Leslie RE26 - Souvenirs – Un petit tour au hammam et…
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie RE26 - Souvenirs – Un petit tour au hammam et…
Leslie RE26 – Les récits érotiquesSouvenirs – Un petit tour au hammam et…
Une fin de semaine comme les autres, un vendredi après-midi de merde qu’il faut oublier rapidement, alors comme souvent dans ce cas je me suis rendue au hammam pour me détendre avant le week-end.
Après avoir payée l’entrée et déposer mes affaires aux vestiaires je me suis rendue dans la grande salle enveloppée dans une sortie de bain.
Aussitôt arrivée, au travers de la vapeur je remarque qu’il y a peu de femmes, quatre ou cinq tout au plus, mais j’ai remarqué une femme d'une quarantaine d'année, nue allongée sur un des bancs, brune aux yeux bleus et très bien conservée, elle est bronzée sans trace de maillot sur son corps.
Me voyant arrivée elle se tourne sur le ventre, la tête tournée vers moi, en me fixant de façon provocante et en me souriant comme une invitation à venir près d’elle. Dans son mouvement j’ai eu le temps de remarquer que son pubis était décoré par une toison brune taillée court.
Je me suis approchée de cette femme pour me mettre le plus près d’elle possible et éventuellement engagée la conversation. J’ai enlevé ma serviette enroulée autour de mon corps afin de la poser sur le banc le plus proche de cette belle femme et m’allonger dessus, non sans prendre mon temps afin que mon corps soit à la vue et à l’appréciation de ma voisine.
Nos regard s se sont croisés et nos yeux ont détaillés réciproquement nos corps, sans un mot durant de longues minutes nous sommes restées ainsi à nous observer attendant certainement secrètement que l’une de nous fasse le premier pas.
Le bas de mon ventre commençait sérieusement à me chatouiller et une envie de me caresser montait en moi quand ma voisine se releva pour venir s’asseoir près de moi en me disant :- C’est la première fois que tu viens ici ?
- Oui la toute première, d’habitude je vais dans un autre lieu mais aujourd’hui j’ai choisi celui-là, que je lui réponds la gorge serrée.
- J’ai remarqué que tu me regardais, je te plais, demande-t-elle.
- Je ne suis pas insensible aux jolies femmes, dis-je.
- Tu es lesbienne ?
- Je suis bi mais j’adore la compagnie féminine.
- Alors vient suis-moi !
Elle se relève et m’entraine vers les cabines des vestiaires et là elle me fait rentrer dans sa cabine ou après avoir fermée la porte elle m’embrasse sur les lèvres en prenant soin de me doigter la vulve, puis elle me dit :- Je t’emmène chez moi ! Tu veux ?
- Je te suis.
- Je m’appelle Ariane et toi ?
- Louna.
Je n'allais pas rejeter une telle invitation. Le temps de récupérer mes affaires et je me rhabille dans sa cabine, elle profite de cet instant pour me dire qu’elle vivait seule depuis son veuvage et qu’elle aimait les femmes et faire l’amour avec elle. Ajoutant que je lui plaisais et qu’elle ne verrait pas d’inconvénient de se gouiner avec moi, étant en manque en ce moment.
Arrivée chez elle, elle m'ouvre la porte et me fait entrer, puis le plus naturellement qu’il soit, elle se met nue en me disant qu'elle aime vivre nue et qu’habituellement elle ne porte rien sur elle quand elle est chez elle, et simplement me propose d’en faire autant pendant qu’elle nous prépare un verre, mais rajoute :- Avant d’aller baiser avec une jolie fille comme toi dans ma chambre buvons à notre rencontre !
Voilà qui était clair, cette entrée en matière est directe, nous allions baiser, elle est partie préparer un cocktail et quand elle est revenue avec les deux verres, elle me retrouva nue et nous avons trinquéElle me regarde et je la regarde en buvant mon verre, la situation m’excite mais je me doutais que cela arriverait, mais elle s'en aperçoit, car elle me dit :- Je vois que tu n’es pas insensible à mes propos et à la situation, j'en suis ravie.
Elle s’approche et me prend par le cou pour m'embrasser à pleine bouche, tandis que nos nudités se collent entre-elles. Puis sans attendre, sa main se pose sur mon pubis et un de ses doigt s’incruste dans ma chatte et Ariane se met à me doigter mais plus profondément que dans la cabine du hammam.
Tout en me branlant elle tend son pubis en avant vers moi, comme une invite à la caresser, je pose ma main sur sa vulve et écarte délicatement ses lèvres intimes, puis trouve son clitoris gonflé qui n'attend que mon doigt. Elle se laisse doigter un moment sans arrêter de me rendre la pareille.
Puis me tenant par la taille, elle m’emmène dans sa chambre où aussitôt elle s’allonge cuisses grandes ouvertes sur le lit et me demande de la rejoindre en me disant :- Suce-moi, j’aime ça !
Je m’exécute et constate que c’est vrai qu’elle adore se faire sucer et se laisser dévorer la chatte, elle dirige les mouvements de ma langue en me parlant et me disant comment faire, mais en plus en me tenant la tête à deux mains, et lorsque je lui mets deux doigts dans le con elle gémit de plaisir et réclame encore plus.
Alors comme elle a l’air d’apprécier les pénétrations, je passe une main sous ses fesses et lui introduit aussitôt un doigt dans l’anus, elle aime ça et gueule son plaisir en jouissant très vite. Elle me demande de faire un soixante-neuf et aussitôt en place je m’aperçois qu’elle aussi sait très bien sucer, tandis que nos bouches s’activent sur nos intimités, les feulements et les gémissements commencent à remplir la chambre.
Tout en faisant notre soixante-neuf, Ariane me fait des confidences sur son passé sexuel et m'avoue surtout aimer faire l'amour avec des femmes douces et à l’écoute des désirs de l’autre, elle me dit aussi avoir eue des amants mais cela n’a jamais duré bien longtemps et que même certains l'emmenaient dans des boites à partouze où elle prenait son plaisir avec d’autres hommes mais que son plaisir était plus fort avec les compagnes de ses rencontres, et qu’a l’occasion de ces partouzes elle avait aussi pris goût à la sodomie et que maintenant elle ne pouvait plus s’en passer.
- Même quand je suis seule je me sodomise avec joie, me déclare-t-elle.
Je n’en reviens pas qu’elle me fasse d’emblée de telles confidences, mais Ariane est une femme libre et libertine qui veut profiter des plaisirs de la vie et du sexe.
- Tiens regarde-moi, me dit-elle.
Sans plus attendre, elle se positionne correctement, allonge et écarte ses jambes pour me montrer son sexe humide et d’une main elle se met à se branler lentement le clitoris, puis passant son autre main sous elle, se met deux doigts dans le cul en me disant :Regarde dans le tiroir de la commode, tu verras un gode ceinture, équipes-toi vite pendant que je me prépare...
Je me suis équipée rapidement, mais je dois vous dire que le gode ceinture d’Ariane avait une particularité, ce n’était pas un gode standard comme les autres, car celui-là c’est un double gode-ceinture, avec une ceinture harnais en cuir réglable avec ouverture et fermeture rapide sur les côtés et équipé de deux godemiché, un vers l'intérieur, aux dimensions de treize centimètres de longueur et de trois de diamètre, et un autre vers l'extérieur, aux dimensions de dix-huit centimètres de longueur par trois centimètres et demi de diamètre, de quoi donner de plaisir à n’importe quel couple de lesbiennes.
Dès que je fus équipée, le gode intérieur en moi et la ceinture bien ajustée, elle releva aussitôt les jambes et les tenant des ses deux mains au niveau des genoux, elle me dit :A toi maintenant, prend-moi !
Je n’ai pas rencontré de difficultés et pénétrais facilement sa chatte du gode extérieur, tout en ressentant le gode intérieur qui entrait un peu plus en moi.
Je la baisais en prenant mon pied, le gode qui était en moi le procurait des sensations terribles et elle poussa un petit cri au moment de jouir.
Maintenant met le moi dans le cul, encule-moi !
Je posais le gode sur son anneau intime et très lentement je le rentrais, la faisant gémir d’impatience.
Puis, voyant qu’elle n’en pouvait plus, d'un coup de rein je lui mis le gode bien profond, le mien aussi d’ailleurs, et j'ai pris mon temps de la sodomiser, lui montrant que je savais y faire, puis pour faire monter le désir de jouir, j’accélérais la cadence pour lui donner un orgasme, ce qui vint un instant plus tard.
Quand j’ai quitté Ariane, il faisait déjà nuit et tandis que je marchais, je sentais mon anus douloureux me rappelant la sodomie de mon amante…
J’ai revu Ariane tous les jours dans la semaine suivante pour des après-midi torrides, et je ne ferais pas la description détaillée de ces moments, sauf-que le vendredi en fin d’après-midi, il devait être dix-neuf heures, alors que je venais de la sodomiser avec un gode sans ceinture, Ariane s’est levée et nue elle a disparu quelques minutes…Lorsqu’elle est revenue, la voisine était avec elle, nue aussi la voisine, elles se sont installées et ont commencées à s'embrasser, puis faire un soixante-neuf, sans que j’aie eu le temps de faire quoique ce soit.
Elles se gouinaient sans se préoccuper de moi et comme j’étais encore équipée, je me suis ruéeSur le premier cul à ma disposition et j’ai j'enculé la voisine. Elle a gueulé quand je me suis introduit en elle, mais elle a rapidement hurlé de plaisir, puis ce fut à nouveau le cul d’Ariane que je possédais. Je les vois régulièrement et nous prenons à chaque fois beaucoup de plaisir.
A suivre…
Une fin de semaine comme les autres, un vendredi après-midi de merde qu’il faut oublier rapidement, alors comme souvent dans ce cas je me suis rendue au hammam pour me détendre avant le week-end.
Après avoir payée l’entrée et déposer mes affaires aux vestiaires je me suis rendue dans la grande salle enveloppée dans une sortie de bain.
Aussitôt arrivée, au travers de la vapeur je remarque qu’il y a peu de femmes, quatre ou cinq tout au plus, mais j’ai remarqué une femme d'une quarantaine d'année, nue allongée sur un des bancs, brune aux yeux bleus et très bien conservée, elle est bronzée sans trace de maillot sur son corps.
Me voyant arrivée elle se tourne sur le ventre, la tête tournée vers moi, en me fixant de façon provocante et en me souriant comme une invitation à venir près d’elle. Dans son mouvement j’ai eu le temps de remarquer que son pubis était décoré par une toison brune taillée court.
Je me suis approchée de cette femme pour me mettre le plus près d’elle possible et éventuellement engagée la conversation. J’ai enlevé ma serviette enroulée autour de mon corps afin de la poser sur le banc le plus proche de cette belle femme et m’allonger dessus, non sans prendre mon temps afin que mon corps soit à la vue et à l’appréciation de ma voisine.
Nos regard s se sont croisés et nos yeux ont détaillés réciproquement nos corps, sans un mot durant de longues minutes nous sommes restées ainsi à nous observer attendant certainement secrètement que l’une de nous fasse le premier pas.
Le bas de mon ventre commençait sérieusement à me chatouiller et une envie de me caresser montait en moi quand ma voisine se releva pour venir s’asseoir près de moi en me disant :- C’est la première fois que tu viens ici ?
- Oui la toute première, d’habitude je vais dans un autre lieu mais aujourd’hui j’ai choisi celui-là, que je lui réponds la gorge serrée.
- J’ai remarqué que tu me regardais, je te plais, demande-t-elle.
- Je ne suis pas insensible aux jolies femmes, dis-je.
- Tu es lesbienne ?
- Je suis bi mais j’adore la compagnie féminine.
- Alors vient suis-moi !
Elle se relève et m’entraine vers les cabines des vestiaires et là elle me fait rentrer dans sa cabine ou après avoir fermée la porte elle m’embrasse sur les lèvres en prenant soin de me doigter la vulve, puis elle me dit :- Je t’emmène chez moi ! Tu veux ?
- Je te suis.
- Je m’appelle Ariane et toi ?
- Louna.
Je n'allais pas rejeter une telle invitation. Le temps de récupérer mes affaires et je me rhabille dans sa cabine, elle profite de cet instant pour me dire qu’elle vivait seule depuis son veuvage et qu’elle aimait les femmes et faire l’amour avec elle. Ajoutant que je lui plaisais et qu’elle ne verrait pas d’inconvénient de se gouiner avec moi, étant en manque en ce moment.
Arrivée chez elle, elle m'ouvre la porte et me fait entrer, puis le plus naturellement qu’il soit, elle se met nue en me disant qu'elle aime vivre nue et qu’habituellement elle ne porte rien sur elle quand elle est chez elle, et simplement me propose d’en faire autant pendant qu’elle nous prépare un verre, mais rajoute :- Avant d’aller baiser avec une jolie fille comme toi dans ma chambre buvons à notre rencontre !
Voilà qui était clair, cette entrée en matière est directe, nous allions baiser, elle est partie préparer un cocktail et quand elle est revenue avec les deux verres, elle me retrouva nue et nous avons trinquéElle me regarde et je la regarde en buvant mon verre, la situation m’excite mais je me doutais que cela arriverait, mais elle s'en aperçoit, car elle me dit :- Je vois que tu n’es pas insensible à mes propos et à la situation, j'en suis ravie.
Elle s’approche et me prend par le cou pour m'embrasser à pleine bouche, tandis que nos nudités se collent entre-elles. Puis sans attendre, sa main se pose sur mon pubis et un de ses doigt s’incruste dans ma chatte et Ariane se met à me doigter mais plus profondément que dans la cabine du hammam.
Tout en me branlant elle tend son pubis en avant vers moi, comme une invite à la caresser, je pose ma main sur sa vulve et écarte délicatement ses lèvres intimes, puis trouve son clitoris gonflé qui n'attend que mon doigt. Elle se laisse doigter un moment sans arrêter de me rendre la pareille.
Puis me tenant par la taille, elle m’emmène dans sa chambre où aussitôt elle s’allonge cuisses grandes ouvertes sur le lit et me demande de la rejoindre en me disant :- Suce-moi, j’aime ça !
Je m’exécute et constate que c’est vrai qu’elle adore se faire sucer et se laisser dévorer la chatte, elle dirige les mouvements de ma langue en me parlant et me disant comment faire, mais en plus en me tenant la tête à deux mains, et lorsque je lui mets deux doigts dans le con elle gémit de plaisir et réclame encore plus.
Alors comme elle a l’air d’apprécier les pénétrations, je passe une main sous ses fesses et lui introduit aussitôt un doigt dans l’anus, elle aime ça et gueule son plaisir en jouissant très vite. Elle me demande de faire un soixante-neuf et aussitôt en place je m’aperçois qu’elle aussi sait très bien sucer, tandis que nos bouches s’activent sur nos intimités, les feulements et les gémissements commencent à remplir la chambre.
Tout en faisant notre soixante-neuf, Ariane me fait des confidences sur son passé sexuel et m'avoue surtout aimer faire l'amour avec des femmes douces et à l’écoute des désirs de l’autre, elle me dit aussi avoir eue des amants mais cela n’a jamais duré bien longtemps et que même certains l'emmenaient dans des boites à partouze où elle prenait son plaisir avec d’autres hommes mais que son plaisir était plus fort avec les compagnes de ses rencontres, et qu’a l’occasion de ces partouzes elle avait aussi pris goût à la sodomie et que maintenant elle ne pouvait plus s’en passer.
- Même quand je suis seule je me sodomise avec joie, me déclare-t-elle.
Je n’en reviens pas qu’elle me fasse d’emblée de telles confidences, mais Ariane est une femme libre et libertine qui veut profiter des plaisirs de la vie et du sexe.
- Tiens regarde-moi, me dit-elle.
Sans plus attendre, elle se positionne correctement, allonge et écarte ses jambes pour me montrer son sexe humide et d’une main elle se met à se branler lentement le clitoris, puis passant son autre main sous elle, se met deux doigts dans le cul en me disant :Regarde dans le tiroir de la commode, tu verras un gode ceinture, équipes-toi vite pendant que je me prépare...
Je me suis équipée rapidement, mais je dois vous dire que le gode ceinture d’Ariane avait une particularité, ce n’était pas un gode standard comme les autres, car celui-là c’est un double gode-ceinture, avec une ceinture harnais en cuir réglable avec ouverture et fermeture rapide sur les côtés et équipé de deux godemiché, un vers l'intérieur, aux dimensions de treize centimètres de longueur et de trois de diamètre, et un autre vers l'extérieur, aux dimensions de dix-huit centimètres de longueur par trois centimètres et demi de diamètre, de quoi donner de plaisir à n’importe quel couple de lesbiennes.
Dès que je fus équipée, le gode intérieur en moi et la ceinture bien ajustée, elle releva aussitôt les jambes et les tenant des ses deux mains au niveau des genoux, elle me dit :A toi maintenant, prend-moi !
Je n’ai pas rencontré de difficultés et pénétrais facilement sa chatte du gode extérieur, tout en ressentant le gode intérieur qui entrait un peu plus en moi.
Je la baisais en prenant mon pied, le gode qui était en moi le procurait des sensations terribles et elle poussa un petit cri au moment de jouir.
Maintenant met le moi dans le cul, encule-moi !
Je posais le gode sur son anneau intime et très lentement je le rentrais, la faisant gémir d’impatience.
Puis, voyant qu’elle n’en pouvait plus, d'un coup de rein je lui mis le gode bien profond, le mien aussi d’ailleurs, et j'ai pris mon temps de la sodomiser, lui montrant que je savais y faire, puis pour faire monter le désir de jouir, j’accélérais la cadence pour lui donner un orgasme, ce qui vint un instant plus tard.
Quand j’ai quitté Ariane, il faisait déjà nuit et tandis que je marchais, je sentais mon anus douloureux me rappelant la sodomie de mon amante…
J’ai revu Ariane tous les jours dans la semaine suivante pour des après-midi torrides, et je ne ferais pas la description détaillée de ces moments, sauf-que le vendredi en fin d’après-midi, il devait être dix-neuf heures, alors que je venais de la sodomiser avec un gode sans ceinture, Ariane s’est levée et nue elle a disparu quelques minutes…Lorsqu’elle est revenue, la voisine était avec elle, nue aussi la voisine, elles se sont installées et ont commencées à s'embrasser, puis faire un soixante-neuf, sans que j’aie eu le temps de faire quoique ce soit.
Elles se gouinaient sans se préoccuper de moi et comme j’étais encore équipée, je me suis ruéeSur le premier cul à ma disposition et j’ai j'enculé la voisine. Elle a gueulé quand je me suis introduit en elle, mais elle a rapidement hurlé de plaisir, puis ce fut à nouveau le cul d’Ariane que je possédais. Je les vois régulièrement et nous prenons à chaque fois beaucoup de plaisir.
A suivre…
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