Adultère avec un jeune de vingt ans.
Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Adultère avec un jeune de vingt ans.
La salle était pleine d'admirateurs. Moi, Léa Guet. célèbre écrivaine de romans romantique, étais sur le point de lancer mon dernier livre.
Après une présentation réussie, l'événement s'est poursuivi par une séance de dédicaces. Les fans faisaient la queue pour passer un moment avec moi, et repartait avec un exemplaire signé de ma dernière création. Dans la foule, un jeune homme s'est approché, sourire aux lèvres, tenant un exemplaire de mon livre.
- Bonjour Léa, je m'appelle Julien dit-il d'une voix mystérieuse et sensuelle.
Je dois admettre que dès le début, je me suis sentie intriguée par sa présence, ce n'était pas la première fois qu'un admirateur m'approchait, mais quelque chose dans la façon dont il me regardait, faisait battre mon cœur plus vite, et mon corps frissonnait. Ses yeux sombre étaient profond, expressif, comme s'il cachait des histoires à découvrir, et j’étais intrigué de les connaître.
- Bonjour Julien, qu'est-ce qui t'a amené à mon événement aujourd'hui, ai-je demandé en lui rendant le sourire.
Je n'avais eu de conversation avec personne depuis longtemps, je me sentais stupide. Mais son langage corporel me faisait savoir que ça marchait.
- J'ai lu tous vos romans, vous avez une façon si fougueuse de parler de romance, que je me demande s'ils sont basés sur des événements réels. Mais au-delà de ça, la vérité est que je voulait vous rencontrer en personne, a-t-il répondu.
J'ai remarqué que ses pupilles brillaient de coquineries. Je l'ai remercié pour ses paroles en signant son livre, et en partageant quelques anecdotes de mon parcours.
Je ne savais pas que cette rencontre fortuite marquerait le début d'une histoire qui allait changer ma vie.
A ce stade, et après avoir lu le titre révélateur de mon roman « Fleur du pêché », je comprendrai qu’on pense de moi que je suis une femme indécente, pour ce genre d'impression avec un jeune garçon, et être mariée. Mais je n'ai jamais tromper Mathieu, mon mari, et n'ai jamais eu l’intention de le faire, même si les événements qui allaient se produire dans mon destin, avaient d'autres projets.
Dans les semaines qui ont suivi, Julien s'est présenté à plusieurs de mes événements.
Il était toujours là, en première place, avec ce sourire coquin, qui commençait à devenir plus familier et plus excitant. Julien ne semblait pas se soucier du fait que nous soyons en public, ou de l'effet évident que cela produisait sur moi. Au début ça me dérangeait, mais j'avoue que j'aimais ça, et j'attendais toujours avec impatience la suite.
Un jour, après un événement dans une librairie, nous avons décidé de prendre un café. C'est à ce moment-là que les intentions de Julien sont devenues très claires pour moi,
au moment où il a déclaré.
- As-tu eu des fantasmes dans ta salle de bain ?
Revoilà ce regard, ce sourire malicieux qui me faisait chaud dans tout le corps, et s'emballait mon cœur, avant que je sache comment répondre à une telle question.
Julien se leva de sa chaise et se dirigea lentement vers les toilettes. Lorsqu'il fut devant la porte, il se tourna vers moi, et je compris que c'était un signal pour le suivre.
Je ne m'étais jamais senti aussi nerveuse.
Même s'il était tard, il restait encore quelques clients dans le bar. J’ai avalé lourdement, pris une profonde inspiration et je me suis levée sans trop réfléchir.
Quand j'ai réalisé ce que je faisais, j'avais déjà la main sur la poignée de porte. J'ai regardé en arrière. Chacun était occupé avec ses propres affaires, et ma présence ne semblait importer à personne. J’ai tourné le bouton et suis entré. J'ai fermé derrière moi aussi vite que possible, et ai verrouillé la porte.
Julien m'attendait appuyé contre le mur. Il avait l'air sûr que j'allais le suivre. Je me sentais un peu idiote de la façon dont je le laissais m'envelopper. Son jean’ moulant, et sa veste en cuir le rendait si attirant et dominant.
- Approche-toi, je ne mords pas, dit Julien me sortant de mes pensées.
- Écoute Julien, je ne pense pas que ce soit une bonne idée.
J'ai essayé de l'éviter, mais au fond de moi, je sais que je voulais m'abandonner. A ce moment-là, j'étais tellement excitée que je ne pouvais pas penser clairement.
Je ne voulais pas le faire, je voulais juste être avec lui, le sentir, le toucher me perdre dans son parfum. Julien, qui semblait toujours avoir la capacité de lire dans mes pensées, à complètement ignorer mes paroles.
Il s'est approché de moi, m'a attrapé par les hanches et m'a soulevé sur le lavabo. Il a écarté mes jambes, et m'a attrapé le visage. Puis nous avons commencé à nous embrasser de la manière la plus chaude et la plus sauvage qu’il soit, pour nous montrer notre désir de nous dévorer. Sa bouche glissait sur mes lèvres, mes joues et mon cou, embrassant tout sur son passage, tandis qu'avec ses mains il me caressait le dos et j'avais l'impression que j'allais exploser. Ma température était tellement monté que j'ai dû enlever ma veste, ce qui a semblé plaire à Julien, car il a poussé un rire malicieux, m'a regardé un instant dans les yeux et s'est jeté sur moi.
Puis il m'a embrassé et j'ai eu l'impression qu'il voulait aspirer toute mon énergie vitale et je ne pouvais rien faire d'autre que de m'abandonner et de succomber. Ses mains se sont déplacé sur mon corps et, j'ai ressenti un choc électrique lorsqu'il a remonté ma jupe. Je savais déjà dans quel état j'étais, mais je ne m'attendais pas à la réaction de Julien lorsqu'il réalisa à quel point j'étais mouillée et excitée. Il m'a retirée du lavabo, et m'a retourné.
Je le sentais parfaitement. Quand j'ai levé les yeux, je me suis vu dans le miroir.
Pendant qu'il m'embrassait dans le cou, il a détaché sa ceinture et j’ai senti un membre dur me pénétrer. Quelques secondes plus tard, j'ai eu l'impression qu'il y avait un feu d'artifice autour de nous. Le plaisir montait moi, j’étais sur le point d'exploser. Julien posa sa main sur ma bouche, pour atténuer le cri que je poussais quand j’atteignais l’orgasme. A ce moment-là, je me fichais de son âge, du lieu, du fait que j'étais mariée. Je me laissais aller, succombant à la douce folie d'être ensemble. En moins de quelques minutes, je me suis sentie si détendue, que je pouvais dire que j'avais l'air plus jeune de quelques années.
Même si nos âges marquaient une différence évidente, le lien entre nous se renforçait à chaque rencontre, et je dois avouer que cela faisait longtemps que je n'avais pas ressenti cela, même pas avec Mathieu, mon mari.
Je ne pouvais pas ignorer mon attirance croissante pour lui. Cependant, la réalité de ma vie d'écrivain célèbre et d’épouse, était toujours présente dans mon esprit comme quelque chose que je ne pouvais pas taire. J'ai senti que je devais m'arrêter à temps.
J'ai rappelé à Julien que j'étais une femme mariée et je lui ai dit que nous ne pouvions poursuivre nôtre relation. Il m'a regardé sans la moindre expression sur son visage, et j'avais l’impression que mon cœur se brisait en mille morceaux. Il s'est retourné et s'est éloigné sans me dire au revoir.
Quelques mois se sont écoulé sans que nous nous revoyions, pendant lesquels j'ai senti que les nuits devenaient plus longues, les lettres de mes histoires se mêlaient aux rencontres que j'avais partagé avec Julien. La situation à la maison ne m'a pas non plus empêché de profiter à nouveau de ces rencontres dans lesquelles je pourrais me déconnecter un instant de ma réalité. Même si c'était fou, je suis marié à Mathieu depuis quinze ans, dont je pourrais dire que seule la moitié ont été bonne. Seule moi voulait un enfant. Alors nous n'avions que nous, et profitions de chaque petite occasion pour nous montrer notre amour de toutes les façons, de la plus romantique à la plus ardente.
Les choses ont changé lorsque Matthieu a rejoint un cabinet d'avocat, et a cessé de travailler de manière indépendante. Il passait moins temps à la maison, mais plus au cabinet. Au fil des années, j'ai commencé à me sentir de plus en plus seule.
Nos relations entre nous sont devenues distantes, quelques baisers, quelques étreintes de plus en plus courtes, ennuyeuses, jusqu'à se réduire à une routine étouffante, dans laquelle nous nous trouvons actuellement.
Un jour, je suis sorti promener Chester, nôtre chien, et pendant que je marchais distraitement le long de cette avenue, l'image de Julien est apparue devant mes yeux et a provoqué un impact électrisant que je pouvais ressentir dans tout mon corps.
- Je vois que tu as toujours cette vieille habitude de me suivre, dit-il en s’approchant.
- Je voulais savoir comment tu allais, ai-je répondu.
J’espérais qu'il ne s'agissait que d'une rencontre cordiale, mais avec ce sentiment que quelque chose allait se passer, une incertitude qui manquait à mon corps. Julien s'est approché et je me suis retirée derrière un conteneur, le dos contre le mur et lui devant. Je n'avais pas d'échappatoire, et honnêtement, je ne voulais pas non plus partir.
Mes lèvres rencontrèrent les siennes dans un baiser plein de passion et de désir.
C'était comme si le monde s'effaçait autour de nous pendant un instant, nous laissant suspendu dans le temps. A cet instant, j'ai laissé mes peurs se dissoudre et je me suis abandonné à l'intensité de la connexion que nous partagions.
Ses mains glissèrent sur les parties les plus sensibles de mon corps, générant dans leur sillage une douce sensation. Julien a tenu ma lèvre inférieure entre ses dents, j'ai relâché la laisse de de Chester pour approcher encore plus son corps du mien. J'ai ressenti un besoin incontrôlable de l'avoir le plus près possible. Julien s'éloigna brusquement, me donnant envie de continuer à l'embrasser et de l’avoir avec moi.
Il a récupéré la laisse du chien, me l'a donné, m'a dit à mardi, à l'endroit habituel.
J'avais un sentiment de malaise. J'étais heureuse de m'être retrouvé, mais je n'en avais pas assez de lui. Sans aucun doute, j'irai à cette à ce rendez-vous, au suivante, à celui qui suivrai, et à tous les autres..
Nous nous retrouvions en fin de soiré les mardis, mercredi et vendredi au bar habituel. La tension grandissait comme une mélodie silencieuse que seul nous deux pouvions entendre. Un jour, Julien m'a laissé un mot à la serveuse du café.
« Rendez-vous au motel, chambre vingt huit... jusqu'où veux-tu me laisser aller ? »
La lecture de ce mot m'a fait frémir. La serveuse l'avait-elle déjà lu ? Que penserait-elle de moi, ou de nous. Mon cœur battait à tout rompre.
J'ai pris mon sac et marché jusqu'au motel. J'ai frappé à la porte et je suis entrée pour trouver sa silhouette dans le noir. Il était assis et ne portait que ce jean’ moulant que j'aime tant.
- Entre, je savais que tu viendrais, dit-il.
Je pourrais presque jurer que malgré l'obscurité, j'ai réussi à voir une lueur malicieuse dans ses yeux.
- Comment peux-tu penser à me laisser un mot à la serveuse, je te rappelle que je suis écrivaine et beaucoup de gens me connaissent. Ils savent que je suis mariée ai-je dit.
Mais il m'a immédiatement interrompu pour une réunion spéciale de travail.
- Ôte tes vêtements, nous allons recréer une de mes scènes préférées de tes histoires.
J'étais sans voix. J'étais tellement excité et surpris par son audace, qu'il était clair que je voulais juste me laisser aller et j'ai fait exactement ce qu'il m'a demandé.
- Allonges-toi, et ferme les yeux, me dit-il.
Je lui ai obéi. J'ai senti la texture douce des draps sur ma peau et même si je ne pouvais pas voir ce qu'il faisait, mes autres sens sont devenus plus aiguisés. Je l'ai entendu sortir quelque chose du tiroir de la table de nuit. Il s'est approché et j'ai senti le matelas s’enfoncer, alors qu'il montait sur le lit. Il a pris mes poignets et les a relié avec un tissu, peut-être une cravate.
Je me souviens avoir écrit une scène similaire pour le roman « Passion débridée » et j'imaginais déjà ce qui allait se passer. Mais j'ai préféré laisser mon esprit vide et profiter de chaque sensation du moment. Dans cette scène, l’héroïne était si excitée qu'elle avait accepté tout les interdits, de la fellation gustative, à la prise de l’endroit le plus étroit de son sublime corps.
Mon corps avait pris le contrôle, et réclamait le même traitement, voire plus. Julien a commencé à m'embrasser et à me caresser en insistant sur les endroits intime, qu'il sait être sensible pour moi. Il m'avait coincé sous son corps et je ne pouvais rien faire d'autre que profiter de ce qu’il me faisait subir. Julien a reproduit la scène, au-delà de ce que j’avais écrit Comme mon héroïne, je sentis son pieu ouvrir mes reins dans un râle de plaisir que j’aurai pu imaginé.Je voulais rester pour toujours sous son emprise, et préserver pour toujours cette sensation électrisante et agréable dans mes entrailles.
Je me mordais les lèvres et il ne s'arrêtait pas. J'étais possédée, totalement à sa merci, jusqu’à l’autoriser à éjaculer dans ma bouche, ce que je n’avais plus fait depuis mes premières années de mariage. A ce moment-là, je ne voulais rien d'autre au monde.
Cette nuit-là je me suis senti prise encore et encore par son membre viril. Les draps étaient témoins de ma nuit, accueillaient ma jouissance, et mes orgasmes.
Quand il fit jour, nous décidâmes de nous séparer. Nous nous sommes habillés et il m'a accompagné jusqu'à ma voiture. J'ai dit au revoir et je suis rentrée chez moi.
Les semaines qui ont suivi, nous nous sommes retrouvés dans endroits discrets, ou je m’offrais, explorant nos âmes ensemble, et chaque au revoir me laissé une envie d'en savoir plus.
Par une nuit pluvieuse nous nous sommes réfugiés dans une auberge. La faible lumière faisait ressortir les étincelles dans les yeux de Julien, je savais que nous devions faire face à l'inévitable dilemme qui se profilait devant nous.
Une photo de nous a fuité sur les réseaux sociaux. Les critiques et les jugements de la société sont devenus une ombre sur notre idylle, me laissant en évidence avec Matthieu et toute la famille. J'ai géré la situation le plus rapidement possible. Matthieu était prêt à pardonner ma faiblesse à condition de ne plus jamais revoir Julien.
J'ai accepté de sauver quinze années de mariage, qui représentaient notre zone de confort, compte tenu des probabilités. Julien et moi avons pris une décision difficile. Nous ne pourrions plus jamais nous revoir. C'est un acte de courage qui nous a brisé le cœur, nous montrant qu'en fin de compte l'amour ne suffit parfois pas.
Durant cette période, j'ai appris que le cœur ne suit pas de règles préétablies, et que le véritable lien va au-delà des différences d'âges. Dans la pénombre de l'incertitude, j'ai trouvé la force d'écrire notre propre histoire pleine de passion, de défi, et surtout d'amour sincère. C'était peut-être morbide ou c'était définitivement une histoire qui valait la peine d'être racontée, et c'est devenu mon best-seller.
Ainsi se termine mon histoire d'infidélité, une histoire unique et très spéciale dans ma vie que je n'oublierai jamais.
Après une présentation réussie, l'événement s'est poursuivi par une séance de dédicaces. Les fans faisaient la queue pour passer un moment avec moi, et repartait avec un exemplaire signé de ma dernière création. Dans la foule, un jeune homme s'est approché, sourire aux lèvres, tenant un exemplaire de mon livre.
- Bonjour Léa, je m'appelle Julien dit-il d'une voix mystérieuse et sensuelle.
Je dois admettre que dès le début, je me suis sentie intriguée par sa présence, ce n'était pas la première fois qu'un admirateur m'approchait, mais quelque chose dans la façon dont il me regardait, faisait battre mon cœur plus vite, et mon corps frissonnait. Ses yeux sombre étaient profond, expressif, comme s'il cachait des histoires à découvrir, et j’étais intrigué de les connaître.
- Bonjour Julien, qu'est-ce qui t'a amené à mon événement aujourd'hui, ai-je demandé en lui rendant le sourire.
Je n'avais eu de conversation avec personne depuis longtemps, je me sentais stupide. Mais son langage corporel me faisait savoir que ça marchait.
- J'ai lu tous vos romans, vous avez une façon si fougueuse de parler de romance, que je me demande s'ils sont basés sur des événements réels. Mais au-delà de ça, la vérité est que je voulait vous rencontrer en personne, a-t-il répondu.
J'ai remarqué que ses pupilles brillaient de coquineries. Je l'ai remercié pour ses paroles en signant son livre, et en partageant quelques anecdotes de mon parcours.
Je ne savais pas que cette rencontre fortuite marquerait le début d'une histoire qui allait changer ma vie.
A ce stade, et après avoir lu le titre révélateur de mon roman « Fleur du pêché », je comprendrai qu’on pense de moi que je suis une femme indécente, pour ce genre d'impression avec un jeune garçon, et être mariée. Mais je n'ai jamais tromper Mathieu, mon mari, et n'ai jamais eu l’intention de le faire, même si les événements qui allaient se produire dans mon destin, avaient d'autres projets.
Dans les semaines qui ont suivi, Julien s'est présenté à plusieurs de mes événements.
Il était toujours là, en première place, avec ce sourire coquin, qui commençait à devenir plus familier et plus excitant. Julien ne semblait pas se soucier du fait que nous soyons en public, ou de l'effet évident que cela produisait sur moi. Au début ça me dérangeait, mais j'avoue que j'aimais ça, et j'attendais toujours avec impatience la suite.
Un jour, après un événement dans une librairie, nous avons décidé de prendre un café. C'est à ce moment-là que les intentions de Julien sont devenues très claires pour moi,
au moment où il a déclaré.
- As-tu eu des fantasmes dans ta salle de bain ?
Revoilà ce regard, ce sourire malicieux qui me faisait chaud dans tout le corps, et s'emballait mon cœur, avant que je sache comment répondre à une telle question.
Julien se leva de sa chaise et se dirigea lentement vers les toilettes. Lorsqu'il fut devant la porte, il se tourna vers moi, et je compris que c'était un signal pour le suivre.
Je ne m'étais jamais senti aussi nerveuse.
Même s'il était tard, il restait encore quelques clients dans le bar. J’ai avalé lourdement, pris une profonde inspiration et je me suis levée sans trop réfléchir.
Quand j'ai réalisé ce que je faisais, j'avais déjà la main sur la poignée de porte. J'ai regardé en arrière. Chacun était occupé avec ses propres affaires, et ma présence ne semblait importer à personne. J’ai tourné le bouton et suis entré. J'ai fermé derrière moi aussi vite que possible, et ai verrouillé la porte.
Julien m'attendait appuyé contre le mur. Il avait l'air sûr que j'allais le suivre. Je me sentais un peu idiote de la façon dont je le laissais m'envelopper. Son jean’ moulant, et sa veste en cuir le rendait si attirant et dominant.
- Approche-toi, je ne mords pas, dit Julien me sortant de mes pensées.
- Écoute Julien, je ne pense pas que ce soit une bonne idée.
J'ai essayé de l'éviter, mais au fond de moi, je sais que je voulais m'abandonner. A ce moment-là, j'étais tellement excitée que je ne pouvais pas penser clairement.
Je ne voulais pas le faire, je voulais juste être avec lui, le sentir, le toucher me perdre dans son parfum. Julien, qui semblait toujours avoir la capacité de lire dans mes pensées, à complètement ignorer mes paroles.
Il s'est approché de moi, m'a attrapé par les hanches et m'a soulevé sur le lavabo. Il a écarté mes jambes, et m'a attrapé le visage. Puis nous avons commencé à nous embrasser de la manière la plus chaude et la plus sauvage qu’il soit, pour nous montrer notre désir de nous dévorer. Sa bouche glissait sur mes lèvres, mes joues et mon cou, embrassant tout sur son passage, tandis qu'avec ses mains il me caressait le dos et j'avais l'impression que j'allais exploser. Ma température était tellement monté que j'ai dû enlever ma veste, ce qui a semblé plaire à Julien, car il a poussé un rire malicieux, m'a regardé un instant dans les yeux et s'est jeté sur moi.
Puis il m'a embrassé et j'ai eu l'impression qu'il voulait aspirer toute mon énergie vitale et je ne pouvais rien faire d'autre que de m'abandonner et de succomber. Ses mains se sont déplacé sur mon corps et, j'ai ressenti un choc électrique lorsqu'il a remonté ma jupe. Je savais déjà dans quel état j'étais, mais je ne m'attendais pas à la réaction de Julien lorsqu'il réalisa à quel point j'étais mouillée et excitée. Il m'a retirée du lavabo, et m'a retourné.
Je le sentais parfaitement. Quand j'ai levé les yeux, je me suis vu dans le miroir.
Pendant qu'il m'embrassait dans le cou, il a détaché sa ceinture et j’ai senti un membre dur me pénétrer. Quelques secondes plus tard, j'ai eu l'impression qu'il y avait un feu d'artifice autour de nous. Le plaisir montait moi, j’étais sur le point d'exploser. Julien posa sa main sur ma bouche, pour atténuer le cri que je poussais quand j’atteignais l’orgasme. A ce moment-là, je me fichais de son âge, du lieu, du fait que j'étais mariée. Je me laissais aller, succombant à la douce folie d'être ensemble. En moins de quelques minutes, je me suis sentie si détendue, que je pouvais dire que j'avais l'air plus jeune de quelques années.
Même si nos âges marquaient une différence évidente, le lien entre nous se renforçait à chaque rencontre, et je dois avouer que cela faisait longtemps que je n'avais pas ressenti cela, même pas avec Mathieu, mon mari.
Je ne pouvais pas ignorer mon attirance croissante pour lui. Cependant, la réalité de ma vie d'écrivain célèbre et d’épouse, était toujours présente dans mon esprit comme quelque chose que je ne pouvais pas taire. J'ai senti que je devais m'arrêter à temps.
J'ai rappelé à Julien que j'étais une femme mariée et je lui ai dit que nous ne pouvions poursuivre nôtre relation. Il m'a regardé sans la moindre expression sur son visage, et j'avais l’impression que mon cœur se brisait en mille morceaux. Il s'est retourné et s'est éloigné sans me dire au revoir.
Quelques mois se sont écoulé sans que nous nous revoyions, pendant lesquels j'ai senti que les nuits devenaient plus longues, les lettres de mes histoires se mêlaient aux rencontres que j'avais partagé avec Julien. La situation à la maison ne m'a pas non plus empêché de profiter à nouveau de ces rencontres dans lesquelles je pourrais me déconnecter un instant de ma réalité. Même si c'était fou, je suis marié à Mathieu depuis quinze ans, dont je pourrais dire que seule la moitié ont été bonne. Seule moi voulait un enfant. Alors nous n'avions que nous, et profitions de chaque petite occasion pour nous montrer notre amour de toutes les façons, de la plus romantique à la plus ardente.
Les choses ont changé lorsque Matthieu a rejoint un cabinet d'avocat, et a cessé de travailler de manière indépendante. Il passait moins temps à la maison, mais plus au cabinet. Au fil des années, j'ai commencé à me sentir de plus en plus seule.
Nos relations entre nous sont devenues distantes, quelques baisers, quelques étreintes de plus en plus courtes, ennuyeuses, jusqu'à se réduire à une routine étouffante, dans laquelle nous nous trouvons actuellement.
Un jour, je suis sorti promener Chester, nôtre chien, et pendant que je marchais distraitement le long de cette avenue, l'image de Julien est apparue devant mes yeux et a provoqué un impact électrisant que je pouvais ressentir dans tout mon corps.
- Je vois que tu as toujours cette vieille habitude de me suivre, dit-il en s’approchant.
- Je voulais savoir comment tu allais, ai-je répondu.
J’espérais qu'il ne s'agissait que d'une rencontre cordiale, mais avec ce sentiment que quelque chose allait se passer, une incertitude qui manquait à mon corps. Julien s'est approché et je me suis retirée derrière un conteneur, le dos contre le mur et lui devant. Je n'avais pas d'échappatoire, et honnêtement, je ne voulais pas non plus partir.
Mes lèvres rencontrèrent les siennes dans un baiser plein de passion et de désir.
C'était comme si le monde s'effaçait autour de nous pendant un instant, nous laissant suspendu dans le temps. A cet instant, j'ai laissé mes peurs se dissoudre et je me suis abandonné à l'intensité de la connexion que nous partagions.
Ses mains glissèrent sur les parties les plus sensibles de mon corps, générant dans leur sillage une douce sensation. Julien a tenu ma lèvre inférieure entre ses dents, j'ai relâché la laisse de de Chester pour approcher encore plus son corps du mien. J'ai ressenti un besoin incontrôlable de l'avoir le plus près possible. Julien s'éloigna brusquement, me donnant envie de continuer à l'embrasser et de l’avoir avec moi.
Il a récupéré la laisse du chien, me l'a donné, m'a dit à mardi, à l'endroit habituel.
J'avais un sentiment de malaise. J'étais heureuse de m'être retrouvé, mais je n'en avais pas assez de lui. Sans aucun doute, j'irai à cette à ce rendez-vous, au suivante, à celui qui suivrai, et à tous les autres..
Nous nous retrouvions en fin de soiré les mardis, mercredi et vendredi au bar habituel. La tension grandissait comme une mélodie silencieuse que seul nous deux pouvions entendre. Un jour, Julien m'a laissé un mot à la serveuse du café.
« Rendez-vous au motel, chambre vingt huit... jusqu'où veux-tu me laisser aller ? »
La lecture de ce mot m'a fait frémir. La serveuse l'avait-elle déjà lu ? Que penserait-elle de moi, ou de nous. Mon cœur battait à tout rompre.
J'ai pris mon sac et marché jusqu'au motel. J'ai frappé à la porte et je suis entrée pour trouver sa silhouette dans le noir. Il était assis et ne portait que ce jean’ moulant que j'aime tant.
- Entre, je savais que tu viendrais, dit-il.
Je pourrais presque jurer que malgré l'obscurité, j'ai réussi à voir une lueur malicieuse dans ses yeux.
- Comment peux-tu penser à me laisser un mot à la serveuse, je te rappelle que je suis écrivaine et beaucoup de gens me connaissent. Ils savent que je suis mariée ai-je dit.
Mais il m'a immédiatement interrompu pour une réunion spéciale de travail.
- Ôte tes vêtements, nous allons recréer une de mes scènes préférées de tes histoires.
J'étais sans voix. J'étais tellement excité et surpris par son audace, qu'il était clair que je voulais juste me laisser aller et j'ai fait exactement ce qu'il m'a demandé.
- Allonges-toi, et ferme les yeux, me dit-il.
Je lui ai obéi. J'ai senti la texture douce des draps sur ma peau et même si je ne pouvais pas voir ce qu'il faisait, mes autres sens sont devenus plus aiguisés. Je l'ai entendu sortir quelque chose du tiroir de la table de nuit. Il s'est approché et j'ai senti le matelas s’enfoncer, alors qu'il montait sur le lit. Il a pris mes poignets et les a relié avec un tissu, peut-être une cravate.
Je me souviens avoir écrit une scène similaire pour le roman « Passion débridée » et j'imaginais déjà ce qui allait se passer. Mais j'ai préféré laisser mon esprit vide et profiter de chaque sensation du moment. Dans cette scène, l’héroïne était si excitée qu'elle avait accepté tout les interdits, de la fellation gustative, à la prise de l’endroit le plus étroit de son sublime corps.
Mon corps avait pris le contrôle, et réclamait le même traitement, voire plus. Julien a commencé à m'embrasser et à me caresser en insistant sur les endroits intime, qu'il sait être sensible pour moi. Il m'avait coincé sous son corps et je ne pouvais rien faire d'autre que profiter de ce qu’il me faisait subir. Julien a reproduit la scène, au-delà de ce que j’avais écrit Comme mon héroïne, je sentis son pieu ouvrir mes reins dans un râle de plaisir que j’aurai pu imaginé.Je voulais rester pour toujours sous son emprise, et préserver pour toujours cette sensation électrisante et agréable dans mes entrailles.
Je me mordais les lèvres et il ne s'arrêtait pas. J'étais possédée, totalement à sa merci, jusqu’à l’autoriser à éjaculer dans ma bouche, ce que je n’avais plus fait depuis mes premières années de mariage. A ce moment-là, je ne voulais rien d'autre au monde.
Cette nuit-là je me suis senti prise encore et encore par son membre viril. Les draps étaient témoins de ma nuit, accueillaient ma jouissance, et mes orgasmes.
Quand il fit jour, nous décidâmes de nous séparer. Nous nous sommes habillés et il m'a accompagné jusqu'à ma voiture. J'ai dit au revoir et je suis rentrée chez moi.
Les semaines qui ont suivi, nous nous sommes retrouvés dans endroits discrets, ou je m’offrais, explorant nos âmes ensemble, et chaque au revoir me laissé une envie d'en savoir plus.
Par une nuit pluvieuse nous nous sommes réfugiés dans une auberge. La faible lumière faisait ressortir les étincelles dans les yeux de Julien, je savais que nous devions faire face à l'inévitable dilemme qui se profilait devant nous.
Une photo de nous a fuité sur les réseaux sociaux. Les critiques et les jugements de la société sont devenus une ombre sur notre idylle, me laissant en évidence avec Matthieu et toute la famille. J'ai géré la situation le plus rapidement possible. Matthieu était prêt à pardonner ma faiblesse à condition de ne plus jamais revoir Julien.
J'ai accepté de sauver quinze années de mariage, qui représentaient notre zone de confort, compte tenu des probabilités. Julien et moi avons pris une décision difficile. Nous ne pourrions plus jamais nous revoir. C'est un acte de courage qui nous a brisé le cœur, nous montrant qu'en fin de compte l'amour ne suffit parfois pas.
Durant cette période, j'ai appris que le cœur ne suit pas de règles préétablies, et que le véritable lien va au-delà des différences d'âges. Dans la pénombre de l'incertitude, j'ai trouvé la force d'écrire notre propre histoire pleine de passion, de défi, et surtout d'amour sincère. C'était peut-être morbide ou c'était définitivement une histoire qui valait la peine d'être racontée, et c'est devenu mon best-seller.
Ainsi se termine mon histoire d'infidélité, une histoire unique et très spéciale dans ma vie que je n'oublierai jamais.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pourquoi ne pas assumer, s'il n'y a plus rien entre Léa et Mathieu?
Pourquoi garder Mathieu !!??? Pour le confort materiel biensur !!
Une escapade qui enfin de compte s’est bien réglée pour vous. Vous semblez vivre dans un monde de rêveries. Un jeune homme de vingt, qui ne pense qu'avec sa queue, qui n’a aucune responsabilité, aucun souci et ne voyant l’avenir qu’à court terme n’a pas les même vues sur l’avenir de sa personne qu’une femme mature, mariée en plein milieu de sa vie active.
Vous vous êtes payée une petite sauterie mais le futur de votre vie vous indique que ce chemin n’est pas celui à suivre.
Comment penser que vous êtes en amour avec un jeune homme de 20 ans lorsque celui-ci n’a d’autre envies que de vous sauter et de vous rappeler le bon temps passé.
Sincèrement je pense qu’une bonne discussion avec votre conjoint est nécessaire. Vous avez tous les deux, du moins lui jusqu’à ressèment, une tête sur vos épaules et un bel avenir en perspective. Vous aviez une très bonne attitude avant votre trahison. Vous devez vous payer le luxe de redevenir en amour avec votre mari. Une fois cette objectif atteint, vous aurez un autre très beau sujet pour un autre « Best Seller ».
Si c’est le contraire qui se produit je vous prédis un avenir rempli de déceptions, de chagrins et grandes peines sur un chemin qui sera irréversible.
Vous vous êtes payée une petite sauterie mais le futur de votre vie vous indique que ce chemin n’est pas celui à suivre.
Comment penser que vous êtes en amour avec un jeune homme de 20 ans lorsque celui-ci n’a d’autre envies que de vous sauter et de vous rappeler le bon temps passé.
Sincèrement je pense qu’une bonne discussion avec votre conjoint est nécessaire. Vous avez tous les deux, du moins lui jusqu’à ressèment, une tête sur vos épaules et un bel avenir en perspective. Vous aviez une très bonne attitude avant votre trahison. Vous devez vous payer le luxe de redevenir en amour avec votre mari. Une fois cette objectif atteint, vous aurez un autre très beau sujet pour un autre « Best Seller ».
Si c’est le contraire qui se produit je vous prédis un avenir rempli de déceptions, de chagrins et grandes peines sur un chemin qui sera irréversible.
Pourquoi avoir garder Mathieu si le mec n’en n’a plus rien à carrer de sa femme ? 🤔
Autant faire sauter Mathieu et garder Julien !! 🤷♀️
Ma foi là je pige pas.
Autant d’habitude les mecs ont perdu leurs couilles en route, autant les femmes prennent leurs maris pour des cons.
Mais là la situation est claire non , plus de sentiments et 2 étrangers dans la même maison.
Autant faire sauter Mathieu et garder Julien !! 🤷♀️
Ma foi là je pige pas.
Autant d’habitude les mecs ont perdu leurs couilles en route, autant les femmes prennent leurs maris pour des cons.
Mais là la situation est claire non , plus de sentiments et 2 étrangers dans la même maison.