Allez au ZIG ZAG à Toulouse - histoire érotique

Je suis allé à Toulouse pour suivre un stage pour mon boulot. Parti le dimanche soir, j'arrivais dans la ville rose vers 21h. J'ai dîné dans un snack et je me suis promené dans les rues pour visiter cette belle ville. N'ayant pas sommeil, je suis passé vers la place Victor Hugo et j'apercus un ciné X appelé le "ZIG ZAG" que beaucoup de Toulousains connaissent certainemant.
Je prends mon billet et en poussant les deux portes battantes, j'arrive face à l'écran où deux créatures de rêve sucent un mec super monté, comme on en voit dans les films pornos. Dans la pénombre j'apercois plusieurs spectateurs isolés. Je cherche une rangée et m'assois à deux ou trois fauteuils éloigné de l'allée. Les filles aux chattes rasées sont belles, et les bites énormes des Appolons m'excitent aussi.
Au dessus, je vis qu'il y avait un balcon, et des ombres sur l'écran montrait un va et vient à l'étage du dessus. Comme il n'y avait personne sur ma rangée, très excité, je défis ma braguette, sortis ma pine de mon slip, et me caressais lentement sans exposer mon sexe hors de mon pantalon.
Un quart d'heure après, entrèrent deux garçons assez jeunes qui s'asseyèrent deux rangs plus loin que le mien. Ils rigolèrent deux minutes puis silencieusement fixèrent l'écran. Je voyais bouger leurs épaules et m'imaginais qu'ils étaient en train de se tripoter. La situation m'excitait davantage.
Je refermais ma tige raide en gardant le slip baissé à l'intérieur de mon pantalon et discrètement je me levais et allais m'assoire au bout de leur rangée. Leurs bites sorties, ils se caressaient mutuellement. Ma présence n'eut pas d'effet contraire, et ils continuèrent leur va et vient tout en regardant l'écran. Je pouvais distinguer le gland de celui qui était le plus près, à chaque fois que la main de l'autre descendait. Je matais ces deux petits cochons plus que je regardais l'écran, et toujours de plus en plus excité. Puis, celui qui était à l'opposé me fit signe de m'approcher. J'hésitais un instant, n'étant pas sûr qu'il s'adressait à moi. Je finis par me lever, et pris place à côté d'un des garçons. Je pouvais voir de près les deux belles queues dressées de mes compères. Je tendis la main et atteignis le sexe chaud et tendu de mon voisin. Son gland magnifique luisait quand l'image devenait plus clair à l'écran. Il se pencha à mon oreille et me dit "suces-nous". Avec le plus de discrétion possible je me glissais entre les fauteuils et en rampant j'arrivais entre les jambes du premier face au gland érigé de mon voisin. La situation n'était pas trop confortable, mais j'entrepris de tenir la queue d'une main et d'ouvrir la bouche pour gober cette belle tige savoureuse. De l'autre main, je saisis le membre de l'autre et le branlais dans la même cadence que je pompais son copain. Mettant beaucoup de salive, le sexe glissait bien dans ma bouche et je sentis assez vite son corps se raidir comme pris d'un courant électrique, son bassin s'arquebouter puis arriva plusieurs jet de foutre dans ma bouche... il gémissait et je l'entendais "que c'est bon, que c'est bon.." Je l'aspirais un peu pour finir par gober tout son sperme jusqu'à la dernière goutte.
Un fois calmé il me tira par la veste pour m'inciter à aller plus près de son copain, ce que je fis... La nouvelle queue était plus fine et le gland plus pointu, je me mis à le sucer de plus belle et il maintenanit ma tête pour que je ne m'arrête pas mais très rapidement il juta toute sa semence que je bus également. Une fois rassasiés, ils m'aidèrent à reprendre ma place en soulevant leurs jambes. J'étais comblé, mais pas satisfait et en me rasseyant sur mon fauteuil ma bite sortit de mon pantalon et je repris la lecture du film dont j'avais perdu le fil. Le compère à côté de moi se leva, passa devant moi et vint s'asseoir de l'autre côté, alors que son copain prit sa place. Leurs mains remplirent mon pantalon et caressèrent longtemps mon sexe raide à tel point que j'en avais mal au gland, puis ils se mirent tous les deux à genoux l'un après l'autre et leurs bouches me lèchèrent, me sucèrent avec un plaisir partagé. Le premier jet arriva dans la bouche de l'un, la deuxième dans la bouche de l'autre, ils se succèdaient à la pompe comme une machine bien huilée et c'est avec une gourmandise non dissimulée qu'ils avalèrent mon jus.
Ils n'attendirent pas la fin du film, le levèrent puis sortirent de la salle. J'ai remis mon sexe dans mon slip, et je crois que je me suis endormi un peu.