plus longs que ce qu’ils ont, et certaines femmes fantasment sur les très gros calibres…Certaines femmes sont heureuses d’avoir des relations avec des hommes pourvus normalement et comme certaines disent : « il ne suffit pas d’en avoir une grosse, faut-il encore savoir s’en servir ».
Pour les hommes homosexuels, beaucoup d’entres eux, même s’il ne l’avoue pas fantasme d’une relation hors du commun avec un partenaire possédant un gros calibre, « pour voir » comme ils disent.
N’empêche que j’ai, depuis mon plus jeune âge, été attiré par les garçons, et aussi les filles car j’avoue avoir eu des relations homosexuelles avec des copines de lycée, et des relations avec des copains puis, rapidement avec des hommes plus âgés trouvant les copains de mon âge un peu trop timorés.
Dans mes relations tout est permis, je n’ai aucun tabou.
Je suis d’un physique mince aux hanches étroites, avec une petite poitrine, et étant très étroite de la voie anale, mes partenaires qui veulent me sodomiser et ce quand je le permets, je dois quand même que je fasse attention en restant dans des calibres raisonnables pour cet acte, pour le moment, car j’avoue qu’un beau calibre ne me dérange pas de temps en temps, car j’aime ça. Pour le moment j’accepte d’être sodomisée par un beau membre, mais pas trop énorme quand même, car je ne veux pas me faire exploser la rondelle…En attendant le moment de me faire pénétrer par un membre exceptionnel, je m’entraîne dans mes moments de solitude avec des godes. Mais souvent après ce genre d’exercices, il m’arrive de faire des rêves me mettant en cause où des hommes ont des sexes monstrueux…
Un de mes rêves qui revient très souvent est celui-ci :« C’est la tombée de la nuit, j’arrive dans un endroit où au milieu d’un parking règne un établissement, c’est un bar de nuit qui fait aussi office de restaurant, et où une piste de danse trône au milieu des tables. Dans un coin retiré, il y a des tables où des hommes jouent aux cartes en buvant de la bière. Sur le devant le l’établissement, il y a une terrasse où il n’y a souvent pas grand monde le principal se trouvant à l’intérieur, seuls quelques jeunes gens, blancs et noirs, meublent l’endroit.
Ils m’ont regardé en souriant quand je suis entré dans l’établissement, certainement en voyant mon apparence et de voir qu’en marchant je balance sacrément du cul.
Je ne sais pas pourquoi je suis là, cela faisait un moment que j’avais entendu parler de cet endroit, à la réputation sulfureuse, et ce soir par désœuvrement où pour faire une rencontre, je suis venue. Bon, il est vrai que j’ai entendu dire que ce bar était un repaire d’homosexuels et de chercheurs d’aventures d’un soir, hommes ou femmes, et qu’il fallait être difficile pour ne pas trouver un ou une partenaire à son goût.
Vers vingt heures quand j’arrive, l’endroit est bondé, au centre de la pièce une piste de danse improvisée accueille des couples, dans une atmosphère très enfumée.
Ma tenue ne dépareille pas à l’endroit, les filles sont habillées sexy, venant peut-être chercher une relation d’un soir. Pour ma part, je porte un pantalon de cuir noir moulant mes petites fesses et un tee-shirt sans manches noir laissant deviner ma petite poitrine libre sans soutif. Ce soir j’ai hésité et tout bien pesé, on vit très bien sans culotte sous un pantalon de cuir et on s’y habitue très vite. A bien y réfléchir si je me suis habillée ainsi c’est que certainement j’ai l’intention de faire une rencontre.
Cette audace éveille mes sens, je me dis que je suis prête et l’atmosphère enfumée avec les lumières blafardes, la musique et l’alcool, renforcent mon sentiment que je ne suis pas là par hasard, cette ambiance me donne l’impression d’être dans un film américain.
Quand vous allez pour la première fois dans ce genre d’endroit vous êtes rapidement étonné et surpris de voir des gens, que vous connaissez, et qui sont là et jamais vous n’auriez imaginé de les trouver dans ce genre d’établissement.
Ce soir, je viens voir, alors je m’assoie à une table isolée dans un des endroits les moins éclairé de l’établissement.
Marcel, est un antillais qui travaille comme moi en tant qu’infirmier à l’hôpital, moi je suis en poste comme chef de rang au restaurant de l’hôpital et souvent je sers Marcel qui à chaque fois me fait des compliments sur ma beauté.
Je ne l’avais pas remarqué lorsque je suis rentrée dans ce bar, mais maintenant qu’il est là debout devant moi je réalise sa présence et une gêne s’empare de moi.
- Alors ma belle je te paie un verre, me dit-il.
Voulant être aimable et ne pas une nouvelle fois le repousser, j’accepte don verre.
Après deux danses et trois gin-fizz, Marcel me propose de finir la soirée chez lui en buvant un verre. N’ayant rien à faire j’accepte et nous voilà en route…
Arrivée à son appartement, en me demandant de me mettre à l’aise, il nous prépare deux verres, et à l’instant même où il s’assoit à côté de moi en me tendant mon verre, je sais qu’il réalise son rêve de pouvoir me posséder et moi de réaliser mon fantasme, enfin peut-être.
Il s’approche de moi et me dit :- Je suis heureux que tu as accepté de venir, mais pourquoi ce soir et pas avant alors que je te faisais des avances ?
Et sans réfléchir, aidée par l’alcool, je lui réponds :- Parce qu’aujourd’hui j’ai envie d’être baisée !
- Alors tu m’as choisi ?
- Non c’est le hasard, c’est la première fois que je mettais les pieds dans ce bar et je ne savais pas que tu y étais, alors plutôt que de rentrer seule…Et sans lui laisser le temps de réfléchir, poussée par une envie de sexe, je me penche vers lui et après avoir défait le zip de son pantalon, je fais apparaitre son membre bien au-delà de mes espérances les plus folles. Et se posant dans le canapé, Marcel prend ses aises en affichant une belle érection, c’est ma chance, je suis tombée sur un sexe de folie.
Aussitôt, je commence à tailler une pipe à mon étalon, et son sexe sous mes caresse buccales devient vite dur comme de l’acier, je le caresse délicatement en le suçant en appréciant la dureté de son membre et il me laisse faire cinq minutes puis il prend les choses en main.
Le sexe dressé, fier et arrogant. Marcel sûr de sa force et de l’effet qu’il me fait, me soulève et sans peine et m’allonge sur le canapé.
Consentante d’être enfin bientôt pénétrée, une fois allongée j’’écarte les cuisses autant qu’il m’est possible, et il me pénètre d’un coup et commence les va-et-vient dans la foulée.
L’intrusion est brutale, à couper le souffle.
Le phallus chaud, presque bouillant, palpite en me pénétrant et quand le membre est profondément enfoui, je contracte mes abdominaux et les muscles de mon vagin pour enserrer et retenir la verge en mon sexe, tous mes amants ont raffoler de cette pratique, ce qui, il me semble rend son membre encore plus dur et plus gros.
Pour une reprise je n’en attendais pas autant, ce soir je suis gâtée.
Marcel me baise pensant de longues minutes, j’ai l’impression qu’il ne s’arrêtera jamais, je suis emportée par deux jouissances consécutives, avant que l’orgasme ne m’emporte juste un peu avant qu’il n’éjacule. Son membre dur crache peu après en tressaillant longtemps en se visant dans mes entrailles.
Quand Marcel se retire, mon sexe meurtri frémit encore, comme on dit « je me suis bien faite troncher », ma chatte épanouie bâille comme jamais et mes lèvres sont encore outrageusement gonflées, quant à mon clitoris dur et érigé ose de dressé en dehors de son capuchon…
Le temps de repos est de courte durée, le membre de Marcel reprend vite vie et se dresse fièrement, dur et palpitant, pour de nouveaux assauts. Marcel me positionne en levrette et s’enfonce pour de bon.
Son sexe palpite un moment dans mon ventre, puis Marcel se retire avant qu’un nouvel orgasme ne m’emporte encore. Lorsqu’il positionne son gland sur mon anus, alors je comprends que ses pénétrations vaginales n’étaient destinées qu’à lubrifier son membre, de sa précédente jouissance en moi, avant de m’enculer.
Je n’ai qu’à peine fini de comprendre que le membre pénètre dans mon orifice anal, me tirant un hurlement de surprise et de douleur. Jamais de ma vie je n’ai pris un tel calibre dans mon cul, mes supplications d’arrêter ne lui font aucun effet, il m’honore de façon bestiale, comme un mâle possède sa femelle…Son membre s’enfouit comme un piston dans mon rectum, des sensations naissent dans mon corps et je gueule mon plaisir en le relevant et en me cambrant encore plus pour lui permettre d’aller plus profond en moi.
Il m’astique à un rythme d’enfer, je perds toutes notions du temps et l’entourage et l’orgasme m’emporte en me laissant haletante.
Ce soir, « j’en ai pris plein le cul » comme on dit.
Quand au petit matin j’ai regagné mon appartement, ma chatte et mon cul m’ont rappelés la nuit passée et je me suis dit que j’avais eue ma dose pour quelques jours, mais l’appel du plaisir a ses propres raisons et avec Marcel nous avons remis ça, puis trois semaines, j’ai rencontré un homme et nous avons cessé de nous voir, mais j’avoue que je n’oublierais jamais que c’est lui qui m’a fait reprendre plaisir au sexe…
A suivre…
C’est toujours pareil, les hommes rêvent d’avoir des sexes plus gros et plus longs que ce qu’ils ont, et certaines femmes fantasment sur les très gros calibres…Certaines femmes sont heureuses d’avoir des relations avec des hommes pourvus normalement et comme certaines disent : « il ne suffit pas d’en avoir une grosse, faut-il encore savoir s’en servir ».
Pour les hommes homosexuels, beaucoup d’entres eux, même s’il ne l’avoue pas fantasme d’une relation hors du commun avec un partenaire possédant un gros calibre, « pour voir » comme ils disent.
N’empêche que j’ai, depuis mon plus jeune âge, été attiré par les garçons, et aussi les filles car j’avoue avoir eu des relations homosexuelles avec des copines de lycée, et des relations avec des copains puis, rapidement avec des hommes plus âgés trouvant les copains de mon âge un peu trop timorés.
Dans mes relations tout est permis, je n’ai aucun tabou.
Je suis d’un physique mince aux hanches étroites, avec une petite poitrine, et étant très étroite de la voie anale, mes partenaires qui veulent me sodomiser et ce quand je le permets, je dois quand même que je fasse attention en restant dans des calibres raisonnables pour cet acte, pour le moment, car j’avoue qu’un beau calibre ne me dérange pas de temps en temps, car j’aime ça. Pour le moment j’accepte d’être sodomisée par un beau membre, mais pas trop énorme quand même, car je ne veux pas me faire exploser la rondelle…En attendant le moment de me faire pénétrer par un membre exceptionnel, je m’entraîne dans mes moments de solitude avec des godes. Mais souvent après ce genre d’exercices, il m’arrive de faire des rêves me mettant en cause où des hommes ont des sexes monstrueux…
Un de mes rêves qui revient très souvent est celui-ci :« C’est la tombée de la nuit, j’arrive dans un endroit où au milieu d’un parking règne un établissement, c’est un bar de nuit qui fait aussi office de restaurant, et où une piste de danse trône au milieu des tables. Dans un coin retiré, il y a des tables où des hommes jouent aux cartes en buvant de la bière. Sur le devant le l’établissement, il y a une terrasse où il n’y a souvent pas grand monde le principal se trouvant à l’intérieur, seuls quelques jeunes gens, blancs et noirs, meublent l’endroit.
Ils m’ont regardé en souriant quand je suis entré dans l’établissement, certainement en voyant mon apparence et de voir qu’en marchant je balance sacrément du cul.
Je ne sais pas pourquoi je suis là, cela faisait un moment que j’avais entendu parler de cet endroit, à la réputation sulfureuse, et ce soir par désœuvrement où pour faire une rencontre, je suis venue. Bon, il est vrai que j’ai entendu dire que ce bar était un repaire d’homosexuels et de chercheurs d’aventures d’un soir, hommes ou femmes, et qu’il fallait être difficile pour ne pas trouver un ou une partenaire à son goût.
Vers vingt heures quand j’arrive, l’endroit est bondé, au centre de la pièce une piste de danse improvisée accueille des couples, dans une atmosphère très enfumée.
Ma tenue ne dépareille pas à l’endroit, les filles sont habillées sexy, venant peut-être chercher une relation d’un soir. Pour ma part, je porte un pantalon de cuir noir moulant mes petites fesses et un tee-shirt sans manches noir laissant deviner ma petite poitrine libre sans soutif. Ce soir j’ai hésité et tout bien pesé, on vit très bien sans culotte sous un pantalon de cuir et on s’y habitue très vite. A bien y réfléchir si je me suis habillée ainsi c’est que certainement j’ai l’intention de faire une rencontre.
Cette audace éveille mes sens, je me dis que je suis prête et l’atmosphère enfumée avec les lumières blafardes, la musique et l’alcool, renforcent mon sentiment que je ne suis pas là par hasard, cette ambiance me donne l’impression d’être dans un film américain.
Quand vous allez pour la première fois dans ce genre d’endroit vous êtes rapidement étonné et surpris de voir des gens, que vous connaissez, et qui sont là et jamais vous n’auriez imaginé de les trouver dans ce genre d’établissement.
Ce soir, je viens voir, alors je m’assoie à une table isolée dans un des endroits les moins éclairé de l’établissement.
Marcel, est un antillais qui travaille comme moi en tant qu’infirmier à l’hôpital, moi je suis en poste comme chef de rang au restaurant de l’hôpital et souvent je sers Marcel qui à chaque fois me fait des compliments sur ma beauté.
Je ne l’avais pas remarqué lorsque je suis rentrée dans ce bar, mais maintenant qu’il est là debout devant moi je réalise sa présence et une gêne s’empare de moi.
- Alors ma belle je te paie un verre, me dit-il.
Voulant être aimable et ne pas une nouvelle fois le repousser, j’accepte don verre.
Après deux danses et trois gin-fizz, Marcel me propose de finir la soirée chez lui en buvant un verre. N’ayant rien à faire j’accepte et nous voilà en route…
Arrivée à son appartement, en me demandant de me mettre à l’aise, il nous prépare deux verres, et à l’instant même où il s’assoit à côté de moi en me tendant mon verre, je sais qu’il réalise son rêve de pouvoir me posséder et moi de réaliser mon fantasme, enfin peut-être.
Il s’approche de moi et me dit :- Je suis heureux que tu as accepté de venir, mais pourquoi ce soir et pas avant alors que je te faisais des avances ?
Et sans réfléchir, aidée par l’alcool, je lui réponds :- Parce qu’aujourd’hui j’ai envie d’être baisée !
- Alors tu m’as choisi ?
- Non c’est le hasard, c’est la première fois que je mettais les pieds dans ce bar et je ne savais pas que tu y étais, alors plutôt que de rentrer seule…Et sans lui laisser le temps de réfléchir, poussée par une envie de sexe, je me penche vers lui et après avoir défait le zip de son pantalon, je fais apparaitre son membre bien au-delà de mes espérances les plus folles. Et se posant dans le canapé, Marcel prend ses aises en affichant une belle érection, c’est ma chance, je suis tombée sur un sexe de folie.
Aussitôt, je commence à tailler une pipe à mon étalon, et son sexe sous mes caresse buccales devient vite dur comme de l’acier, je le caresse délicatement en le suçant en appréciant la dureté de son membre et il me laisse faire cinq minutes puis il prend les choses en main.
Le sexe dressé, fier et arrogant. Marcel sûr de sa force et de l’effet qu’il me fait, me soulève et sans peine et m’allonge sur le canapé.
Consentante d’être enfin bientôt pénétrée, une fois allongée j’’écarte les cuisses autant qu’il m’est possible, et il me pénètre d’un coup et commence les va-et-vient dans la foulée.
L’intrusion est brutale, à couper le souffle.
Le phallus chaud, presque bouillant, palpite en me pénétrant et quand le membre est profondément enfoui, je contracte mes abdominaux et les muscles de mon vagin pour enserrer et retenir la verge en mon sexe, tous mes amants ont raffoler de cette pratique, ce qui, il me semble rend son membre encore plus dur et plus gros.
Pour une reprise je n’en attendais pas autant, ce soir je suis gâtée.
Marcel me baise pensant de longues minutes, j’ai l’impression qu’il ne s’arrêtera jamais, je suis emportée par deux jouissances consécutives, avant que l’orgasme ne m’emporte juste un peu avant qu’il n’éjacule. Son membre dur crache peu après en tressaillant longtemps en se visant dans mes entrailles.
Quand Marcel se retire, mon sexe meurtri frémit encore, comme on dit « je me suis bien faite troncher », ma chatte épanouie bâille comme jamais et mes lèvres sont encore outrageusement gonflées, quant à mon clitoris dur et érigé ose de dressé en dehors de son capuchon…
Le temps de repos est de courte durée, le membre de Marcel reprend vite vie et se dresse fièrement, dur et palpitant, pour de nouveaux assauts. Marcel me positionne en levrette et s’enfonce pour de bon.
Son sexe palpite un moment dans mon ventre, puis Marcel se retire avant qu’un nouvel orgasme ne m’emporte encore. Lorsqu’il positionne son gland sur mon anus, alors je comprends que ses pénétrations vaginales n’étaient destinées qu’à lubrifier son membre, de sa précédente jouissance en moi, avant de m’enculer.
Je n’ai qu’à peine fini de comprendre que le membre pénètre dans mon orifice anal, me tirant un hurlement de surprise et de douleur. Jamais de ma vie je n’ai pris un tel calibre dans mon cul, mes supplications d’arrêter ne lui font aucun effet, il m’honore de façon bestiale, comme un mâle possède sa femelle…Son membre s’enfouit comme un piston dans mon rectum, des sensations naissent dans mon corps et je gueule mon plaisir en le relevant et en me cambrant encore plus pour lui permettre d’aller plus profond en moi.
Il m’astique à un rythme d’enfer, je perds toutes notions du temps et l’entourage et l’orgasme m’emporte en me laissant haletante.
Ce soir, « j’en ai pris plein le cul » comme on dit.
Quand au petit matin j’ai regagné mon appartement, ma chatte et mon cul m’ont rappelés la nuit passée et je me suis dit que j’avais eue ma dose pour quelques jours, mais l’appel du plaisir a ses propres raisons et avec Marcel nous avons remis ça, puis trois semaines, j’ai rencontré un homme et nous avons cessé de nous voir, mais j’avoue que je n’oublierais jamais que c’est lui qui m’a fait reprendre plaisir au sexe…
A suivre…
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