C’était chaud ! (fiction partielle écrite en octobre 2012).

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : C’était chaud ! (fiction partielle écrite en octobre 2012). Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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C’était chaud ! (fiction partielle écrite en octobre 2012).
Avant de vous conter cette histoire, laissez-moi me présenter rapidement ! A 23 ans passés, je fais partie d’un petit groupe musical qui anime les soirées de notre banlieue nord. Ce groupe, nous l’avons constitué il y a quelques années déjà autour du prof’ de musique du lycée et le travail en commun aidant, nous avons fait notre trou sans jamais être remarqués par un quelconque professionnel.

Mais le succès remporté par une première série de morceaux repris et arrangés par nos soins et publiés sur la toile suffit à notre bonheur, du moins pour l’instant. Les cachets recueillis lors des soirées nous permettent d’acheter du matériel et des vêtements de scène. Il y a deux guitaristes basses, un percussionniste et sa petite amie chanteuse, un saxophoniste et moi qui chante également en m’accompagnant à la guitare. Je passe pour l’intellectuel du groupe car je suis le seul à avoir fait des études musicales que je poursuis encore actuellement.

Ce soir là, nous animions la soirée récréative d’une commune de grande banlieue et il y avait pas mal de monde dans la salle et sur la piste de danse. L’ambiance était bonne et tout le monde semblait bien s’amuser. Il est vrai que des vigiles avec des chiens avaient été embauchés pour maintenir à l’écart les fauteurs de trouble qui ne manquent jamais de vouloir s’inviter pour chercher la bagarre. Nous avions déjà enchainé plusieurs séries de morceaux et nous faisions une pause bienvenue pendant que la sono prenait le relai.

Je bavardais avec un des responsables de la soirée quand la fille de ce dernier est venue trouver son père pour lui demander quelque chose puis elle est restée avec nous et une autre copine qui l’avait rejointe. Elles devaient avoir une vingtaine d’années.

Anna, la fille du responsable, était une grande et belle fille, environ 1.75m, de long cheveux noirs coiffés en queue de cheval très tirée en arrière, de grands yeux verts et une bouche pulpeuse. Elle portait un T-shirt très ajusté avec une grande encolure ronde qui laissait apercevoir la naissance d’une poitrine menue. Sa taille étroitement serrée par une large ceinture en cuir brillant s’évasait sur des hanches rondes et des jambes longues prises dans un pantalon très collant. Bref, une très jolie fille à l’allure de danseuse classique.

Sa copine en était une copie presque conforme. A lieu d’être brune, elle était blonde avec les mêmes formes sculpturales, les mêmes vêtements très ajustés qui mettaient leurs silhouette en valeur. Elles étaient belles et elles la savaient. Lorsque la danse a repris, j’ai pu les observer depuis le podium et elles dansaient seules ! Curieux que deux aussi belles filles n’aient pas de cavaliers … Puis au bout d’un certain temps, je les ai perdues de vue et je n’y ai plus pensé jusqu’à la fin de la soirée.

Dès que notre matériel a été rangé dans nos voitures respectives, nous sommes revenus dans une salle annexe pour déguster rapidement la collation qui nous était offerte. C’est là que je les ai retrouvées toutes les deux : elles faisaient le service tout en bavardant et plaisantant avec nous. Si Anna me plaisait beaucoup comme fille, elle ne semblait pas non plus indifférente vis-à-vis de moi. J’aime assez ce genre de fille à la beauté naturelle, sans artifices comme on en voit trop dans notre milieu avec cette mode de piercings et tatouages outranciers. Bref, nous avons flirté le reste du temps mais nous ne nous sommes pas éternisés. La nuit avait été longue.

Ma surprise a été totale au moment où je reprenais ma voiture sur le parking. Anna s’est approchée en disant :
• Je suis à pied, peux tu me déposer ?
• Bien sur, dis moi où et je te conduis !
• Au 7ème ciel mon coquin ! J’ai envie de baiser, viens chez moi !

Moins de 10 minutes plus tard, nous entrions tous les deux dans l’ascenseur de son immeuble :
• Direction le 7ème étage !

Elle habitait effectivement le 7ème étage. Dès que nous sommes entrés dans la cabine, Anna s’est littéralement jetée à mon cou, pressant son buste contre le mien, glissant une cuisse entre les miennes comme une perdue et sa langue cherchant la mienne ! Le bref trajet vertical a suffi à me faire oublier ma fatigue.

Quand nous sommes arrivés dans son studio, toujours étroitement enlacés, je bandais comme un cerf dans mon boxer. En un rien de temps Anna est allée chercher ma bite dans mon pantalon qui était tombé sur mes chevilles. A genoux devant moi, elle me pompait le dard avec ardeur, comme si son destin en dépendait. Elle mouillait abondamment la hampe qui coulissait entre ses lèvres jusqu’à ce que mon pubis vienne presque au contact de sa bouche. Quand j’étais ainsi, bien au fond, elle aspirait avec ses joues qu’elle gonflait avant de m’aspirer.

Après quelques minutes de ce traitement oh combien agréable, elle s’est levée, a fait passer son T-shirt par-dessus sa tête et s’est débarrassée de son pantalon. Elle ne portait plus qu’un petit soutif et un string noirs assortis. Qu’elle était belle ainsi à moitié nue, offerte à mes regards envieux :
• Mets toi nu aussi et viens me rejoindre !

Et elle s’est dirigée vers une porte qui était celle de la salle de bains. J’ai entendu aussitôt le bruit de la douche ! Quelle coquine ! Elle voulait prendre une douche à deux ! Je n’étais pas contre, cela allait me délasser un peu après cette nuit presque blanche qui, je le savais désormais, allait se prolonger agréablement. Quand je l’ai rejointe sous la douche, elle avait relevé sa queue de cheval avec une pince et l’eau ruisselait sur ses épaules. Elle m’a tendu une éponge et un flacon de produit moussant. Je savais ce qu’elle voulait. Quand tout son corps a été enduit de cette mousse odorante, elle m’a dit :
• A toi maintenant !

Et là, elle m’a enduit tout le corps de la même mousse parfumée, agaçant au passage la pointe de mes seins ou masturbant doucement ma bite toujours bandée. Puis Anna est passée au corps à corps, se frottant contre moi de dos ou de face, emprisonnant ma queue entre ses fesses ou la massant dans sa fourche intime ! J’avais pourtant déjà eu pas mal d’aventures mais jamais encore je n’avais rencontré une fille aussi savante dans l’excitation d’un mec ! Nous nous sommes rincés sous le jet puis, séchés, nous sommes allés dans sa chambre où un grand lit nous attendait.

Anna s’est à nouveau déchainée ! J’avais perdu un peu de ma superbe mais j’étais toujours aussi excité ! J’avais de plus en plus envie de baiser cette belle fille au corps splendide ! Elle m’a de nouveau repris en bouche et lorsque mon sexe a été bien raide, elle m’a couché sur le dos, la bite dressée comme un mat vers le plafond. Après m’avoir couvert, elle s’est enfilé la chatte sur ma queue. Face à moi, elle m’offrait la vision de ses petits seins ronds qui balançaient doucement au gré de ses mouvements.

Chaque fois que j’atteignais le fond de sa vulve, elle poussait de petits cris en rejetant la tête en arrière. Je me retenais de jouir trop vite pour essayer d’arriver en même temps qu’elle. Lorsque j’ai jeté au fond du préservatif les premières giclées de sperme, Anna est partie simultanément, exprimant sa jouissance dans un grand cri avant se s’affaler sur mon torse. Nous sommes restés enlacés de cette manière de longues minutes jusqu’à ce que nous basculions sur le côté.

J’étais toujours dans sa chatte et si j’avais déjà joui une fois, je n’avais pas totalement débandé. Couchés sur le côté, j’ai repris ma baise, entrant et sortant du sexe d’Anna qui se pressait contre moi de tout son corps :
• Baise-moi bien ! Dès que je t’ai vu, j’ai eu envie de toi ! Je t’en supplie, ne t’arrête pas !
• Ne t’inquiète pas, je vais encore te faire jouir !

Notre jouissance a été un peu plus longue à venir mais lorsqu’elle a éclaté, nous avons pris un pied d’enfer, poussant l’un et l’autre des rugissements de plaisir au moment où une seconde fois, je me vidais dans le préservatif qui était bien plein. Après quelques temps, Anna s’est dégagée et elle s’est penchée sur moi pour ôter la capote qu’elle a posée sur la table de chevet. Une fois de plus, elle m’a repris en bouche, plus pour nettoyer ma queue et se délecter des sucs qui la nappaient plus que pour me faire bander à nouveau. Finalement, nous avons tiré les draps sur nous avant de nous endormir.

Le jour était levé depuis longtemps lorsque je me suis réveillé. J’ai cru un moment que j’avais rêvé mais NON, Anna était bien réelle à mes côtés. Selon ma bonne habitude, je bandais à nouveau comme un cerf. Tous les matins, ma bite est dressée tant que je suis dans la chaleur du lit. Est-ce qu’Anna s’en est rendu compte ? Elle m’a tourné le dos et a pressé ses fesses contre mon sexe, ondulant de la croupe pour bien le loger entre ses globes musclés en disant dans un souffle :
• Prends-moi encore ! Viens dans ma chatte.

Elle a replié une jambe et je me suis glissé entre ses fesses pour gagner l’entrée de sa vulve : Pas le temps de se couvrir, l’un et l’autre, nous étions pressés de baiser une nouvelle fois. D’une seule poussée je me suis glissé au fond de sa chatte toute humide qui semblait m’attendre :
• Ouuiiii ! Comme çà ! Vas-y ! Baise-moi à fond !

Il n’était point besoin de m’encourager ! J’ai entrepris une lente copulation, entrant et sortant de la chatte chaude et humide d’Anna qui se caressait le clitoris d’une main. Je prenais mon temps ! J’avais envie de savourer une fois encore une bonne baise avec cette fille chaude comme la braise, une fille au corps délié et aux muscles puissants : elle était danseuse classique et cela se sentait à sa musculature ! Notre plaisir venait tout doucement. Chaque fois que je me collais contre les fesses d’Anna pour la pénétrer le plus loin possible, elle poussait un petit cri aigu très excitant alors que ses muscles intimes trituraient le bout de ma queue !

Quelle baiseuse ! Lorsque je me suis vidé au fond de sa chatte, Anna a poussé un rugissement en jouissant, s’agitant sur ma queue comme une possédée, donnant de violentes ruades pour bien me sentir ! Finalement nous nous sommes rendormis dans cette position, ma bite encore logée à l’orée de sa vulve.

En milieu d’après midi nous nous sommes quittés sans rien nous promettre…

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