Amour Sacrificiel - 03
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Amour Sacrificiel - 03
CHAPITRE 3 | ROMÉO ET ROMÉO
J'ai passé toute la journée à stresser en essayant de me divertir en allant au Centre Bourse et en allant boire un verre au Shamrock avec un pote. J'avais à peu près oublié ma vie de merde mais maintenant que je suis sur le trottoir en face du bar gay, je réalise que c'est peut-être ma dernière venue. Comme à mon habitude je repense à mon passé et j'attends. Normalement j'attends de ressentir un coup de vent qui me dit que c'est le moment de rentrer. Sauf que cette fois-ci j'attends Naël, le mec qui est mon ennemi actuellement. Je rigole en repensant à ce que j'ai sorti à mon frère en lui disant qu'ils se la jouaient Roméo et Juliette. Je rigole parce qu'au fond je suis dans la même situation sauf que je ne suis pas encore découvert et que Juliette est un second Roméo. Je pense alors à mon frère et à la sœur de Nasser. C'était donc ça leur quotidien ? Des rendez-vous secrets avec la peur de se faire découvrir ? Je commence alors à avoir plus de compassion envers mon frère même si ça reste une tête de bite.
Je suis dans mes pensées quand une silhouette attire mon attention sur la droite. C'est lui. Il est venu. Il s'approche de manière hésitante et notre premier échange est très maladroit. Comme si on reprenait à zéro.
"Tu es venu finalement ?" engage Naël.
"Pas trop le choix... Je voulais profiter une dernière fois de ma vie avant de mourir stupidement."
Je suis rempli de sarcasme et peine à en rire malheureusement. Il se tient à plus d'un mètre de distance.
"Ecoute je ne savais pas que tu faisais partie de la bande rivale. Je ne savais encore moins que t'étais le frère de Medhi. Je ne t'avais jamais vu. Même à la rixe de l'année passée."
"Normal je n'y étais pas. Et moi je ne pensais pas que tu étais le meilleur bras droit de Nasser. Un vrai tueur il paraît."
"C'est ce qu'on dit de moi dans ta bande ?"
Sa question a un certain but narcissique car je le vois esquisser un sourire de satisfaction. Il voit que je ne rigole toujours pas et redevient sérieux.
"Je sais que c'est risqué ce qu'on fait et que ce n'est pas bon pour nous.... mais... est-ce que je peux au moins t'accompagner dans cette dernière soirée de liberté ?"
Je le regarde me dire ça plein d'hésitation et avec la crainte que je refuse.
"D'accord. Mais on ne rentre pas dans le bar. J'ai pas la tête à boire et à baiser devant 15 personnes. J'ai une chambre d'hôtel. Viens y passer la nuit avec moi..." je le vois hésiter et jauger la situation "et non ce n'est pas une embuscade et j'ai aussi eu des craintes envers toi mais je préfère me persuader que tu es attiré par moi sans intérêt."
Il s'approche enfin de moi tout en restant droit et froid. Son regard semble ailleurs. Il m'enserre dans ses bras et me regarde enfin.
"C'est le cas."
Il y dépose un baiser suspendu dans le temps qui amènera nos langues à se chercher. Je le sens décompresser et je me sens moi-même plus à l'aise. Il finit par se décoller.
"On ne reste pas dans la rue plus longtemps. Les guetteurs ne sont pas que dans les quartiers Nord."
Il me dit ça d'un air suspicieux en scrutant brièvement les alentours. L'hôtel est à quelques pas et on finit rapidement par y être. Après avoir réglé la question d'une deuxième personne avec le réceptionniste, on se retrouve enfin dans la chambre.
C'est à ce moment que je décompresse totalement en sachant que rien n'arrivera cette nuit et que je suis en compagnie de l'homme qui occupe mes pensées depuis un mois. Je m'effondre sur le lit, les bras derrière la tête. Naël me rejoint et se blottit contre mon torse musclé. Il me caresse doucement et me raconte sa semaine pourrie et la situation délicate de nos vies. Bien entendu il ne dévoile rien de leur plan comme je ne dis rien du mien. Se les échanger nous placerait en traître et on se risquerait d'être démasqués.
"Dans quelle merde on s'est foutu n'empêche !" rigole Naël avec sarcasme.
Il se relève pour me faire face. Je beug alors complet. Je me rends compte que c'est la première fois que je le vois vraiment à la lumière blanche et il est encore plus beau. Il me voit bloquer.
"Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai un truc sur le visage ?" s'inquiète-t-il.
"Non mais c'est la première fois que je te vois avec autant de luminosité et tu es encore plus magnifique que je le pensais. Tes yeux sont d'un bleu vert profond que je n'imaginais même pas en te voyant dans la pénombre."
"Toi aussi Sofiane tu es encore plus beau que le souvenir que j'avais de toi." me dit-il en souriant avant de s'approcher pour m'embrasser.
Il se positionne plus confortablement à cheval sur moi pour m'embrasser de toute sa passion. Nos langues s'entremêlent et la chaleur de la chambre commence à monter. Soudainement, j'oublie le pourquoi de notre air maussade et me concentre uniquement sur le moment présent. Je me concentre sur lui. Naël. Le beau Naël. Celui qui se redresse pour retirer son tee-shirt et laisser apparaître ses abdos saillants et ses pectoraux que je caresse avec passion. Il me regarde de haut avec la langue passant sur ses lèvres pour montrer qu'il aime ça. Il reste comme ça à onduler son corps contre mon bas-ventre en mimant l'acte. Il me chauffe en prenant ma main pour la passer sur tout son corps et l'amener jusqu'à sa bouche pour lécher mes doigts un à un. Il ondule toujours et avec une dextérité enivrante. Nos regards sont plongés l'un dans l'autre sans se quitter une seconde. Je commence à bander de plus en plus et il le ressent en ondulant son corps.
Il s'approche alors pour m'embrasser langoureusement avant de me faire basculer pour que je me trouve sur lui. Il en profite pour virer mon tee-shirt. Il a beau être parfaitement doté, je suis moi aussi musclé comme il faut et j'aime sentir ses mains parcourir mon corps. Il caresse mes abdos, titille mes tétons et caresse mon visage en me regardant profondément. Je me penche pour l'embrasser et en profite pour glisser une main sous son jogging pour caresser sa queue. Elle est bien dure et elle n'attend qu'une chose.
Je me recule alors et enlève le jogging de Naël pour laisser sa queue respirer à l'air libre. Mais peu de répit pour elle car elle se retrouve vite de nouveau dans un endroit étroit. Je la prends en bouche avec amour et la lubrifie au mieux avec ma salive. Je n'oublie pas de sucer mon bel algérien en le regardant dans les yeux car je sais quelle excitation ça provoque. En plus, depuis que j'ai perçu les nuances et la profondeur de son regard, j'ai bien du mal à le quitter. Je me concentre sur sa queue ensuite pour quelques gorges profondes en l'écoutant gémir et m'encourager à continuer.
Il finit par me relever pour m'embrasser et me dire que c'est à son tour de me faire prendre du plaisir. Sa voix grave me fait vriller quand il parle doucement. Il me met sur le dos et continue encore à m'embrasser. Je ne peux pas m'en lasser. Il baise alors mon cou, mes pectoraux, mes abdos puis l'élastique de mon jogging. Ma queue n'en peut plus et c'est la libération quand il me lèche sur toute la hampe pour ensuite la prendre en bouche. Je ressens des frissons en sentant sa langue sur mon gland et ses mains caressant mes abdos. Une main sur sa tête, je l'encourage à continuer. Il peut me sucer toute la nuit s'il le veut. Il relève son regard vers moi et cette image me hantera jusqu'à la fin de mes jours tant il est magnifique avec ma queue dans sa bouche. Il la lèche en me regardant d'un air vorace. Il m'excite trop que j'en perds mes manières et lui sors un petit :
"Humm ouais allez vas-y bouffe la bien"
Ça l'excite grave et il commence alors cambrer en suçant plus énergétiquement. Il relève la tête et se biffle tout seul en me regardant.
"Vas-y tourne toi que je bouffe ton gros boule de rebeu"
Naël m'écoute et se tourne pour me mettre son cul en pleine face. J'ai enfin l'opportunité de regarder cette œuvre d'art avec ces deux lobes bien musclés. Je les écarte pour laisser apparaître une belle rosette que je m'empresse de lécher. Je l'entends émettre un râle grave et se cambre un peu plus. Je lui bouffe le cul comme j'aime en y plongeant ma langue profondément et en n'oubliant pas de claquer ses fesses charnues. Il a arrêté de me sucer pour profiter de toutes les sensations qui émanent de son cul. Je finis par insérer un doigt suivi d'un deuxième dans un concert de gémissements. Je me surprends même à en avoir aussi juste en le doigtant. J'aime ce cul et j'aime ce mec.
Naël se retourne pour me faire face et m'embrasser. Il se redresse pour se positionner au-dessus de ma queue et en la guidant d'une main, il commence à s'asseoir dessus. On y va bien plus calmement que la dernière fois et on profite de chaque centimètre de plus en lui. Il finit par toucher mon pubis et le regarde toujours fixement et passionnément. Il commence alors à onduler doucement en s'appuyant sur mes abdos. Il accélère progressivement le rythme. Il fait un truc avec son cul que j'avais jamais ressenti. C'est comme si j'allais éjaculer direct tellement c'était bon.
"Oh oh oh doucement beau gosse tu vas me faire juter là ! C'est quoi ce truc que tu me fais ?"
Il rigole et vient m'embrasser.
"Allez vas-y je te laisse gérer si t'es pas capable d'apprécier ma dextérité"
"Justement je l'apprécie trop ! Je veux encore profiter de toi !"
"On a toute la nuit ne t'inquiètes pas bébé !"
Le mec me décroche un bébé comme ça sans pression et ça m'excite grave. Je le retourne pour le prendre en levrette. Il se cambre un max et encaisse mes coups. Je lui éclate le cul pendant qu'il gémit dans un coussin.
"Là tu vois j'ai trouvé mon rythme dans ton ptit cul et je peux te pilonner toute la nuit"
Il rigole en me demandant de continuer plus fort. Après lui avoir détruit fortement le cul je ralentis le rythme pour me reposer un peu.
"On va voir si t'arrives à me baiser comme ça toute la nuit. Enfin si t'arrives à résister à ça"
Il se relève à 4 pattes et cambre pour s'enculer sur ma queue en ondulant son corps. Le mec est en train de me branler avec son cul et la sensation est dingue. Il s'encule comme un fou sur ma queue et je lui dis d'arrêter car je vais juter. Mais il fait la sourde d'oreille et continue toujours plus fort. J'essaye de reculer pour m'enlever mais il recule en même temps. C'est trop tard.
"Mec mec arrête je vais j..... ahhhhhhhh putain oui !!!!"
Je lui gicle dans le cul et il continue de me branler la queue avec son cul quelques dizaines de secondes le temps que je reprenne mes esprits après cet orgasme. Il me met sur le dos et vient se positionner sur mon ventre en branlant sa grosse queue au-dessus de mon visage.
"Maintenant que j'ai bien fait mon baisé je vais te tapisser la gueule de mon jus d'algérien"
J'approche ma langue au plus près de sa queue en masturbation pour titiller son gland. Il finit par me bloquer la tête avec sa main et pousse des râles bien remplis de testostérone. J'ai à peine le temps de fermer les yeux que je reçois une dizaine de jets sur la gueule avec le son grave de sa voix. J''ai la bouche bien ouverte pour recevoir le max de jus et nettoyer son flingue quand il aura tout déchargé.
Il finit par se pencher et lécher tout mon visage pour terminer par ma bouche dans un baiser langoureux de son sperme. Il s'écroule sur moi et on reprend chacun nos esprits en caresses et en donnant nos impressions. On finit par se lever et aller se doucher. Il est parti le premier mais je ne pouvais pas me dire que j'allais le laisser seul ce soir alors que le futur était sombre. Je toque à la porte et demande si je peux le rejoindre. Il m'accueille les bras ouverts sous la douche et m'embrasse passionnément.
Le reste de la soirée est plutôt banal où on s'est commandé à manger devant un film l'un contre l'autre. On avait besoin de banalités et d'oublier nos vies l'espace d'une soirée. Rien de mieux que d'agir normalement et ne pas s'asphyxier de nous. Après avoir discuté un long moment sur nous et qui on est vraiment, on décide de dormir. Je m'endors en repensant à la conversation et en me disant que plus je le découvre et plus mes sentiments s'intensifient.
***
C'est le milieu de la nuit quand j'ai un léger réveil. J'allais me rendormir mais je sens l'air frais me caresser à la place des bras de Naël. Je me retourne pour vérifier et me repositionner mais je trouve le lit vide. Je lève la tête et l'aperçois nu devant la fenêtre à observer l'extérieur dans le vide. Je l'appelle doucement et il me dit de me rendormir. Je ne demande pas comment il va car le son de sa voix montre tout le contraire. Je me lève calmement et viens me coller dans son dos en l'enlaçant et en lui déposant un baiser sur le haut de son dos. Je ne dis rien, je me montre juste là physiquement avec lui pour l'apaiser.
C'est alors que je l'entends renifler à plusieurs reprises et au son de son cœur qui bat contre mon oreille, il pleure en silence. Je suis touché par ses émotions et absorbe sa tristesse sans même savoir la raison précise. Il tient juste mes mains et les serrent fortement. Il finit par respirer fortement et se retourner pour me faire face. Les yeux embués de larmes et le visage sombre de tristesse. Je n'aurais jamais imaginé le voir pleurer devant moi connaissant l'éducation de quartier qu'on a reçu. Il prend mon visage dans ses mains et observe chaque centimètre de mon visage.
"Sofiane je n'en peux plus. Je ne veux pas que le jour se lève. Je veux rester avec toi et oublier tout ce qu'il va se passer dans les jours à venir. Le savoir me tue encore plus."
Je comprends alors qu'il sait déjà ce qui se prépare et que ça ne paraît pas très glorieux. Je me questionne sur ce qui se passera et me dit qu'en le sachant je pourrais peut-être l'éviter. Mais je sais aussi que cette information mettra Naël directement sur le peloton d'exécution car ils feront une enquête pour savoir d'où vient la fuite du plan.
"Je ne veux pas savoir Naël. Ne me dis rien. Moi aussi je veux que cette nuit soit éternelle et que demain n'existe pas. Barrons-nous d'ici et commençons une nouvelle vie loin de ça."
Je vois ses larmes couler et je les essuie comme je peux. A vrai dire, les miennes commencent doucement à couler car je prends conscience des jours qui vont suivre.
"Je ne peux pas. Ils sont ma seule famille. C'est eux qui m'ont récupéré et élevé er lorsque je suis devenu orphelin ado. Malgré des divergences entre eux et moi, je leur suis loyal. Mais c'est trop dur de t'aimer et de savoir le futur."
Sa phrase évoque mon implication personnelle dans leur plan mais je ne sais pas si cela me vise directement ou indirectement. En même temps je suis le frère du leader alors forcément je serai impacté d'une manière ou d'une autre. Tant que ce n'est pas ma mère.
"Naël, le futur sera sombre et on aura tout l'avenir pour le vivre. N'assombrit pas ton présent en y pensant et concentre toi sur ce qui te rends heureux."
"Toi. C'est toi qui me rends heureux."
D'un revers de sa main, il efface les dernières larmes de mon visage avant de venir m'embrasser. Je lui rends son baiser et nos langues s'unissent à nouveau dans le silence de la nuit. Je ressens toutes ses caresses contre mon corps et rentre dans un état de bien-être absolu, bien loin des pensées négatives d'il y a quelques minutes.
Je le tire vers le lit pour être plus à l'aise et à califourchon sur moi, il me baise le corps de sa bouche et m'effleure de ses mains. Je soupire d'aise et monte d'un cran lorsque je sens sa langue descendre de mon bas-ventre jusqu'à ma queue qui a durci entre temps. Il prend d'une main ma queue et commence à la sucer avec douceur. Dans la pénombre, ne laissant que nos silhouettes comme repères, je ressens la jouissance d'avoir trouvé un mec qui arrive à me donner tout le plaisir dont j'ai besoin. J'ai été sucé par des dizaines de mecs mais jamais un seul d'entre eux n'a su me donner des frissons comme Naël sait m'en procurer. La raison n'est même pas physique car on est dans la nuit et je ne le discerne quasiment pas. La raison est alchimique. Une connexion qui a eu lieu dès son entrée dans ce bar il y a un mois. Il lui suffit juste de m'embrasser pour que j'en oublie tout ce qu'il se passe à l'extérieur pour me concentrer uniquement sur son être.
Je relève un peu le bassin pour lui signifier d'aller plus bas et il commence alors à mener sa langue vers mon anus en écartant mes lobes fessiers de ses mains imposantes. Je gémis d'un plaisir réel et amplifie ma jouissance en sentant un de ses doigts entrer en moi. Je l'encourage et je le sens se reculer pour ensuite sentir un contact froid contre mon anus. Le lubrifiant me donne des frissons et très vite c'est la présence de sa queue en moi qui déclenchera des râles étouffés dans un baiser. Naël me fait l'amour dans toute sa simplicité et sans artifice. Tout est dans la douceur et la profondeur, nos bouches l'une contre l'autre. Nos langues s'unissent dans la parfaite harmonie de l'acte. Au bout d'un quart d'heure où nos corps perlent de sueur, il me dit qu'il va bientôt éjaculer. Il plonge son regard en moi tout en accélérant le mouvement. Je vois son regard se crisper et son visage entre mes mains se tendre. Je sens ensuite en moi sa semence transiter de son corps au mien. Il continue quelques secondes avant de s'arrêter en moi et de venir m'embrasser.
"Je crois que je t'aime Sofiane. Il est peut-être bien trop tôt pour le dire mais du moins je n'ai jamais autant aimé quelqu'un que toi."
C'est vrai que ça paraît tôt car c'est que la deuxième fois qu'on se voit finalement. Enfin troisième si on compte l'entrevue au parc. Mais étrangement je ressens la même chose pour lui avec le sentiment de l'avoir toujours eu à mes côtés.
"Je ressens la même chose pour toi Naël et je préfère te le dire avant qu'il soit trop tard pour le dire. On ne sait pas de quoi sera fait demain mais sache que tu es l'homme qui m'aura le plus rapproché de la notion d'amour."
On s'embrasse à nouveau langoureusement après ces déclarations et il vient ensuite se blottir contre moi. On reste ainsi quelques temps avant d'aller se doucher et retourner passer les dernières heures de bien-être ensemble. On ne dort d'ailleurs pas beaucoup car on est trop occupé à profiter du peu de moment restant pour nous embrasser et nous caresser.
J'ai passé toute la journée à stresser en essayant de me divertir en allant au Centre Bourse et en allant boire un verre au Shamrock avec un pote. J'avais à peu près oublié ma vie de merde mais maintenant que je suis sur le trottoir en face du bar gay, je réalise que c'est peut-être ma dernière venue. Comme à mon habitude je repense à mon passé et j'attends. Normalement j'attends de ressentir un coup de vent qui me dit que c'est le moment de rentrer. Sauf que cette fois-ci j'attends Naël, le mec qui est mon ennemi actuellement. Je rigole en repensant à ce que j'ai sorti à mon frère en lui disant qu'ils se la jouaient Roméo et Juliette. Je rigole parce qu'au fond je suis dans la même situation sauf que je ne suis pas encore découvert et que Juliette est un second Roméo. Je pense alors à mon frère et à la sœur de Nasser. C'était donc ça leur quotidien ? Des rendez-vous secrets avec la peur de se faire découvrir ? Je commence alors à avoir plus de compassion envers mon frère même si ça reste une tête de bite.
Je suis dans mes pensées quand une silhouette attire mon attention sur la droite. C'est lui. Il est venu. Il s'approche de manière hésitante et notre premier échange est très maladroit. Comme si on reprenait à zéro.
"Tu es venu finalement ?" engage Naël.
"Pas trop le choix... Je voulais profiter une dernière fois de ma vie avant de mourir stupidement."
Je suis rempli de sarcasme et peine à en rire malheureusement. Il se tient à plus d'un mètre de distance.
"Ecoute je ne savais pas que tu faisais partie de la bande rivale. Je ne savais encore moins que t'étais le frère de Medhi. Je ne t'avais jamais vu. Même à la rixe de l'année passée."
"Normal je n'y étais pas. Et moi je ne pensais pas que tu étais le meilleur bras droit de Nasser. Un vrai tueur il paraît."
"C'est ce qu'on dit de moi dans ta bande ?"
Sa question a un certain but narcissique car je le vois esquisser un sourire de satisfaction. Il voit que je ne rigole toujours pas et redevient sérieux.
"Je sais que c'est risqué ce qu'on fait et que ce n'est pas bon pour nous.... mais... est-ce que je peux au moins t'accompagner dans cette dernière soirée de liberté ?"
Je le regarde me dire ça plein d'hésitation et avec la crainte que je refuse.
"D'accord. Mais on ne rentre pas dans le bar. J'ai pas la tête à boire et à baiser devant 15 personnes. J'ai une chambre d'hôtel. Viens y passer la nuit avec moi..." je le vois hésiter et jauger la situation "et non ce n'est pas une embuscade et j'ai aussi eu des craintes envers toi mais je préfère me persuader que tu es attiré par moi sans intérêt."
Il s'approche enfin de moi tout en restant droit et froid. Son regard semble ailleurs. Il m'enserre dans ses bras et me regarde enfin.
"C'est le cas."
Il y dépose un baiser suspendu dans le temps qui amènera nos langues à se chercher. Je le sens décompresser et je me sens moi-même plus à l'aise. Il finit par se décoller.
"On ne reste pas dans la rue plus longtemps. Les guetteurs ne sont pas que dans les quartiers Nord."
Il me dit ça d'un air suspicieux en scrutant brièvement les alentours. L'hôtel est à quelques pas et on finit rapidement par y être. Après avoir réglé la question d'une deuxième personne avec le réceptionniste, on se retrouve enfin dans la chambre.
C'est à ce moment que je décompresse totalement en sachant que rien n'arrivera cette nuit et que je suis en compagnie de l'homme qui occupe mes pensées depuis un mois. Je m'effondre sur le lit, les bras derrière la tête. Naël me rejoint et se blottit contre mon torse musclé. Il me caresse doucement et me raconte sa semaine pourrie et la situation délicate de nos vies. Bien entendu il ne dévoile rien de leur plan comme je ne dis rien du mien. Se les échanger nous placerait en traître et on se risquerait d'être démasqués.
"Dans quelle merde on s'est foutu n'empêche !" rigole Naël avec sarcasme.
Il se relève pour me faire face. Je beug alors complet. Je me rends compte que c'est la première fois que je le vois vraiment à la lumière blanche et il est encore plus beau. Il me voit bloquer.
"Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai un truc sur le visage ?" s'inquiète-t-il.
"Non mais c'est la première fois que je te vois avec autant de luminosité et tu es encore plus magnifique que je le pensais. Tes yeux sont d'un bleu vert profond que je n'imaginais même pas en te voyant dans la pénombre."
"Toi aussi Sofiane tu es encore plus beau que le souvenir que j'avais de toi." me dit-il en souriant avant de s'approcher pour m'embrasser.
Il se positionne plus confortablement à cheval sur moi pour m'embrasser de toute sa passion. Nos langues s'entremêlent et la chaleur de la chambre commence à monter. Soudainement, j'oublie le pourquoi de notre air maussade et me concentre uniquement sur le moment présent. Je me concentre sur lui. Naël. Le beau Naël. Celui qui se redresse pour retirer son tee-shirt et laisser apparaître ses abdos saillants et ses pectoraux que je caresse avec passion. Il me regarde de haut avec la langue passant sur ses lèvres pour montrer qu'il aime ça. Il reste comme ça à onduler son corps contre mon bas-ventre en mimant l'acte. Il me chauffe en prenant ma main pour la passer sur tout son corps et l'amener jusqu'à sa bouche pour lécher mes doigts un à un. Il ondule toujours et avec une dextérité enivrante. Nos regards sont plongés l'un dans l'autre sans se quitter une seconde. Je commence à bander de plus en plus et il le ressent en ondulant son corps.
Il s'approche alors pour m'embrasser langoureusement avant de me faire basculer pour que je me trouve sur lui. Il en profite pour virer mon tee-shirt. Il a beau être parfaitement doté, je suis moi aussi musclé comme il faut et j'aime sentir ses mains parcourir mon corps. Il caresse mes abdos, titille mes tétons et caresse mon visage en me regardant profondément. Je me penche pour l'embrasser et en profite pour glisser une main sous son jogging pour caresser sa queue. Elle est bien dure et elle n'attend qu'une chose.
Je me recule alors et enlève le jogging de Naël pour laisser sa queue respirer à l'air libre. Mais peu de répit pour elle car elle se retrouve vite de nouveau dans un endroit étroit. Je la prends en bouche avec amour et la lubrifie au mieux avec ma salive. Je n'oublie pas de sucer mon bel algérien en le regardant dans les yeux car je sais quelle excitation ça provoque. En plus, depuis que j'ai perçu les nuances et la profondeur de son regard, j'ai bien du mal à le quitter. Je me concentre sur sa queue ensuite pour quelques gorges profondes en l'écoutant gémir et m'encourager à continuer.
Il finit par me relever pour m'embrasser et me dire que c'est à son tour de me faire prendre du plaisir. Sa voix grave me fait vriller quand il parle doucement. Il me met sur le dos et continue encore à m'embrasser. Je ne peux pas m'en lasser. Il baise alors mon cou, mes pectoraux, mes abdos puis l'élastique de mon jogging. Ma queue n'en peut plus et c'est la libération quand il me lèche sur toute la hampe pour ensuite la prendre en bouche. Je ressens des frissons en sentant sa langue sur mon gland et ses mains caressant mes abdos. Une main sur sa tête, je l'encourage à continuer. Il peut me sucer toute la nuit s'il le veut. Il relève son regard vers moi et cette image me hantera jusqu'à la fin de mes jours tant il est magnifique avec ma queue dans sa bouche. Il la lèche en me regardant d'un air vorace. Il m'excite trop que j'en perds mes manières et lui sors un petit :
"Humm ouais allez vas-y bouffe la bien"
Ça l'excite grave et il commence alors cambrer en suçant plus énergétiquement. Il relève la tête et se biffle tout seul en me regardant.
"Vas-y tourne toi que je bouffe ton gros boule de rebeu"
Naël m'écoute et se tourne pour me mettre son cul en pleine face. J'ai enfin l'opportunité de regarder cette œuvre d'art avec ces deux lobes bien musclés. Je les écarte pour laisser apparaître une belle rosette que je m'empresse de lécher. Je l'entends émettre un râle grave et se cambre un peu plus. Je lui bouffe le cul comme j'aime en y plongeant ma langue profondément et en n'oubliant pas de claquer ses fesses charnues. Il a arrêté de me sucer pour profiter de toutes les sensations qui émanent de son cul. Je finis par insérer un doigt suivi d'un deuxième dans un concert de gémissements. Je me surprends même à en avoir aussi juste en le doigtant. J'aime ce cul et j'aime ce mec.
Naël se retourne pour me faire face et m'embrasser. Il se redresse pour se positionner au-dessus de ma queue et en la guidant d'une main, il commence à s'asseoir dessus. On y va bien plus calmement que la dernière fois et on profite de chaque centimètre de plus en lui. Il finit par toucher mon pubis et le regarde toujours fixement et passionnément. Il commence alors à onduler doucement en s'appuyant sur mes abdos. Il accélère progressivement le rythme. Il fait un truc avec son cul que j'avais jamais ressenti. C'est comme si j'allais éjaculer direct tellement c'était bon.
"Oh oh oh doucement beau gosse tu vas me faire juter là ! C'est quoi ce truc que tu me fais ?"
Il rigole et vient m'embrasser.
"Allez vas-y je te laisse gérer si t'es pas capable d'apprécier ma dextérité"
"Justement je l'apprécie trop ! Je veux encore profiter de toi !"
"On a toute la nuit ne t'inquiètes pas bébé !"
Le mec me décroche un bébé comme ça sans pression et ça m'excite grave. Je le retourne pour le prendre en levrette. Il se cambre un max et encaisse mes coups. Je lui éclate le cul pendant qu'il gémit dans un coussin.
"Là tu vois j'ai trouvé mon rythme dans ton ptit cul et je peux te pilonner toute la nuit"
Il rigole en me demandant de continuer plus fort. Après lui avoir détruit fortement le cul je ralentis le rythme pour me reposer un peu.
"On va voir si t'arrives à me baiser comme ça toute la nuit. Enfin si t'arrives à résister à ça"
Il se relève à 4 pattes et cambre pour s'enculer sur ma queue en ondulant son corps. Le mec est en train de me branler avec son cul et la sensation est dingue. Il s'encule comme un fou sur ma queue et je lui dis d'arrêter car je vais juter. Mais il fait la sourde d'oreille et continue toujours plus fort. J'essaye de reculer pour m'enlever mais il recule en même temps. C'est trop tard.
"Mec mec arrête je vais j..... ahhhhhhhh putain oui !!!!"
Je lui gicle dans le cul et il continue de me branler la queue avec son cul quelques dizaines de secondes le temps que je reprenne mes esprits après cet orgasme. Il me met sur le dos et vient se positionner sur mon ventre en branlant sa grosse queue au-dessus de mon visage.
"Maintenant que j'ai bien fait mon baisé je vais te tapisser la gueule de mon jus d'algérien"
J'approche ma langue au plus près de sa queue en masturbation pour titiller son gland. Il finit par me bloquer la tête avec sa main et pousse des râles bien remplis de testostérone. J'ai à peine le temps de fermer les yeux que je reçois une dizaine de jets sur la gueule avec le son grave de sa voix. J''ai la bouche bien ouverte pour recevoir le max de jus et nettoyer son flingue quand il aura tout déchargé.
Il finit par se pencher et lécher tout mon visage pour terminer par ma bouche dans un baiser langoureux de son sperme. Il s'écroule sur moi et on reprend chacun nos esprits en caresses et en donnant nos impressions. On finit par se lever et aller se doucher. Il est parti le premier mais je ne pouvais pas me dire que j'allais le laisser seul ce soir alors que le futur était sombre. Je toque à la porte et demande si je peux le rejoindre. Il m'accueille les bras ouverts sous la douche et m'embrasse passionnément.
Le reste de la soirée est plutôt banal où on s'est commandé à manger devant un film l'un contre l'autre. On avait besoin de banalités et d'oublier nos vies l'espace d'une soirée. Rien de mieux que d'agir normalement et ne pas s'asphyxier de nous. Après avoir discuté un long moment sur nous et qui on est vraiment, on décide de dormir. Je m'endors en repensant à la conversation et en me disant que plus je le découvre et plus mes sentiments s'intensifient.
***
C'est le milieu de la nuit quand j'ai un léger réveil. J'allais me rendormir mais je sens l'air frais me caresser à la place des bras de Naël. Je me retourne pour vérifier et me repositionner mais je trouve le lit vide. Je lève la tête et l'aperçois nu devant la fenêtre à observer l'extérieur dans le vide. Je l'appelle doucement et il me dit de me rendormir. Je ne demande pas comment il va car le son de sa voix montre tout le contraire. Je me lève calmement et viens me coller dans son dos en l'enlaçant et en lui déposant un baiser sur le haut de son dos. Je ne dis rien, je me montre juste là physiquement avec lui pour l'apaiser.
C'est alors que je l'entends renifler à plusieurs reprises et au son de son cœur qui bat contre mon oreille, il pleure en silence. Je suis touché par ses émotions et absorbe sa tristesse sans même savoir la raison précise. Il tient juste mes mains et les serrent fortement. Il finit par respirer fortement et se retourner pour me faire face. Les yeux embués de larmes et le visage sombre de tristesse. Je n'aurais jamais imaginé le voir pleurer devant moi connaissant l'éducation de quartier qu'on a reçu. Il prend mon visage dans ses mains et observe chaque centimètre de mon visage.
"Sofiane je n'en peux plus. Je ne veux pas que le jour se lève. Je veux rester avec toi et oublier tout ce qu'il va se passer dans les jours à venir. Le savoir me tue encore plus."
Je comprends alors qu'il sait déjà ce qui se prépare et que ça ne paraît pas très glorieux. Je me questionne sur ce qui se passera et me dit qu'en le sachant je pourrais peut-être l'éviter. Mais je sais aussi que cette information mettra Naël directement sur le peloton d'exécution car ils feront une enquête pour savoir d'où vient la fuite du plan.
"Je ne veux pas savoir Naël. Ne me dis rien. Moi aussi je veux que cette nuit soit éternelle et que demain n'existe pas. Barrons-nous d'ici et commençons une nouvelle vie loin de ça."
Je vois ses larmes couler et je les essuie comme je peux. A vrai dire, les miennes commencent doucement à couler car je prends conscience des jours qui vont suivre.
"Je ne peux pas. Ils sont ma seule famille. C'est eux qui m'ont récupéré et élevé er lorsque je suis devenu orphelin ado. Malgré des divergences entre eux et moi, je leur suis loyal. Mais c'est trop dur de t'aimer et de savoir le futur."
Sa phrase évoque mon implication personnelle dans leur plan mais je ne sais pas si cela me vise directement ou indirectement. En même temps je suis le frère du leader alors forcément je serai impacté d'une manière ou d'une autre. Tant que ce n'est pas ma mère.
"Naël, le futur sera sombre et on aura tout l'avenir pour le vivre. N'assombrit pas ton présent en y pensant et concentre toi sur ce qui te rends heureux."
"Toi. C'est toi qui me rends heureux."
D'un revers de sa main, il efface les dernières larmes de mon visage avant de venir m'embrasser. Je lui rends son baiser et nos langues s'unissent à nouveau dans le silence de la nuit. Je ressens toutes ses caresses contre mon corps et rentre dans un état de bien-être absolu, bien loin des pensées négatives d'il y a quelques minutes.
Je le tire vers le lit pour être plus à l'aise et à califourchon sur moi, il me baise le corps de sa bouche et m'effleure de ses mains. Je soupire d'aise et monte d'un cran lorsque je sens sa langue descendre de mon bas-ventre jusqu'à ma queue qui a durci entre temps. Il prend d'une main ma queue et commence à la sucer avec douceur. Dans la pénombre, ne laissant que nos silhouettes comme repères, je ressens la jouissance d'avoir trouvé un mec qui arrive à me donner tout le plaisir dont j'ai besoin. J'ai été sucé par des dizaines de mecs mais jamais un seul d'entre eux n'a su me donner des frissons comme Naël sait m'en procurer. La raison n'est même pas physique car on est dans la nuit et je ne le discerne quasiment pas. La raison est alchimique. Une connexion qui a eu lieu dès son entrée dans ce bar il y a un mois. Il lui suffit juste de m'embrasser pour que j'en oublie tout ce qu'il se passe à l'extérieur pour me concentrer uniquement sur son être.
Je relève un peu le bassin pour lui signifier d'aller plus bas et il commence alors à mener sa langue vers mon anus en écartant mes lobes fessiers de ses mains imposantes. Je gémis d'un plaisir réel et amplifie ma jouissance en sentant un de ses doigts entrer en moi. Je l'encourage et je le sens se reculer pour ensuite sentir un contact froid contre mon anus. Le lubrifiant me donne des frissons et très vite c'est la présence de sa queue en moi qui déclenchera des râles étouffés dans un baiser. Naël me fait l'amour dans toute sa simplicité et sans artifice. Tout est dans la douceur et la profondeur, nos bouches l'une contre l'autre. Nos langues s'unissent dans la parfaite harmonie de l'acte. Au bout d'un quart d'heure où nos corps perlent de sueur, il me dit qu'il va bientôt éjaculer. Il plonge son regard en moi tout en accélérant le mouvement. Je vois son regard se crisper et son visage entre mes mains se tendre. Je sens ensuite en moi sa semence transiter de son corps au mien. Il continue quelques secondes avant de s'arrêter en moi et de venir m'embrasser.
"Je crois que je t'aime Sofiane. Il est peut-être bien trop tôt pour le dire mais du moins je n'ai jamais autant aimé quelqu'un que toi."
C'est vrai que ça paraît tôt car c'est que la deuxième fois qu'on se voit finalement. Enfin troisième si on compte l'entrevue au parc. Mais étrangement je ressens la même chose pour lui avec le sentiment de l'avoir toujours eu à mes côtés.
"Je ressens la même chose pour toi Naël et je préfère te le dire avant qu'il soit trop tard pour le dire. On ne sait pas de quoi sera fait demain mais sache que tu es l'homme qui m'aura le plus rapproché de la notion d'amour."
On s'embrasse à nouveau langoureusement après ces déclarations et il vient ensuite se blottir contre moi. On reste ainsi quelques temps avant d'aller se doucher et retourner passer les dernières heures de bien-être ensemble. On ne dort d'ailleurs pas beaucoup car on est trop occupé à profiter du peu de moment restant pour nous embrasser et nous caresser.
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