Cet été là II - histoire érotique

Mes mains reposaient sur son torse, mes doigts en éventail, je me tenais à califourchon au dessus de lui, assis sur mes genoux et orteils, un peu en style seiza, chevauchant son bassin, son sexe long et dur unissant nos corps, son sexe profondément empalé dans mes entrailles. Je roulais du bassin en poussant sur mes cuisses, me soulevant et m'abaissant sur ce chibre tendu, le sentant avec plaisir coulisser dans mon anus et remplir mon rectum. Que j'aimais cela et que j'aimais le sourire béat, charmé de Vincent m'admirant danser sur son phallus. "Raconte!" Fit-il.

Quasi une semaine s'était écoulée depuis l'évènement de la piscine. Johan m'avait invité chez lui pour passer l'après midi, surement à jouer à la console ou à un jeu de stratégie, peut être même à ses figurines Warhammer dont il était fana, sa collection comptant dans les 300 à 400 pièces... il avait même aménagé dans les vastes combles de la maison avec son père une salle de jeu où s'étendait un décors de jeu de figurines de quasiment quatre mètres sur cinq ou six ... Il était deux heures quand je suis arrivé chez lui, ses deux petits frères jouaient en bas dans l'espèce de piscine gonflable de quatre mètres de diamètre et un de haut qu'ils avaient installés dans leur jardin. Il faisait chaud, comme tous les jours de cet été. Je portais un short de toile, une t-shirt et des sneakers que j'abandonnais vite pour me retrouver pieds nus comme Johan l'était déjà. Il ne portait que de simples shorts de basket noirs lui tombant jusqu'aux genoux, son torse nu, exposé au regard; laissant voir sa musculature bien dessinée et cette ligne de poils roux qui débutait sous son nombril et disparaissait sous ses shorts.

Comme pressenti ce fut warhammer mais Johan pimenta la partie en misant un gage pour le perdant. Je relevais donc son défi car je savais que j'avais mes chances surtout qu'il avait pris ses goblins alors que je jouais les nains. Malheureusement la partie tourna court assez rapidement et en ma défaveur, alors que je gagnais un coup du destin fit exploser ma batterie d'artillerie planquée dans une tour qui sous la détonation s'écroula tuant d'un coup mes meilleures unités et mon général... bref une catastrophe dont la narration fit éclater de rire Vincent.

Johan eut la courtoisie de me proposer une seconde partie mais il me rappela aussi que le gage était acquis et cette fois j'eu ma revanche "A mort les peaux vertes, Dwarf power!". Un autre fou rire de Vincent qui me pince les tétons et me fait gémir de plaisir. Nous descendîmes à la cuisine, les deux frangin mijotaient toujours dans la pataugeoire, quelques verres d'eau après nous revoilà dans le grenier.

il était quatre heure passée quand nous prirent la console. Les parties s'enchainèrent et il faisait toujours aussi chaud dans les combles, pire même qu'à notre arrivée, je laissais donc tomber mon t-shirt. Nous jouèrent presque une heure entière avant que je ne dépose la manette, le rouquin voulait encore jouer un peu, je lui dit de jouer seul et là il me regarda en souriant et me rappella son gage. Sans un mot il se leva et d'un coup de ses pouces il poussa son short à ses pieds et sur le côté avant d'écarter les jambes et de reprendre la manette. "Ca ne va pas ?" je lui dit et il me regarda avec le même sourire. "Tes frères et tes parents qui vont rentrer..." Il pencha la tête sur le côté toujours en souriant, une main se referma sur son sexe et doucement il s'amusa à pousser d'avant en arrière son prépuce.... "Moi qui pensais que tu aimerais ce gage... Avoue que tu en as envie." Quel salaud, il savait bien que je ne pouvais regarder ailleurs, que j'étais captivé par ce bosquet de poils pubiens roux et cette verge épaisse qui se gorgait de sang. "Fait chier..." je dis "Le parents rentrent pas avant 19 heures et les frangins on les entendra monter... " Et voilà il avait trouvé les arguments pour me rassurer ou était-ce gland gonflé qui me subjuguait... Il n'en fallut guère plus et me voila au premier rang, mon ami soupirant de bonheur alors que ma langue caressait sa verge et ses bourses, que mes narines aspiraient son odeur corporelle, ce mélange si particulier qui entoure le sexe d'un homme...

Johan tentait de se concentrer sur le jeu mais il ne put s'empêcher de grogner de plaisir alors que je tétais, que je léchais, que j'embrassais et prennais à pleine bouche sa verge tendue, ma langue titillant ces deux veines qui entouraient son mandrin. De longues minutes s'écoulaient et il finivvait par grogner fortement, laissant tomber le contrôleur à ses pieds il se jetait en arrière dans le canapé, ses mains perdant leurs doigts dans mes cheveux, il me guidait le long de son sexe bandé. Il pressait sur ma tête, m'enfonçant le nez dans ses poils pubiens, m'assaillant de son odeur, de cette fragrance mélangeant sueur et mâle en rut. "Iwao..." grogna-t-il en serrant les dents, sa verge vibre et pulse violement alors que des jets, longs et puissants de son sperme s'écrasèrent dans le fond de ma bouche, de ma gorge, me forçant à déglutir et avaler avec plaisir ce nectar.

La pression de ses mains se relâcha et je pu glisser légèrement en arrière, ma langue tournant encore autour de son gland. Il me regarda alors et sourit. "Putain... c'est trop bon..." grogna-t-il, jouant de ses doigts dans mes cheveux. "Continue, ne t'arrête pas... encore s'il te plait." Mais c'est qu'il deviendrait addict à ma bouche le rouquin.... Oh mais qui je suis pour juger moi qui étais déjà addict à son sexe... Et là pendant dix bonnes minutes, je lui offri une lente et délicieuse fellation poussant son corps à bander tout ses muscles, poussant son corps dans un second orgasme, le faisant gémir d'extase alors qu'il jouissait à nouveau dans ma bouche.

Son corps était couvert de perles de sueur, il haletait fortement, les yeux à moitié fermés, tout jeune et fougueux qu'il était il n'avait pas encore l'habitude, il n'avait pas l'endurance qu'avait déjà acquis Vincent. Je me hissais sur ses cuisses et l'embrassais sur le torse, léchant sa transpiration avant de l'embrasser sur les lèvres, il glissait une main sur ma nuque et pressait sa langue sur mes lèvres, m'embrassant pleinement quelques instants. Je glissais en arrière et je me relevais, lui restait là quelques minutes de plus avant de se redresser et d'enfiler son short à nouveau. J'étais à la fenêtre des combles et je regardais au loin, il était l'heure que je rentre. Johan se glissait derrière moi en m'enlaçant de ses bras musclés, il m'embrassait dans le cou avant de murmurer un merci. Ce mot m'allait droit au coeur, cette tendresse de sa part aussi. "Je dois y aller" je disais... "Je sais, dommage... on se reverra." il me répondait. "Oh que oui." était ma réponse avant que je ne parte vers l'escalier.

Vincent me sourit et me donna une petite tape sur les fesses, me disant que Johan avait donc pris l'initiative de cette fellation. Il n'était ni jaloux ni ne m'en voulait après tout nous étions amis et nous n'étions pas en relation autre que l'amitié et le partage de pulsions corporelles. Il me fit descendre et ses mains guidèrent mon visage vers son entrejambe, mes lèvres s'enroulèrent sur son sexe et c'est ainsi après quelques minutes d'un jeu de langue intime qu'il éjacula à nouveau, m'offrant sa semence. Je restai ainsi quelques longues minutes, mon visage enfui dans son entrejambe contre son sexe, respirant son odeur, souriant bêtement à ses caresses dans mes cheveux puis je me redressai et il fit de même. Il me demanda si je restai pour le weekend sur un ton affirmatif plutôt qu'interrogatif. Je lui répondis en souriant que oui, j'avais l'accord de ma mère.

Nous sommes alors descendu au salon sans prendre la peine de nous rhabiller, un détour à la cuisine pour un verre de jus de fruit et quelques morceaux de pastèque avant de tomber dans le canapé devant la télé. Vincent avait pris son téléphone et s'affairait avec, je ne savais pas ce qu'il faisait j'étais assis à l'autre bout du canapé mais il devait surement envoyer un message car lorsque le smartphone beeppa il me regarda avec un sourire.