Amour en musique 23
Récit érotique écrit par Mysterious1991 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Amour en musique 23
"La femme de mes rêves 1"
- J'en ai tellement rêvé avec toi, Benoit...
Elle poussa un soupir.
C'était comme si elle confessait ses péchés. Sauf que... ce n'était pas un péché. Nous étions deux adultes. Consentants. Deux amants. Deux amoureux. Corps et âme. Corps et âme... et sexe.
- Tu es mon Benoit. Corps et âme...
Elle se mit de nouveau à soupirer.
Puis, sa voix se brisa.
Laura sanglota et finit par fondre en larmes.
Je quittais provisoirement ma position à quatre pattes, puis je m'accroupis et je me collai à elle. Je l'ai prise dans mes bras. Je passais un doigt sur son visage pour sécher ses larmes.
- Hey... Laura... Qu'est-ce qui ne va pas? Dis-le moi. J'aime pas te voir triste.
Laura soupira une nouvelle fois, puis reprit son souffle.
- Tout va bien, Benoit. Je te rassure. C'est juste que...
- Que...?
- Benoit... Tu es là... Tu es à moi. Entre de bonnes mains. Ce qu'on vit là, je l'avais toujours imaginé. Mais je croyais pas que ça serait pour de vrai un jour. Pince-moi, Benoit... S'il te plaît. Dis-moi que tu es bel et bien réel.
Je ne l'ai que très très légèrement pincée. Puis, je lui ai pris la main où je l'avais justement pincée et j'ai fait en sorte que nos doigts s'entrelacent. J'ai posé mon autre main au niveau de son menton et je l'ai obligée à me regarder.
- Tu es si belle, Laura. Moi non plus je croyais pas que je rencontrerai un jour la femme de mes rêves...
Laura m'interrompit.
- La femme de tes rêves, Benoit? Moi?
Laura avait de nouveau la bouche grande ouverte. Elle était sur le cul... Si elle s'était attendue à un tel aveu...!
- Hmm... Hmm...
J'ai hoché la tête et j'ai acquiescé.
Et puis j'ai poursuivi.
- Tu es douce, gentille. Généreuse. Attentionnée. Câline, coquine. Cochonne. Et tu as tout pour toi, tout pour plaire, Laura. Je suis tombé pour toi, chérie. Je suis à toi.
- Benoit...
- Laisse-moi terminer, Laura. S'il te plaît. Je suis inspiré...
- Inspiré... Inspiré comme quand tu composes une chanson?
- Hmm... Hmm...
- C'est moi qui t'inspires, Benoit? Je ferais n'importe quoi pour être ta muse!
- Tu l'es déjà, chérie.
Ça, je lui ai dit, les yeux dans les yeux. Je lui ai fait un clin d’œil. Laura m'a souri en retour, les yeux pleins d'émotion.
- Je serai honorée si tu m'écris une chanson, Benoit... Tu sais pas à quel point tu me rendrais heureuse.
L'air songeur, mais avec le sourire aux lèvres, j'ai pris le visage de Laura entre mes mains, et je l'ai embrassée passionnément. Comme si ma vie en dépendait.
Une chanson pour Laura? Hmm... Moi qui ai toujours eu l'habitude de rendre hommage aux différentes femmes dont j'ai pu tomber amoureux par le passé au travers de poèmes, de récits érotiques et de chansons, je voulais que Laura n'échappe pas à la règle. Cependant, et justement, je ne voulais pas que Laura soit une muse de plus. Non... Je voulais qu'elle soit ma muse, à tout jamais... Et qu'elle le RESTE.
Et cette chanson... Non seulement j'en écrirai les paroles et j'en composerai la musique... mais je la chanterai en concert, sur le devant de la scène.
Ce serait la première fois, en dehors des chansons que je reprenais en solo, depuis que je fais partie du groupe.
Loin en revanche de ces considérations, je me suis détaché de notre étreinte, et, sans qu'elle ne me dise ni ne me demande quoique ce soit, je me suis remis à quatre pattes et que je lui ai présenté mon cul.
--------------------"Entre soupirs et gémissements"
Je me suis remis à quatre pattes, sans que Laura ne me dise ou même ne me demande quoique ce soit. Ça ne faisait plus aucun doute du tout : nous nous donnions entièrement l'un à l'autre depuis que nous nous étions avoués que nous étions amoureux. Et moi, Benoit, je voulais me donner, m'offrir, TOUT ENTIER, à Laura.
Voilà pourquoi j'étais ainsi, sur le lit. Par intermittence, je tournais la tête en direction de mon amante, comme pour avoir une idée de ce qu'elle pouvait bien faire. Et peut-être même aussi… pour me faire une idée de l'effet que je pouvais bien lui faire alors que je lui ai présenté mes fesses.
Je voyais qu'elle n'avait pas l'air d'y croire, qu'elle n'en revenait pas.
– Ce n'est donc pas un rêve…
Elle soupira juste après.
– Tu es bel et bien là, comme ça, à quatre pattes, comme j'en ai tellement, souvent rêvé, Benoit…
Nouveau soupir.
– Ton cul est à présent à moi, Benoit, et je compte bien en profiter...
J'ai gémi de plaisir en entendant ces mots audacieux mais savoureux.
– Oh oui ! Tout à moi, mon Benoit !
Nouveau gémissement.
– Ne… bouge… plus...
Si elle a dit ça, ce n'était une nouvelle fois… pas par hasard. J'étais tellement excité à l'idée de recevoir sa langue sur moi, en moi, que je remuais mes fesses, involontairement ou… volontairement.
Love Resurrection de Alison Moyet…
– A...pprends… à… te… tenir… tran...qui...lle…
Elle me l'a dit en se rapprochant de moi , se collant contre moi et en posant ses mains sur mes fesses rondes et dodues. Elle ponctua son ordre ou plutôt… sa mise en garde par une nouvelle petite claque. Bruyante mais légère.
– Tu m'entends, Benoit ?
– Ou… Oui...
Je haletais. J'étais déjà à bout de souffle. J'étais déjà un homme perdu.
– C'est bien… Maintenant, tu ne bouges plus et tu ne penses plus à rien. Sauf à mes doigts… Sauf à mes lèvres… Sauf à ma langue… Sauf à moi…
– Ou… Oui… Ma jolie Laura… Seulement à toi...
Ses lèvres cerise, je les sentis se poser sur l'une de mes fesses.
– Tu es si beau, Benoit. Mon Benoit… Rien qu'à moi...
– Rien qu'à toi, jolie Laura...
– L'homme de mes rêves…
– La femme de mes rêves...
Laura gloussa.
Laura soupira
– Tu sais pas l'effet que tes mots produisent à l'intérieur de moi, chéri. Tu n'as pas idée de comment ils résonnent en moi...
– Je… crois devenir, ma jolie rousse...
– Ah oui ?
Elle ponctua cette question d'un petit baiser sur l'autre fesse.
– Oui… Je suis… enfin à toi...
Elle m'embrassa une nouvelle fois sur la fesse.
J'en gémissais de plaisir.
Beaucoup.
– Tu… es… à… moi… En…fin...
Elle ne put réprimer un soupir.
– A.. moi… Rien… qu'à… moi...
– A… toi...
Je retenais mon souffle. Mais… je savais déjà que j'avais cédé depuis un moment et que j'étais perdu. Je n'attendais plus qu'elle.
– Mon Benoit… Mon Benoit !
Je sentais bientôt de nouveau ses lèvres se poser sur mon cul. Elle jouait de sa bouche et elle allait d'une fesse à l'autre, et elle ne semblait pas vouloir mettre un terme à ce jeu qu'elle avait entrepris.
– Tu vois, Benoit ? Je suis folle de toi et je compte pas m'arrêter là !
Et voilà que je me mettais de nouveau à ronronner… Entre soupirs et gémissements, je n'étais plus maître de moi. J'avais définitivement perdu le contrôle, mais… au plus profond de moi, j'aimais ça.
Et, pile au même moment, je sentais les mains de Laura se poser sur moi.
Sur mes fesses.
Je sentais Laura saisir mes fesses à pleines mains.
Elle les caressait.
Elle les palpait.
Elle les massait.
Elle les malaxait.
Songbird du célèbre groupe anglais Oasis…
– Tu es encore plus que dans mes rêves, Benoit…
Que de compliments !
Moi ? Benoit ? Elle avait alors rêvé de moi ?
Moi ? Benoit ? J'étais un bel homme aux yeux d'une femme ?
J'avais du mal à réaliser.
Et pourtant…
Sans que je ne puisse avoir l'occasion, l'opportunité de débater, intérieurement, sur le sujet, Laura, elle, poursuivait son exploration approfondie de mon corps.
Elle prenait mon postérieur à pleines mains. Elle me malaxait les fesses. Puis… Je sentais une autre sensation. Une sensation différente. Une nouvelle sensation. Je tournais légèrement, de nouveau, la tête dans sa direction. Et ce que je voyais… m'émoustillait. Je n'en revenais pas.
Laura avait mon cul bien e main, et elle écartait mes deux globes dodus. Ainsi, mon anus était dans sa ligne de mire.
La petite coquine rousse avait, dans le même temps, remarqué que je regardais ce qu'elle me faisait et que je ne la lâchais pas des yeux.
– Tu me regardes, Benoit… Ce que je fais… te plaît ?
Avec mes yeux, avec un sourire, avec un hochement de tête, je lui faisais comprendre que oui… j'aimais ça.
– Chut… Ne dis rien… Ce n'est que le début, mon mystérieux… Tu n'es pas au bout de tes surprises...
Ces nouvelles paroles énigmatiques m'ont fait gémir de plaisir. Ce n'étaient que des paroles, certes… mais elles me rendaient tout chose. Parce que Laura y mettait de son côté énigmatique, sensuel. De sa voix, de ce grain de voix spécifique, elle parvenait à me faire succomber, encore un peu plus.
– Ton anus est beau… Étroit à l’œil nu mais beau… Il n'attend plus que moi...
Et sur ces autres mots énigmatiques, Laura approcha sa tête de mon cul. Ses mains s'arrimaient toujours à mes fesses.
– Chut… Ne dis rien, beau mystérieux...
Je sentis alors un souffle chaud sur mon petit trou...
---------------"La femme de mes rêves 2"
Je n'ai rien pu faire, si ce n'est gémir, suite à ce filet d'air chaud que Laura avait soufflé avec sa bouche. C'était tout simplement savoureux, et ce n'était que son souffle chaud sur mon anus.
Je ne pouvais pas m'empêcher d'onduler et de remuer les fesses. Je le faisais… inconsciemment, parce que l'attitude et le désir m'excitaient beaucoup. Et… je bandais, encore et toujours, comme ce n'était pas permis.
Les mains posées, agrippées, arrimées à mes fesses, Laura se cramponnait à moi. De ses mains, elle écartait mes deux globes afin d'avoir un libre accès à mon anus.
– Hmmm… Tu me donnes carrément faim, là, chéri !
Elle gloussa l'instant d'après.
– Hmmm… Mon petit cul préféré… A… moi...
Je la regardais, curieux. J'étais émoustillé, subjugué par sa tendresse, ses attentions, son amour, sa passion, ses désirs. Là voilà, alors, la femme de mes rêves. Cette femme que j'avais longtemps cherché… mais que je n'avais pas rencontré jusque-là.
Jusqu'à… ce soir.
– Je… Je t'aime, Laura.
Je lâchais définitivement prise. Je n'ai fait que dire ce que j'avais au plus profond e moi.
– Qu'est-ce que tu as dit, Benoit ? Je… ne suis pas sûre d'avoir bien compris. Répète-le moi ! S'il te plaît… Je voudrais être sûre.
Je jetais un regard ahuri à Laura, comme pour lui demander comment il était possible qu'elle n'ait pas entendu ce que je venais de lui dire.
– Dis-le… encore…
Je soupirais.
Ma respiration devenait de plus en plus rapide, saccadée.
– Je… Je t'aime, Laura !
Pour toute réponse, Laura déposa, avec beaucoup d'entrain et de désir, un baiser sur chacune de mes deux fesses.
Don't Lose My Number de Phil Collins…
– J'ai tant envie de toi, chéri. Tes mots… Ils sont comme des papillons dans mon ventre. Moi aussi, je t'aime, Benoit !
Nouveaux baisers sur mes fesses.
Et ni une, ni deux, Laura partit à l'assaut de mon anus. Mes fesses bien écartées, je sentais quelque chose de froid sur ma peau, à l'entrée de mon orifice. Le temps de tourner légèrement la tête en direction d'elle, je pus avoir un instantané du pourquoi du comment. Ma croupe écartée, Laura s'était considérablement approchée de mon intimité la plus secrète et y avait déposé un petit peu de sa salive.
C'était donc cela que je sentis couler sur ma raie...
Rien que cette sensation, ça m'a fait un je-ne-sais-quoi. J'en ai soupiré de plaisir tellement c'était curieusement agréable.
J'ai définitivement perdu pied l'instant d'après : je sentais avec délice que ma raie était badigeonnée de cette salive que ma coquine de nouvelle petite amie avait laissé couler d'entre ses lèvres cerise. Le temps de me retourner, une nouvelle fois, je voyais… j'admirais… j'observais, spectateur perdu, vaincu, soumis, de la langue de Laura qui honorait mon anus. Laura maintenait ma croupe bien écartée afin d'avoir libre accès et comme bon lui semblait , à mon intimité top secrète.
Ça y était : elle me léchait EN-FIN mon anus… Et ce que je ressentais… Pfiou… ! C'était à des années-lumière par rapport à mes rêves, à ce que j'imaginais quand l'envie de me masturber et de me faire jouir me prenait. Non… Laura maîtrisait cet art subtil qu'est l'anulingus ou «feuille de rose». Mes fesses écartées par ses deux mains, la bouche de ma partenaire avait alors le champ libre pour aller butiner autour de mon cul. De prime abord, je sentais bien que Laura évitait soigneusement de mettre la langue… et de me titiller, là où moi, j'en mourais désormais d'envie. Sa langue me léchait le périnée. Elle butinait. Elle se délectait de ce canal qui reliait mon sexe à mon anus en passant par mes testicules. Sa langue était humide, toute chaude… Parfaite pour donner du plaisir.
– Mon Benoit… J'aime… m'occuper de toi… J'aime te lécher le cul… Tu me rends folle… Pu… tain !
Et l'instant d'après, elle s'est remise immédiatement à l'ouvrage. Elle y prenait vraiment du plaisir. Et ce, autant qu'elle m'en donnait. Elle gloussait. Elle riait légèrement, de manière coquine, sexy. Elle se sentait dévergondée quand elle léchait l'anus d'un homme… et ça lui plaisait. Mais là, c'était bien plus que ça. Oui… Là, elle s'occupait de l'homme qu'elle avait dans la peau, celui qui était devenu le centre de son monde et dont elle avait fini par tomber amoureuse. Elle était très heureuse que nous faisions enfin l'amour.
– Benoit… Mon Benoit...
Sa langue s'écarta de mon périnée, et laissa la place à ses lèvres qui, elles, embrassaient de nouveau mes fesses.
– Benoit...
Elle soupira.
– Benoit… Je suis au comble du bonheur… C'est pas un nouvel orgasme que tu me donnes, mais c'est tout comme...
Sa langue, comme par magie, a retrouvé le contact familier de mon périnée. Elle aimait et elle se délectait de ses aller-retour entre mes testicules et mon petit trou.
– Laura… Laura… Laura… Ta langue… Mon anus… S'il te plaît...
– Un peu de patience, mon mystérieux...
– Je t'en… supplie !
– Mais quel gourmand, ce Benoit ! Mais j'aime que tu le sois, Benoit...
– Laura...
– Mon mystérieux… Mon Benoit...
– Joli mystérieux… Toi, tu me rends folle. Et moi, je veux… te rendre fou… à mon tour…
– Ta… langue !
Elle gloussa.
– Tu sais ce que tu veux, mon Benoit...
Fleur de sel du duo Elle et Lui…
Elle avait dit ça tout en gloussant de nouveau et tout en riant de manière coquine.
– C'est ce que j'ai envie, plus que tout, moi aussi, tu sais ?
– Alors… Lèche-moi...
– Je croyais t'avoir dit de ne penser à rien et de me laisser faire, Benoit…
Et sur ces mots, elle m'adressa une nouvelle petite claque sur les fesses. Elle en rit de manière coquine.
Bordel...
Laura était probablement en train de révéler un côté un peu plus… dominateur. Elle était audacieuse, ça oui. Mais de là à être ainsi… dominatrice… et à montrer de l'autorité… Laura… ? Toi ?
Une dominatrice sommeillait-elle alors en elle ?
- J'en ai tellement rêvé avec toi, Benoit...
Elle poussa un soupir.
C'était comme si elle confessait ses péchés. Sauf que... ce n'était pas un péché. Nous étions deux adultes. Consentants. Deux amants. Deux amoureux. Corps et âme. Corps et âme... et sexe.
- Tu es mon Benoit. Corps et âme...
Elle se mit de nouveau à soupirer.
Puis, sa voix se brisa.
Laura sanglota et finit par fondre en larmes.
Je quittais provisoirement ma position à quatre pattes, puis je m'accroupis et je me collai à elle. Je l'ai prise dans mes bras. Je passais un doigt sur son visage pour sécher ses larmes.
- Hey... Laura... Qu'est-ce qui ne va pas? Dis-le moi. J'aime pas te voir triste.
Laura soupira une nouvelle fois, puis reprit son souffle.
- Tout va bien, Benoit. Je te rassure. C'est juste que...
- Que...?
- Benoit... Tu es là... Tu es à moi. Entre de bonnes mains. Ce qu'on vit là, je l'avais toujours imaginé. Mais je croyais pas que ça serait pour de vrai un jour. Pince-moi, Benoit... S'il te plaît. Dis-moi que tu es bel et bien réel.
Je ne l'ai que très très légèrement pincée. Puis, je lui ai pris la main où je l'avais justement pincée et j'ai fait en sorte que nos doigts s'entrelacent. J'ai posé mon autre main au niveau de son menton et je l'ai obligée à me regarder.
- Tu es si belle, Laura. Moi non plus je croyais pas que je rencontrerai un jour la femme de mes rêves...
Laura m'interrompit.
- La femme de tes rêves, Benoit? Moi?
Laura avait de nouveau la bouche grande ouverte. Elle était sur le cul... Si elle s'était attendue à un tel aveu...!
- Hmm... Hmm...
J'ai hoché la tête et j'ai acquiescé.
Et puis j'ai poursuivi.
- Tu es douce, gentille. Généreuse. Attentionnée. Câline, coquine. Cochonne. Et tu as tout pour toi, tout pour plaire, Laura. Je suis tombé pour toi, chérie. Je suis à toi.
- Benoit...
- Laisse-moi terminer, Laura. S'il te plaît. Je suis inspiré...
- Inspiré... Inspiré comme quand tu composes une chanson?
- Hmm... Hmm...
- C'est moi qui t'inspires, Benoit? Je ferais n'importe quoi pour être ta muse!
- Tu l'es déjà, chérie.
Ça, je lui ai dit, les yeux dans les yeux. Je lui ai fait un clin d’œil. Laura m'a souri en retour, les yeux pleins d'émotion.
- Je serai honorée si tu m'écris une chanson, Benoit... Tu sais pas à quel point tu me rendrais heureuse.
L'air songeur, mais avec le sourire aux lèvres, j'ai pris le visage de Laura entre mes mains, et je l'ai embrassée passionnément. Comme si ma vie en dépendait.
Une chanson pour Laura? Hmm... Moi qui ai toujours eu l'habitude de rendre hommage aux différentes femmes dont j'ai pu tomber amoureux par le passé au travers de poèmes, de récits érotiques et de chansons, je voulais que Laura n'échappe pas à la règle. Cependant, et justement, je ne voulais pas que Laura soit une muse de plus. Non... Je voulais qu'elle soit ma muse, à tout jamais... Et qu'elle le RESTE.
Et cette chanson... Non seulement j'en écrirai les paroles et j'en composerai la musique... mais je la chanterai en concert, sur le devant de la scène.
Ce serait la première fois, en dehors des chansons que je reprenais en solo, depuis que je fais partie du groupe.
Loin en revanche de ces considérations, je me suis détaché de notre étreinte, et, sans qu'elle ne me dise ni ne me demande quoique ce soit, je me suis remis à quatre pattes et que je lui ai présenté mon cul.
--------------------"Entre soupirs et gémissements"
Je me suis remis à quatre pattes, sans que Laura ne me dise ou même ne me demande quoique ce soit. Ça ne faisait plus aucun doute du tout : nous nous donnions entièrement l'un à l'autre depuis que nous nous étions avoués que nous étions amoureux. Et moi, Benoit, je voulais me donner, m'offrir, TOUT ENTIER, à Laura.
Voilà pourquoi j'étais ainsi, sur le lit. Par intermittence, je tournais la tête en direction de mon amante, comme pour avoir une idée de ce qu'elle pouvait bien faire. Et peut-être même aussi… pour me faire une idée de l'effet que je pouvais bien lui faire alors que je lui ai présenté mes fesses.
Je voyais qu'elle n'avait pas l'air d'y croire, qu'elle n'en revenait pas.
– Ce n'est donc pas un rêve…
Elle soupira juste après.
– Tu es bel et bien là, comme ça, à quatre pattes, comme j'en ai tellement, souvent rêvé, Benoit…
Nouveau soupir.
– Ton cul est à présent à moi, Benoit, et je compte bien en profiter...
J'ai gémi de plaisir en entendant ces mots audacieux mais savoureux.
– Oh oui ! Tout à moi, mon Benoit !
Nouveau gémissement.
– Ne… bouge… plus...
Si elle a dit ça, ce n'était une nouvelle fois… pas par hasard. J'étais tellement excité à l'idée de recevoir sa langue sur moi, en moi, que je remuais mes fesses, involontairement ou… volontairement.
Love Resurrection de Alison Moyet…
– A...pprends… à… te… tenir… tran...qui...lle…
Elle me l'a dit en se rapprochant de moi , se collant contre moi et en posant ses mains sur mes fesses rondes et dodues. Elle ponctua son ordre ou plutôt… sa mise en garde par une nouvelle petite claque. Bruyante mais légère.
– Tu m'entends, Benoit ?
– Ou… Oui...
Je haletais. J'étais déjà à bout de souffle. J'étais déjà un homme perdu.
– C'est bien… Maintenant, tu ne bouges plus et tu ne penses plus à rien. Sauf à mes doigts… Sauf à mes lèvres… Sauf à ma langue… Sauf à moi…
– Ou… Oui… Ma jolie Laura… Seulement à toi...
Ses lèvres cerise, je les sentis se poser sur l'une de mes fesses.
– Tu es si beau, Benoit. Mon Benoit… Rien qu'à moi...
– Rien qu'à toi, jolie Laura...
– L'homme de mes rêves…
– La femme de mes rêves...
Laura gloussa.
Laura soupira
– Tu sais pas l'effet que tes mots produisent à l'intérieur de moi, chéri. Tu n'as pas idée de comment ils résonnent en moi...
– Je… crois devenir, ma jolie rousse...
– Ah oui ?
Elle ponctua cette question d'un petit baiser sur l'autre fesse.
– Oui… Je suis… enfin à toi...
Elle m'embrassa une nouvelle fois sur la fesse.
J'en gémissais de plaisir.
Beaucoup.
– Tu… es… à… moi… En…fin...
Elle ne put réprimer un soupir.
– A.. moi… Rien… qu'à… moi...
– A… toi...
Je retenais mon souffle. Mais… je savais déjà que j'avais cédé depuis un moment et que j'étais perdu. Je n'attendais plus qu'elle.
– Mon Benoit… Mon Benoit !
Je sentais bientôt de nouveau ses lèvres se poser sur mon cul. Elle jouait de sa bouche et elle allait d'une fesse à l'autre, et elle ne semblait pas vouloir mettre un terme à ce jeu qu'elle avait entrepris.
– Tu vois, Benoit ? Je suis folle de toi et je compte pas m'arrêter là !
Et voilà que je me mettais de nouveau à ronronner… Entre soupirs et gémissements, je n'étais plus maître de moi. J'avais définitivement perdu le contrôle, mais… au plus profond de moi, j'aimais ça.
Et, pile au même moment, je sentais les mains de Laura se poser sur moi.
Sur mes fesses.
Je sentais Laura saisir mes fesses à pleines mains.
Elle les caressait.
Elle les palpait.
Elle les massait.
Elle les malaxait.
Songbird du célèbre groupe anglais Oasis…
– Tu es encore plus que dans mes rêves, Benoit…
Que de compliments !
Moi ? Benoit ? Elle avait alors rêvé de moi ?
Moi ? Benoit ? J'étais un bel homme aux yeux d'une femme ?
J'avais du mal à réaliser.
Et pourtant…
Sans que je ne puisse avoir l'occasion, l'opportunité de débater, intérieurement, sur le sujet, Laura, elle, poursuivait son exploration approfondie de mon corps.
Elle prenait mon postérieur à pleines mains. Elle me malaxait les fesses. Puis… Je sentais une autre sensation. Une sensation différente. Une nouvelle sensation. Je tournais légèrement, de nouveau, la tête dans sa direction. Et ce que je voyais… m'émoustillait. Je n'en revenais pas.
Laura avait mon cul bien e main, et elle écartait mes deux globes dodus. Ainsi, mon anus était dans sa ligne de mire.
La petite coquine rousse avait, dans le même temps, remarqué que je regardais ce qu'elle me faisait et que je ne la lâchais pas des yeux.
– Tu me regardes, Benoit… Ce que je fais… te plaît ?
Avec mes yeux, avec un sourire, avec un hochement de tête, je lui faisais comprendre que oui… j'aimais ça.
– Chut… Ne dis rien… Ce n'est que le début, mon mystérieux… Tu n'es pas au bout de tes surprises...
Ces nouvelles paroles énigmatiques m'ont fait gémir de plaisir. Ce n'étaient que des paroles, certes… mais elles me rendaient tout chose. Parce que Laura y mettait de son côté énigmatique, sensuel. De sa voix, de ce grain de voix spécifique, elle parvenait à me faire succomber, encore un peu plus.
– Ton anus est beau… Étroit à l’œil nu mais beau… Il n'attend plus que moi...
Et sur ces autres mots énigmatiques, Laura approcha sa tête de mon cul. Ses mains s'arrimaient toujours à mes fesses.
– Chut… Ne dis rien, beau mystérieux...
Je sentis alors un souffle chaud sur mon petit trou...
---------------"La femme de mes rêves 2"
Je n'ai rien pu faire, si ce n'est gémir, suite à ce filet d'air chaud que Laura avait soufflé avec sa bouche. C'était tout simplement savoureux, et ce n'était que son souffle chaud sur mon anus.
Je ne pouvais pas m'empêcher d'onduler et de remuer les fesses. Je le faisais… inconsciemment, parce que l'attitude et le désir m'excitaient beaucoup. Et… je bandais, encore et toujours, comme ce n'était pas permis.
Les mains posées, agrippées, arrimées à mes fesses, Laura se cramponnait à moi. De ses mains, elle écartait mes deux globes afin d'avoir un libre accès à mon anus.
– Hmmm… Tu me donnes carrément faim, là, chéri !
Elle gloussa l'instant d'après.
– Hmmm… Mon petit cul préféré… A… moi...
Je la regardais, curieux. J'étais émoustillé, subjugué par sa tendresse, ses attentions, son amour, sa passion, ses désirs. Là voilà, alors, la femme de mes rêves. Cette femme que j'avais longtemps cherché… mais que je n'avais pas rencontré jusque-là.
Jusqu'à… ce soir.
– Je… Je t'aime, Laura.
Je lâchais définitivement prise. Je n'ai fait que dire ce que j'avais au plus profond e moi.
– Qu'est-ce que tu as dit, Benoit ? Je… ne suis pas sûre d'avoir bien compris. Répète-le moi ! S'il te plaît… Je voudrais être sûre.
Je jetais un regard ahuri à Laura, comme pour lui demander comment il était possible qu'elle n'ait pas entendu ce que je venais de lui dire.
– Dis-le… encore…
Je soupirais.
Ma respiration devenait de plus en plus rapide, saccadée.
– Je… Je t'aime, Laura !
Pour toute réponse, Laura déposa, avec beaucoup d'entrain et de désir, un baiser sur chacune de mes deux fesses.
Don't Lose My Number de Phil Collins…
– J'ai tant envie de toi, chéri. Tes mots… Ils sont comme des papillons dans mon ventre. Moi aussi, je t'aime, Benoit !
Nouveaux baisers sur mes fesses.
Et ni une, ni deux, Laura partit à l'assaut de mon anus. Mes fesses bien écartées, je sentais quelque chose de froid sur ma peau, à l'entrée de mon orifice. Le temps de tourner légèrement la tête en direction d'elle, je pus avoir un instantané du pourquoi du comment. Ma croupe écartée, Laura s'était considérablement approchée de mon intimité la plus secrète et y avait déposé un petit peu de sa salive.
C'était donc cela que je sentis couler sur ma raie...
Rien que cette sensation, ça m'a fait un je-ne-sais-quoi. J'en ai soupiré de plaisir tellement c'était curieusement agréable.
J'ai définitivement perdu pied l'instant d'après : je sentais avec délice que ma raie était badigeonnée de cette salive que ma coquine de nouvelle petite amie avait laissé couler d'entre ses lèvres cerise. Le temps de me retourner, une nouvelle fois, je voyais… j'admirais… j'observais, spectateur perdu, vaincu, soumis, de la langue de Laura qui honorait mon anus. Laura maintenait ma croupe bien écartée afin d'avoir libre accès et comme bon lui semblait , à mon intimité top secrète.
Ça y était : elle me léchait EN-FIN mon anus… Et ce que je ressentais… Pfiou… ! C'était à des années-lumière par rapport à mes rêves, à ce que j'imaginais quand l'envie de me masturber et de me faire jouir me prenait. Non… Laura maîtrisait cet art subtil qu'est l'anulingus ou «feuille de rose». Mes fesses écartées par ses deux mains, la bouche de ma partenaire avait alors le champ libre pour aller butiner autour de mon cul. De prime abord, je sentais bien que Laura évitait soigneusement de mettre la langue… et de me titiller, là où moi, j'en mourais désormais d'envie. Sa langue me léchait le périnée. Elle butinait. Elle se délectait de ce canal qui reliait mon sexe à mon anus en passant par mes testicules. Sa langue était humide, toute chaude… Parfaite pour donner du plaisir.
– Mon Benoit… J'aime… m'occuper de toi… J'aime te lécher le cul… Tu me rends folle… Pu… tain !
Et l'instant d'après, elle s'est remise immédiatement à l'ouvrage. Elle y prenait vraiment du plaisir. Et ce, autant qu'elle m'en donnait. Elle gloussait. Elle riait légèrement, de manière coquine, sexy. Elle se sentait dévergondée quand elle léchait l'anus d'un homme… et ça lui plaisait. Mais là, c'était bien plus que ça. Oui… Là, elle s'occupait de l'homme qu'elle avait dans la peau, celui qui était devenu le centre de son monde et dont elle avait fini par tomber amoureuse. Elle était très heureuse que nous faisions enfin l'amour.
– Benoit… Mon Benoit...
Sa langue s'écarta de mon périnée, et laissa la place à ses lèvres qui, elles, embrassaient de nouveau mes fesses.
– Benoit...
Elle soupira.
– Benoit… Je suis au comble du bonheur… C'est pas un nouvel orgasme que tu me donnes, mais c'est tout comme...
Sa langue, comme par magie, a retrouvé le contact familier de mon périnée. Elle aimait et elle se délectait de ses aller-retour entre mes testicules et mon petit trou.
– Laura… Laura… Laura… Ta langue… Mon anus… S'il te plaît...
– Un peu de patience, mon mystérieux...
– Je t'en… supplie !
– Mais quel gourmand, ce Benoit ! Mais j'aime que tu le sois, Benoit...
– Laura...
– Mon mystérieux… Mon Benoit...
– Joli mystérieux… Toi, tu me rends folle. Et moi, je veux… te rendre fou… à mon tour…
– Ta… langue !
Elle gloussa.
– Tu sais ce que tu veux, mon Benoit...
Fleur de sel du duo Elle et Lui…
Elle avait dit ça tout en gloussant de nouveau et tout en riant de manière coquine.
– C'est ce que j'ai envie, plus que tout, moi aussi, tu sais ?
– Alors… Lèche-moi...
– Je croyais t'avoir dit de ne penser à rien et de me laisser faire, Benoit…
Et sur ces mots, elle m'adressa une nouvelle petite claque sur les fesses. Elle en rit de manière coquine.
Bordel...
Laura était probablement en train de révéler un côté un peu plus… dominateur. Elle était audacieuse, ça oui. Mais de là à être ainsi… dominatrice… et à montrer de l'autorité… Laura… ? Toi ?
Une dominatrice sommeillait-elle alors en elle ?
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