5 à 7 de midi à 14 heures au sex shop - histoire érotique

Je suis seul pour la journée, mon travail ne reprend qu'a 14 h jusqu'à 19h, il est presque midi, je décide donc de prendre un sandwich chaud dans une baraque a frites.
Je m'assoie sur un banc, pour manger tranquillement, puis une pulsion perverse me donne envie de me rendre au sex shop à 100m à peine.
Il est pratique parce que très proche de mon job.
I présente le défaut de ne pouvoir rester longtemps, mais c'est le seul endroit pour baiser en ville, de 12 à 14 h, le cinéma porno ouvre trop tard.
J'entre, choisis un film, puis me rends dans le petit couloir contenant les 9 cabines.
Une fois assis dans celle qui m'est dédiée, je déballe mon sexe pour me masturber.
Mon projet est clairement de me branler devant le film, parce que j'ai rarement baisé dans cet endroit, trop peu fréquenté.
Au bout de 10 minutes, je me hasarde a visiter le couloir, apparemment, je ne suis pas seul, vu les sons des films qui se diffusent.
Tous les rideaux sont fermés, je vais pour retourner voir mon film, quand j'entends un rideau qui coulisse légèrement.
Je me retourne et vois un homme qui me regarde dans l'entrebâillement, en se tenant une belle bite en érection.
On s'est compris très vite, puisqu'il ouvre pour m'attirer dans sa cabine.
Il s'assied sur la chaise en tendant sa queue dressée, lentement, je me glisse entre ses jambes pour englober son membre avec ma bouche.
Je le suce goulument, avec envie pendant de longues minutes.
Du coin de l'œil, je vois qu'il a laissé le rideau, un peu ouvert.
Dans le brouhaha du son de baises des films, je ne remarque pas que 2 inconnus sont entrés.
Ce sont les souliers d'un homme près de nous qui me font lever les yeux pour voir que 2 sexes attendent que je les sucent.
Je passe de l'un à l'autre avec avidité et application, l'homme quitte sa chaise pour me relever les fesses et me délivrer de mon pantalon.
Il crache de la salive sur ses doigts, qu'il insère dans mon anus, qui se lubrifie peu à peu et s'ouvre sous la pression de ses quatre phalanges.
J'ai du mal à assurer mes fellations, tant il me baise fort avec sa main.
Il me saisit par les hanches et remplace ses doigts par son sexe qui m'investit d'un coup, profondément.
J'ai un soupir de plaisir, à ce moment, je profite pleinement de l'opportunité que j'ai, enfin, de bien jouir, dans cet endroit.
Il m'encule à fond, en perturbant mes mouvement buccaux sur les deux autres bites. Je m'appuie sur le sexe d'un homme pour râler de jouissance anale.
Mon plaisir a dû finir de l'exciter, puisqu'il se déverse dans mon cul à grands coup profonds.
Peu de temps après, il sort de mon anus, prend un morceau du rouleau de papier essuie-tout pour se nettoyer et s'en va, sans un mot.
Celui que je suçais, qui se trouvait à ma droite, profite que j'ai la bite du second dans la bouche pour passer derrière moi et m'enculer à fond comme le premier.
Malheureusement, il ne me donne pas le temps de jouir encore, puisqu'il jouit dans mon cul, lui aussi très vite.
Il imite l'autre homme en utilisant le rouleau à coté de nous.
Il sort, en me caressant le cul, et me remercie pour le moment, qu'il a partagé avec moi.
En passant la porte, il demande pardon à un autre homme qui arrive et entre.
Il est massif, musclé, d'allure très actif et agité, il s'appuie contre un mur en me regardant pomper la queue de l'homme qui reste avec moi.
Il a l'air de s'exciter à la vue de nos jeux buccaux, l'homme me baise la bouche frénétiquement, puis se secoue la bite sur mon visage.
Un troisième sort de sa cabine et vient vers nous, il s'approche derrière moi et attends un peu en se masturbant.
Il se hasarde à me caresser les fesses, et regarde mon anus qui à des traces de sodomie récente.
Très rapidement, il fait glisser son pantalon sur ses pieds et m'enfonce sa bite dans le cul sans ménagement.
L'homme agité à l'air surpris et dit:"Ah, ouais, c'est bon ça" en dandinant d'un pied sur l'autre et agitant une queue magnifique.
De mon coté, je m'étonne de l'endurance de celui que je suce.
Je subis avec plaisir pendant de longues minutes, cette saillie fougueuse, à la fois buccale et anale qui m'offre encore un orgasme.
J'arrive à jeter un œil sur ma montre et vois qu'il est déjà 13h40.
Je m'inquiète d'être à l'heure à mon travail en espérant qu'ils ne soit pas trop endurants.
Enfin, je sens que celui qui m'encule s'active en moi par saccades qui trahissent son plaisir naissant.
Ses gémissements de plaisir sont communicatifs et l'homme que je suce, arrête de me baiser la bouche, en tenant mon visage enfoncé sur sa bite.
J'ingurgite son éjaculation, chaude et gluante, pendant que l'autre me remplit, lui aussi, de son sperme dans l'anus.
Je devine l'excitation du dernier qui nous observe à ses gémissements retenus.
Les deux hommes se nettoient tour à tour et me laisse seul avec l'inconnu.
Il met un petit moment pour m'approcher, mais me touche directement le cul et me demande aussitôt:"Mets toi à quatre pattes! Je vais te baiser comme ça, ça va te plaire, tu verras!".
Je m'exécute en regardant ma montre, il est déjà moins le quart, mais je ne peux m'empêcher de rester pour lui donner mon cul, excité par sa bite très épaisse.
Enfin, il me pénètre en m'écartelant les parois anales, il est puissant et contrôlé, à l'opposé de son comportement de tout à l'heure.
"Humm, je vais t'enculer longtemps, je vais bien profiter de ton cul salope!".
Malgré le plaisir qu'il me donne, ça va pas m'arranger.
Des spasmes anaux de plus en plus puissants me préviennent d'un nouvel orgasme qui promet d'être énorme, c'est complètement normal vu les mensurations sexuelles de l'inconnu.
Il écrase son bas ventre contre mes fesses à chaque enfoncement, frappant ses gros testicules entre mes cuisses.
J'atteins l'orgasme anal en râlant longuement sans réaliser que le bruit ambiant des films pornos a cessé depuis un moment.
"Alors, t'aimes comme je t'encule salope?".
"Oui, elle est bonne ta bite, défonce-moi encore!".
Il s'amuse à m'enculer par séries de coups de queue profondes, en m'arrachant des râles de plaisir.
De temps en temps, il sort de mon cul, en fouettant de sa queue, mes fesses, puis, reprend possession de mon anus en me frappant le cul d'une main, tout cela, agrémenté de mots crus.
"Ahhhh, j'en peux plus, tu m'encules trop bien, ahhhhhhhhhh".
Je jouis encore en plongeant ma tête entre mes mains au sol.
Je reprends mes esprits et vois qu'il est déjà 14 h.
A ce moment, cela n'a plus d'importance, je ne veux pas être ailleurs, je suis trop bien occupé a jouir avec sa queue, après tout, étant mon propre patron, personne ne me reprochera mon retard.
"Putain, ce que tu peux mouiller du cul salope! j'ai la bite trempée! Ca m'excite".
En effet, je sens couler mes sécrétions anales entre mes cuisses, sa queue en me pénétrant s'accompagne de bruits provoqués par le bruit de claquements, accentués par le liquide visqueux.
Je colle mon visage au sol en fermant les yeux, je m'offre complètement à ses assauts pervers, cambré au maximum sur sa grosse bite.
"hummm, ça monte là! J'adore ton trou, salope!".
"Mmmmmmmm, oui, jouis, j'en ai envie, viens!".
Mais son plaisir monte lentement, et un long moment après, il prévient:"Ahhhhhhhhhhh, houuuuuuuuuu, tiens salope, prend toi ça! Ohhh, je vais te remplir le cul salope!".
Je reçois ses giclées de sperme comme une délivrance dans mon anus poisseux.
Il lui faut un certain temps, pour reprendre ses esprits, sans sortir de mon anus, il se retire enfin et s'assied sur la chaise.
"Putain, c'était bon, mec!".
En voyant son gros sexe couvert de mes ablutions anales et le filet de sperme, au bout de son gland, je ne sais pas pourquoi.
Mais j'ai envie de lui montrer à quel point, il m'a donné du plaisir, en lui couvrant la bite de ma bouche.
Je lui pompe amoureusement et tendrement la queue, allant jusqu'à lui lécher ses couilles souillées et humides.
Sentant que ma caresse a eu l'effet de détente que je souhaitais lui offrir, je quitte son sexe pour essuyer les bords de mon œillet et me rhabiller en vitesse.
L'homme se fait une toilette rapide, lui aussi, sous mon regard d'admiration sur sa bite magnifique, heureux de ma chance providentielle.
Il quitte la pièce, en me remerciant pour ce moment, et retrouvant sa nervosité du début.
Je prend moi aussi la direction de la sortie, en croisant un homme qui me retient par le bras, je le reconnais alors, c'est le patron du Sex-Shop qui me dit:"Ou tu vas? pas si vite! Tu vas me sucer! Viens par là!".
Il m'entraine dans la cabine, la plus proche.
"Euh, j'ai plus trop de temps, je dois partir!".
"T'inquiètes! c'est juste une petite pipe, vite fait, moi aussi, je dois reprendre mon poste!".
Cela prendra un peu plus de 5 mn, pour qu'il éjacule abondamment dans ma gorge.
Il me proposera de revenir plus souvent, mais sa présence était aléatoire, il avait aussi d'autres employés, plutôt hétéros.
Lorsque je suis, enfin, arrivé à mon boulot, des gens m'attendaient, j'ai prétexté, un oubli de mes clés pour m'excuser du retard.
Une fois seul, et ennuyé par l'écoulement retenu de mes sécrétions anales, je me rend aux toilettes du parking en face pour me libérer et me branler frénétiquement, rempli de tous ces souvenirs sexuels.