Anthony ( 1 )
Récit érotique écrit par Gay30a18 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anthony ( 1 )
Anthony
Première partie.
L’adolescence est un moment clé dans la vie de chacun d’entre nous. Nous passons notre temps à se poser des questions sur nous-mêmes, à mettre l’autorité de nos parents en question, découvrir notre corps, vivre nos premières déceptions sentimentales… Oui, le passage de l’enfance à l’adulte ne se fait pas dans la facilité mais chacun d’entre nous est obligé d’y passer. Durant cette période, je me rendis compte que je passais beaucoup plus de temps à regarder les garçons plutôt que les filles. En réalité, j’étais toujours vierge à cet âge et franchir le cap ne m’inquiétait pas plus que ça.
Néanmoins, une rencontre allait bouleverser ma jeune existence et me permettre, par la même occasion, d’avoir mes premiers rapports. C’était une fin d’après-midi de septembre. Le jour commençait à décliner à l’horizon et moi, je me trouvais déjà dans le centre-ville. Installé sur un banc en métal, attendant tranquillement le bus qui devait me reconduire chez moi, je vis une jeune fille de mon âge prendre place à mes côtés, sur ma gauche. Suite à cela, je repris mon mal en patience car le bus n’allait pas arriver avant une bonne demi-heure.
J’aurais très bien pu faire mes devoirs pour me passer le temps mais je dois avouer que je n’étais pas connu pour être un élève des plus sérieux. Les exercices attendront un bon moment avant que je m’attarde dessus voir jamais. Soudain, des insultes fusent et attirent ma curiosité. De suite, je lève la tête et vit arriver un duo d’adolescents connus de celle qui se trouvait à mes côtés. Face à ce comportement agressif, il était normal qu’elle réagisse de la même façon et bien sûr, les deux garçons s’approchaient pour l’embêter un peu.
L’un de ces jeunes hommes attira ma curiosité. De suite, je l’ai trouvé très beau. Il était châtain, la peau mât, les yeux marrons, plutôt grand et très svelte. Je ne cessais de l’observer tandis qu’il se déplaçait en courant, afin d’éviter les coups de sacs que tentait de lui donner l’adolescente. A ce moment, je mourrais d’envie de connaître son prénom et là, j’entendis un :
« Je vais te déglinguer Anthony ! »
Merci mademoiselle de me donner un coup de mains. Donc, ce joli garçon qui ne cesse de gesticuler sous mes yeux se nomme Anthony. Voilà un bien beau prénom pour un être dont la beauté ne me laissait guère indifférent. Toutefois, je ne me nourrissais d’aucun espoir. Jamais je n’aurais la chance de le revoir car cet instant n’est juste qu’un simple aléa de la vie et je me dois très vite descendre de ce nuage de pensées délicieuses.
Plusieurs jours passèrent et l’utopie de le revoir au hasard disparût très vite. Toutefois, j’allais bien être amené à le rencontrer de nouveau et surtout, une solide amitié allait naître entre nous deux. Un après-midi alors que je rentrais de cours, ma mère m’informa derrière ses fourneaux que mon petit frère invitait l’un de ses amis à dormir à la maison tout un week-end. D’accord, pourquoi pas ? De toute façon, vous faîtes bien ce que vous voulez, je m’en fous complètement.
De ma part, elle n’a pas obtenu aucune réaction car la première chose que je voulais faire était de me réfugier dans ma chambre pour lire les mangas que je venais tout juste d’acheter. Le reste de la journée défila tranquillement et j’entendis mon frère monter dans sa chambre, en compagnie de son fameux copain. Dans la cage d’escalier, je l’ai entendu l’appeler par son prénom : Anthony. Décidément, il fallait croire que le destin semblait vouloir s’acharner sur moi et au fond de mon être, je me disais que ce garçon n’était sûrement pas aussi beau que celui que je connaissais. Lorsque ma mère nous appela pour le dîner, je sortis de ma chambre et descendit de l’étage.
Et là, bonheur complet. Celui qui allait se tenir à mes côtés autour de la table n’était autre qu’Anthony et qu’en plus, c’était celui que j’avais pu admirer quelques jours plutôt. Le revoir me fit vraiment plaisir et lorsque je pris place sur ma chaise, je décidai de discuter avec lui afin de le connaître un peu. Au bout d’un quart d’heure, mon frère était ravi que je m’entende si bien avec son camarade de classe car je ne m’étais pas rendu compte qu’on n’arrêtait pas de parler. Le courant passait bien entre nous deux et l’évidence qu’une amitié était en train de se tisser sautait aux yeux.
Après s’être restauré, je quittai la cuisine pour retourner dans ma chambre, seul endroit de la maison où je me sentais vraiment le mieux. A la base, je suis un garçon discret et solitaire, plutôt indépendant. De plus, comme je traversais ma période existentielle, il valait mieux que je reste loin de tout pour gérer cette crise du mieux que je le pouvais. Alors que mon frère se prépara pour prendre sa douche, Anthony me demanda s’il pouvait rester avec moi dans ma chambre. Comme je n’y voyais aucun inconvénient, il obtenu un oui de ma part.
Et pendant que mon frangin était à l’étage en-dessous, Anthony et moi continuons de renforcer notre amitié naissante. A la suite d’une conversation, il me demanda d’être son grand frère puisque le sien vivait à des centaines de kilomètres, le faisant souffrir par la même occasion. Comme j’y voyais là une bonne occasion de m’approcher de lui, j’acceptai volontiers une fois encore. Au fur et à mesure de ses nombreux week-ends chez nous, je découvris que sous ses airs de petit branleur, Anthony était un garçon très sensible et qui ne cessait de souffrir. Très tôt, ses parents ont divorcé et sa mère est partie vivre dans la capitale, en emportant son grand-frère sous le bras.
Ensuite, son père s’occupait très peu de lui puisque ce dernier était occupé entre son travail, ce qui était normal, et courir les jupons une fois ses dures journées terminées. Ouais, Anthony était livré à lui-même et il en avait marre que personne ne s’intéresse à lui, que personne ne s’occupe de lui mais surtout, que personne ne l’aime. Touché par son histoire, je pris la décision de le prendre sous mon aile et de lui apporter toute l’attention dont il manquait. Bien sûr, en nouant une telle complicité, notre relation commençait à attiser de la jalousie chez mon petit frère qui n’hésitait pas à menacer Anthony de ne plus l’inviter en week-end. A cela, le joli garçon lui répondit qu’il se foutait complètement puisque c’est moi qui l’inviterais par la suite, ce qui n’était pas faux du tout.
Un vendredi soir alors que mes parents faisaient une fête au rez-de-chaussée avec des amis et qu’Anthony était là, je me sentais fatigué au point que je me suis mis au lit très tôt cette soirée là. Dès que ma tête se posa sur l’oreiller, je me suis senti glisser dans les bras de Morphée très rapidement. Alors que je dormais profondément, j’entendis une petite voix à l’intérieur de mon rêve. Cette voix me demandait simplement si elle pouvait jouer à la console. Pensant que cette question appartenait à mon songe, je répondis oui sans trop m’y attarder. Les minutes passèrent et je dormais toujours.
Au bout d’un moment, je commençais à entendre de la musique, des bruits, des voix et je me demandais si cela venait bien de mon rêve. J’ouvris les yeux et là, je vis ma télévision allumée devant laquelle était assit Anthony, jouant à la console. De suite, je compris que la question n’était pas de mon songe mais bien de lui. Rapidement, je m’assois sur mon lit et je m’apprêtais à prendre Anthony dans mes bras comme j’avais l’habitude de le faire lorsque j’entendis du bruit. Je risquais un œil par-dessus son épaule et aperçus mon petit frère qui avait pourtant pas le droit d’être dans cette pièce.
Fidèle à moi-même, je lui ordonnai de quitter ma chambre, chose qu’il a faite difficilement, en tentant de me convaincre qu’il pouvait rester. Un non catégorique fut prononcé et Anthony vint me rejoindre en lui demandant de partir, ce qu’il fit finalement. Bien sûr, sa jalousie augmenta sensiblement et là encore, de nouvelles menaces à l’encontre du garçon faisant battre mon cœur furent prononcées. Résultat, on s’en moqua puisque j’avais reçu l’approbation de ma mère pour inviter Anthony lorsque j’en ressentirai le besoin. Suite à cela, le calme revint dans ma chambre et l’adolescent reprit sa partie là où il l’avait laissé.
Tendrement, je l’enlaçai dans mes bras et commença à le recouvrir de bisous. Cela ne le dérangeait nullement puisque j’avais prit l’habitude de lui en faire depuis plusieurs jours. Un moment, Anthony se retira de mon étreinte pour se pencher en avant. Là, il éteignit la console puis la télé avant de se remettre dans mes bras.
Etant dans le noir, je me penchai à mon tour sur le côté pour saisir l’interrupteur de ma lampe de chevet.
Très vite, une lumière douce illumina la pièce et je vins me placer correctement derrière mon protégé. Je me sentais bien en l’ayant dans mes bras et lui aussi.
Plusieurs minutes défilèrent sans que l’un d’entre nous fasse le moindre geste lorsque tout à coup, Anthony tourna son joli visage vers le mien.
« On fait quoi ? »
Me demande-t-il. N’ayant aucune idée de distraction, je lui répondis que je lui laissais le choix de choisir notre nouvelle occupation. Evidemment, si on devait s’amuser ensemble, je ne l’aurais plus contre moi et cela me faisais bien chier.
Toutefois, ce qu’il allait me proposer ne m’intéressa pas plus que ça mais bon, tant que je partageais un moment avec lui, je n’allais pas faire la fine bouche. Anthony ne me proposa rien de plus de me chamailler fraternellement avec lui.
J’acceptai bien que j’aurais voulu qu’il me propose quelque chose d’autre et me voilà attrapant ma taie d’oreiller pour tenter de l’étrangler avec. Comme il ne s’y attendait pas, le garçon ne répliqua nullement à mon agression pendant plusieurs secondes. Ensuite, il parvient à se dégager puisque mon étreinte n’était pas assez robuste pour le maintenir dans cette position. J’aime Anthony et je ne ferais jamais rien qui pourrait lui faire du mal. Il le sait très bien et en profite pleinement, cet enfoiré.
Peu de temps après, je me retrouvai allongé sur mon matelas, Anthony assis sur mon torse. Dans cette position, je pouvais encore bouger mes bras mais il attrapa mes poignets pour les maintenir contre mon lit. Je tentais d’user de ma force pour me libérer mais je fus étonné de découvrir qu’avec un corps si frêle, Anthony pouvait dégager autant de puissance. Vaincu, je capitulai et je ne me suis pas privé pour lui dire. Ne voulant rien savoir, le jeune homme quitta mon torse pour placer ses genoux de chaque côté de ma tête.
Dans cette position, je me retrouvai juste en-dessous de son entrejambe et je regrettai que mon jeune ami ait toujours son pantalon. S’il avait été en caleçon, j’aurais prit le risque de lui passer ma langue à l’endroit même où se trouvait son attirail sexuel mais là, je ne pouvais rien faire. Soudain, Anthony commença à imprimer des mouvements de va-et-vient au niveau de son bassin et se lâchait complètement.
« Vas-y, suce-moi, c’est trop bon, oh oui ! »
Suite à ce comportement, je partis dans un fou rire et bientôt, Anthony m’accompagnait tout en arrêtant de bouger la partie inférieure de son corps. Lorsque nos rires cessèrent, on se regarda dans les yeux, se demandant bien ce qu’on n’allait pouvoir faire. C’est là que je pris la décision de bousculer les choses pour savoir si j’avais mes chances avec lui. S’il me répondait négativement, j’espérai qu’on pourrait rester ami mais surtout, frangin et s’il me répondait positivement, je serais le plus heureux des hommes. Cependant, au moment où j’allais lui déclarer ma flemme, Anthony me devança.
« C’est bizarre mais je commençai à bander pendant que je faisais mon chaud du bassin.
- Tu es sérieux ? Demandai-je.
- Ouais et là encore, rien que d’en parler me mets dans un état. »
Anthony s’empoigna le sexe à travers le tissu du pantalon et me vit admirer la forme de celui-ci. Visiblement, il semblait plutôt long et à cette vision, c’est ma verge qui s’allongea doucement à l’intérieur de mon caleçon.
« Tu veux que je te branle ? Lui proposai-je.
- Ouais, ça peut être sympa.
- Cool. Dans ce cas, allonge-toi sur mon lit s’il te plait.
- Entendu. »
Anthony exécuta ma demande et une fois installé sur mon matelas, je me glissa à la hauteur de son entrejambe et attrape l’élastique de son pantalon. Je fis descendre légèrement ce premier vêtement et vit une magnifique bosse pointant fièrement sous le tissu rouge de son boxer. Voir sa queue dans un tel état augmenta ma propre excitation et il ne me fit pas longtemps pour libérer son membre de sa prison de textile. Je trouvais sa queue vraiment splendide. Bien longue, plutôt épaisse et elle semblait vouloir qu’une seule chose : qu’on s’occupe d’elle.
Je décidai de ne pas perdre de temps car une personne pouvait très bien monter à l’étage et me voler ce moment de bonheur. Du coup, je m’emparai très vite de son chibre que je commençai à masturber tout doucement. Au premier passage, je le décalottai et je pus admirer son gland violacé qui était assez imposant. Mes caresses s’enchainèrent et très vite, Anthony dû ouvrir la bouche pour mieux respirer. Mon envie de le sucer se fit de plus en plus forte et je me faisais violence pour ne pas l’implorer.
« Suce-moi s’il te plait. »
Me proposa-t-il alors que je ne pensais pas du tout qu’il accepterait volontiers de se faire pomper le nœud par un mec. Il ne fallait pas me le demander deux fois. Son gland disparu aussitôt dans ma bouche et voilà que ma langue se promena sur toute sa surface. Là encore, Anthony rencontra des difficultés pour respirer puisque des gémissements se manifestèrent de son côté. Fallait croire que cette fellation lui faisait le plus grand bien et le savoir me remplit de joie.
Au fur et à mesure que je le suçais, je ne tardai pas à lui dévoiler tout mon art en lui faisant à plusieurs reprises, le coup de la gorge profonde. A chaque fois que sa verge disparaissait entièrement dans ma bouche, le garçon ne put retenir ses expressions de bien-être. Au bout d’un moment, je voulais savoir ce qu’il pensait réellement, par perversité peut-être.
« Alors, tu trouves ça comment ?
- C’est super bon, tu vas continuer j’espère ?
- Bien sûr. »
Et à la fin de cette conversation, je repris ma tâche de le soulager complètement.
Cette fellation dura plusieurs minutes lorsqu’à un moment, Anthony me surprit une nouvelle fois.
« Je peux te sucer s’il te plait. »
Ne m’attendant pas à cette proposition, je libérai son membre de ma bouche pour savoir exactement jusqu’où il voulait aller.
« Tu n’es pas obligé de me le faire par politesse tu sais. Si je te fais ça, c’est parce que j’aime, c’est tout.
- Je sais mais j’ai vraiment envie et en plus, cela sera ma première fois.
- D’accord. »
Je quittai ma position pour m’allonger à ses côtés. Ensuite, Anthony se glissa pour se retrouver à la hauteur de mon bassin et ne s’attarda pas à baisser mon pantalon et mon sous-vêtement. Ensuite, il mastiqua avec une grande rapidité et une certaine violence que je lui demandai de se montrer plus doux. Docile, il ralenti la cadence et peu de temps plus tard, je vis ma tige se glisser entre ses lèvres. Pour un débutant, je le trouvais plutôt doué.
Me voilà à mon tour victime du plaisir et je sentis les nombreux frissons parcourir mon corps à chaque passage de sa langue sur ma verge. Pour mieux apprécier ce moment, je fermai les yeux et me concentrai uniquement sur le bien fou que me faisait mon jeune partenaire. Tout à coup, il changea sa position pour m’offrir son cul à portée de mains. Comme j’étais complètement novice concernant cette zone, je décidai que je pouvais désormais tout me permettre avec Anthony. Sans lui demander le moindre avis, je glissai un doigt le long de sa raie et je caressai tout doucement ce joli chemin dessiné dans le creux de ses fesses.
Un moment, je proposai à Anthony de prendre la position dite du soixante-neuf afin que je puisse le sucer en même temps. Bizarrement, le jeune homme refusa, poursuivant la pipe qu’il était en train de m’offrir. Reculant davantage son postérieur vers moi, je compris qu’il voulait que je poursuive mes caresses de ce côté. Se pourrait-il qu’Anthony se découvre via ce premier rapport sexuel mais surtout, qu’il soit passif ?
S’il voulait que je le pénètre, j’accepterai bien volontiers.
Là, l’extrémité de mon index trouva l’entrée de son intimité et alors que je m’apprêtai à l’enfoncer, nous entendîmes un bruit. C’était la porte se trouvant au pied de l’escalier qui venait tout juste d’être ouverte. Comprenant de suite qu’une personne allait monter les marches, on se dépêcha de mettre un terme à nos jeux sexuels pour s’habiller correctement. Ensuite, j’attrapai un livre alors qu’Anthony ralluma la télévision et la console. Quelques secondes plus tard, mon frère entra dans sa chambre et cette frayeur d’être surpris nous quitta très vite.
J’étais en colère de n’avoir pu terminer mon travail mais en plus, je n’avais pu récolter le sperme de mon amant pour m’en délecter. Néanmoins, alors que j’étais déçu et énervé, j’étais encore loin de m’imaginer que notre nouvelle relation n’était qu’à ses débuts. Pourquoi ? Parce que plus tard, Anthony viendra me trouver dans ma chambre pour sollicite mes faveurs, une nouvelle fois. Bien sûr, cette occasion me remplira de bonheur mais aussi, me fera atrocement souffrir dans ce futur qui se dessinait à l’horizon.
Première partie.
L’adolescence est un moment clé dans la vie de chacun d’entre nous. Nous passons notre temps à se poser des questions sur nous-mêmes, à mettre l’autorité de nos parents en question, découvrir notre corps, vivre nos premières déceptions sentimentales… Oui, le passage de l’enfance à l’adulte ne se fait pas dans la facilité mais chacun d’entre nous est obligé d’y passer. Durant cette période, je me rendis compte que je passais beaucoup plus de temps à regarder les garçons plutôt que les filles. En réalité, j’étais toujours vierge à cet âge et franchir le cap ne m’inquiétait pas plus que ça.
Néanmoins, une rencontre allait bouleverser ma jeune existence et me permettre, par la même occasion, d’avoir mes premiers rapports. C’était une fin d’après-midi de septembre. Le jour commençait à décliner à l’horizon et moi, je me trouvais déjà dans le centre-ville. Installé sur un banc en métal, attendant tranquillement le bus qui devait me reconduire chez moi, je vis une jeune fille de mon âge prendre place à mes côtés, sur ma gauche. Suite à cela, je repris mon mal en patience car le bus n’allait pas arriver avant une bonne demi-heure.
J’aurais très bien pu faire mes devoirs pour me passer le temps mais je dois avouer que je n’étais pas connu pour être un élève des plus sérieux. Les exercices attendront un bon moment avant que je m’attarde dessus voir jamais. Soudain, des insultes fusent et attirent ma curiosité. De suite, je lève la tête et vit arriver un duo d’adolescents connus de celle qui se trouvait à mes côtés. Face à ce comportement agressif, il était normal qu’elle réagisse de la même façon et bien sûr, les deux garçons s’approchaient pour l’embêter un peu.
L’un de ces jeunes hommes attira ma curiosité. De suite, je l’ai trouvé très beau. Il était châtain, la peau mât, les yeux marrons, plutôt grand et très svelte. Je ne cessais de l’observer tandis qu’il se déplaçait en courant, afin d’éviter les coups de sacs que tentait de lui donner l’adolescente. A ce moment, je mourrais d’envie de connaître son prénom et là, j’entendis un :
« Je vais te déglinguer Anthony ! »
Merci mademoiselle de me donner un coup de mains. Donc, ce joli garçon qui ne cesse de gesticuler sous mes yeux se nomme Anthony. Voilà un bien beau prénom pour un être dont la beauté ne me laissait guère indifférent. Toutefois, je ne me nourrissais d’aucun espoir. Jamais je n’aurais la chance de le revoir car cet instant n’est juste qu’un simple aléa de la vie et je me dois très vite descendre de ce nuage de pensées délicieuses.
Plusieurs jours passèrent et l’utopie de le revoir au hasard disparût très vite. Toutefois, j’allais bien être amené à le rencontrer de nouveau et surtout, une solide amitié allait naître entre nous deux. Un après-midi alors que je rentrais de cours, ma mère m’informa derrière ses fourneaux que mon petit frère invitait l’un de ses amis à dormir à la maison tout un week-end. D’accord, pourquoi pas ? De toute façon, vous faîtes bien ce que vous voulez, je m’en fous complètement.
De ma part, elle n’a pas obtenu aucune réaction car la première chose que je voulais faire était de me réfugier dans ma chambre pour lire les mangas que je venais tout juste d’acheter. Le reste de la journée défila tranquillement et j’entendis mon frère monter dans sa chambre, en compagnie de son fameux copain. Dans la cage d’escalier, je l’ai entendu l’appeler par son prénom : Anthony. Décidément, il fallait croire que le destin semblait vouloir s’acharner sur moi et au fond de mon être, je me disais que ce garçon n’était sûrement pas aussi beau que celui que je connaissais. Lorsque ma mère nous appela pour le dîner, je sortis de ma chambre et descendit de l’étage.
Et là, bonheur complet. Celui qui allait se tenir à mes côtés autour de la table n’était autre qu’Anthony et qu’en plus, c’était celui que j’avais pu admirer quelques jours plutôt. Le revoir me fit vraiment plaisir et lorsque je pris place sur ma chaise, je décidai de discuter avec lui afin de le connaître un peu. Au bout d’un quart d’heure, mon frère était ravi que je m’entende si bien avec son camarade de classe car je ne m’étais pas rendu compte qu’on n’arrêtait pas de parler. Le courant passait bien entre nous deux et l’évidence qu’une amitié était en train de se tisser sautait aux yeux.
Après s’être restauré, je quittai la cuisine pour retourner dans ma chambre, seul endroit de la maison où je me sentais vraiment le mieux. A la base, je suis un garçon discret et solitaire, plutôt indépendant. De plus, comme je traversais ma période existentielle, il valait mieux que je reste loin de tout pour gérer cette crise du mieux que je le pouvais. Alors que mon frère se prépara pour prendre sa douche, Anthony me demanda s’il pouvait rester avec moi dans ma chambre. Comme je n’y voyais aucun inconvénient, il obtenu un oui de ma part.
Et pendant que mon frangin était à l’étage en-dessous, Anthony et moi continuons de renforcer notre amitié naissante. A la suite d’une conversation, il me demanda d’être son grand frère puisque le sien vivait à des centaines de kilomètres, le faisant souffrir par la même occasion. Comme j’y voyais là une bonne occasion de m’approcher de lui, j’acceptai volontiers une fois encore. Au fur et à mesure de ses nombreux week-ends chez nous, je découvris que sous ses airs de petit branleur, Anthony était un garçon très sensible et qui ne cessait de souffrir. Très tôt, ses parents ont divorcé et sa mère est partie vivre dans la capitale, en emportant son grand-frère sous le bras.
Ensuite, son père s’occupait très peu de lui puisque ce dernier était occupé entre son travail, ce qui était normal, et courir les jupons une fois ses dures journées terminées. Ouais, Anthony était livré à lui-même et il en avait marre que personne ne s’intéresse à lui, que personne ne s’occupe de lui mais surtout, que personne ne l’aime. Touché par son histoire, je pris la décision de le prendre sous mon aile et de lui apporter toute l’attention dont il manquait. Bien sûr, en nouant une telle complicité, notre relation commençait à attiser de la jalousie chez mon petit frère qui n’hésitait pas à menacer Anthony de ne plus l’inviter en week-end. A cela, le joli garçon lui répondit qu’il se foutait complètement puisque c’est moi qui l’inviterais par la suite, ce qui n’était pas faux du tout.
Un vendredi soir alors que mes parents faisaient une fête au rez-de-chaussée avec des amis et qu’Anthony était là, je me sentais fatigué au point que je me suis mis au lit très tôt cette soirée là. Dès que ma tête se posa sur l’oreiller, je me suis senti glisser dans les bras de Morphée très rapidement. Alors que je dormais profondément, j’entendis une petite voix à l’intérieur de mon rêve. Cette voix me demandait simplement si elle pouvait jouer à la console. Pensant que cette question appartenait à mon songe, je répondis oui sans trop m’y attarder. Les minutes passèrent et je dormais toujours.
Au bout d’un moment, je commençais à entendre de la musique, des bruits, des voix et je me demandais si cela venait bien de mon rêve. J’ouvris les yeux et là, je vis ma télévision allumée devant laquelle était assit Anthony, jouant à la console. De suite, je compris que la question n’était pas de mon songe mais bien de lui. Rapidement, je m’assois sur mon lit et je m’apprêtais à prendre Anthony dans mes bras comme j’avais l’habitude de le faire lorsque j’entendis du bruit. Je risquais un œil par-dessus son épaule et aperçus mon petit frère qui avait pourtant pas le droit d’être dans cette pièce.
Fidèle à moi-même, je lui ordonnai de quitter ma chambre, chose qu’il a faite difficilement, en tentant de me convaincre qu’il pouvait rester. Un non catégorique fut prononcé et Anthony vint me rejoindre en lui demandant de partir, ce qu’il fit finalement. Bien sûr, sa jalousie augmenta sensiblement et là encore, de nouvelles menaces à l’encontre du garçon faisant battre mon cœur furent prononcées. Résultat, on s’en moqua puisque j’avais reçu l’approbation de ma mère pour inviter Anthony lorsque j’en ressentirai le besoin. Suite à cela, le calme revint dans ma chambre et l’adolescent reprit sa partie là où il l’avait laissé.
Tendrement, je l’enlaçai dans mes bras et commença à le recouvrir de bisous. Cela ne le dérangeait nullement puisque j’avais prit l’habitude de lui en faire depuis plusieurs jours. Un moment, Anthony se retira de mon étreinte pour se pencher en avant. Là, il éteignit la console puis la télé avant de se remettre dans mes bras.
Etant dans le noir, je me penchai à mon tour sur le côté pour saisir l’interrupteur de ma lampe de chevet.
Très vite, une lumière douce illumina la pièce et je vins me placer correctement derrière mon protégé. Je me sentais bien en l’ayant dans mes bras et lui aussi.
Plusieurs minutes défilèrent sans que l’un d’entre nous fasse le moindre geste lorsque tout à coup, Anthony tourna son joli visage vers le mien.
« On fait quoi ? »
Me demande-t-il. N’ayant aucune idée de distraction, je lui répondis que je lui laissais le choix de choisir notre nouvelle occupation. Evidemment, si on devait s’amuser ensemble, je ne l’aurais plus contre moi et cela me faisais bien chier.
Toutefois, ce qu’il allait me proposer ne m’intéressa pas plus que ça mais bon, tant que je partageais un moment avec lui, je n’allais pas faire la fine bouche. Anthony ne me proposa rien de plus de me chamailler fraternellement avec lui.
J’acceptai bien que j’aurais voulu qu’il me propose quelque chose d’autre et me voilà attrapant ma taie d’oreiller pour tenter de l’étrangler avec. Comme il ne s’y attendait pas, le garçon ne répliqua nullement à mon agression pendant plusieurs secondes. Ensuite, il parvient à se dégager puisque mon étreinte n’était pas assez robuste pour le maintenir dans cette position. J’aime Anthony et je ne ferais jamais rien qui pourrait lui faire du mal. Il le sait très bien et en profite pleinement, cet enfoiré.
Peu de temps après, je me retrouvai allongé sur mon matelas, Anthony assis sur mon torse. Dans cette position, je pouvais encore bouger mes bras mais il attrapa mes poignets pour les maintenir contre mon lit. Je tentais d’user de ma force pour me libérer mais je fus étonné de découvrir qu’avec un corps si frêle, Anthony pouvait dégager autant de puissance. Vaincu, je capitulai et je ne me suis pas privé pour lui dire. Ne voulant rien savoir, le jeune homme quitta mon torse pour placer ses genoux de chaque côté de ma tête.
Dans cette position, je me retrouvai juste en-dessous de son entrejambe et je regrettai que mon jeune ami ait toujours son pantalon. S’il avait été en caleçon, j’aurais prit le risque de lui passer ma langue à l’endroit même où se trouvait son attirail sexuel mais là, je ne pouvais rien faire. Soudain, Anthony commença à imprimer des mouvements de va-et-vient au niveau de son bassin et se lâchait complètement.
« Vas-y, suce-moi, c’est trop bon, oh oui ! »
Suite à ce comportement, je partis dans un fou rire et bientôt, Anthony m’accompagnait tout en arrêtant de bouger la partie inférieure de son corps. Lorsque nos rires cessèrent, on se regarda dans les yeux, se demandant bien ce qu’on n’allait pouvoir faire. C’est là que je pris la décision de bousculer les choses pour savoir si j’avais mes chances avec lui. S’il me répondait négativement, j’espérai qu’on pourrait rester ami mais surtout, frangin et s’il me répondait positivement, je serais le plus heureux des hommes. Cependant, au moment où j’allais lui déclarer ma flemme, Anthony me devança.
« C’est bizarre mais je commençai à bander pendant que je faisais mon chaud du bassin.
- Tu es sérieux ? Demandai-je.
- Ouais et là encore, rien que d’en parler me mets dans un état. »
Anthony s’empoigna le sexe à travers le tissu du pantalon et me vit admirer la forme de celui-ci. Visiblement, il semblait plutôt long et à cette vision, c’est ma verge qui s’allongea doucement à l’intérieur de mon caleçon.
« Tu veux que je te branle ? Lui proposai-je.
- Ouais, ça peut être sympa.
- Cool. Dans ce cas, allonge-toi sur mon lit s’il te plait.
- Entendu. »
Anthony exécuta ma demande et une fois installé sur mon matelas, je me glissa à la hauteur de son entrejambe et attrape l’élastique de son pantalon. Je fis descendre légèrement ce premier vêtement et vit une magnifique bosse pointant fièrement sous le tissu rouge de son boxer. Voir sa queue dans un tel état augmenta ma propre excitation et il ne me fit pas longtemps pour libérer son membre de sa prison de textile. Je trouvais sa queue vraiment splendide. Bien longue, plutôt épaisse et elle semblait vouloir qu’une seule chose : qu’on s’occupe d’elle.
Je décidai de ne pas perdre de temps car une personne pouvait très bien monter à l’étage et me voler ce moment de bonheur. Du coup, je m’emparai très vite de son chibre que je commençai à masturber tout doucement. Au premier passage, je le décalottai et je pus admirer son gland violacé qui était assez imposant. Mes caresses s’enchainèrent et très vite, Anthony dû ouvrir la bouche pour mieux respirer. Mon envie de le sucer se fit de plus en plus forte et je me faisais violence pour ne pas l’implorer.
« Suce-moi s’il te plait. »
Me proposa-t-il alors que je ne pensais pas du tout qu’il accepterait volontiers de se faire pomper le nœud par un mec. Il ne fallait pas me le demander deux fois. Son gland disparu aussitôt dans ma bouche et voilà que ma langue se promena sur toute sa surface. Là encore, Anthony rencontra des difficultés pour respirer puisque des gémissements se manifestèrent de son côté. Fallait croire que cette fellation lui faisait le plus grand bien et le savoir me remplit de joie.
Au fur et à mesure que je le suçais, je ne tardai pas à lui dévoiler tout mon art en lui faisant à plusieurs reprises, le coup de la gorge profonde. A chaque fois que sa verge disparaissait entièrement dans ma bouche, le garçon ne put retenir ses expressions de bien-être. Au bout d’un moment, je voulais savoir ce qu’il pensait réellement, par perversité peut-être.
« Alors, tu trouves ça comment ?
- C’est super bon, tu vas continuer j’espère ?
- Bien sûr. »
Et à la fin de cette conversation, je repris ma tâche de le soulager complètement.
Cette fellation dura plusieurs minutes lorsqu’à un moment, Anthony me surprit une nouvelle fois.
« Je peux te sucer s’il te plait. »
Ne m’attendant pas à cette proposition, je libérai son membre de ma bouche pour savoir exactement jusqu’où il voulait aller.
« Tu n’es pas obligé de me le faire par politesse tu sais. Si je te fais ça, c’est parce que j’aime, c’est tout.
- Je sais mais j’ai vraiment envie et en plus, cela sera ma première fois.
- D’accord. »
Je quittai ma position pour m’allonger à ses côtés. Ensuite, Anthony se glissa pour se retrouver à la hauteur de mon bassin et ne s’attarda pas à baisser mon pantalon et mon sous-vêtement. Ensuite, il mastiqua avec une grande rapidité et une certaine violence que je lui demandai de se montrer plus doux. Docile, il ralenti la cadence et peu de temps plus tard, je vis ma tige se glisser entre ses lèvres. Pour un débutant, je le trouvais plutôt doué.
Me voilà à mon tour victime du plaisir et je sentis les nombreux frissons parcourir mon corps à chaque passage de sa langue sur ma verge. Pour mieux apprécier ce moment, je fermai les yeux et me concentrai uniquement sur le bien fou que me faisait mon jeune partenaire. Tout à coup, il changea sa position pour m’offrir son cul à portée de mains. Comme j’étais complètement novice concernant cette zone, je décidai que je pouvais désormais tout me permettre avec Anthony. Sans lui demander le moindre avis, je glissai un doigt le long de sa raie et je caressai tout doucement ce joli chemin dessiné dans le creux de ses fesses.
Un moment, je proposai à Anthony de prendre la position dite du soixante-neuf afin que je puisse le sucer en même temps. Bizarrement, le jeune homme refusa, poursuivant la pipe qu’il était en train de m’offrir. Reculant davantage son postérieur vers moi, je compris qu’il voulait que je poursuive mes caresses de ce côté. Se pourrait-il qu’Anthony se découvre via ce premier rapport sexuel mais surtout, qu’il soit passif ?
S’il voulait que je le pénètre, j’accepterai bien volontiers.
Là, l’extrémité de mon index trouva l’entrée de son intimité et alors que je m’apprêtai à l’enfoncer, nous entendîmes un bruit. C’était la porte se trouvant au pied de l’escalier qui venait tout juste d’être ouverte. Comprenant de suite qu’une personne allait monter les marches, on se dépêcha de mettre un terme à nos jeux sexuels pour s’habiller correctement. Ensuite, j’attrapai un livre alors qu’Anthony ralluma la télévision et la console. Quelques secondes plus tard, mon frère entra dans sa chambre et cette frayeur d’être surpris nous quitta très vite.
J’étais en colère de n’avoir pu terminer mon travail mais en plus, je n’avais pu récolter le sperme de mon amant pour m’en délecter. Néanmoins, alors que j’étais déçu et énervé, j’étais encore loin de m’imaginer que notre nouvelle relation n’était qu’à ses débuts. Pourquoi ? Parce que plus tard, Anthony viendra me trouver dans ma chambre pour sollicite mes faveurs, une nouvelle fois. Bien sûr, cette occasion me remplira de bonheur mais aussi, me fera atrocement souffrir dans ce futur qui se dessinait à l’horizon.
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