Bourrée dans un chai à vin
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2014 dans la catégorie Plus on est
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Bourrée dans un chai à vin
Nous avons étés invités pour un weekend de vendange dans le bordelais, chez un oncle de thomas mon mari
Alexandre possède une petite propriété viticole et se fait pompeusement appeler ‘régisseur’ et François son employé qualifié de ‘ maitre de chai ’
Dans les vignes ils surveillent de prés les vendangeurs, plus exactement le cul des vendangeuses en pantalon penchées sur les ceps ! le mien y compris ! Ça ne gêne pas thomas qui est fier que je montre mes formes dés que c’est possible, il fait entièrement confiance a son oncle, moi j’y crois beaucoup moins, a mon avis s’il pouvait me coincer quelque part il se ficherait que je sois sa nièce par alliance
Dans les vignes il a fait un temps superbe toute la journée, le soir nous prenons une douche bien méritée avant le repas de clôture des vendanges, thomas a insisté pour que je mette une jupe courte ‘afin d’exciter tous ces hommes de la campagne avides de voir tes cuisses de citadines’, ce sont ses paroles
A table je suis placée entre mon mari et son oncle Alexandre qui ne se gêne pas de reluquer lorsque thomas très excité malaxe mes genoux et quelquefois bien plus haut, son maitre de chai assis en face se contente de me faire du pied
Le repas a été copieux ainsi que l’excellent vin de la propriété, les degrés me montent a la tête, la fatigue de la journée aidant, je suis un peu grise, thomas aime me voir ainsi, il sait qu’au lit je vais me déchainer
- Alors ma petite Odile, comment trouve-tu mon vin ?
- Il est formidablement bon !
- Pourtant tu n’as pas bu le meilleur… thomas ?
- Oui tonton Alexandre ?
- Tu permets que j’enlève ta femme pour je lui fasse gouter mon vin ?
- Pas de soucis, ne la soule pas, j’ai besoin d’elle ce soir au lit !
- Ne t’inquiète pas, j’en prends soin, nous l’emmenons juste un moment au chai, accompagne-moi François
- Oui patron !
Les deux hommes me guident dehors dans le noir, vers le chai a vin, aussi cernée de prés je ne risque pas de me perdre ! Ils se contentent de frôlements sur mes fesses pour me faire changer de direction
- C’est par ici attention à la marche …
Là, c’est François qui me pousse de son ventre un peu bedonnant, léger, malgré cela j’ai bien sentis ce qu’il a entre les jambes pousser sur mon cul, dans ce grand bâtiment mal éclairé règne une odeur que j’adore, un mélange de vin en fermentation et d’alcool, rien pour arranger ma demi-ébriété
Devant une rangée de barriques bien alignées, Alexandre prend un genre de pipette qu’il introduit lentement dans le trou d’un fût, pourquoi cette image m’est-elle apparue érotique ? Voire sexuelle ? Ce n’est qu’un gros tube de verre qui entre dans une bouche étroite, Il en retire un breuvage sombre qu’il laisse ensuite couler dans un verre à demi plein qu’il me tend religieusement
- Boit lentement Odile, fait claquer ton palais
- … Huuuuuummmmmmm que c’est boooooonnnnnn
- Avoue que peu de nectar aussi bon a pénétré ta bouche sensuelle
- Euuuuhhh… Beeeeennnnnn… oui c’est vrai a part …. Non rien, j’allais dire une bêtise !
- Je devine ce que c’est …encore un fût à visiter suit nous
- Il fait noir par là …
- N’ai pas peur nous somment là, tu tremble, tu as froid ? colle-toi contre moi
Le souffle court Alexandre me saisis a bras le corps, sa bouche cherche la mienne, j’ai juste le temps d’éviter ce baiser forcé qui atterrit dans mon cou, a cet endroit cela provoque chez moi une décharge électrique qui me fait perdre tous mes moyens, François profite de mon désarroi pour s’approcher, il caresse mon dos de sa large main rendue calleuse par le travail
- Tout doux ma belle, n’ai pas peur, nous allons juste nous amuser un peu
A quoi bon résister, personne ne me viendra en aide d’ici un bon moment, de tendue comme un arc je me fais chatte, ils n’ont plus qu’a se servir, derrière moi François tire sur mon chemisier, une main rude caresse ma peau nue et brulante, Alexandre tire ma jupe vers le haut afin de dégager mon ventre
Mon soutien gorge est dégrafé, une main passe nerveusement dans ma culotte, j’entrouvre les cuisses, il trouve vite mes chairs tendres rendues sensibles par l’excitation, mon clitoris érigé émerge de mes lèvres, ballotée entre ces deux malles en rut je me laisse tripoter
Embrassée et doigtée de toutes parts, les hommes me poussent sur la barrique, à demi couchée sur le ventre, les seins écrasés sur le bois de chêne, le cul en retrait prête à être saillie, ma culotte est retirée, on me lève un pied pour me désentraver, un genou passé entre mes cuisses sans délicatesse m’oblige à m’écarteler, ces gars là ne connaissent pas les préliminaires, une grosse queue raide pointe dans ma raie a la recherche du trou de ma vulve
- Aide moi merde ! je ne trouve pas l’entrée, cambre-toi davantage !
Les mains en appuis je m’éloigne autant que je peu du fût, dans un râle victorieux et bestial il m’emmanche de toute sa longueur, c’est a mon tour de geindre de plaisir, François, en désespoir de cause se contente de se branler sur mes seins qui ballottent sous moi
- Je vais te la passer après, tu va voir comme elle a le con serré
- Baiser une jeune poulette comme ça c’est le pied patron
- Surtout ne t’en vante pas devant mon neveux
Je vais au devant des coups de reins du régisseur, ma moule est bien ouverte, ça glisse tout seul, avec sa bite raide l’ouvrier tapote fortement mon flanc, en fait il a jouis sur mon sein et il fait tomber les dernières gouttes de foutre que son nœud recrache
- Je lui ai arrosé les nichons ! Vous avez bientôt finit ?
- Je crois que la purée monte ? j’ai beau essayer de penser a autre chose, mais elle est trop bonne …. WOOOOUUUUUUUUUAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!! prend ça dans la chatte salope !
Je me retiens d’hurler au cas où quelqu’un trainerait dans les environs mais il m’a fait jouir comme une reine, sa queue faiblit et sort de mon ventre qui se vide, je garde la pose car mon second amant se prépare à prendre le relais dans ma chatte béante tapissée de sperme
Sa verge courte est plus épaisse, je le sens passer et repasser sur mes muqueuses qui dégorgent de jus, l’excitation à peine retombée remonte rapidement
- Vous entendez comme elle gueule ? Je vais la faire reluire ? Voulez-vous que je lui prépare le cul avec mon pouce ?
- Bonne idée, je vais lui faire la totale avant de la rendre a son mec
Ils veulent me sodomiser ? Que va dire thomas …il a s’apercevoir que je suis dilatée de partout, en même temps il ne peut pas en vouloir a son oncle qui l’a fait seul héritier de ses biens, ceci dit je ne vais rien lui cacher, il saura tout en détails
Le pouce est entré jusqu’à la fourche, en regardant sous mon bras je vois Alexandre qui se masturbe pour se redonner de la vigueur, je tends la main vers sa queue, il a compris ce que je désire, je me lâche d’une main pour me tourner vers lui, il me vient en aide pour que je puisse lâcher le fût et m’agripper a lui,
Je gobe cette queue ou traine encore l’odeur de ma chatte, ma langue s’enroule sur le gland bien formé de l’oncle qui s’enfonce rageusement au fond de ma gorge
- Elle veut me faire gicler la salope ! Tant pis, je vais lui arroser les amygdales, prend lui le cul si elle est prête !
- C’est vrai ? je peux ? chouette, son petit œillet est complètement dilaté ça va me changer de celui d’un homme
- C’est vrai que tu te fais plus de mecs que de femmes ! ne bouge plus Odile, il change de trou …
- Muuuummmm ! muuuummmm !!! aiiiiieee !
- C’est fait patron, elle me serrer vachement la bite !
- Bourre là vite fait, thomas va s’inquiéter de son absence
Une fois leurs sacoches complètement vidées il m’aide a m’essuyer grossièrement l’entrecuisse, en fait ils étalent leur semence a moitié séchée, complètement vannée je titube et marche en canard l’anus boursouflé me gêne
- File directement à ta chambre, je vais dire à thomas que tu es fatiguée
- Dites lui de me rejoindre tout de suite
- Tu es sûre ? ne lui dit rien sur ce qui vient de se passer, de toute façon je lui dirais que c’est toi qui nous a vampés
- Ne vous en faites pas, il ne saura rien, bonne nuit et merci quand même pour cette ‘dégustation’
- Pourtant tu n’as pas tout gouté ……
- Si ça m’intéresse une seconde fois, je vous ferais signe !
Je me suis affalée les bras en croix sur le lit, sans rien toucher a ma tenue vestimentaire tachée et à mes traces douteuses séchées sur ma peau, deux minutes après thomas entre dans la chambre
- Ça va chérie ? Tu es malade ? Ils t’ont fait trop boire ?
- Je suis bourrée… mais pas de vin, met ta main entre mes cuisses ….
- Tu m’inquiète….. OOHHHHHH NON !!! tonton t’a violée ?
- Non, je ne me serais pas laissée faire, j’étais consentante
- Et François ?
- Lui aussi, ils m’ont baisée a tour de rôle couchée sur une barrique, touche-moi entre les jambes mon amour caresse-moi, lèche-moi !
- Mais ta petite rondelle aussi est ouverte ?
- Ça glissait trop dans ma chatte pour François, allez chéri, lave ma moule avec ta langue !
- Tu es une vraie pute mais c’est trop bon pour refuser !
- Doucement c’est sensible …
- Regarde la trique que j’ai entre les jambes elle est pour ton cul ! en plus tu pue de la bouche ! les salauds ! ils ne m’ont rien laissé ! t’as jouis combien de fois ?
- Je ne sais plus … trois, quatre fois ?
En même temps qu’il lapait la moule autant à l’extérieur qu’à l’intérieur il me harcelait pour obtenir des précisions sur mes orgies extra conjugales
- Ils t’ont prise en double ?
- Oui, un dans la bouche et l’autre dans la chatte pourquoi ?
- Je veux dire deux bites dans la chatte ou le cul ?
- Non, tu aurais aimé ??
- C’est un vieux fantasme refoulé...
- Si j’avais su je t’aurais fais ce plaisir
- Si j’appelais François ?
- Pourquoi François ?
- Parce qu’Alexandre est mon oncle !
- Il ne se gênerait pas pour me bourrer devant toi lui !
- Alors moi je regarde ?
- Avec trois queues vigoureuses il y a des quantités de variantes possibles …mais fait gaffe, François apprécie les hommes !
Alexandre possède une petite propriété viticole et se fait pompeusement appeler ‘régisseur’ et François son employé qualifié de ‘ maitre de chai ’
Dans les vignes ils surveillent de prés les vendangeurs, plus exactement le cul des vendangeuses en pantalon penchées sur les ceps ! le mien y compris ! Ça ne gêne pas thomas qui est fier que je montre mes formes dés que c’est possible, il fait entièrement confiance a son oncle, moi j’y crois beaucoup moins, a mon avis s’il pouvait me coincer quelque part il se ficherait que je sois sa nièce par alliance
Dans les vignes il a fait un temps superbe toute la journée, le soir nous prenons une douche bien méritée avant le repas de clôture des vendanges, thomas a insisté pour que je mette une jupe courte ‘afin d’exciter tous ces hommes de la campagne avides de voir tes cuisses de citadines’, ce sont ses paroles
A table je suis placée entre mon mari et son oncle Alexandre qui ne se gêne pas de reluquer lorsque thomas très excité malaxe mes genoux et quelquefois bien plus haut, son maitre de chai assis en face se contente de me faire du pied
Le repas a été copieux ainsi que l’excellent vin de la propriété, les degrés me montent a la tête, la fatigue de la journée aidant, je suis un peu grise, thomas aime me voir ainsi, il sait qu’au lit je vais me déchainer
- Alors ma petite Odile, comment trouve-tu mon vin ?
- Il est formidablement bon !
- Pourtant tu n’as pas bu le meilleur… thomas ?
- Oui tonton Alexandre ?
- Tu permets que j’enlève ta femme pour je lui fasse gouter mon vin ?
- Pas de soucis, ne la soule pas, j’ai besoin d’elle ce soir au lit !
- Ne t’inquiète pas, j’en prends soin, nous l’emmenons juste un moment au chai, accompagne-moi François
- Oui patron !
Les deux hommes me guident dehors dans le noir, vers le chai a vin, aussi cernée de prés je ne risque pas de me perdre ! Ils se contentent de frôlements sur mes fesses pour me faire changer de direction
- C’est par ici attention à la marche …
Là, c’est François qui me pousse de son ventre un peu bedonnant, léger, malgré cela j’ai bien sentis ce qu’il a entre les jambes pousser sur mon cul, dans ce grand bâtiment mal éclairé règne une odeur que j’adore, un mélange de vin en fermentation et d’alcool, rien pour arranger ma demi-ébriété
Devant une rangée de barriques bien alignées, Alexandre prend un genre de pipette qu’il introduit lentement dans le trou d’un fût, pourquoi cette image m’est-elle apparue érotique ? Voire sexuelle ? Ce n’est qu’un gros tube de verre qui entre dans une bouche étroite, Il en retire un breuvage sombre qu’il laisse ensuite couler dans un verre à demi plein qu’il me tend religieusement
- Boit lentement Odile, fait claquer ton palais
- … Huuuuuummmmmmm que c’est boooooonnnnnn
- Avoue que peu de nectar aussi bon a pénétré ta bouche sensuelle
- Euuuuhhh… Beeeeennnnnn… oui c’est vrai a part …. Non rien, j’allais dire une bêtise !
- Je devine ce que c’est …encore un fût à visiter suit nous
- Il fait noir par là …
- N’ai pas peur nous somment là, tu tremble, tu as froid ? colle-toi contre moi
Le souffle court Alexandre me saisis a bras le corps, sa bouche cherche la mienne, j’ai juste le temps d’éviter ce baiser forcé qui atterrit dans mon cou, a cet endroit cela provoque chez moi une décharge électrique qui me fait perdre tous mes moyens, François profite de mon désarroi pour s’approcher, il caresse mon dos de sa large main rendue calleuse par le travail
- Tout doux ma belle, n’ai pas peur, nous allons juste nous amuser un peu
A quoi bon résister, personne ne me viendra en aide d’ici un bon moment, de tendue comme un arc je me fais chatte, ils n’ont plus qu’a se servir, derrière moi François tire sur mon chemisier, une main rude caresse ma peau nue et brulante, Alexandre tire ma jupe vers le haut afin de dégager mon ventre
Mon soutien gorge est dégrafé, une main passe nerveusement dans ma culotte, j’entrouvre les cuisses, il trouve vite mes chairs tendres rendues sensibles par l’excitation, mon clitoris érigé émerge de mes lèvres, ballotée entre ces deux malles en rut je me laisse tripoter
Embrassée et doigtée de toutes parts, les hommes me poussent sur la barrique, à demi couchée sur le ventre, les seins écrasés sur le bois de chêne, le cul en retrait prête à être saillie, ma culotte est retirée, on me lève un pied pour me désentraver, un genou passé entre mes cuisses sans délicatesse m’oblige à m’écarteler, ces gars là ne connaissent pas les préliminaires, une grosse queue raide pointe dans ma raie a la recherche du trou de ma vulve
- Aide moi merde ! je ne trouve pas l’entrée, cambre-toi davantage !
Les mains en appuis je m’éloigne autant que je peu du fût, dans un râle victorieux et bestial il m’emmanche de toute sa longueur, c’est a mon tour de geindre de plaisir, François, en désespoir de cause se contente de se branler sur mes seins qui ballottent sous moi
- Je vais te la passer après, tu va voir comme elle a le con serré
- Baiser une jeune poulette comme ça c’est le pied patron
- Surtout ne t’en vante pas devant mon neveux
Je vais au devant des coups de reins du régisseur, ma moule est bien ouverte, ça glisse tout seul, avec sa bite raide l’ouvrier tapote fortement mon flanc, en fait il a jouis sur mon sein et il fait tomber les dernières gouttes de foutre que son nœud recrache
- Je lui ai arrosé les nichons ! Vous avez bientôt finit ?
- Je crois que la purée monte ? j’ai beau essayer de penser a autre chose, mais elle est trop bonne …. WOOOOUUUUUUUUUAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!! prend ça dans la chatte salope !
Je me retiens d’hurler au cas où quelqu’un trainerait dans les environs mais il m’a fait jouir comme une reine, sa queue faiblit et sort de mon ventre qui se vide, je garde la pose car mon second amant se prépare à prendre le relais dans ma chatte béante tapissée de sperme
Sa verge courte est plus épaisse, je le sens passer et repasser sur mes muqueuses qui dégorgent de jus, l’excitation à peine retombée remonte rapidement
- Vous entendez comme elle gueule ? Je vais la faire reluire ? Voulez-vous que je lui prépare le cul avec mon pouce ?
- Bonne idée, je vais lui faire la totale avant de la rendre a son mec
Ils veulent me sodomiser ? Que va dire thomas …il a s’apercevoir que je suis dilatée de partout, en même temps il ne peut pas en vouloir a son oncle qui l’a fait seul héritier de ses biens, ceci dit je ne vais rien lui cacher, il saura tout en détails
Le pouce est entré jusqu’à la fourche, en regardant sous mon bras je vois Alexandre qui se masturbe pour se redonner de la vigueur, je tends la main vers sa queue, il a compris ce que je désire, je me lâche d’une main pour me tourner vers lui, il me vient en aide pour que je puisse lâcher le fût et m’agripper a lui,
Je gobe cette queue ou traine encore l’odeur de ma chatte, ma langue s’enroule sur le gland bien formé de l’oncle qui s’enfonce rageusement au fond de ma gorge
- Elle veut me faire gicler la salope ! Tant pis, je vais lui arroser les amygdales, prend lui le cul si elle est prête !
- C’est vrai ? je peux ? chouette, son petit œillet est complètement dilaté ça va me changer de celui d’un homme
- C’est vrai que tu te fais plus de mecs que de femmes ! ne bouge plus Odile, il change de trou …
- Muuuummmm ! muuuummmm !!! aiiiiieee !
- C’est fait patron, elle me serrer vachement la bite !
- Bourre là vite fait, thomas va s’inquiéter de son absence
Une fois leurs sacoches complètement vidées il m’aide a m’essuyer grossièrement l’entrecuisse, en fait ils étalent leur semence a moitié séchée, complètement vannée je titube et marche en canard l’anus boursouflé me gêne
- File directement à ta chambre, je vais dire à thomas que tu es fatiguée
- Dites lui de me rejoindre tout de suite
- Tu es sûre ? ne lui dit rien sur ce qui vient de se passer, de toute façon je lui dirais que c’est toi qui nous a vampés
- Ne vous en faites pas, il ne saura rien, bonne nuit et merci quand même pour cette ‘dégustation’
- Pourtant tu n’as pas tout gouté ……
- Si ça m’intéresse une seconde fois, je vous ferais signe !
Je me suis affalée les bras en croix sur le lit, sans rien toucher a ma tenue vestimentaire tachée et à mes traces douteuses séchées sur ma peau, deux minutes après thomas entre dans la chambre
- Ça va chérie ? Tu es malade ? Ils t’ont fait trop boire ?
- Je suis bourrée… mais pas de vin, met ta main entre mes cuisses ….
- Tu m’inquiète….. OOHHHHHH NON !!! tonton t’a violée ?
- Non, je ne me serais pas laissée faire, j’étais consentante
- Et François ?
- Lui aussi, ils m’ont baisée a tour de rôle couchée sur une barrique, touche-moi entre les jambes mon amour caresse-moi, lèche-moi !
- Mais ta petite rondelle aussi est ouverte ?
- Ça glissait trop dans ma chatte pour François, allez chéri, lave ma moule avec ta langue !
- Tu es une vraie pute mais c’est trop bon pour refuser !
- Doucement c’est sensible …
- Regarde la trique que j’ai entre les jambes elle est pour ton cul ! en plus tu pue de la bouche ! les salauds ! ils ne m’ont rien laissé ! t’as jouis combien de fois ?
- Je ne sais plus … trois, quatre fois ?
En même temps qu’il lapait la moule autant à l’extérieur qu’à l’intérieur il me harcelait pour obtenir des précisions sur mes orgies extra conjugales
- Ils t’ont prise en double ?
- Oui, un dans la bouche et l’autre dans la chatte pourquoi ?
- Je veux dire deux bites dans la chatte ou le cul ?
- Non, tu aurais aimé ??
- C’est un vieux fantasme refoulé...
- Si j’avais su je t’aurais fais ce plaisir
- Si j’appelais François ?
- Pourquoi François ?
- Parce qu’Alexandre est mon oncle !
- Il ne se gênerait pas pour me bourrer devant toi lui !
- Alors moi je regarde ?
- Avec trois queues vigoureuses il y a des quantités de variantes possibles …mais fait gaffe, François apprécie les hommes !
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