Bon anniversaire ! - histoire érotique

Je m’appelle Julie, je me suis teint les cheveux en noir, ils descendent jusqu’à mes épaules je mesure 1m68 et pèse 54kg, j’ai un petit 85b.

Vous me visualisez plus ou moins ?

Je vais vous en dire plus sur moi, j’aime beaucoup le sexe, au début je couchais en espérant être aimée, mais j’ai vite compris que ce n’était pas ainsi que ça arrivais, seulement j’y avais pris goût et je couchais à gauche à droite, pour ceux qui le savaient j’étais une salope, pas totalement faux dans un sens !

Mais j’étais amoureuse, amoureuse d’un garçon que j’avais rencontré par hasard, l’ami d’un de mes amis, on avait parlé tout simplement, sans sous entendu, il était souriant et même quand dans les conversation de groupe on parlait de sexe, lui ne disait rien, il restait là à écouter et pourtant on savait tous et toutes qu’il avait eu beaucoup de copine, mais sa discrétion et son coté réservé était sa particularité !

Cette semaine là je venais d’avoir 18 ans et il fallait fêter ça dignement ! Je l’invite mais il à déjà un truc de prévu ce jour-là, en continuant de discuter, on voit qu’on ne sera pas loin l’un de l’autre et il me promet de venir boire un verre, j’en suis ravie.

Je suis là avec une majorité d’amie, un copain et mon meilleur ami, il arrive, toujours bien habillé, le genre qui même pour prendre les poubelles pourrait porter une chemise ! Il est souriant comme à son habitude, il reste un petit quart d’heure et repars d’où il venait.

Une de mes amies me demande son numéro, je refuse catégoriquement lui expliquant le pourquoi ! Elle me comprend et me dit de lui faire un message, que c’est l’occasion d’essayer de l’avoir, je n’ose pas hésitante.
Plus tard dans la soirée, alors que je suis un peu pompette, je me décide à lui envoyé un.
« On va dehors un peu ? » il me répond : « Ok ».

Je sors et il est déjà là.

- Tu es toute jolie aujourd’hui pour ton anniversaire.
- Merci. Dis-je timide.
- Par contre tu t’es habillée fort court ! Me dit-il en rigolant.

Il est vrai que je suis en mini short et une blouse sans manche décolletée… Avec mes talons je suis plus grande que lui et je lui fais remarquer.

- T’es tout petit !
- Bah, une fois couchée la taille ça ne compte plus !
- Couchée ?
- Oui, couchée !
- Hein ?

Il se met à rire et dit.

- Une fois que tu seras couchée et nue et que je m’apprêterais à te pénétrer la taille ne comptera plus !
Autant j’aime le sexe, autant je sais que j’étais gênée, mes joues ont due devenir rouge ! Il passe sa main sur ma joue et me dit :

- Ça va je rigole hein, je suis un peu saoul faut m’excuser !
- Moi je ne rigole pas ! Répliquais-je en me disant que c’était le moment.
- Comment ça ? Je t’ai dis quelque chose de mal ?
- Non, mais moi j’ai envie.
- Euh…

Un blanc se fit et je pris mes seins en les faisant balancer et lui dit.

- Tu ne voudrais pas jouer avec.
- Non. Me dit-il froidement.
- Je suis si répugnante ?
- Tu es jolie, mais ça ne m’intéresse pas.
- Pourquoi ?
- Parce que je ne couche pas ainsi !
- Ben pour un mec, tu es un bizarre toi !
- Allais rentre retrouvée tes amies, c’est quand même ton anniversaire !
- Ok… Répondis-je déçue.

Je retournais auprès de mon groupe d’amis, mon amie me demandais alors ce qui s’était passée, je lui expliquai et rigola en disant que celui que j’aimais je ne l’avais pas aussi facilement que les autres, elle me dit alors d’attendre et m’offrit un verre, elle était un peu comme moi, quand ce n’est pas moi qui partait avec un mec en soirée, c’était elle ! Mais ici, elle savait très bien que celui-ci je le voulais que si il voulait juste couchée avec moi j’accepterais, que si notre relation ne arrêterais qu’à ça je signerais à deux mains ! Je lui renvoyais un message plus tard dans la soirée.

- Tu fais quoi ?
- Je bois mon verre et toi ?
- Pareil mais je vais un peu arrêter !
- Tu es saoule ?
- Assez oui…
- A mon avis pas autant que moi !
- A ce point là ?
- Oui !
- On retourne dehors ?
- Si tu veux, j’arrive.

On ressortis, il commençait à faire froid, du moins, moi j’avais froid dans ma petite tenue, lui ne semblait pas avoir froid.

- Tu veux marcher ? Me demanda-t-il.
- Oui.

On se promena un peu, un peu que dis-je on était à l’opposé de la ville, il n’y avait plus rien ici et après fallait faire demi tour !

On finit par s’asseoir sur un muret, comme j’étais tremblotante il me prit dans ses bras.

- Pourquoi tu ne veux pas de moi ?
- C’est comme ça.
- D’autres aurait sauté sur l’occasion.
- Tant mieux pour eux.
- Donne-moi une chance de te motiver.
- Non.
- Allais, c’est mon anniversaire !
- M’en fou.
- Je n’ai même pas eu de cadeau !
- Bah si je suis à coté de toi.
- Une chance !
- Bon ok. Dit-il exaspérer.

Je défis le bouton de mon mini short et pris sa main et lui fit glisser dedans, ma main par-dessus mon mini short et la sienne en dessous, contre mon sexe je faisais bouger celle-ci.

- C’est tout ?
- Quoi c’est tout ?
- C’est comme ça que tu veux me motiver ? Laisse tomber, je n’ai pas envie !
- …

Il retira sa main et me rattacha mon bouton, je le regardais dépité, il tenait tant que ça face à moi ?

- Je dois faire quoi ?
- Il n’y a rien à faire !
- Demande-moi un truc et tu verras que je le fais !
- Arrête.
- Un seul truc et tu verras.
- Tu ne va pas lâcher l’affaire hein non ?
- Non.
- Bon… Laisse-moi réfléchir !

Il réfléchissait et me dit.

- Tu es capable de faire quoi ?
- Demande, je ferais tout !
- Tu ne m’aides pas.
- Ben tu as l’embarras du choix !
- Je risque d’être vache.
- Va-y tu verras !
- Ok.

Il se remit à réfléchir… Il regardait les alentours et me dit.

- Tu vois le restaurant là ? En pointant du doigt.
- Euh oui ?
- Tu y va, tu va trouver le serveur, tu lui dis à l’oreille que tu aimerais qu’il t’écrive sur la fesse : « je suis une grosse cochonne et j’aime que l’on me bourre », et il mettra un glaçon dans ton string, devant !
- Euh…
- Quoi ?
- Bin… C’est… Comment dire…
- C’est toi qui à dit tout !
- Et j’y gagne quoi moi à faire ça ?
- Je te bourrais ! Dit-il en rigolant et insistant sur le dernier mot.

Hésitante, mais l’envie de la suite était là, je me décidai à y aller, j’allais traverser lorsqu’il me dit :

- N’oublie pas de lui demander de prendre une photo de ton cul !
- Oui… Dis-je gênée.

Il fallait qu’il ajoute cela…
Je rentrais dans le restaurant, gênée, je regardais après un serveur, un de ceux-ci me regardait, apparemment lui, je l’aurais eu sans mal ! Je suis allée le trouver et je lui ai dis à l’oreille : « J’aurais un petit service à te demander, seulement il faudrait qu’on ait derrière », il m’emmena derrière et je lui expliquai, celui-ci acceptait à condition que j’accepte avant qu’il me pénètre.

Je refusais d’abord, mais il me dit que sans ça, il ne ferait pas ce que je lui avais demandée, en temps normal, j’aurais dis oui directement, mais ce n’est pas avec lui que je voulais coucher ! Je sortis un préservatifs de mon sac et lui tendis, je détachai mon mini short et l’abaissa, il détacha son pantalon et sortis son sexe qui était déjà dressé et enfila la capote, il s’approcha de moi et révéla mon tee short, faisant passé mes seins par-dessous mon soutien gorge et aller le dégrafer ensuite, il fit un pas en arrière et me regarda le sourire en coin en disant : « hum la bonne salope ! ».

Il ne suffit que de son regard posé sur moi, ainsi que ces paroles pour que j’ai l’envie de me faire fourrer ! Il revint près de moi et m’ôta string et mini short il me prit par les fesses et me souleva pour me déposer sur le plan de travail, il mit son sexe contre le mien et poussa, fini par me pénétrer, il commença ses va et viens, serrant mes fesses et allant sur mes seins, jouant avec, il ne cherchait pas à m’embrasser, c’était purement me baiser qu’il faisait, il éjacula assez vite et se retira, il partit s’essuyer me laissant ainsi… Je restais un petit moment ainsi, assise, les jambes écartées… Ca avais été assez nul mais maintenant j’allais pouvoir remplir ma « mission. »

Je remis mon string et mon mini short, le serveur revint quelque minute plus tard avec à la main un indélébile, il me dit d’abaisser mon mini short, je me mis dos à lui, le détacha à nouveau et le fit glisser le long de mes jambes, une fois au sol je me penchai sur le plan de travail, il écrit alors : « je suis une grosse cochonne et j’aime que l’on me bourre ». Il me dit de rester ainsi, il partit et revint, il écarta le devant de mon string et y glissa avec son autre main un glaçon, il prit alors la photo. Il me mit une tape sur la fesse en me disant : « et voila salope, tu peux partir et merci pour la baise ! », je remis mon mini short, l’attacha et sortis du restaurant.
Je retournais à présent près de mon ami et lui dit que j’avais fais le gage, il me demanda à voir la photo, je lui tendis l’appareil et il regarda, je lui expliquai ce que je du faire pour pouvoir faire le gage, il rigolait en sachant que ça ne me changeais pas trop de mes habitudes.

- Montre-moi.
- Me dit-il.
- Ici ?
- Oui.
- Euh…
- D’accord…
- Tu me rassures !
- Déshabille toi complètement !
- Quoi ?
- Tu m’as bien compris, oui.
- Mais on va me voir !
- Tu n’aimes pas le danger ? C’est toi qui veux coucher avec moi ! Moi je peux très bien retourner auprès de mes amis tranquillement.
- …

Je restai face à lui un peu bête, ne sachant pas quoi faire, à la fois j’avais peur mais l’idée était amusante, je n’avais jamais fais ça ! Je me décidais alors, je mis mes mains en dessous de mon tee short et le relevais pour l’enlever, je détachai encore mon mini short et le fit glisser à mes pieds pour l’enlever à son tour, lui ne bronchais pas ! Je dégrafais mon soutien gorge et l’ôta, il avait un petit sourire et je finis par faire glisser mon string le long de mes jambes et l’enleva, j’étais à présent nue en rue à plus de trois heures du matin, il n’y avait pas grand monde, ce n’était pas un coin fort fréquenté mais un simple client sortait du restaurant et j’étais vue.

- Pas mal. Me dit-il.
Je ne répondis pas.
- Tu me fais un dernier plaisir ?
- Après j’aurais ce que je veux ?
- Oui, j’irais par tous les trous, je ferais tout ce que je veux de toi.
- C’est quoi le dernier plaisir ?
- Tu va te mettre à genou et me supplier de te baiser comme une chienne, fais moi tout un beau petit texte, sans tourner autour du pot .
- D’accord…

Je me mis à genoux, il était franchement en hauteur assis sur son muret, mais il en redescendit et resta debout face à moi, j’étais un peu gênée mais commençais.

« La petite salope que je suis aimerait que tu la bourre, je te sucerais jusqu’à te vider ! Je te laisserais jouer avec ma chatte, avec tes doigts, avec ta queue… Je t’ouvrirais mon cul ! Je suis toute à toi, tu feras tout ce que tu veux de moi, si tu veux m’attacher et m’offrir c’est à toi de choisir, moi je veux juste être ta petite pute même rien que pour ce soir, j’accepterais de réaliser tout tes désirs aussi fou qu’il soit ! ».

- J’accepte ! Me dit-il.

Toujours à genou face à lui, il sortit sa queue et je ne pris pas le temps de réfléchir et la mit en bouche, je la ressortis pour jouer avec ma langue dessus, ma langue passais tout le long jouant avec son gland pour ensuite la remettre, il éjacula dans ma bouche, lorsqu’il eut fini de se vider, il me fit me relever et m’emmena plus loin, dans une sorte de petit bois derrière tout, isoler des gens, un petit banc.

Il me fit m’asseoir dessus et me dit de me doigter ce que je fis immédiatement, il vint très vite mettre son sexe contre le mien et me pénétrer, il mit mes jambes par-dessus ses épaules et ses mains se placèrent sur mes fesses qu’il sera fort, ses coups de reins était plus fort et je le sentais encore plus en moi, je poussais des petits cris tellement c’était bon…

Après un petit moment, il se mit à éjaculer en moi et se retira, ça alla sur mon ventre et il dirigea son sexe vers ma bouche terminant d’éjaculer dessus, il le rentra dedans pour que je le nettoie… Il se redressa et me regarda couverte de sperme et pris une photo.

- Celle-ci, je ne l’oublierais pas ! Dit-il souriant.

Il se rhabilla et s’assit, moi je restais couchée, il me fit signe de me doigter ce que je recommençai à faire et il me regardait, reprenant son souffle.

Il me fit me mettre à 4 pattes par terre et me dit de me doigter le cul, mes doigts commencèrent à caresser mon petit trou et j’enfonçais peu à peu l’index, il me dit de rester ainsi… J’avais mal à l’autre bras qui me tenais en équilibre, il me fit signe que je pouvais retirer mon doigt et me jeta mes affaires.

- Rhabille-toi, c’était bon ?
- J’ai encore envie… Dis-je.
- Pas pour aujourd’hui.

Je me rhabilla et on partit… Je m’étais promis que je recommencerais avec lui.