Buvette de plage ... 1/2
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Buvette de plage ... 1/2
Après un licenciement économique pour sortir de cette impasse nous avons acheté un vieux fourgon pour le transformer en ‘baraque a frite’ Après avoir obtenu non sans mal les autorisations nécessaires, nous nous somment installés, pour la saison, sur un parking de plage de la côte sauvage, l’électricité est produite par un groupe électrogène, nous vendons, salades, merguez, saucisses, hot-dogs, sandwichs, frites, boissons fraiches ect.ect.
Situés au bord de la piste fermée par une barrière qui mène aux plages, textiles a gauche du chemin et naturistes a droite, les campings alentours sont pleins, notre petit commerce marche très bien, surtout en fin de matinée et au retour de plage L’après midi est généralement assez tranquille ce qui nous permet quelques privautés…des mains baladeuses, jusqu'à faire l’amour vite fait, ce qui n’est pas pour nous déplaire, dans, ou derrière le fourgon garé en lisière de forêt ou personne ne va se baladerÉlodie et moi Léo avons à peine trente ans, mariés et quelques expériences coquines à notre actif, ma femme, pour ‘fidéliser le client’ n’hésite pas à dévoiler certains de ses charmes : seins libres et bronzés dans un décolleté vertigineux, cuisses juste assez couvertes par une jupette pour faire fantasmer les hommes qui se demandent si elle porte ou non une petite culotte Les derniers arrivés sont obligés de se garer très loin de la plage, favorisés, beaucoup de motards déposent leurs engins à proximité du fourgon, nous servons ainsi involontairement de surveillants, certains nous le rendent bien en consommant sans regarder et aussi pour approcher Élodie qui dévoile furtivement ses atouts suivant le chiffre des commandes !
Mais nous ne mélangeons pas boulot et sexe … quoiqu’un après midi, a l’heure ou pour nous tout est calme, un jeune en scooter se gare prés de notre baraque, il ôte casque, blouson, teeshirt, pour rester en bermuda, Élodie me fait la réflexion qu’elle le trouve ‘mignon, baraqué et bronzé ‘Celui-ci s’assied à une table a l’ombre, ma femme va chercher la commande, face a lui, elle se penche les deux mains en appuis sur la table, évidement, le jeune homme demande un coca en s’adressant aux seins libres de toutes contraintes ! Elle revient guillerette, ça me fait pouffer !
- Tu torture ce pauvre gamin ma chérie !
- Ce n’est pas un regard de gamin que j’ai ressenti, il doit avoir au moins dix huit ans - Ça te dit ?
- Me dit quoi ?
- Il n’y a personne à servir pour le moment, il est déjà amoureux de toi, personne n’iras voir derrière le fourgon- Tu veux que … - Pourquoi pas ? tu en crève d’envie, un peu de piment dans notre boulot de fou sera le bienvenu, va lui tenir compagnie avec une bière fraiche, je te l’offre !
- Merci patron ! muuuum je t’aime … je vais faire vite - Comme d’habitude ! hahahahaha !
Élodie s’attable face au jeune qui n’en croit pas ses yeux comprenant qu’elle ouvre ses cuisses exprès pour lui, méfiant il me lance un tour d’œil pour étudier ma réaction, je me contente de sourireLes tables rondes sont petites, le genou de ma femme côtoie celui du jeune qui maintient le contact, elle parle sans élever la voix, je n’entends pas ce qui ce dit, mais maintenant elle emprisonne le genou entre les siens, le jeune homme rougit ce qui n’est pas dût uniquement a la chaleur…Les deux mains d’Élodie sont posées sur la table, prés de la canette de coca, les yeux du jeune vont du décolleté généreux aux mains ornées de faux ongles multicolores, il se décide à poser ses bouts de doigts sur les doigts fins qui se retournent et emprisonnent la mainIl fait un signe de tête qui veut dire oui, Élodie se lève et revient à son poste
- Alors ? c’est raté ?
- Tu me prends pour une miquette ? Nicolas va faire un tour avant de passer en douce derrière le fourgon pour ne pas t’offusquer, je vais y aller, il va me rejoindre dans deux minutes - Nicolas ? ! quelle petite salope tu fais ! ne reste pas deux heures hein ?
- Montre-moi ton short… mais tu bande !
- File !
Le jeune va découvrir la poitrine que j’adore peloter a la moindre occasion et le string ficelle qui lui rentre entre les fesses, comment ne pas être excité a cette pensée ? Je fais semblant de ne pas voir ‘ Nicolas’ qui rase la forêt, soudain une idée me vient … ce fourgon possède des rétros ? …ça sert à voir ce qui arrive derrière et sur les côtés …l’allée empierrée est déserte, pas de clients en vue …je vais vers la cabineÉlodie est adossée à la tôle, ventre en avant, les mains réunies derrière son dos, les jambes légèrement desserrées, position qu’elle adopte souvent pour me vamper, Nicolas, face a elle, hésite a peine avant de l’enlacer par la taille la collant a lui pour lui faire sentir son désir, avant de lui prendre la bouche , ce qui me tiraille le ventre car je n’aime pas voir ma femme se faire embrasser , je préfère de loin voir une main disparaitre sous sa jupe, il tire le corsage hors de la jupette pendant que ma femme dépatte les boutons et ouvre les pans, il écarquille les yeux ! Les mains tremblantes se posent sur les seins, il se penche pour téter un bout rougi et allongé par le désirJe remarque le bermuda en pleine tension sur le devant, Élodie l’agrippe et le tire vers le bas… une queue dont il peut être fier sort de sa cachette comme un diable de sa boite Les doigts fins entourent le sexe qui bat comme un cœur, elle se baisse, Nicolas se redresse et pose ses mains sur les épaules nues, je branle ma queue sortie en hâte, pour du piment dans notre après midi, c’est du piment ! elle pompe avec ardeur le membre raide et bronzéC’est sans compter sur l’absence de retenue du jeune…ma femme tousse et crache avant de s’essuyer la bouche d’un revers de main… c’est fini ? NON !
Élodie se retourne courbée en deux en appuis sur le fourgon, Nicolas soulève la jupe et coince le tissu a la taille, les reins découverts, les fesses ornées du mini slip sont terriblement bandantes, il ne prend même pas la peine de le baisser, sa queue impatiente se fraie nerveusement un passage dans l’entrecuisse, après avoir tâtonné il s’enfonce d’un coup dans la vulve ouverte, j’entends le cri de délivrance de ma femme suivit de ‘boum-boum’sur la tôle, en cadence avec les coups de reins violents assénés par le jeune robuste et vigoureux, le fourgon tangue, les ustensiles s’entrechoquent ! pourvu qu’il n’arrive pas de clients, comment leurs expliquer ce phénomène !
Enfin les deux amants bêlent de concert, ils jouissent sans se retenir les salauds ! Nicolas remonte son bermuda sans s’essuyer la bite et repart en douce comme il est venu, le scooter démarre en trombe, Élodie revient en sueur décoiffée, la démarche incertaine, un sourire victorieux éclaire son visage d’ange
- Wouaaah ! Ça décoiffe, quel poulain fougueux !
- Il t’en a mis plein la chatte et la bouche !
- Tu as vu ?
- Comme je l’ai vu t’embrasser - C’n’est pas grave, pour une fois ont ne va pas en faire un drame, touche plutôt ma chatte mon amour, une toilette s’impose avant de servir les clients tout de même !
- Avant enlève ce slip farci de sperme, penche-toi sur le comptoir et surveille le chemin … - Tu veux me baiser là ? tout de suite ?
- Et comment ! c’est un jet d’eau qu’il te faut car y’a une sacrée purée dans ta moule !
- Plains-toi ! je te sers une moule à la crème ! régale-toi mon amour- Chienne ! un de ses jours je vais me taper une cliente, j’en ai repéré une d’ailleurs …prend-ça ! et ça ! et encore çaaaaaaaaaa !
- OUUUUUIII ! OouuuuuuuuuuuOuuuuuOuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!! tu la baiseras devant moi !!!!!
J’ai déchargé très vite tant j’étais excité, l’instant d’après nous étions propres et en pleine forme pour les rentrées de plage ! Si nos clients avaient pu deviner qu’elle se baladait cul nu sous sa jupette… le soir à la maison nous avons évoqué cet intermède en faisant l’amour sans précipitation cette fois !
- Chéri, tu m’as dit que tu baiserais bien une cliente devant moi …- C’était une réflexion lancée comme ça - Moi j’y crois, et j’en ai envie, si l’occasion se présente je ferais tout pour que ça aboutisse, parmi la clientèle nudiste certaines n’ont pas froid aux yeux et ailleurs non plus !
- Et ton amoureux ? tu pense qu’il reviendra ?
- Nicolas ? … il m’a demandé si nous pouvions remettre ça, j’ai dis oui …
Ces paroles ont suffit à me faire partir, dans un hurlement de hyène elle a réceptionné pour la deuxième fois mon sperme chaud au fond de sa chatte encore tapissée du foutre abondant du jeune homme
A SUIVRE
Situés au bord de la piste fermée par une barrière qui mène aux plages, textiles a gauche du chemin et naturistes a droite, les campings alentours sont pleins, notre petit commerce marche très bien, surtout en fin de matinée et au retour de plage L’après midi est généralement assez tranquille ce qui nous permet quelques privautés…des mains baladeuses, jusqu'à faire l’amour vite fait, ce qui n’est pas pour nous déplaire, dans, ou derrière le fourgon garé en lisière de forêt ou personne ne va se baladerÉlodie et moi Léo avons à peine trente ans, mariés et quelques expériences coquines à notre actif, ma femme, pour ‘fidéliser le client’ n’hésite pas à dévoiler certains de ses charmes : seins libres et bronzés dans un décolleté vertigineux, cuisses juste assez couvertes par une jupette pour faire fantasmer les hommes qui se demandent si elle porte ou non une petite culotte Les derniers arrivés sont obligés de se garer très loin de la plage, favorisés, beaucoup de motards déposent leurs engins à proximité du fourgon, nous servons ainsi involontairement de surveillants, certains nous le rendent bien en consommant sans regarder et aussi pour approcher Élodie qui dévoile furtivement ses atouts suivant le chiffre des commandes !
Mais nous ne mélangeons pas boulot et sexe … quoiqu’un après midi, a l’heure ou pour nous tout est calme, un jeune en scooter se gare prés de notre baraque, il ôte casque, blouson, teeshirt, pour rester en bermuda, Élodie me fait la réflexion qu’elle le trouve ‘mignon, baraqué et bronzé ‘Celui-ci s’assied à une table a l’ombre, ma femme va chercher la commande, face a lui, elle se penche les deux mains en appuis sur la table, évidement, le jeune homme demande un coca en s’adressant aux seins libres de toutes contraintes ! Elle revient guillerette, ça me fait pouffer !
- Tu torture ce pauvre gamin ma chérie !
- Ce n’est pas un regard de gamin que j’ai ressenti, il doit avoir au moins dix huit ans - Ça te dit ?
- Me dit quoi ?
- Il n’y a personne à servir pour le moment, il est déjà amoureux de toi, personne n’iras voir derrière le fourgon- Tu veux que … - Pourquoi pas ? tu en crève d’envie, un peu de piment dans notre boulot de fou sera le bienvenu, va lui tenir compagnie avec une bière fraiche, je te l’offre !
- Merci patron ! muuuum je t’aime … je vais faire vite - Comme d’habitude ! hahahahaha !
Élodie s’attable face au jeune qui n’en croit pas ses yeux comprenant qu’elle ouvre ses cuisses exprès pour lui, méfiant il me lance un tour d’œil pour étudier ma réaction, je me contente de sourireLes tables rondes sont petites, le genou de ma femme côtoie celui du jeune qui maintient le contact, elle parle sans élever la voix, je n’entends pas ce qui ce dit, mais maintenant elle emprisonne le genou entre les siens, le jeune homme rougit ce qui n’est pas dût uniquement a la chaleur…Les deux mains d’Élodie sont posées sur la table, prés de la canette de coca, les yeux du jeune vont du décolleté généreux aux mains ornées de faux ongles multicolores, il se décide à poser ses bouts de doigts sur les doigts fins qui se retournent et emprisonnent la mainIl fait un signe de tête qui veut dire oui, Élodie se lève et revient à son poste
- Alors ? c’est raté ?
- Tu me prends pour une miquette ? Nicolas va faire un tour avant de passer en douce derrière le fourgon pour ne pas t’offusquer, je vais y aller, il va me rejoindre dans deux minutes - Nicolas ? ! quelle petite salope tu fais ! ne reste pas deux heures hein ?
- Montre-moi ton short… mais tu bande !
- File !
Le jeune va découvrir la poitrine que j’adore peloter a la moindre occasion et le string ficelle qui lui rentre entre les fesses, comment ne pas être excité a cette pensée ? Je fais semblant de ne pas voir ‘ Nicolas’ qui rase la forêt, soudain une idée me vient … ce fourgon possède des rétros ? …ça sert à voir ce qui arrive derrière et sur les côtés …l’allée empierrée est déserte, pas de clients en vue …je vais vers la cabineÉlodie est adossée à la tôle, ventre en avant, les mains réunies derrière son dos, les jambes légèrement desserrées, position qu’elle adopte souvent pour me vamper, Nicolas, face a elle, hésite a peine avant de l’enlacer par la taille la collant a lui pour lui faire sentir son désir, avant de lui prendre la bouche , ce qui me tiraille le ventre car je n’aime pas voir ma femme se faire embrasser , je préfère de loin voir une main disparaitre sous sa jupe, il tire le corsage hors de la jupette pendant que ma femme dépatte les boutons et ouvre les pans, il écarquille les yeux ! Les mains tremblantes se posent sur les seins, il se penche pour téter un bout rougi et allongé par le désirJe remarque le bermuda en pleine tension sur le devant, Élodie l’agrippe et le tire vers le bas… une queue dont il peut être fier sort de sa cachette comme un diable de sa boite Les doigts fins entourent le sexe qui bat comme un cœur, elle se baisse, Nicolas se redresse et pose ses mains sur les épaules nues, je branle ma queue sortie en hâte, pour du piment dans notre après midi, c’est du piment ! elle pompe avec ardeur le membre raide et bronzéC’est sans compter sur l’absence de retenue du jeune…ma femme tousse et crache avant de s’essuyer la bouche d’un revers de main… c’est fini ? NON !
Élodie se retourne courbée en deux en appuis sur le fourgon, Nicolas soulève la jupe et coince le tissu a la taille, les reins découverts, les fesses ornées du mini slip sont terriblement bandantes, il ne prend même pas la peine de le baisser, sa queue impatiente se fraie nerveusement un passage dans l’entrecuisse, après avoir tâtonné il s’enfonce d’un coup dans la vulve ouverte, j’entends le cri de délivrance de ma femme suivit de ‘boum-boum’sur la tôle, en cadence avec les coups de reins violents assénés par le jeune robuste et vigoureux, le fourgon tangue, les ustensiles s’entrechoquent ! pourvu qu’il n’arrive pas de clients, comment leurs expliquer ce phénomène !
Enfin les deux amants bêlent de concert, ils jouissent sans se retenir les salauds ! Nicolas remonte son bermuda sans s’essuyer la bite et repart en douce comme il est venu, le scooter démarre en trombe, Élodie revient en sueur décoiffée, la démarche incertaine, un sourire victorieux éclaire son visage d’ange
- Wouaaah ! Ça décoiffe, quel poulain fougueux !
- Il t’en a mis plein la chatte et la bouche !
- Tu as vu ?
- Comme je l’ai vu t’embrasser - C’n’est pas grave, pour une fois ont ne va pas en faire un drame, touche plutôt ma chatte mon amour, une toilette s’impose avant de servir les clients tout de même !
- Avant enlève ce slip farci de sperme, penche-toi sur le comptoir et surveille le chemin … - Tu veux me baiser là ? tout de suite ?
- Et comment ! c’est un jet d’eau qu’il te faut car y’a une sacrée purée dans ta moule !
- Plains-toi ! je te sers une moule à la crème ! régale-toi mon amour- Chienne ! un de ses jours je vais me taper une cliente, j’en ai repéré une d’ailleurs …prend-ça ! et ça ! et encore çaaaaaaaaaa !
- OUUUUUIII ! OouuuuuuuuuuuOuuuuuOuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!! tu la baiseras devant moi !!!!!
J’ai déchargé très vite tant j’étais excité, l’instant d’après nous étions propres et en pleine forme pour les rentrées de plage ! Si nos clients avaient pu deviner qu’elle se baladait cul nu sous sa jupette… le soir à la maison nous avons évoqué cet intermède en faisant l’amour sans précipitation cette fois !
- Chéri, tu m’as dit que tu baiserais bien une cliente devant moi …- C’était une réflexion lancée comme ça - Moi j’y crois, et j’en ai envie, si l’occasion se présente je ferais tout pour que ça aboutisse, parmi la clientèle nudiste certaines n’ont pas froid aux yeux et ailleurs non plus !
- Et ton amoureux ? tu pense qu’il reviendra ?
- Nicolas ? … il m’a demandé si nous pouvions remettre ça, j’ai dis oui …
Ces paroles ont suffit à me faire partir, dans un hurlement de hyène elle a réceptionné pour la deuxième fois mon sperme chaud au fond de sa chatte encore tapissée du foutre abondant du jeune homme
A SUIVRE
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci professeur !mais je fais comme je veux ou plutôt comme je peux !
slt histoire tres bandante, j aurais ete a ta place apres l avoir baise apres le jeune
je lui aurais leche la moulle pleine de creme
Hate de lire la suite
je lui aurais leche la moulle pleine de creme
Hate de lire la suite
Comme d'habitude chez Georges, l'orthographe et, surtout, la ponctuation laissent à désirer... (les signes doubles { ; : ! ? } doivent être séparés du mot précédent par un espace, éventuellement non sécable et les signes simples { , . ... } doivent coller au mot précédent). Quand il n'y a ni ! ni ?, Georges ne ponctue jamais ses phrases !