Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VI
Récit érotique écrit par ANDRERP95 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VI
DEBUT JUILLET 2003Les enfants vont biens. Moi pas trop. Je me sens inutile, bon à rien. Les premiers jours de chômage sont durs. Ne plus être pris par le temps. Ne pas savoir quoi faire. Se mettre à la recherche d’un job. Imaginer ce que racontent vos anciens collègues sur vous.
La vie est vite monotone. Je m’occupe du ménage et de l’intendance de la maison. Je découvre qu’on s’occupe aussi du linge de son amant et même, quelques fois de celui de Mathieu. Blouses, caleçons, chaussettes, vêtements de sport, chemises. Tout quoi. Et surtout ses foutus calots de chirurgien. Des calots magnifiques de toutes les couleurs et d’un travail artisanal remarquable. C’est sa mère qui les faisait et lui envoyait. Leur repassage comme le repassage de ses blouses était un enfer.
Et quand je m’en étonne auprès d’elle. Sa réponse est cinglante.
- Vu leurs boulots et la somme de travail qu’ils abattent, c’est un minimum non. Ce sont encore des étudiants. Avec des moyens d’étudiants. Si tu ne veux pas le faire, ce n’est pas bien grave. Je le ferais moi !
Quoi dire ?... Juste le faire.
Margot sort de temps en temps sans me dire ou elle va. Je m’occupe aussi des enfants. Je leur ai dit que j’étais en vacance. Pas le courage de leur annoncer la vérité. De toute manière comme tous les ans, ils passeront le mois de Juillet en vacance chez nos parents. D’habitude nous les prenons en Août pour passer un mois avec eux au bord de la mer.
Mais bien sûr, cette année pas de vacances pour nous. Margot n’a pas voulu me laisser seul. Elle fera quelques sauts pour voir les enfants qui resteront avec les grands parents.
Quand je lui ai annoncé ma démission, elle n’a fait aucun commentaire. Comme si elle le savait déjà. Elle m’a juste caressé la joue:- Mon pauvre chéri. Ne te fais pas de mouron, on s’en sortira.
Je ne lui ai pas tout raconté... A quoi bon lui dire....
Deux mois d’été à rien faire....
oooOOOoooJUILLET 2003Les enfants sont partis. Nous sommes seuls Margot et moi. Nous regardons les informations à la télé.
- Didou?
- Oui- Kemb va passer ce soir, après son service...
- Pourquoi?
Question idiote! Pourtant, elle met un temps fou avant de me répondre.
- En fait, j’avais prévu qu’il s’installe ici pendant l’absence des enfants.
- Quoi ?????...
- Tu comprends c’est plus pratique pour lui. Il n’a pas droit de prendre des vacances en été et en plus il a beaucoup de boulot même les W.E.
- Tu es en train de me dire que ton amant va venir vivre avec nous. Je comprends maintenant. C’est pour ça que tu restes ici. C’est pour lui.
Elle m’a dévisagé d’un regard neutre.
- T’es stupide de dire cela. Mais tu as en partie raison. Je crois que tu n’as pas compris les nouvelles règles Didou. Surtout si tu es avec nous tout le temps.
- Tu veux peut être que je me casse. Avec les enfants, chez mes parents. T’as raison, demain j’irais leur dire “ Voilà, je suis au chômage, ma femme baise avec deux toubibs sous mon toit et je l’ai pas touchée depuis une éternité! C’est ça que tu veux ! Parle!
- Arrête de dire des bêtises mon Chéri! Mais tu as raison. Il est temps de mettre un certain nombre de choses au point. Je suis désolée Didou, mais tu dois comprendre que je ne compte pas renoncer à Kemb, ni à cette nouvelle vie. J’aime ça. Et je t’aime alors cela me ferait mal que tu sois un obstacle.
- Un obstacle ? Un obstacle à quoi?
- A notre épanouissement... A tous! Je te demande juste de faire comme pour les W.E., rien de plus. Je te promets que nous referons les trios et le reste. Kemb est d’accord.
- Tu vis dans quel monde Margot?.
- Le nôtre ! Tu connais mon amant, tu connais Mathieu. Ils m’ont baisée devant toi! Et j’aime ça ! Tu es au courant de tout et tu as participé. Depuis que tu connais la situation je ne t’ai jamais rien caché. J’aurai pu te mentir, demander une séparation, partir avec lui.... Mais non!
Son regard s’est adouci:- J’ai trop de respect pour toi pour te cacher les choses ou mes envies. Je suis ta femme même si nous ne couchons pas ensemble et... Et... Je t’aime Didou. C’est comme ça. Ne me déçois pas mon amour.....
Un long moment de silence avant qu’elle reprenne.
- Mais. Mais si toi tu ne veux pas. Je ne t’en voudrais pas. Pas du tout. Je comprendrais. Bien sûr que je comprends. Et je ferais ce que tu souhaites pour que notre séparation se passe le mieux possible... Même pour les enfants.
Elle avait des larmes aux yeux. Elle était sublime dans cette petite robe noire. Je savais qu’elle ne portait aucun sous-vêtement. Kemb n’aimait pas cela. Surtout en été.
- Mais tu dois être sûr d’une chose Didou. Je t’’aime. A toi de décider.
Complètement déstabilisé, je me suis levé pour faire la vaisselle. J’étais déconcerté par ses dernières paroles. J’étais comme un zombi devant l’évier. Incapable d’aligner des pensées cohérentes.
Elle est venue se coller contre mon dos. M’a caressé tendrement les cheveux.
- Tu sais entre nous c’est fort. Bien plus fort que le sexe. Tu n’as rien à craindre.
Sa main est passée sous mon polo pour me caresser le ventre juste au-dessus de la ceinture.
- J’ai pas mis de culotte, tu veux toucher?
- C’est pour lui... Pas pour moi....
- Oui tu as raison.... Mais si tu veux c’est aussi pour toi.
J’ai deviné qu’elle levait le bas de robe pour se plaquer à nouveau contre moi. Elle a pris ma main mouillée pour la placer contre son sexe. Elle était brûlante, déjà humide.
- J’ai envi qu’il vienne vite. J’ai envie de toi et lui. Si tu refuses sa présence, je lui dirais que c’est pas possible. Je serais malheureuse. Mais je t'obéirais. Nous verrons ensemble comment nous séparer sans trop souffrir. Si possible. Surtout pour les enfants..
Dans un souffle, elle a ajouté.
- A toi de décider mon Ange.
Mon doigt glissait lentement dans sa fente. Elle a dégrafé mon pantalon et baissait le zip pour me libérer de mes vêtements à partir de la taille. Je me suis retourné. On s’est regardé dans les yeux. Un regard trouble...
Elle a reculé. M’a souri:- Tu vois, depuis qu’on ne baise plus ensemble tu es toujours au garde à vous devant moi.
Phrase lourde de double sens.
Elle s’est mise à genoux:- Laisse-moi faire. Pas avec les mains aujourd’hui.
Elle suçait divinement bien. Très lentement, en douceur en jouant avec mes boules. Appuyé contre l’évier je regardais sa bouche coulisser le long de ma bitte. Je l’aime... Elle a brusquement arrêté pour lever son visage vers moi:- Mon cœur, ce n’est pas mon amant qui décide pour nous. C’est nous. Ensemble.
Elle a repris sa savante fellation. Me léchant tout du long. Embrassant mes couilles. Tétant mon gland avant de replonger sur mon sexe pour le prendre entièrement en bouche.
A nouveau, elle a libéré ma queue et levait son si beau visage savamment maquillé vers moi.
- Didou toi et moi c’est pour la vie. Je te jure.
Face à son regard tellement sérieux et tendre. Je savais qu’elle ne me mentait pas. J’ai capitulé mentalement la mort dans l’âme, mais aussi avec une certaine sérénité. Elle a repris sa fellation et j’ai jouis en cinq secondes. Et je me suis soumis à sa volonté.
- OK Margot. Qu’il vienne.
Elle s’est brusquement relevée.
- Je savais que tu comprendrais Chéri. Garde des forces pour tout à l’heure mon Ange.... Tu as très bon goût. Elle s’est léché les lèvres.
oooOOOoooOn a sonné. C’était lui. Je bricolais un des jouets des enfants.
Elle a ouvert. Je les ai entendus discuter mais sans pouvoir comprendre l’échange. Ils sont montés directement dans la chambre.
- Tu viens avec nous Didou?... Mais finis ton truc avant. Cela donnera le temps à Kemb de prendre sa douche.
Obéir ne me choquait plus puisque je faisais souvent la bonne les W.E.
Quand j’ai rejoint la chambre, ils étaient au lit, nus. Kemb allongé, mains sous la nuque et Margot visage à hauteur du sexe de son amant en train de le sucer lentement. Elle m’a fait signe de les rejoindre.
- Salut mec, t’es de la fête à ce qu’il paraît?
- Déshabille-toi et viens Chéri. Vite.
Je me suis couché à côté de Kemb. Je regardais ma femme lécher le membre imposant avec délectation. Il la laissait œuvrer sans bouger. Je bandais. Je n’avais plus tellement honte de la différence de taille de nos sexes. Margot tentait sans succès de le prendre entièrement dans la bouche. Je fixais ce sexe sombre coulisser entre les lèvres de ma femme. Les filets de salive, les bruits de succion, une main blanche qui branle un gourdin noir. J’étais fasciné par ce spectacle. J’avais le visage à cinquante centimètres à peine de ce mandrin érigé vers le plafond de la chambre.
- Si t’as envie de la toucher te gênes pas man. J’ai rien contre.
Je suis resté pétrifié par cette invitation complètement inattendue. Margot m’a regardé en souriant gentiment, sans cesser de branler son amant. Il y eu un long moment de silence. Elle a pointé le gland vers moi.
- Touche la Chéri. Tu verras c’est bon.
- C’est pour le fun man! T’es bien placé pour savoir que j’suis pas P.D.
Margot a saisi mon poignet pour tirer ma main vers le sexe de son amant. J’ai mollement tenté de résister. Elle ne m’a pas forcé. Juste demandait d’une voix rauque:- Allez... Fais le Didou.... Pour moi mon coeur.
Ma main a remplacé la sienne. Comme une décharge électrique. Margot a doucement posé sa main autour de la mienne pour diriger le mouvement. J’avais la gorge sèche. J’étais tétanisé et la laissais faire. Incapable de décoller ma paume du sexe de l’amant. La voix insidieuse de Kemb.
- Tu vois elle ne va pas te manger. Montre à ton mec ma Gazelle.
C’était très dur, très chaud, très doux. C’était bien sûr, la première fois pour moi. Impossible de trouver les mots justes pour décrire les sensations éprouvées et mon état d’esprit. Margot s’est penchée sur le gland en ouvrant la bouche. Elle le suçait pendant que je branlais. Elle a lâché ma main. J’ai continué seul. Je bandais de plus en plus dur. C’était comme une arme douée de vie dans ma main.
- On dirait que ça lui fait de l’effet à ton mec.
Je me suis rapproché pour mieux le branler. J’étais dans un autre monde. Détaché de ce que je faisais. Je tenais le membre de l’amant de ma femme. Je la voyais prendre le gland dans sa bouche pour le téter, l’aspirer ou le lécher. Je voyais ses joues gonflées, son regard chaviré. Cela a duré longtemps.
A un moment, Kemb a saisi ma nuque, approchant mon visage vers son sexe. Je voyais les grosses veines battrent sous la peau d’ébène luisante de salive.
- T’as sûrement envie d’y goûter toi aussi.
J’ai résisté à cinq centimètres du pieu. Je sentais sa chaleur contre mon visage. Margot a relevé son visage vers moi. Puis a échangé un rapide regard avec son amant. Elle avait un filet de salive entre ses lèvres.
- Fais le Chéri.
Elle avait une voix rauque que je lui connaissais pas. Une respiration haletante, comme à la recherche de son souffle. Il y avait un soupçon d'hésitation dans sa demande. Kemb a pressé plus fort sur ma nuque. J’avais toujours ma main autour du sexe brillant. Je résistais à cette pression sur ma nuque.
- Vas-y. Fais-le Didou. Tu verras c’est bon. Fais-moi plaisir Chéri.
En hésitant, j’ai ouvert la bouche. Kemb a appuyé brusquement sur ma tête. Me prenant par surprise au moment où ma résistance avait faiblit. Son sexe a envahi d’un coup mon palais. Moment de répulsion. J’ai voulu relevé la tête. Kemb m’a bloqué la nuque.
- Tu l’as dans la bouche. Le plus dur est fait Pt’i mâle.
D’un mouvement de bassin, il a poussé plus loin son gland. Margot a touché mon épaule:- Pas la peine de le forcer. C’est bien Didou. Suce.... Tu me rends folle !
Alors, j’ai commencé à sucer l’amant de ma femme. La grosse main de Kemb dans mes cheveux pour éviter toute tentative de recul. Sous les encouragements et les conseils de ma femme:- C’est bien. Ouvre bien la bouche Chéri. Essaye d’aller plus loin. Aspire.
Elle tenait la base du sexe. Kemb imprimait le mouvement, mains dans mes cheveux. Au début sans trop me forcer.
- C’est pas mal man... Pas mal du tout.
Il a commencé à bouger son bassin sans lâcher ma tête. Il allait de plus en plus loin, me donnant des renvois.
- Ça va passer Didou, c’est une question d’habitude, tu m'excites terriblement mon ange. Ouvre bien ta bouche..... Tu me fais mouiller ! C'est dingue mon amour !
Kemb me maintenait fermement. Il faisait coulisser son gros pieu dans ma bouche. Je le laissais faire d’un air absent comme si cette absence me protégeait de ce que j’étais en train de faire.
- Fais attention à tes dents man.... Faut bien ouvrir ta gueule.
J’ai obéis. J’ai eu peur de le blesser!
Il m’a baisé la bouche un moment en prenant son temps. Il voulait s’enfoncer un maximum dans ma bouche. Il sortait son engin jusqu’au gland avant de le pousser à nouveau. A un moment, pendant quelques secondes, j'ai pu voir ma femme. Elle était comme hypnotisée par ce qu'elle voyait. Sa main droite entre ses cuisses contre sa chatte.
- Il fait rapidement des progrès ton Pt’i mâle ma Gazelle.
Ma femme regardait en se caressant. Je commençais à me reprendre et me rendre compte de ce que je faisais. Pourtant je n’ai pas arrêté. Kemb a lâché ma tête. J’ai continué seul.
- Ma parole, il aime ça le babtou! Je crois qu’on va bien s’entendre cet été ensemble.
- Je suis contente Didou. Continue mon cœur. C'est tellement beau ce que tu fais pour moi !
Le goût était fort. Pas désagréable. Je sentais les chairs palpiter contre ma langue. C’était dur et tendre à la fois. Je sentais les grosses veines qui entouraient le sexe battrent contre mes lèvres.
- Il a des vrais talents de suceuse ton mec.
Le mot m’a fait honte.
Margot pressaient doucement les couilles de son amant. J’avais une vue délirante des mains blanches qui jouent avec les grosses boules noires. Je sentais aussi les odeurs de savon dans les poils frisés de Kemb. J’étais obligé d’ouvrir la bouche au maximum tellement c’était épais.
- Tu vois Didou. C’est bon un sexe d’homme. Tu comprends maintenant. Je t’adore, continue comme ça Chéri.
J’ai continué à sucer l’amant de ma femme. Devant elle et sous ses tendres encouragements!
- A ton tour ma Gazelle. Montre lui comment on boit un biberon.
Comme un somnambule, j’ai cédé ma place. Margot a continué en me branlant en même temps. Kemb et moi avons joui ensembles. Lui dans la bouche de ma femme et moi sur mon ventre.
Je ne suis pas resté avec eux. Trop perturbé par ce que je venais de vivre. En quittant la chambre j'ai eu le temps d'entendre Kemb s'adresser à ma femme :- Il a un vrai talent ton mec....
- Ne te moque pas Kemb. Il le fait pour moi.
oooOOOoooLe lendemain matin, j’étais dans la salle de bain en train de me brosser les dents quand il est venu. Il était nu, la bitte à moitié bandée et luisante de sécrétions.
Je n’ai pas osé croiser son regard.
- T’aurais dû rester avec nous hier. T’aurais profité de ta femme. Pour une fois que t’avais le droit. Remarque j’ai pu la démonter à fond vu son état d’excitation. Elle m’a dit qu’elle avait failli jouir sans se caresser en te regardant me tailler une pipe. Elle n’a pas arrêté de me parler de toi et me dire qu’elle était contente de ce que tu m’avais fait. Moi aussi remarque!
Il m’a filé une grande claque sur les fesses. J’ai sursauté de surprise. Je me sentais humilié et honteux. Humilier par ce qui c’était passé la veille, et honteux de ma passivité.
- Prépare bien ta bouche pour ce soir mon Pt’i blanc. Je sens que ça va être chaud.
Il est entré sous la douche en rigolant. J’avais du mal à respirer.
Je suis parti me claquemurer dans une des chambres des gosses jusqu’à son départ. Celle où j’avais dormi. Je les entendais parler et rire en prenant leur petit déjeuner. Ils devaient certainement parler de moi.
Margot m’a rejoint après le départ de son amant. J’étais assis sur le lit. Perdu dans mes pensées. Encore humilié de cette claque sur mes fesses et de mon comportement de la veille. Elle s’est assise à ma droite.
- Didou?.... Ça va?
- Non.
- .... Tu as été super hier... Pourquoi t’es pas resté? J’avais envie de toi.
Elle portait juste un peignoir qui lui arrivait à mi-cuisses. Elle s’est mise debout entre mes jambes, tirant ma tête contre son ventre.
- Ne fait pas la gueule Chéri. C’est rien. Il parait que beaucoup de mecs mariés le font. Et ça m’a plu à moi. Beaucoup même. Tu étais tellement beau à sucer son sexe. J’ai mouillé les draps rien qu’en te regardant. C’était fabuleux de voir tes lèvres autour du sexe de Kemb. De te regarder essayer de le prendre entièrement dans ta bouche.
Elle détaillait avec complaisance mon comportement et j’en avais les larmes aux yeux. Elle me poignardait avec douceur.
- Elle est grosse hein. Vous les mecs vous n’imaginez pas ce que c’est de prendre de tels gourdins dans le corps. Mais c’est tellement bon.... En réalité la taille ne compte pas trop pour nous. Bien sûr c’est mieux. Mais ce n’est pas l’essentiel mon cœur.
Elle a ouvert son peignoir. J’ai collé mon visage contre son ventre plat et doux comme du satin. Nous sommes restés sans bouger. Puis elle m’a emmené dans notre chambre. Le lit était défait. Les draps maculés de taches humides.
- Tu as envie ? Moi oui. L'essentiel c’est le comportement et le savoir-faire des mecs avec qui on a des relations. Et tu es celui que j’ai choisi mon cœur.
Elle s’est couchée, a ouvert son peignoir et écarté ses jambes. Son sexe était encore plein de sève crémeuse. Sublime et affolante!
J’ai baissé mon pantalon et mon caleçon aux chevilles avant de me jeter sur elle, la pénétrant d’un coup jusqu’à la garde.
- Oui Chéri vas-y ! J’aimerai un mari doux et attentif et un amant viril et conquérant.
Pour la faire taire, je me suis mis à la pilonner de toutes mes forces. Comme pour me venger de ce qu’elle me faisait subir. Mon sexe coulissait parfaitement. Elle était encore ouverte de la queue de son amant. Je ne sentais pas trop ses parois intimes trop glissantes des sécrétions de son amant.
- Oui.... Oui.... Plus fort Didou... Plus fort... Vas-y... Essaye comme lui.
Je me suis déchaîné dans son vagin en lui relevant les jambes pour la prendre le plus loin possible. Sous ses encouragements, je la limais comme un fou.
- Baise moi ... Baise moi... Encore... Vas plus loin...
Je ne pouvais pas! Je sentais bien que je n’arrivais pas à l’exciter. Qu’elle faisait semblant. Qu’elle ne me sentait pas. C’était juste ma récompense pour avoir obéis. Rien de plus.
- Pourquoi tu pleures mon Ange ?
Je ne savais pas! J’ai poussé un grand cri de jouissance en m’écroulant sur son corps. J’étais crevé. Du mal à respirer. Au bout d’une longue minute, elle a bougé en me caressant les cheveux.
- Didou. Ce n’est pas grave mon chéri. Tu as joui toi c’est l’essentiel. Si tu veux me faire jouir, tu peux le faire comme d’habitude mon amour. J’adore, et Kemb ne me le fait pas comme toi.
Je ne bandais plus. J’ai rampé en arrière. Mon visage plaqué contre son puits d’amour pour commencer mon travail de lécheur. Je pouvais voir les initiales de son amant et boire nos spermes mélangés.
- Tu as été super hier soir. Tu le referas dis... Tu le referas n’est pas ? Oh oui oui oui vas-y mon Ange bois bien lèche.. Lèche...... OuuuuuuuuuuiiiiiElle a hurlé sa jouissance en serrant ma tête entre ses cuisses poisseuses.
Le soir même Kemb a amené ses affaires pour s’installer avec nous.
La vie est vite monotone. Je m’occupe du ménage et de l’intendance de la maison. Je découvre qu’on s’occupe aussi du linge de son amant et même, quelques fois de celui de Mathieu. Blouses, caleçons, chaussettes, vêtements de sport, chemises. Tout quoi. Et surtout ses foutus calots de chirurgien. Des calots magnifiques de toutes les couleurs et d’un travail artisanal remarquable. C’est sa mère qui les faisait et lui envoyait. Leur repassage comme le repassage de ses blouses était un enfer.
Et quand je m’en étonne auprès d’elle. Sa réponse est cinglante.
- Vu leurs boulots et la somme de travail qu’ils abattent, c’est un minimum non. Ce sont encore des étudiants. Avec des moyens d’étudiants. Si tu ne veux pas le faire, ce n’est pas bien grave. Je le ferais moi !
Quoi dire ?... Juste le faire.
Margot sort de temps en temps sans me dire ou elle va. Je m’occupe aussi des enfants. Je leur ai dit que j’étais en vacance. Pas le courage de leur annoncer la vérité. De toute manière comme tous les ans, ils passeront le mois de Juillet en vacance chez nos parents. D’habitude nous les prenons en Août pour passer un mois avec eux au bord de la mer.
Mais bien sûr, cette année pas de vacances pour nous. Margot n’a pas voulu me laisser seul. Elle fera quelques sauts pour voir les enfants qui resteront avec les grands parents.
Quand je lui ai annoncé ma démission, elle n’a fait aucun commentaire. Comme si elle le savait déjà. Elle m’a juste caressé la joue:- Mon pauvre chéri. Ne te fais pas de mouron, on s’en sortira.
Je ne lui ai pas tout raconté... A quoi bon lui dire....
Deux mois d’été à rien faire....
oooOOOoooJUILLET 2003Les enfants sont partis. Nous sommes seuls Margot et moi. Nous regardons les informations à la télé.
- Didou?
- Oui- Kemb va passer ce soir, après son service...
- Pourquoi?
Question idiote! Pourtant, elle met un temps fou avant de me répondre.
- En fait, j’avais prévu qu’il s’installe ici pendant l’absence des enfants.
- Quoi ?????...
- Tu comprends c’est plus pratique pour lui. Il n’a pas droit de prendre des vacances en été et en plus il a beaucoup de boulot même les W.E.
- Tu es en train de me dire que ton amant va venir vivre avec nous. Je comprends maintenant. C’est pour ça que tu restes ici. C’est pour lui.
Elle m’a dévisagé d’un regard neutre.
- T’es stupide de dire cela. Mais tu as en partie raison. Je crois que tu n’as pas compris les nouvelles règles Didou. Surtout si tu es avec nous tout le temps.
- Tu veux peut être que je me casse. Avec les enfants, chez mes parents. T’as raison, demain j’irais leur dire “ Voilà, je suis au chômage, ma femme baise avec deux toubibs sous mon toit et je l’ai pas touchée depuis une éternité! C’est ça que tu veux ! Parle!
- Arrête de dire des bêtises mon Chéri! Mais tu as raison. Il est temps de mettre un certain nombre de choses au point. Je suis désolée Didou, mais tu dois comprendre que je ne compte pas renoncer à Kemb, ni à cette nouvelle vie. J’aime ça. Et je t’aime alors cela me ferait mal que tu sois un obstacle.
- Un obstacle ? Un obstacle à quoi?
- A notre épanouissement... A tous! Je te demande juste de faire comme pour les W.E., rien de plus. Je te promets que nous referons les trios et le reste. Kemb est d’accord.
- Tu vis dans quel monde Margot?.
- Le nôtre ! Tu connais mon amant, tu connais Mathieu. Ils m’ont baisée devant toi! Et j’aime ça ! Tu es au courant de tout et tu as participé. Depuis que tu connais la situation je ne t’ai jamais rien caché. J’aurai pu te mentir, demander une séparation, partir avec lui.... Mais non!
Son regard s’est adouci:- J’ai trop de respect pour toi pour te cacher les choses ou mes envies. Je suis ta femme même si nous ne couchons pas ensemble et... Et... Je t’aime Didou. C’est comme ça. Ne me déçois pas mon amour.....
Un long moment de silence avant qu’elle reprenne.
- Mais. Mais si toi tu ne veux pas. Je ne t’en voudrais pas. Pas du tout. Je comprendrais. Bien sûr que je comprends. Et je ferais ce que tu souhaites pour que notre séparation se passe le mieux possible... Même pour les enfants.
Elle avait des larmes aux yeux. Elle était sublime dans cette petite robe noire. Je savais qu’elle ne portait aucun sous-vêtement. Kemb n’aimait pas cela. Surtout en été.
- Mais tu dois être sûr d’une chose Didou. Je t’’aime. A toi de décider.
Complètement déstabilisé, je me suis levé pour faire la vaisselle. J’étais déconcerté par ses dernières paroles. J’étais comme un zombi devant l’évier. Incapable d’aligner des pensées cohérentes.
Elle est venue se coller contre mon dos. M’a caressé tendrement les cheveux.
- Tu sais entre nous c’est fort. Bien plus fort que le sexe. Tu n’as rien à craindre.
Sa main est passée sous mon polo pour me caresser le ventre juste au-dessus de la ceinture.
- J’ai pas mis de culotte, tu veux toucher?
- C’est pour lui... Pas pour moi....
- Oui tu as raison.... Mais si tu veux c’est aussi pour toi.
J’ai deviné qu’elle levait le bas de robe pour se plaquer à nouveau contre moi. Elle a pris ma main mouillée pour la placer contre son sexe. Elle était brûlante, déjà humide.
- J’ai envi qu’il vienne vite. J’ai envie de toi et lui. Si tu refuses sa présence, je lui dirais que c’est pas possible. Je serais malheureuse. Mais je t'obéirais. Nous verrons ensemble comment nous séparer sans trop souffrir. Si possible. Surtout pour les enfants..
Dans un souffle, elle a ajouté.
- A toi de décider mon Ange.
Mon doigt glissait lentement dans sa fente. Elle a dégrafé mon pantalon et baissait le zip pour me libérer de mes vêtements à partir de la taille. Je me suis retourné. On s’est regardé dans les yeux. Un regard trouble...
Elle a reculé. M’a souri:- Tu vois, depuis qu’on ne baise plus ensemble tu es toujours au garde à vous devant moi.
Phrase lourde de double sens.
Elle s’est mise à genoux:- Laisse-moi faire. Pas avec les mains aujourd’hui.
Elle suçait divinement bien. Très lentement, en douceur en jouant avec mes boules. Appuyé contre l’évier je regardais sa bouche coulisser le long de ma bitte. Je l’aime... Elle a brusquement arrêté pour lever son visage vers moi:- Mon cœur, ce n’est pas mon amant qui décide pour nous. C’est nous. Ensemble.
Elle a repris sa savante fellation. Me léchant tout du long. Embrassant mes couilles. Tétant mon gland avant de replonger sur mon sexe pour le prendre entièrement en bouche.
A nouveau, elle a libéré ma queue et levait son si beau visage savamment maquillé vers moi.
- Didou toi et moi c’est pour la vie. Je te jure.
Face à son regard tellement sérieux et tendre. Je savais qu’elle ne me mentait pas. J’ai capitulé mentalement la mort dans l’âme, mais aussi avec une certaine sérénité. Elle a repris sa fellation et j’ai jouis en cinq secondes. Et je me suis soumis à sa volonté.
- OK Margot. Qu’il vienne.
Elle s’est brusquement relevée.
- Je savais que tu comprendrais Chéri. Garde des forces pour tout à l’heure mon Ange.... Tu as très bon goût. Elle s’est léché les lèvres.
oooOOOoooOn a sonné. C’était lui. Je bricolais un des jouets des enfants.
Elle a ouvert. Je les ai entendus discuter mais sans pouvoir comprendre l’échange. Ils sont montés directement dans la chambre.
- Tu viens avec nous Didou?... Mais finis ton truc avant. Cela donnera le temps à Kemb de prendre sa douche.
Obéir ne me choquait plus puisque je faisais souvent la bonne les W.E.
Quand j’ai rejoint la chambre, ils étaient au lit, nus. Kemb allongé, mains sous la nuque et Margot visage à hauteur du sexe de son amant en train de le sucer lentement. Elle m’a fait signe de les rejoindre.
- Salut mec, t’es de la fête à ce qu’il paraît?
- Déshabille-toi et viens Chéri. Vite.
Je me suis couché à côté de Kemb. Je regardais ma femme lécher le membre imposant avec délectation. Il la laissait œuvrer sans bouger. Je bandais. Je n’avais plus tellement honte de la différence de taille de nos sexes. Margot tentait sans succès de le prendre entièrement dans la bouche. Je fixais ce sexe sombre coulisser entre les lèvres de ma femme. Les filets de salive, les bruits de succion, une main blanche qui branle un gourdin noir. J’étais fasciné par ce spectacle. J’avais le visage à cinquante centimètres à peine de ce mandrin érigé vers le plafond de la chambre.
- Si t’as envie de la toucher te gênes pas man. J’ai rien contre.
Je suis resté pétrifié par cette invitation complètement inattendue. Margot m’a regardé en souriant gentiment, sans cesser de branler son amant. Il y eu un long moment de silence. Elle a pointé le gland vers moi.
- Touche la Chéri. Tu verras c’est bon.
- C’est pour le fun man! T’es bien placé pour savoir que j’suis pas P.D.
Margot a saisi mon poignet pour tirer ma main vers le sexe de son amant. J’ai mollement tenté de résister. Elle ne m’a pas forcé. Juste demandait d’une voix rauque:- Allez... Fais le Didou.... Pour moi mon coeur.
Ma main a remplacé la sienne. Comme une décharge électrique. Margot a doucement posé sa main autour de la mienne pour diriger le mouvement. J’avais la gorge sèche. J’étais tétanisé et la laissais faire. Incapable de décoller ma paume du sexe de l’amant. La voix insidieuse de Kemb.
- Tu vois elle ne va pas te manger. Montre à ton mec ma Gazelle.
C’était très dur, très chaud, très doux. C’était bien sûr, la première fois pour moi. Impossible de trouver les mots justes pour décrire les sensations éprouvées et mon état d’esprit. Margot s’est penchée sur le gland en ouvrant la bouche. Elle le suçait pendant que je branlais. Elle a lâché ma main. J’ai continué seul. Je bandais de plus en plus dur. C’était comme une arme douée de vie dans ma main.
- On dirait que ça lui fait de l’effet à ton mec.
Je me suis rapproché pour mieux le branler. J’étais dans un autre monde. Détaché de ce que je faisais. Je tenais le membre de l’amant de ma femme. Je la voyais prendre le gland dans sa bouche pour le téter, l’aspirer ou le lécher. Je voyais ses joues gonflées, son regard chaviré. Cela a duré longtemps.
A un moment, Kemb a saisi ma nuque, approchant mon visage vers son sexe. Je voyais les grosses veines battrent sous la peau d’ébène luisante de salive.
- T’as sûrement envie d’y goûter toi aussi.
J’ai résisté à cinq centimètres du pieu. Je sentais sa chaleur contre mon visage. Margot a relevé son visage vers moi. Puis a échangé un rapide regard avec son amant. Elle avait un filet de salive entre ses lèvres.
- Fais le Chéri.
Elle avait une voix rauque que je lui connaissais pas. Une respiration haletante, comme à la recherche de son souffle. Il y avait un soupçon d'hésitation dans sa demande. Kemb a pressé plus fort sur ma nuque. J’avais toujours ma main autour du sexe brillant. Je résistais à cette pression sur ma nuque.
- Vas-y. Fais-le Didou. Tu verras c’est bon. Fais-moi plaisir Chéri.
En hésitant, j’ai ouvert la bouche. Kemb a appuyé brusquement sur ma tête. Me prenant par surprise au moment où ma résistance avait faiblit. Son sexe a envahi d’un coup mon palais. Moment de répulsion. J’ai voulu relevé la tête. Kemb m’a bloqué la nuque.
- Tu l’as dans la bouche. Le plus dur est fait Pt’i mâle.
D’un mouvement de bassin, il a poussé plus loin son gland. Margot a touché mon épaule:- Pas la peine de le forcer. C’est bien Didou. Suce.... Tu me rends folle !
Alors, j’ai commencé à sucer l’amant de ma femme. La grosse main de Kemb dans mes cheveux pour éviter toute tentative de recul. Sous les encouragements et les conseils de ma femme:- C’est bien. Ouvre bien la bouche Chéri. Essaye d’aller plus loin. Aspire.
Elle tenait la base du sexe. Kemb imprimait le mouvement, mains dans mes cheveux. Au début sans trop me forcer.
- C’est pas mal man... Pas mal du tout.
Il a commencé à bouger son bassin sans lâcher ma tête. Il allait de plus en plus loin, me donnant des renvois.
- Ça va passer Didou, c’est une question d’habitude, tu m'excites terriblement mon ange. Ouvre bien ta bouche..... Tu me fais mouiller ! C'est dingue mon amour !
Kemb me maintenait fermement. Il faisait coulisser son gros pieu dans ma bouche. Je le laissais faire d’un air absent comme si cette absence me protégeait de ce que j’étais en train de faire.
- Fais attention à tes dents man.... Faut bien ouvrir ta gueule.
J’ai obéis. J’ai eu peur de le blesser!
Il m’a baisé la bouche un moment en prenant son temps. Il voulait s’enfoncer un maximum dans ma bouche. Il sortait son engin jusqu’au gland avant de le pousser à nouveau. A un moment, pendant quelques secondes, j'ai pu voir ma femme. Elle était comme hypnotisée par ce qu'elle voyait. Sa main droite entre ses cuisses contre sa chatte.
- Il fait rapidement des progrès ton Pt’i mâle ma Gazelle.
Ma femme regardait en se caressant. Je commençais à me reprendre et me rendre compte de ce que je faisais. Pourtant je n’ai pas arrêté. Kemb a lâché ma tête. J’ai continué seul.
- Ma parole, il aime ça le babtou! Je crois qu’on va bien s’entendre cet été ensemble.
- Je suis contente Didou. Continue mon cœur. C'est tellement beau ce que tu fais pour moi !
Le goût était fort. Pas désagréable. Je sentais les chairs palpiter contre ma langue. C’était dur et tendre à la fois. Je sentais les grosses veines qui entouraient le sexe battrent contre mes lèvres.
- Il a des vrais talents de suceuse ton mec.
Le mot m’a fait honte.
Margot pressaient doucement les couilles de son amant. J’avais une vue délirante des mains blanches qui jouent avec les grosses boules noires. Je sentais aussi les odeurs de savon dans les poils frisés de Kemb. J’étais obligé d’ouvrir la bouche au maximum tellement c’était épais.
- Tu vois Didou. C’est bon un sexe d’homme. Tu comprends maintenant. Je t’adore, continue comme ça Chéri.
J’ai continué à sucer l’amant de ma femme. Devant elle et sous ses tendres encouragements!
- A ton tour ma Gazelle. Montre lui comment on boit un biberon.
Comme un somnambule, j’ai cédé ma place. Margot a continué en me branlant en même temps. Kemb et moi avons joui ensembles. Lui dans la bouche de ma femme et moi sur mon ventre.
Je ne suis pas resté avec eux. Trop perturbé par ce que je venais de vivre. En quittant la chambre j'ai eu le temps d'entendre Kemb s'adresser à ma femme :- Il a un vrai talent ton mec....
- Ne te moque pas Kemb. Il le fait pour moi.
oooOOOoooLe lendemain matin, j’étais dans la salle de bain en train de me brosser les dents quand il est venu. Il était nu, la bitte à moitié bandée et luisante de sécrétions.
Je n’ai pas osé croiser son regard.
- T’aurais dû rester avec nous hier. T’aurais profité de ta femme. Pour une fois que t’avais le droit. Remarque j’ai pu la démonter à fond vu son état d’excitation. Elle m’a dit qu’elle avait failli jouir sans se caresser en te regardant me tailler une pipe. Elle n’a pas arrêté de me parler de toi et me dire qu’elle était contente de ce que tu m’avais fait. Moi aussi remarque!
Il m’a filé une grande claque sur les fesses. J’ai sursauté de surprise. Je me sentais humilié et honteux. Humilier par ce qui c’était passé la veille, et honteux de ma passivité.
- Prépare bien ta bouche pour ce soir mon Pt’i blanc. Je sens que ça va être chaud.
Il est entré sous la douche en rigolant. J’avais du mal à respirer.
Je suis parti me claquemurer dans une des chambres des gosses jusqu’à son départ. Celle où j’avais dormi. Je les entendais parler et rire en prenant leur petit déjeuner. Ils devaient certainement parler de moi.
Margot m’a rejoint après le départ de son amant. J’étais assis sur le lit. Perdu dans mes pensées. Encore humilié de cette claque sur mes fesses et de mon comportement de la veille. Elle s’est assise à ma droite.
- Didou?.... Ça va?
- Non.
- .... Tu as été super hier... Pourquoi t’es pas resté? J’avais envie de toi.
Elle portait juste un peignoir qui lui arrivait à mi-cuisses. Elle s’est mise debout entre mes jambes, tirant ma tête contre son ventre.
- Ne fait pas la gueule Chéri. C’est rien. Il parait que beaucoup de mecs mariés le font. Et ça m’a plu à moi. Beaucoup même. Tu étais tellement beau à sucer son sexe. J’ai mouillé les draps rien qu’en te regardant. C’était fabuleux de voir tes lèvres autour du sexe de Kemb. De te regarder essayer de le prendre entièrement dans ta bouche.
Elle détaillait avec complaisance mon comportement et j’en avais les larmes aux yeux. Elle me poignardait avec douceur.
- Elle est grosse hein. Vous les mecs vous n’imaginez pas ce que c’est de prendre de tels gourdins dans le corps. Mais c’est tellement bon.... En réalité la taille ne compte pas trop pour nous. Bien sûr c’est mieux. Mais ce n’est pas l’essentiel mon cœur.
Elle a ouvert son peignoir. J’ai collé mon visage contre son ventre plat et doux comme du satin. Nous sommes restés sans bouger. Puis elle m’a emmené dans notre chambre. Le lit était défait. Les draps maculés de taches humides.
- Tu as envie ? Moi oui. L'essentiel c’est le comportement et le savoir-faire des mecs avec qui on a des relations. Et tu es celui que j’ai choisi mon cœur.
Elle s’est couchée, a ouvert son peignoir et écarté ses jambes. Son sexe était encore plein de sève crémeuse. Sublime et affolante!
J’ai baissé mon pantalon et mon caleçon aux chevilles avant de me jeter sur elle, la pénétrant d’un coup jusqu’à la garde.
- Oui Chéri vas-y ! J’aimerai un mari doux et attentif et un amant viril et conquérant.
Pour la faire taire, je me suis mis à la pilonner de toutes mes forces. Comme pour me venger de ce qu’elle me faisait subir. Mon sexe coulissait parfaitement. Elle était encore ouverte de la queue de son amant. Je ne sentais pas trop ses parois intimes trop glissantes des sécrétions de son amant.
- Oui.... Oui.... Plus fort Didou... Plus fort... Vas-y... Essaye comme lui.
Je me suis déchaîné dans son vagin en lui relevant les jambes pour la prendre le plus loin possible. Sous ses encouragements, je la limais comme un fou.
- Baise moi ... Baise moi... Encore... Vas plus loin...
Je ne pouvais pas! Je sentais bien que je n’arrivais pas à l’exciter. Qu’elle faisait semblant. Qu’elle ne me sentait pas. C’était juste ma récompense pour avoir obéis. Rien de plus.
- Pourquoi tu pleures mon Ange ?
Je ne savais pas! J’ai poussé un grand cri de jouissance en m’écroulant sur son corps. J’étais crevé. Du mal à respirer. Au bout d’une longue minute, elle a bougé en me caressant les cheveux.
- Didou. Ce n’est pas grave mon chéri. Tu as joui toi c’est l’essentiel. Si tu veux me faire jouir, tu peux le faire comme d’habitude mon amour. J’adore, et Kemb ne me le fait pas comme toi.
Je ne bandais plus. J’ai rampé en arrière. Mon visage plaqué contre son puits d’amour pour commencer mon travail de lécheur. Je pouvais voir les initiales de son amant et boire nos spermes mélangés.
- Tu as été super hier soir. Tu le referas dis... Tu le referas n’est pas ? Oh oui oui oui vas-y mon Ange bois bien lèche.. Lèche...... OuuuuuuuuuuiiiiiElle a hurlé sa jouissance en serrant ma tête entre ses cuisses poisseuses.
Le soir même Kemb a amené ses affaires pour s’installer avec nous.
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