Chaleurs d'été et rut bestial

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Chaleurs d'été et rut bestial Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2015 dans la catégorie Plus on est
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Chaleurs d'été et rut bestial
Un soir d’été la température n’arrive pas à descendre, il fait trop chaud dans l’appartement pour trouver le sommeil, aussi optons nous pour une promenade au clair de lune
Lorsque je parle de forte température il ne s’agit pas seulement de celle du thermomètre, il y a aussi celle de nos corps, j’ai senti que Marion désirait autant que moi faire l’amour mais dans le sauna de notre chambre impossible de tenir une minute sans dégouliner de la tête aux pieds, mais où aller ?
Il y a bien ce petit square pas loin de chez nous, a cette heure il doit être désert, c’est là que légèrement vêtus, main dans la main nous nous dirigeons
Il y a des bancs exposés a la lumière, d’autres moins, celui là caché sous les arbres ferait bien l’affaire …Marion assied le dos contre moi ainsi elle peut mettre ses deux pieds sur le banc, les genoux repliés, cette position n’est pas anodine, sa robe retombe sur le haut de ses cuisses les découvrant totalement

- Tu es très excitante ainsi chérie
- Je fais prendre l’air à ma minette, elle a tellement chaud !
- Chaud comment ? je peux toucher ?
- Tu es sûr qu’il n’y a personne ?
- Certain !

Elle laisse ma main passer sous sa cuisse menant directement au sanctuaire qui effectivement est brulant pour les deux raisons que j’ai citées plus haut, l’humidité qui passe au travers du bombé de son string n’est pas dût uniquement a la chaleur
De caresser ce tulle tendu où mes doigts dessinent la forme des lèvres suffit à me filer la trique, elle tressaille lorsque j’effleure son clito, écartant davantage les genoux elle laisse tomber sa tête sur mon épaule, signe d’un abandon total

- Te vais te caresser mon amour
- Tu es vraiment sûr qu’il n’ya personne ?
- Ecoute les grillons chanter, s’il y avait quelqu’un aux aguets ils nous préviendraient en arrentant de striduler
- Ah bon …je te fais confiance mon amour

Cette fois j’ai le champ libre, mes doigts crochètent le bord du string pour découvrir totalement la vulve bouillonnante, mon index et mon majeur la fendent de haut en bas, ils glissent facilement sur la mouille avant de s’attarder sur le clito décapuchonné

- Tu me fais du bien julien ….
- J’espère bien !
- J’aimerais te rendre la pareille
- Je vais ouvrir mon pantalon pour te faciliter la besogne
- Je vais ôter ma culotte, les élastiques me gênent
- Si tu fais un demi-tour, tu peux me sucer et je peux te branler
- Caresser est plus poétique que branler chéri !
- Alors je vais câliner ta choupinette !
- C’est mieux !

Affairée à me sucer elle pousse de petits gémissements lors de mes effleurements précis, j’occupe mon autre main à mettre ses seins nus a l’air libre, je fais rouler ses tétons tendus sous ma paume, trop excitée par mes attouchements elle délaisse de plus en plus ma queue, autant passer a autre chose …

- Tu veux que je te prenne chérie ?
- Ici ? comment ?
- Je suggère que tu viennes sur moi, ce sera plus confortable pout toi
- Oh oui ! baiser dans un endroit public, j’adore cette sensation d’interdit !

Je m’allonge, Marion m’enjambe et positionne sa chatte pour s’enfiler sur mon sexe en béton, une fois assise sur mon bas ventre elle s’étend sur moi, c’est à peine si nous bougeons, pas besoin de grands coups de reins trop fatigants par cette chaleur, la seule contraction de nos sexes suffisent à nous amener vers l’orgasme, nous baisons tendrement a ’la pépère’ !

Soudain les grillons se taisent... ce n’est pas dût a notre accouplement silencieux, Marion trop partie, ne s’est aperçue de rien, je pousse ma tête sur le coté pour observer les environs, une branche vient de craquer juste derrière nous, c'est-à-dire jutes derrière ma femme qi s’emmanche sur moi
Pourquoi priver un amateur de belles fesses qui, de plus, sont enfilées par un beau membre ? ! Alors je relève totalement la robe sur ses reins et je la prends par les hanches et l’oblige à se décoller de moi sans que ma queue ne s’échappe de son ventre afin qu’il voit tout… ‘Il’ est là …je l’aperçois prés de l’arbre, a moins de dix mètres, Marion ondule sur moi, elle voudrait s’exhiber qu’elle n’en ferait pas plus !

- Chéri ?
- Oui mon amour ?
- Les grillons ne chantent plus …
- Alors c’est surement que nous somment épiés …
- Idiot !
- Que ferais tu si un homme nous regardait ?
- Je m’en fout ! je suis trop bien pour arrêter maintenant
- Tu as raison, continue à t’enfoncer sur ma queue, finit-toi

Est-elle vraiment dupe ? Il me semble qu’elle met plus d’ardeur à se ‘besogner’ sur moi, des gémissements de plaisir sortent de sa bouche comme pour se donner en spectacle

- Imagine que c’est un autre mec que moi qui est sur ce banc …
- Tu veux dire que je serais après baiser avec un inconnu en ce moment ?
- Imagine …que ressens-tu ?
- Il a une grosse bite, elle m’élargit toute la chatte
- Enfonce toi bien, jouit sur ses couilles
- Oooooooohhhhh chéri !!! je PAAAAAAARRRRRRRRRS
- Chuuuuuuuuut …
- Je jouis chéri et nous somment seuls, décharge MAINTENANT !!!!!
- Je viens … TIIIIEEEEENNNNNNNT
- AAAAAAAAAAAAAAAHHHHOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIII !

Mario est retombée sur moi, sans bouger afin que nous reprenions notre souffle, j’espère que notre ‘admirateur’ est partit car ma femme se met debout

- Tient chéri met ma culotte dans ta poche, je rentre sans !
- Tu vas en avoir plein les cuisses ?
- Et après ? ! si il fait meilleur a la maison tu m’en remets un p’tit’ coup ??
- Avec joie !
- Dit moi julien … il y avait réellement quelqu’un ?
- Oui …..un homme assez jeune, il t’a regardée jouir, tu m’en veux de ne t’avoir rien dit ?
- Mais tu me l’as dit chéri ! étrangement cela m’a dopée de savoir qu’il pouvait voir ma chatte plantée de ta belle queue
- Avec la pénombre il n’as pas dût voir nettement ma bite au fond de ton vagin
- Ah ? dommage, et si nous étions restés il se serait approché ?
- Si je lui avais fais signe je pense que oui, tu aurais aimé te faire toucher ?
- Je ne sais pas …nous voici arrivés vient vite me baiser chéri, prend moi fort

Nous n’avons pas reparlés de cet épisode jusqu’au jour où ….

- Julien …
- Oui Marion ?
- Où pourrions-nous aller pour recommencer ?
- Recommencer quoi ?
- Eh bien… ce que nous avons fais l’autre soir
- Aaaahh ça t’a bien plus ! Pourquoi pas au même endroit ?
- C'est-à-dire … je voudrais essayer en plein jour, mais sans qu’’il’ s’approche !
- Pour ma part je ne serais pas contre, mais je respecte ton choix ….si nous allions sur un parking discret ? tu serais en sécurité dans la voiture et ainsi te ferais ce que tu veux, au fait ? que veux-tu faire exactement ?
- Je voudrais me toucher devant un homme qui se masturberait en me regardant … tu me prends pour une pute non ?
- Loin de moi cette idée ! au contraire, tu réaliserais le fantasme le plus fréquent chez l’homme et notamment chez moi !
- C’est vrai ?
- Nous devrions parler plus longuement des fois !
- Quand tu me fais l’amour j’ai envie de te parler de tout ça mais je n’ose pas
- Tu me parleras lorsque tu vas te branler devant un inconnu, d’accord ?
- D’accord ! on y va quand ?
- Cet aprèm ? tu mets les mêmes vêtements que l’autre soir
- C'est-à-dire pas grand-chose ! mais je tiens au string, je ne veux pas tout dévoiler d’un coup !
- vicieuse !
- Et si personne ne vient ?
- Je te baiserais moi-même !

Je connais un parking prés d’une rivière où viennent des pêcheurs, le temps de faire la route j’ai mis ma femme en condition en caressant sa minette par-dessus sa petite culote qui s’est vite imprégnée de ses sécrétions intimes, je choisis une place abritée des regards entre des arbres, une voiture garée là va certainement attirer l’attention alors que des places plus accessibles sont disponibles, deux voitures y sont d’ailleurs stationnées

Je me penche sur Marion pour l’embrasser et lui peloter les seins par le haut de la robe ouvert, elle répond presque brutalement a mon baiser, preuve de son excitation, tout en tournant ma langue dans sa bouche je relève sa robe et manipule le siège afin de le mettre quasiment en couchette, elle écarte les cuisses sans tarder au cas où un admirateur se pointerait
Déçus de ne pas voir quelqu’un s’approcher j’allais mettre ma tête entre ses cuisses lorsqu’une ombre se profile sur la vitre arrière

- Ça va être à toi de jouer chérie, nous avons un spectateur
- Comment est-il ?
- Attend … muuuuuummmmmm, plutôt pas mal, s’il enlève son chapeau à la con et ses bottes je dirais même très acceptable !
- Je suis bloquée, je n’ose plus, il va me prendre pour une moins que rien
- Chausse tes lunettes de soleil elles vont te protéger, je vais m’écarter un peu de toi afin que tes gestes soient libres et bien visibles
- Caresse mes seins pour me donner du courage
- Je vais te téter et faire semblant de ne pas l’avoir vu, a toi maintenant…

Le pied gauche sur le tableau de bord elle pose sa main entre ses cuisses, dehors des bruissements signalent le déplacement de l’homme, sans hésiter il vient carrément prés de la portière gauche

- Il est là...
- Va-y, touche-toi …
- Ma culotte est trempée …
- Tu me fais bander salope

Marion passe longuement sa paume a plat sur sa motte avant de se décider à en écarter le fond étroit… l’inconnu à le front posé sur la vitre, a voir les mouvements de son bras je dirais qu’il se branle lentement, ses yeux vont éjecter des orbites, il se mord la lèvre inférieure, Marion décide de porter l’estocade en enfonçant profondément deux doigts dans sa vulve, elles les retirent entrainant un filet de cyprine et débusque son clitoris pour l’en tartiner
Ceci fait les doigts tournent autour dans le sens contraire des aiguilles d’une montre, son dos s’arque, sa tête dodeline de droite a gauche, elle ne fait pas semblant, cette cochonne va jouir devant cet homme qui tape a la vitre et me fait signe de baisser la vitre, je lui signifie que ce n’est pas possible

- Que veut-il ?
- Que je lui ouvre …
- Fait-le …
- Comment ?
- Fait-le, il voit ma chatte, je veux voir sa verge
- Mais il va en profiter pour te toucher ?
- Ça te gênerait chéri ?
- Pas du tout, je t’ai même dit que c’était mon fantasme
- Alors ouvre la vitre ….

Je remets le contact et appuis sur l’ouverture, à la fois excité et un peu jaloux, c’est la première fois qu’elle va voir la queue d’un autre homme en érection et aussi certainement se faire toucher …pour corser le spectacle je fait rouler un téton entre mes doigts, chose qu’elle fait a chaque fois lorsqu’elle se touche

- Bonjour, merci, madame est très belle, ses seins sont magnifiques, j’adore voir une femme se caresser, c’est tellement rare
- Chhhhhhuuuuuut, contente-toi de mater
- Je peux caresser son genou ?
- Si c’est simplement son genou, d’accord

Il passe un bras et sa tête, son souffle est puissant car de l’autre main il se branle énergiquement, ce con va décharger sur ma voiture, Marion le laisse tirer sur son genoux, elle est complètement écartelée, son clitoris n’a jamais été aussi gros et rouge, passant outre mes ordres la main glisse lentement sur la cuisse de ma femme qui s’offre sans aucune gêne elle apprécie cette intrusion, au moment où les doigts atteignent le pubis elle ouvre la bouche pour laisser éclater sa jouissance et presse de toute ses forces sur sa chatte qui expulse un jet visqueux droit devant, arrosant mon tableau de bord, au même instant l’homme beugle comme un veau qu’on égorge, il vient de juter sur ma portière

- C’était bon, excusez moi je dois partir, pardon pour la portière …

L’homme disparu nous restons médusés comme deux imbéciles ! Marion reste sur sa faim et moi très déçus de ne pas avoir assisté à des ébats qui auraient pus aller très loin, j’en suis certain

- Quel imbécile ce type
- Dommage …
- Tu aurais été jusqu’ou chérie ?
- Je ne sais pas, je suis tellement excitée que j’aurais tout accepté …
- Donc, il aurait pu te baiser, hé bien c’est moi qui vais m’en charger ! descendons, nous serons plus a l’aise
- J’enlève ma culotte ?
- Bien sûr
- Je vais me mettre a genoux le nez dans l’herbe, prend moi sans ménagements, je suis bouillante
- Je te laisse libre d’imaginer n’importe quel homme dans ta moule

Le cul en l’air, m’offrant une vue imprenable sur son intimité poisseuse, j’enfonce ma queue d’un seul coup de rein, elle pousse un rugissement de satisfaction, mais notre tranquillité est de courte durée, je vois notre voyeur discuter avec un homme et un jeune garçon, ils regardent dans notre direction, pas de doute, il raconte son aventure, ils se séparent … non … je ne le crois pas …l’homme et l’enfant se dirigent vers nous … doit-je avertir Marion ? Elle va être énervée de stopper une seconde fois son besoin de jouissance

Plus j’observe, plus je trouve que ce ‘gamin’ a une drôle de démarche… mais c’est bien sûr ! ce n’est pas un enfant mais un nain ! …. Cela change tout … je choisis de ne rien dire …je continue à la besogner avec une idée derrière la tête, ils sont a dix mètres, je leurs fais signe de se taire, obéissant ils stoppent et commencent à farfouiller dans leurs pantalons
Je n’en crois pas mes yeux lorsque je vois la taille de la verge du petit homme, elle parait énorme par rapport a sa taille, il me la montre fièrement en la soupesant dans sa paume, il est clair que de toute façon elle est plus grosse que la mienne et que celle de son pote, il me fait nettement comprendre qu’il aimerait bien baiser ma compagne, je dois prendre rapidement une décision …

- Approche …
- A qui parles-tu chéri ?
- A ton futur amant
- QUOI ? QUI ? tu veux me faire baiser ?
- Ce n’est pas ce que tu désire au fond de toi-même ? soit honnête ?
- Oui julien, j’avoue, j’aimerais sentir un inconnu en moi, ça ne m’empêchera pas de continuer à t’aimer a la folie
- Comment vois-tu cet homme ? grand ? brun ? bien monté ?
- Peu importe, je veux connaitre l’interdit… ceci dit un beau membre ne me conviendrais bien !
- Alors tu vas être satisfaite, ne cherche pas a voir cet amant, celui qui attend que je me retire de ta chatte est exactement comme tu le souhaites, vas-y, prend ma place ‘petit’
- Ce n’est pas un enfant tout de même ?
- Quand je dis ‘petit’ c’est une façon de parler, tu comprendras quand tu seras enfilée et que vous aurez jouis tous les deux, à présent baise ma femme, elle est prête, sois fier tu es son premier amant
- Merci monsieur … baissez un peu votre postérieur madame, je ne suis pas a la bonne hauteur
- Comment ça pas a la bonne hauteur ???...
- Je suis trop bas
- Je ne comprends rien... Et là ça va mieux ?
- Impec, merci !

Le petit homme arque son gros ventre en avant et repousse les lèvres rougies par l’afflux de sang de son orgasme avec son champignon violacé, sans doute surprise par la grosseur de l’engin Marion relève la tête pour se retrouver face à un autre gland, celui de l’homme agenouillé devant elle

- Chéri ! Combien sont-ils ?
- Deux …
- Et je suppose que je dois sucer ce monsieur pendant que je me fais bourrer par … je ne sais pas qui d’ailleurs !
- Un nain chérie, un nain
- Un nain ?? avec un aussi gros membre ?
- Hé oui, c’est courant chez eux
- Tout de même, deux hommes d’un coup ! tu es devenu fou Julien ?
- Ça va nous faire des souvenirs, crois moi nos rapports sexuelles vont se décupler
- Oooooooohhhhh julien ! je suis défoncée par ce nain ! mon dieu, il est énorme et vigoureux
- Avale la queue qui se présente a ta bouche et apprécie, ainsi pénétrée par les deux bouts tu te transforme en ‘cochonne de lait’ au tourne broche ! tu es belle mon amour quand tu te démène ainsi sur deux bittes, si tu voyais ta chatte éclatée, je suis certain que tu l’apprécie plus que la mienne
- Huuuuuummmmmhhhuuuuuummmmmm !
- Elle bave de plaisir votre femme, je lui enfonce jusqu’aux amygdales !
- Ne la faites pas vomir !

Jamais je n’ai vu Marion onduler de la croupe avec autant de ferveur, pour ne pas partir a la renverse le petit homme s’arque-boute lorsqu’elle ramène violement son cul sur son ventre rond, c’est irréaliste de vois ce drôle de tandem, que dis-je ce drôle de trio ! Ma femme est brouettée d’avant en arrière, ses seins dansent au gré de l’accouplement plutôt énergique
Ses doigts boudinés sont crispés sur les poignées d’amour tout le temps qu’il met à décharger en elle, du sperme déborde des lèvres disjointes, simultanément celle qu’elle suce se déverse dans son palais, elle ne peux qu’accepter car il lui maintient la tête rivée a son pubis, là aussi du foutre coule aux commissures de ses lèvres,
Dommage que je n’ai pas mon caméscope afin d’immortaliser cet instant inoubliable, quand je la baiserais a mon tour je lui raconterais en détails ce que j’ai mémorisé, elle me dira combien ce membre inattendu lui a fait du bien en lui ramonant sa cramouille, et certainement dans quelques jours me demandera-t-elle quand recommencerons nous et avec qui ???

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J'ai adoré, j'aurais aimé être à la place de ton amour

Histoire Erotique
Super bandant ton histoire.
Vite, une suite avec ton amour de salope



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