Barcelone 3 - histoire érotique

Je ne sais pas pourquoi mais mon dos me démangeait et j'ai passé la main dessus. Je sentais comme des marques. C'est Juan qui voyant mon geste a compris. Hé la frangine a vraiment pris son pied. Tu t'es fait labouré le dos par ses ongles. Ce seront tes premières blessures d'amour. Le temps que le taxi arrive elle va te passer du baume sur les griffures et on s'habillera pour aller en ville. C'est la bonne heure.
Je suis monté derrière Julia, son tee shirt ne cachait ni son cul ni son con, m'affolant. J'ai retiré le tee shirt pour lui laisser appliquer la crème. Le tissus était taché de traces de sang par endroit. Bon attend deux minutes que j'enfile une robe ce ne sera pas long.
Elle est revenue avec une robe moulée sur elle, en tissus si léger qu'on devinait facilement l'aréole des seins et qui ne descendait que peu au dessous de son sexe. Voila, je suis prête. Avec ses converses elle était le parfait objet du désir des mâles et pour le moment elle était mienne!
Toi tu mets que des baskets aux pieds, t'es parfait avec le bermuda et le tee shirt. Barcelone est hyper cool, tu verras.
On a rejoint les deux amoureux Olivier avait un petit haut moulant très féminin qui laissait le ventre découvert et un short moulant qui ne devait rien avoir dessous. ll portait des converses roses ce qui m'a fait sourire. Juan lui avait mis un jean cuir et un gilet pareil, noir, des botts aux pieds, très mâle. La vraie caricature du maître SM. En plus mignon. Le taxi a klaxonné est on est sorti. Julia s'était assise devant nous laissant la banquette pour nous trois. J'ai pas regardé la route au début, matant plutôt la main de Julia, à peine démarré qui se posait sur l'entrejambe du chauffeur, la garce. Le frère paluchait Juan la main droite posée sur ma cuisse mais immobile. En approchant du centre j'ai commencé à regarder dehors. La foule!!!
A croire que tout Barcelone était dehors la nuit. Le chauffeur nous a débarqué le bord d'une rue mais j'ai bien vite compris qu'on était sur les ramblas. On a pris l'allée centrale. Les gens étaient tous gais, pas gay, heureux . J'entendais toutes les langues et avait quelques regards qui se posaient sur moi. Je rougissait encore quand ils étaient insistants mais moins. J'avais changé. J'ai pris Julia par la taille et elle s'est aussitôt collée à moi. Les deux amis avaient droit à leur lot de regards souriants des fois moqueurs mais jamais méprisant. Je découvrais une ville dans son meilleur. Des tables étaient sur le bord de l'allée et on devinait aux couleurs changeantes que c'était différents établissements. Julia nous a invité à l'un d'eux. sans se presser un serveur est arrivé, déjà un pichet à la main. et lui a parlé. Je comprenais mais c'est tout. Il a servi de la sangria très sombre et il est reparti. J'ai compris que Julia avait commandé un assortiments de tapas qu'on se partagerait, et du vin mais la je ne connaissais pas lequel.
Les gens passaient au centre et j'ai vu de petits signes de Julia ou de Juan auquels des mecs répondaient. De rares filles souriaient à Julia avec un petit signe de connivence.
Le deuxième verre de sangria a commencé à me chauffer je n'étais pas habitué. La mainde Julia s'est posée naturellement sur ma cuisse, déclenchant une érection d'enfer. La courte nappe ne cachait pas la bosse de mon bermuda mais perdu dans la foule personne n'y a fait attention si ce n'est Juan qui m'a souri.
Elle est bonne la frangine, elle te fait de l'effet!
Oui on peut dire ça comme ça.
C'est vrai que t'as l'air bien équipé. Déjà mesuré?
Non mais bon dans les 25, un peu plus qu'un empan. Et mes doigts font pas le tour complet. Je me demandais pourquoi je disais ça à Juan mais ce devait être l'alcool.
Julia a souri. Oui c'est à peu prés ça. Dans les 25 et très épaisse elle me remplit bien.
Le serveur est revenu et a fait plusieurs aller retour avec pas mal de petits plats, et poser le pichet de vin sur la table. Les tapas étaient excellents et j'avais faim. En fait, on avait tous faim et à part Olivier qui chipotait pour ne pas prendre de poids On s'est repu sans avoir besoin de dessert. Olivier a tenu à payer ce repas de retrouvaille et j'ai vu le prix, c'était pas cher! On est reparti sur les ramblas. J'avais à moitié débandé mais Julia avait de la suite dans les idées. Après avoir convenu avec les autres de la boîte où on allait se retrouver elle m'a emmenée dans une allée discrète puis sous un porche. Là, elle s'est penché en baissant mon bermuda et m'a sucé comme une folle de bite. Dehors dans la rue j'avais jamais fait, comme beaucoup de choses encore que je découvrais. Une fois bien raide ( ce qui n'a pas été long) elle s'est redressée et a collé ses fesses en relevant à peine sa robe. J'ai du l'enculer car le trou était serré un peu mais elle a feulé comme une chatte quand j'ai ramoné son trou. J'ai juste eu le temps de me retirer avant de gicler sur le visage qu'elle avait relevé vers moi.
Toi je vais pas te lacher! Elle ramenait mon jus vers ses lèvres en me regardant vicieusement. Relevé elle avait la robe sur les reins, montrant ses fesses et un couple qui passait a ri de bonheur. Elle, elle a souri. J'espère que t'es près à aller loin avec moi.
Fier de moi j'ai répondu, autant que tu voudras avant de l'embrasser. Sa salive avait le goût de mon sperme mais ça ne me dérangeait plus.
On est allé rejoindre les amoureux . La boîte était pleine de couples ou pas , autant d'homme que de femmes et pas toujours l'un avec l'autre. Décidemment il fallait que je révise mes préjugés sur l'Espagne. On s'est frayé un passage au bar. Je sentais des mains un peu partout sans les identifier.Olivier avait le grand sourire.
Vous buvez quoi? Tu découvres petit frère? Eh oui ici je vis come je veux. Toi aussi d'ailleurs vu vos lèvres luisantes. La boisson arrivée ils sont partis danser ensemble. Curieusement j'étais heureux pour eux. On a un peu bu, beaucoup dansé et j'ai eu un moment ou la tête m'a tournée et je me souviens plus de la soirée. J'ai repris mes esprits dans le lit de Julia. Elle me chevauchait, se ramonant sur moi comme une furie. J'ai eu envie de toucher ses seins mais je me suis rendu compte que mes poignets étaient attachés de chaque coté du lit.
Elle a bien vu que j'émergeais. et a eu un petit sourire.
Je sais pas qui t'as fait boire iune saloperie mais je t'ai ramené vite fait avant qu'on profite de toi. Comme ça c'est moi qui profite.
Mais pourquoi m'attacher?
C'est bien toi qui m'a dit hier soir que t'étais prêt a aller loin avec moi?
Si je crois après la baise dans la rue.
Ben voilà tu vas apprendre encore plein de choses mon bonhomme. Hier tu te souviens que tu n'a pas demandé quel trou tu prenais?
Oui je sais mais t'as gémi et je sentais bien que t'aimais.
Vous êtes tous pareils. Elle s'était arrêtée , clouée sur ma queue. Tu sais que la où tu m'a pris, t'as le même trou?
Hé! Oui je sais mais je suis pas une fille!
L'usage est le même et parce que je suis une fille tu prends ton plaisir dans mon cul. Elle a passé la main derrière elle, entre mes cuisses, sous mes boules, son doigt a frotté mon anus. J'ai serré les cuisses sur sa main.
Allons! Fais plus ton puceau. Laisse toi alller. Elle est remontée sur ma queue pous retomber dessus à fond. Je bandais comme un fou mais je n'osais imaginer ses idées de femelle. Elle m'a bien forcé à jouir dans son con, titillant mon anus et c'est elle qui a décidé, enfonçant son doigt de peu mais ça a suffit pour jouir intensément en la soulevant, décollant mon dos.
Non! Pas ça stp!
Elle a pas répondu de suite savourant sa propre jouissance.
Humm , pourquoi pas. Y a que toi et moi qui sauront.