Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. X
Récit érotique écrit par ANDRERP95 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. X
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Derniers jours de Juillet.
Les calmants me font du bien. Je suis un peu dans les vap; mais plus d’angoisse ni de stress. Par contre je n'ai aucune volonté ni force. Je traîne dans la maison comme un zombi. Goût à rien. Pas de force pour révolter.
Ils sont de repos les deux. Il fait très chaud. C’est l'après-midi. Margot a décidé d’aller à la piscine pour se rafraîchir. Kemb et Mathieu regardent Eurosport. Moi je repasse. Ils m’appellent.
- Alors ça va mieux?
- Oui ça va bien... Mieux... Merci- Tu sais tu as des problèmes.
- Le chômage.
- Non pas uniquement ce problème.
- Je sais.
- Tu as des problèmes d’identité. Je vais te faire ta visite et après on parlera les trois. Mathieu et moi nous sommes tenus au secret professionnel. Tout ce qui se dira entre nous restera secret. Même pour ta femme. Déshabille-toi entièrement. Tu gardes juste ton slip.
Les médicaments que je prends annihilent ma perception des choses et réduisent ma volonté. Je le sais pour avoir entendu en cachette Kemb l’expliquer à ma femme. Ils agissent aussi sur ma libido. Je ne bande plus.
Je me mets en slip debout entre les deux. Ils commencent à m’ausculter minutieusement.
- Tu ne sais plus où t’en es avec ta femme. Ni avec nous. Ouvre la bouche et tire la langue. Tu te sens prisonnier de ton éducation. Tousse. Encore... C’est parfait.. Ne bouge pas on n’a pas fini. Je ne veux pas prendre de risque... Tourne-toi... Respire profondément... Encore une fois... C’est bien assieds-toi.
J’obéis. Ils sont faces à moi et n’ont plus leur éternel regard narquois, humiliant ou autre. Loin de là. Ils sont avenants attentifs, compatissants. C’est Kemb qui parle:- T’es en train de faire une dépression. Assez grave. Mais cela se soigne bien. Déjà avec les comprimés que tu prends. Mais la meilleure voie de guérison, c’est toi. Tu sais, aux urgences on voit de tout. Et souvent des gens qui ont perdu leurs repères ou leur identité. C’est ton cas. T’es en train de subir, une série de stress. Tu ne sais plus comment les gérer et à la longue tu ne peux pas résister. Tu ne sais plus où tu en es.... Ta femme te trompe. Son amant vit chez vous avec ton consentement. Son pote vient souvent et ils se partagent ton épouse. T’es au chômage. Tu as le sentiment, de ne servir à rien etc... etc... Mais tu te trompes.
Il se tait un instant. Je réalise que je suis toujours uniquement vêtu de mon slip. Il vient de finir de me prendre ma tension.
- Trop basse encore. Les médications que tu prends ont pour but de dissiper tes angoisses, de te décontracter. Ils doivent t’aider à appréhender la réalité et surtout à l’accepter. Nous t’aiderons. Nous te fournirons les soins nécessaires. Nous comprenons que cette réalité est difficile pour toi. Elle te semble insurmontable. Mais tu verras tu iras mieux. Tout dépend de toi.
J’ai envie de lui dire que je suis d’accord avec lui mais que mon problème c’est eux justement.
- Tu es en train de te dire que tout est la faute de ta femme. De nous. Que si on foutait le camp, tout rentrera dans l’ordre. Mais en es-tu sur?... Es-tu sûr que c'est ce que Margot veut ? Qu'elle sera contente de ne plus nous voir. Tu crois qu’elle voudra de toi si on part ?
Je le regarde complètement désemparé. Il a raison. Que veut Margot ? Il reprend d'une voix douce.
- As-tu le choix? Margot t’aime tu le sais ça. Trop à mon goût. Mais moi non plus je n’ai pas le choix. Je dois faire avec... Mathieu et moi allons tout faire pour te sortir de là. Pour faire plaisir à Margot. Et parce qu’on est toubib. C’est notre job de réparer les dégâts de la vie. Mais toi que veux-tu ? Réponds... Essaye de formuler ce que tu ressens... Essaye de nous parler...
Impossible d'articuler. D'avoir une pensée cohérente. J'ai des larmes silencieuses.
- Ne te formalise pas. Cela va sortir. Un jour tout ressortira. Nous sommes là pour t'aider. Parce que Margot nous a suppliés de le faire. Et ne t’inquiètes pas trop des larmes qui coulent sans savoir pourquoi. C’est une des symptômes de ton état.
Grand silence. On s’est tout dit. Ils se lèvent. Moi aussi...
Curieusement la discussion ou plutôt le monologue de Kemb m’a fait du bien.
Nous regardons la télé. Je me lève pour aller chercher à boire. Je reste en slip. A mon retour je les trouve debout les deux. Mathieu qui me toise curieusement. Fini le regard du toubib :- T’es pas mal foutu pour ton âge. Bon ce que t’as entre les jambes ne te sert pas trop. Mais t’as su faire des mômes. Et il paraît que tu suces comme un pro. Ou une pro.
A nouveau les angoisses et la gorge serrée. Je baisse la tête honteux.
- C’est aussi un de tes problèmes d’identité Pt’i mâle. Tu ne sais pas si tu es un mari, un cocu ou plus.
Kemb a posé ses mains sur mes fesses. Je sens la chaleur à travers le tissu du slip.
- D’après toi t’es un Pt’i mâle ou une Pt’ite femelle?...
Je perds toute capacité de révolte. Il me semble qu’il ne sert à rien de refuser. Aucune envie de révolte ou de refus. J'ai juste envi que Margot soit là.
- Tu vois les cachets te font du bien. Et en plus comme t'as rien dans la culotte. Tu ne sens pas ton manque de libido.
Kemb me claque doucement les fesses. Mathieu enchaîne- J’ai enculé ta femme. A donf. Elle est serrée. C’était sa façon à elle de me remercier. C’est elle qui m’a demandé de l’enfiler. Je lui ai ramoné le cul à sec. Au début elle a eu un peu mal. Mais après elle en redemandait.
Kemb a baissé mon slip sous mes fesses. Les claques sont plus viriles me faisant sursauter. Une de ses mains se pose sur ma nuque.
- Mathieu a raison. Ta femme lui a offert son cul à ma demande. Peut-être que tu pourrais le remercier toi aussi. A ta façon.
La main pousse ma tête. Les coups claquent sur mes fesses. Je me penche devant Mathieu. La main de Kemb me serre la nuque.
- Bien sûr, Margot a eu un peu de mal à marcher, mais elle a aimé. Ta femme est faite pour le sexe. Je ne comprends pas pourquoi elle veut rester avec toi. Ça me fait chier.
J’ai le visage à dix centimètres du short de Mathieu. Je vois la bosse. Kemb se met à ma droite, une main serre ma nuque et l’autre claque mes fesses nues en cadence.
- Demande à mon pote l’autorisation de le sucer. Demande-lui. Tu te sentiras mieux après. Crois-moi. Il faut que les mots sortent de ta bouche de cocu.
Je ne dis rien. Les coups sur mes fesses me chauffent de plus en plus. Kemb reprend en serrant plus fort ma nuque:- Vas-y dis à mon pote que tu es une suceuse de bittes.
- Je ... Je suis une....
Un claque plus violente.
- Je suis une suceuse de bittes.
- Répète.
Une autre claque encore plus forte- Je suis une suceuse de bitte.
- Et la suite.
Une série de claque. J’ai le slip autour des chevilles. J’ai à peine mal aux fesses. Je m’en fous.
- Je veux sucer Mathieu.
- Pas comme ça.
Mathieu baisse son short. Il ne porte pas de slip. Son sexe me saute au visage.
- Mathieu, j’ai envie de te sucer.
Il me bloque la tête entre ses mains- Répète.
Il relève ma tête pour voir mon visage- Allez le cocu, répète.
- J'ai envie de te sucer la bitte.
- C'est bien. Tu vois quand tu veux. Tu commences à comprendre ce que tu es vraiment. Ouvre la bouche le cocu.
- Obéis à Mathieu. Tu sais que tu es un mari qui a perdu sa femme et qui accepte de servir son amant pour rester avec elle. Que tu es incapable de te défendre pour garder ton bien. Tu es devenu un cocu au service de l’amant. Admets-le et suce bien mon pote.
- Mathieu me pilonne la bouche. Varie les rythmes. Pousse son gland au max . Kemb continue de jouer avec mes fesses.
- Eh bien tu vois Pt’i mâle. Tu vois que tu aimes la bitte. On a déjà régler un de tes problèmes d’identité. C’est un bon début.
Ils rigolent. Fini les médecins. Voilà les jeunes loups.
Je suis à genoux. Les deux bittes sont devant moi. Je suce sans rien dire. Une après l’autre en alternant et de plus en plus vite.
- C’est vrai qu’il suce bien.
- J’te l’ai dit mec. On a à notre disposition une bon cocu suceur. Applique-toi bien... Vas tout au fond. C’est bien.
Ils m'obligent à lécher sur toute la longueur. Mon nez s’enfouit dans leurs poils. Ils sentent la sueur. Dès que je donne un signe d'essoufflement, ils me bloquent le visage et me pilonnent jusqu’au fond de ma gorge. Les deux sexes se relaient. J’en branle un et je suce l’autre; j’ai mal aux mâchoires. Les cadences s’accélèrent. Mathieu bloque ma tête. Son gland bouge dans ma bouche. Un liquide crémeux fuse. Je veux reculer- Bouge pas le cocu, ce n’est pas fini. Tu dois boire la semence de tes cocufieurs.
Ma bouche est inondée. J’ai du mal à tout avaler. Mathieu me lâche brusquement. Mais Kemb investit mon palais.
- A mon tour de te faire boire tes vitamines. T’en as bien besoin.
A nouveau des giclées épaisses tout au fond de ma gorge qui me font tousser et coulent sur mon torse. Je bois de plus en plus vite pour ne pas m'étouffer.
Ils me lâchent. Kemb triomphant :- C’est bien. Tu vois quand tu veux. - On dirait que t’aimes ça la pipe. Tu sais déjà que t’es un bon suceur. Ce n’est déjà pas si mal. On a bien avancé.
Rires et une dernière claque sur mes fesses.
- Vas préparer le repas. T’inquiètes pas on dira rien à Margot. Secret médical...
Ils éclatent de rire pendant que je remonte mon slip et me sauve à la cuisine.
Bien sûr ils ont tout raconté à ma femme. Elle semblait contente. Nous avons fait une partie à quatre, moi dans le rôle de suceur de queues et du lécheur de chatte. J'étais comme une marionnette sous l'effet des drogues que je prenais docilement.
A la fin de la semaine, c’était devenu un rite. Je les suçais et nettoyais la chatte inondée de ma femme.
Derniers jours de Juillet.
Les calmants me font du bien. Je suis un peu dans les vap; mais plus d’angoisse ni de stress. Par contre je n'ai aucune volonté ni force. Je traîne dans la maison comme un zombi. Goût à rien. Pas de force pour révolter.
Ils sont de repos les deux. Il fait très chaud. C’est l'après-midi. Margot a décidé d’aller à la piscine pour se rafraîchir. Kemb et Mathieu regardent Eurosport. Moi je repasse. Ils m’appellent.
- Alors ça va mieux?
- Oui ça va bien... Mieux... Merci- Tu sais tu as des problèmes.
- Le chômage.
- Non pas uniquement ce problème.
- Je sais.
- Tu as des problèmes d’identité. Je vais te faire ta visite et après on parlera les trois. Mathieu et moi nous sommes tenus au secret professionnel. Tout ce qui se dira entre nous restera secret. Même pour ta femme. Déshabille-toi entièrement. Tu gardes juste ton slip.
Les médicaments que je prends annihilent ma perception des choses et réduisent ma volonté. Je le sais pour avoir entendu en cachette Kemb l’expliquer à ma femme. Ils agissent aussi sur ma libido. Je ne bande plus.
Je me mets en slip debout entre les deux. Ils commencent à m’ausculter minutieusement.
- Tu ne sais plus où t’en es avec ta femme. Ni avec nous. Ouvre la bouche et tire la langue. Tu te sens prisonnier de ton éducation. Tousse. Encore... C’est parfait.. Ne bouge pas on n’a pas fini. Je ne veux pas prendre de risque... Tourne-toi... Respire profondément... Encore une fois... C’est bien assieds-toi.
J’obéis. Ils sont faces à moi et n’ont plus leur éternel regard narquois, humiliant ou autre. Loin de là. Ils sont avenants attentifs, compatissants. C’est Kemb qui parle:- T’es en train de faire une dépression. Assez grave. Mais cela se soigne bien. Déjà avec les comprimés que tu prends. Mais la meilleure voie de guérison, c’est toi. Tu sais, aux urgences on voit de tout. Et souvent des gens qui ont perdu leurs repères ou leur identité. C’est ton cas. T’es en train de subir, une série de stress. Tu ne sais plus comment les gérer et à la longue tu ne peux pas résister. Tu ne sais plus où tu en es.... Ta femme te trompe. Son amant vit chez vous avec ton consentement. Son pote vient souvent et ils se partagent ton épouse. T’es au chômage. Tu as le sentiment, de ne servir à rien etc... etc... Mais tu te trompes.
Il se tait un instant. Je réalise que je suis toujours uniquement vêtu de mon slip. Il vient de finir de me prendre ma tension.
- Trop basse encore. Les médications que tu prends ont pour but de dissiper tes angoisses, de te décontracter. Ils doivent t’aider à appréhender la réalité et surtout à l’accepter. Nous t’aiderons. Nous te fournirons les soins nécessaires. Nous comprenons que cette réalité est difficile pour toi. Elle te semble insurmontable. Mais tu verras tu iras mieux. Tout dépend de toi.
J’ai envie de lui dire que je suis d’accord avec lui mais que mon problème c’est eux justement.
- Tu es en train de te dire que tout est la faute de ta femme. De nous. Que si on foutait le camp, tout rentrera dans l’ordre. Mais en es-tu sur?... Es-tu sûr que c'est ce que Margot veut ? Qu'elle sera contente de ne plus nous voir. Tu crois qu’elle voudra de toi si on part ?
Je le regarde complètement désemparé. Il a raison. Que veut Margot ? Il reprend d'une voix douce.
- As-tu le choix? Margot t’aime tu le sais ça. Trop à mon goût. Mais moi non plus je n’ai pas le choix. Je dois faire avec... Mathieu et moi allons tout faire pour te sortir de là. Pour faire plaisir à Margot. Et parce qu’on est toubib. C’est notre job de réparer les dégâts de la vie. Mais toi que veux-tu ? Réponds... Essaye de formuler ce que tu ressens... Essaye de nous parler...
Impossible d'articuler. D'avoir une pensée cohérente. J'ai des larmes silencieuses.
- Ne te formalise pas. Cela va sortir. Un jour tout ressortira. Nous sommes là pour t'aider. Parce que Margot nous a suppliés de le faire. Et ne t’inquiètes pas trop des larmes qui coulent sans savoir pourquoi. C’est une des symptômes de ton état.
Grand silence. On s’est tout dit. Ils se lèvent. Moi aussi...
Curieusement la discussion ou plutôt le monologue de Kemb m’a fait du bien.
Nous regardons la télé. Je me lève pour aller chercher à boire. Je reste en slip. A mon retour je les trouve debout les deux. Mathieu qui me toise curieusement. Fini le regard du toubib :- T’es pas mal foutu pour ton âge. Bon ce que t’as entre les jambes ne te sert pas trop. Mais t’as su faire des mômes. Et il paraît que tu suces comme un pro. Ou une pro.
A nouveau les angoisses et la gorge serrée. Je baisse la tête honteux.
- C’est aussi un de tes problèmes d’identité Pt’i mâle. Tu ne sais pas si tu es un mari, un cocu ou plus.
Kemb a posé ses mains sur mes fesses. Je sens la chaleur à travers le tissu du slip.
- D’après toi t’es un Pt’i mâle ou une Pt’ite femelle?...
Je perds toute capacité de révolte. Il me semble qu’il ne sert à rien de refuser. Aucune envie de révolte ou de refus. J'ai juste envi que Margot soit là.
- Tu vois les cachets te font du bien. Et en plus comme t'as rien dans la culotte. Tu ne sens pas ton manque de libido.
Kemb me claque doucement les fesses. Mathieu enchaîne- J’ai enculé ta femme. A donf. Elle est serrée. C’était sa façon à elle de me remercier. C’est elle qui m’a demandé de l’enfiler. Je lui ai ramoné le cul à sec. Au début elle a eu un peu mal. Mais après elle en redemandait.
Kemb a baissé mon slip sous mes fesses. Les claques sont plus viriles me faisant sursauter. Une de ses mains se pose sur ma nuque.
- Mathieu a raison. Ta femme lui a offert son cul à ma demande. Peut-être que tu pourrais le remercier toi aussi. A ta façon.
La main pousse ma tête. Les coups claquent sur mes fesses. Je me penche devant Mathieu. La main de Kemb me serre la nuque.
- Bien sûr, Margot a eu un peu de mal à marcher, mais elle a aimé. Ta femme est faite pour le sexe. Je ne comprends pas pourquoi elle veut rester avec toi. Ça me fait chier.
J’ai le visage à dix centimètres du short de Mathieu. Je vois la bosse. Kemb se met à ma droite, une main serre ma nuque et l’autre claque mes fesses nues en cadence.
- Demande à mon pote l’autorisation de le sucer. Demande-lui. Tu te sentiras mieux après. Crois-moi. Il faut que les mots sortent de ta bouche de cocu.
Je ne dis rien. Les coups sur mes fesses me chauffent de plus en plus. Kemb reprend en serrant plus fort ma nuque:- Vas-y dis à mon pote que tu es une suceuse de bittes.
- Je ... Je suis une....
Un claque plus violente.
- Je suis une suceuse de bittes.
- Répète.
Une autre claque encore plus forte- Je suis une suceuse de bitte.
- Et la suite.
Une série de claque. J’ai le slip autour des chevilles. J’ai à peine mal aux fesses. Je m’en fous.
- Je veux sucer Mathieu.
- Pas comme ça.
Mathieu baisse son short. Il ne porte pas de slip. Son sexe me saute au visage.
- Mathieu, j’ai envie de te sucer.
Il me bloque la tête entre ses mains- Répète.
Il relève ma tête pour voir mon visage- Allez le cocu, répète.
- J'ai envie de te sucer la bitte.
- C'est bien. Tu vois quand tu veux. Tu commences à comprendre ce que tu es vraiment. Ouvre la bouche le cocu.
- Obéis à Mathieu. Tu sais que tu es un mari qui a perdu sa femme et qui accepte de servir son amant pour rester avec elle. Que tu es incapable de te défendre pour garder ton bien. Tu es devenu un cocu au service de l’amant. Admets-le et suce bien mon pote.
- Mathieu me pilonne la bouche. Varie les rythmes. Pousse son gland au max . Kemb continue de jouer avec mes fesses.
- Eh bien tu vois Pt’i mâle. Tu vois que tu aimes la bitte. On a déjà régler un de tes problèmes d’identité. C’est un bon début.
Ils rigolent. Fini les médecins. Voilà les jeunes loups.
Je suis à genoux. Les deux bittes sont devant moi. Je suce sans rien dire. Une après l’autre en alternant et de plus en plus vite.
- C’est vrai qu’il suce bien.
- J’te l’ai dit mec. On a à notre disposition une bon cocu suceur. Applique-toi bien... Vas tout au fond. C’est bien.
Ils m'obligent à lécher sur toute la longueur. Mon nez s’enfouit dans leurs poils. Ils sentent la sueur. Dès que je donne un signe d'essoufflement, ils me bloquent le visage et me pilonnent jusqu’au fond de ma gorge. Les deux sexes se relaient. J’en branle un et je suce l’autre; j’ai mal aux mâchoires. Les cadences s’accélèrent. Mathieu bloque ma tête. Son gland bouge dans ma bouche. Un liquide crémeux fuse. Je veux reculer- Bouge pas le cocu, ce n’est pas fini. Tu dois boire la semence de tes cocufieurs.
Ma bouche est inondée. J’ai du mal à tout avaler. Mathieu me lâche brusquement. Mais Kemb investit mon palais.
- A mon tour de te faire boire tes vitamines. T’en as bien besoin.
A nouveau des giclées épaisses tout au fond de ma gorge qui me font tousser et coulent sur mon torse. Je bois de plus en plus vite pour ne pas m'étouffer.
Ils me lâchent. Kemb triomphant :- C’est bien. Tu vois quand tu veux. - On dirait que t’aimes ça la pipe. Tu sais déjà que t’es un bon suceur. Ce n’est déjà pas si mal. On a bien avancé.
Rires et une dernière claque sur mes fesses.
- Vas préparer le repas. T’inquiètes pas on dira rien à Margot. Secret médical...
Ils éclatent de rire pendant que je remonte mon slip et me sauve à la cuisine.
Bien sûr ils ont tout raconté à ma femme. Elle semblait contente. Nous avons fait une partie à quatre, moi dans le rôle de suceur de queues et du lécheur de chatte. J'étais comme une marionnette sous l'effet des drogues que je prenais docilement.
A la fin de la semaine, c’était devenu un rite. Je les suçais et nettoyais la chatte inondée de ma femme.
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