Chapitre 3 : Rencontre profonde et juteuse - histoire érotique

Chapitre 3 : Rencontre profonde et juteuse
Déjà un mois que Mohamed est parti pour Bordeaux et il ne se passe pas un jour sans que je sois en contact avec pour parler. Ça me rassure, il me rassure. J’ai l’impression qu’il est encore là pour m’épauler.

Je passe donc maintenant mes journées avec Moundir avec qui je m’entends toujours bien même si notre relation est quelque peu bizarre. On a reparlé brièvement de l’histoire du mois dernier et j’ai surtout dû lui justifier ce que je faisais avec Mohamed. Après, compliqué de devoir lui expliquer vraiment que si j’ai baisé avec c’est parce que j’en avais vraiment envie et que c’était réciproque. Il semble comprendre quelque peu mais ça reste très flou pour lui, du moins il est dans le déni. Je reviens ensuite sur ses propos concernant sa branle solo où il aurait pensé à moi. Il n’y a pas de raison qu’il me fasse culpabiliser sans que je lui retourne la pareille. Il est tout confus et me fait avaler un mytho en disant qu’il avait dit ça sur le coup pour rendre le truc plus dard.

J’enchaine ensuite sur Kaleb que je n’avais encore jamais vu dans le quartier. Il me dit qu’il est nouveau mais qu’ils se connaissent du collège et qu’il a déménagé récemment. Je me renseigne brièvement sur son lien avec et il me dit qu’ils trainent souvent ensemble mais dans un autre quartier donc que j’avais peu de risque de l’avoir croisé. Il me propose d’ailleurs de sortir ce soir chez lui car il y a une soirée. J’accepte et demande bien la confirmation que cela ne va pas déranger Kaleb et surtout espérer qu’il ne cafte rien. Il me rassure et m’invite à rentrer pour se préparer, ce qu’on fait en musique.

On arrive enfin devant la porte de chez Kaleb qui nous ouvre avec un grand sourire. Il arbore un net sourire franc auquel s’ajoute des étoiles dans ses yeux lorsque l’on se croise du regard. Je rentre et découvre son appartement. Il a un petit T2 et semble plutôt ordonné. Il me fait vite le tour pour ensuite rejoindre les autres invités qui sont tous des potes de Kaleb. On se salue tous et Kaleb me propose à boire. J’accepte avec plaisir et la soirée peut commencer.

Pendant que la soirée se déroule parfaitement, j’ai le loisir de pouvoir mieux connaître Kaleb. Je n’ai pas vraiment eu le temps de bien le regarder la fois où il m’a enculé car j’étais trop dans un autre état et c’était rapide. Je peux alors remarquer son teint chocolat qui fait ressortir de magnifiques yeux noisette. Il a le crâne rasé et des fossettes dès qu’il sourit. Sa bouche est pulpeuse et montre des dents blanches et ordonnées à chaque fou rire de sa part. Il est d’ailleurs plutôt grand et semble bien foutu. Dire que la première fois que je l’avais vu je ne l’avais pas trouvé top c’est en fait tout le contraire. J’évite de trop le regarder mais je capte aussi pas mal de regard de sa part. J’essaye de rester rationnel et de me dire que c’est normal vu qu’il me parle.

La soirée commence à tarder et plusieurs personnes sont déjà parties. Le taux d’alcool est très élevé mais pour ma part je n’ai pas beaucoup bu. Au contraire de Moundir qui est torché au possible et qui drague une des filles restantes. Elle n’est pas un canon de beauté mais j’ai bien compris qu’il veut juste coucher avec. Depuis que sa copine l’a largué, il a tendance à courir après tout ce qui bouge… Il fini néanmoins par réussir et dans un regard qui m’est adressé, il s’excuse de me lâcher mais qu’il a une affaire urgente. Je rigole et lui dis qu’il n’y a pas de soucis. Mais une fois parti, je me rends compte que je suis sensé dormir chez lui…
Kaleb qui me voit me faire la réflexion seul à voix-haute rigole et me propose de rester chez lui. Je suis un peu confus et lui dis qu’on ne se connaît pas trop et que je ne veux pas le déranger. Il me dit qu’il a l’habitude de laisser dormir des inconnus chez lui donc que ce n’est pas un problème. Je n’attends pas 15 ans pour accepter et souris intérieurement en me disant que je vais me retrouver seul avec.

Le dernier invité se barre enfin et Kaleb referme la porte.

« Bon ben voilà on est plus que les deux ! Tu veux reboire un truc ? T’as pas beaucoup bu ce soir non ? »
« Non c’est vrai j’avais pas trop envie de boire… Mais oui pourquoi pas un dernier verre ! On se fait un joint ? »
On se roule alors un joint pour les deux et entamons des discussions diverses. Il semble aussi cultivé que moi et ça fait tellement plaisir de parler d’autres choses que de la vie de quartier. Compliqué de ne pas décrocher de ses yeux. Ils pétillent et brillent, il ne peut feindre sa joie. Je dois être dans le même cas et j’essaye de me contrôler au possible. Je finis par me lever pour commencer à ranger.

Il se lève aussi mais me stoppe en me disant qu’il le fera demain et qu’on ferait mieux de se coucher. Il regarde l’état du canapé et se sent limite mal et me propose de dormir avec si ça ne me dérange pas. Mais je ne lui réponds pas. Mes yeux sont rivés sur ses lèvres qui me parlent et je ne capte pas la fin de sa phrase, absorbé par mes pensées. Je redescends sur Terre par un contact étranger. Kaleb venait de déposer un baiser sur mes lèvres avant de se reculer pour jauger ma réaction.

Je lui choppe son pull et le rapproche de moi pour lui rendre son baiser avec plus de fougue et d’envie. On s’embrasse à pleine bouche en se dévorant nos langues. La chaleur est montée d’un coup et on enlève rapidement nos pulls. Trop pressé pour devoir attendre une nouvelle étape, je lui enlève en même temps son tee-shirt dévoilant un corps musclé et un filet de poils entre ses abdos et sur ses pectoraux. Il m’excite beaucoup et ma queue commence à être à l’étroit.

Kaleb nous sépare pour prendre ma main et m’emmener dans sa chambre. Il m’allonge alors sur le lit et baisse mon jogging pour enfouir sa tête entre mes jambes. Il sniffe mon boxer et palpe mon monstre. Il semble avoir pris en longueur car lorsque Kaleb sort ma queue de sa prison, je suis aussi surpris que lui de sa taille. Il s’arrête 5 minutes en se reculant pour l’observer et commenter son choc. Je rigole et le rassure que je ne compte pas lui faire des gorges profondes. Il rit jaune mais s’empare de ma queue pour la branler avant d’y déposer sa langue pour me lécher le gland. C’est comme une forme de soulagement que de se faire téter le gland comme ça.

Je l’encourage en lui demandant de continuer et en lui caressant son crâne. Sa main vient caresser mon corps avant de remonter sur ma bouche pour y insérer ses doigts. Je suce ses doigts un petit temps avant de lui faire la remarque de que je peux toujours lui sucer la queue. Il se redresse alors et baisse son jogging pour laisser sa queue à l’air libre. Je peux mieux l’observer car elle avait trop vite fini dans mon cul la première fois. Elle est fine et longue, de quoi faire de belles gorges profondes.

J’embrasse son pubis poilu dans la continuité de la ligne arrivant de son nombril. Je lèche sa hampe avant d’enfourner sa queue quand ma bouche. Je l’invite rapidement à nous mettre en 69 pour profiter chacun de sucer en étant sucer. Chacun se concentre sur sa tâche tout en appréciant la tâche de l’autre. Un jeu commence à s’installer où l’on cherche à décrocher des gémissements de l’autre. Ça commence par des accélérations momentanées mais très vite c’est par des gorges profondes que chacun essaye de gagner. C’est légèrement plus facile pour moi vu la taille mais il ne s’en sort pas trop mal ce con !

Je commence alors à malaxer ses deux lobes fessiers plutôt bien fermes. Je les écarte de manière à laisser apparaître son trou qui reçoit vite un crachat de ma part. Je lui titille l’anus avec mon doigt et je l’entends pousser de large soupir. Il arrive néanmoins à me stopper et me dire qu’il ne pourra jamais encaisser tous mes centimètres, pas ce soir. Je suis forcément un peu déçu mais je comprends son positionnement car moi-même je ne sais pas si je suis capable de pouvoir me prendre ça. Je continue néanmoins de le toucher et commence à insérer un doigt. Il pousse un gémissement et me reformule sa demande. Je le rassure en lui disant que je ne l’enculerai pas mais que rien ne m’empêchait de le doigter.

J’en suis à deux doigt et il a complètement arrêté de me sucer pour profiter de cette jouissance anale qu’est mon doigté. Il soupir de plaisir et m’encourage à continuer. Malgré qu’il mouille du cul, c’est un peu sec et je dois cracher trop souvent…
« Regarde dans le tiroir du bas de l’armoire. Derrière la boite tu trouveras du lubrifiant »
Je suis ses indications et insère ma main dans le tiroir. Mais je suis allé un peu trop loin et au lieu de sortir que du lubrifiant, un gode de taille honorable tombe au sol. Un regard de surprise de sa part tandis que le mien était plein d’imagination. Je le prends avec moi et m’approche de Kaleb.

« Jte jure j’sais pas pourquoi ya ça là ! Je me gode pas hein… »
« Shhhh… Ferme les yeux et profite ! »
Je viens de lubrifier comme il faut le gode et le présente à son trou déjà dilaté par mes doigts. Je l’enfonce petit à petit. Il semble surpris par la fraicheur du lubrifiant mais se relaxe très vite au fur et à mesure que je pénètre en lui. C’est la première fois que je gode quelqu’un et la sensation est excitante car elle donne un angle différent. Je vois Kaleb s’effondrer dans son lit de râles tandis que son cul se cambre de plus en plus. J’alterne la vitesse et la régularité des mouvements.

Au bout de 5 minutes, je le retourne sur le dos et me positionne vers son trou et continue de le goder. Il me regarde avec de l’excitation et de l’exaltation dans le regard. J’ai tellement envie de l’enculer. Ce serait mon premier mec et ma queue est tellement dure que je ne l’ai jamais vu dans cet état. Je décide alors en plus du gode, d’ajouter deux doigts. Ça a son petit effet et Kaleb s’excite de plus en plus. Il semble aimé la place que ça prend et son regard m’incite à toujours plus. Je finis par retirer le gode et remonter mon visage au sien pour l’embrasser. On se caresse et il lève automatiquement les jambes, mon bassin entre ses cuisses. J’en ai trop envie.

« Je sais que tu voulais pas mais je t’assures que t’es prêt à encaisser. Ton cul m’appelle trop pour ne pas t’enculer. »
« Tu m’excites Tarek ! Vas-y doucement ! »
J’ai réussi à le faire céder. C’est comme une victoire dans ma tête. Je me redresse à genoux pour prendre le lubrifiant et badigeonner ma queue avec. Une fois bien lubrifiée, je m’approche de son trou, j’écarte bien les jambes et vas pour rentrer. Puis je me souviens de ma première fois avec Mohamed et de la douleur que j’avais pu ressentir. Je me recule, me relève et pars m’asseoir sur un fauteuil dans la chambre qui sert à poser ses fringues. Je jette ses fringues et l’invite à venir me voir. Il est surpris au premier abord par ce changement de programme mais il se lève et viens s’asseoir sur moi.

Nos lèvres et nos langues ne font qu’une alors que mes mains palpent son cul pour finir par bien écarter les lobes. Je sens la main de Kaleb prendre ma queue et la positionner sur son anus. Il finit par s’enfoncer dessus. Je lui roule des pelles de malade pour lui faire oublier la douleur et il s’agrippe à moi dans le dos. Je l’entends pousser des gémissements de douleur mais il persiste à continuer. Soudain il se relève et je me rends compte qu’il a englouti toute ma queue.

Un sourire de vainqueur s’affiche sur nos visages et on s’embrasse pour fêter ça. Il se relève et commence des vas et viens doucement en soufflant et gémissant dans mon oreille. Il m’excite tellement. Je mords sa peau chocolat et il me le rend en me mordant dans le cou. Il coulisse comme un pro sur ma queue et je sens que je ne vais pas durer longtemps comme ça vu mon état. Je lui fais part de ça et il se retire en me demandant de rester là sans me toucher le temps que ça redescende.

Il se lève et par sur son lit. Il se met à quatre pattes, tourne la tête pour me regarder et cambre un max pour montrer son trou bien ouvert. Il pousse des gémissements et se doigte le trou toujours en me regardant. Je ne sais pas comment c’est possible de tomber en excitation avec cette vue et je peine à ne pas me branler. Il se retourne sur le dos, prend son gode et commence à se l’enfiler devant moi. Son regard est allumeur au possible et il me donne qu’une envie, c’est de retourner l’enculer. Il joue de moi encore quelques minutes mais à peine il s’est remis en position de cambrure à quatre pattes que je tiens plus.

Je me lève et saute sur le lit pour le chopper par les hanches. Je lâche juste une main pour guider ma queue à l’entrée. Je m’enfonce en lui sans trop de douceur. Il m’a trop excité et je sens que je vais éjaculer à tout moment. Je lui défonce son cul comme je le peux, sa tête dans l’oreiller pour pas qu’il crie trop fort. Je me sens venir et finis par me vider en lui. Mon stock étant bien plein je reste un bon moment à me vider. Je continue de l’enculer encore plusieurs minutes en l’embrassant dans le cou. J’attends que ma queue soit redevenue molle pour me retirer et regarder mon jus sortir de son cul.

« Ah putain Tarek t’es le meilleur. J’ai jamais pris aussi gros et autant mon pied ! »
Il me flatte mais je ne peux que lui retourner son compliment et insistant sur sa capacité à encaisser et à m’allumer comme il l’a fait. Il sourit et m’embrasse. On se câline quelques minutes mais l’envie de pisser est trop forte. On part donc se doucher dans la foulée sous l’eau chaude et nos baisers.

Une fois retournés dans la chambre, on reste nu dans le lit, l’un contre l’autre. On discute quelques minutes mais la fatigue est trop forte et le jour va bientôt se lever.

***
Je suis encore dans mon rêve mais je sens que quelque chose déconne. Une sensation bizarre inconnue dans mes rêves. Je reprends peu à peu conscience et me rends compte que cette sensation vient de la réalité. J’ouvre alors un œil et observe autour de moi. Je remarque alors Kaleb attelé à une tâche que je ne peux pas refuser. Il a ma queue bien dure dans sa bouche. Il n’a pas vu que je me suis réveillé alors je feins encore quelques minutes pour apprécier ce moment. Puis doucement je prends sa tête dans mes mains et l’incite à aller toujours plus profond.

« Mec t’as l’art de me réveiller. Vas-y suce moi bien et t’auras peut-être la chance de l’avoir dans ton cul si tu m’excites assez. »
Je le vois alors doubler d’effort en ajoutant des doigts entre mes fesses et en me caressant mon corps musclé. Il est à fond dans sa fellation quand un bruit parvint de la cuisine. Il se redresse et me dit que c’est surement le four car il avait lancé un truc. J’ignore encore l’heure et depuis quand il est levé mais je remarque que ma queue se sent soudainement seule.

Je me lève pour le rejoindre dans la cuisine et le voir nu à sortir des gâteaux du four. Ayant déjà une idée derrière la tête, je prends au passage le lubrifiant.

« Là tu vois, tu m’excites au possible ! »
Il sourit et vient vers moi m’embrasser. Je le prends dans les bras et le porte par les fesses pour venir l’allonger sur la table. Je l’embrasse avec fougue et m’enduis la queue avec le lubrifiant. Puis sans trop prévenir, je m’enfonce en lui. Il est excité et gémit comme une salope. Ça m’excite au max et je le vois continuer de m’encourager à aller plus profond. Il a un comportement bien salope et j’ai du mal à me contenir tant il m’allume par ses mots et son regard.

« Vas-y Tarek prends moi sur la table. Fais-moi sentir ta grosse teub de rebeu ! Je veux que tu jouisses à nouveau dans mon cul comme hier ! »
Pfiou, je ne vais pas tenir longtemps s’il me parle comme ça ! J’accélère mes mouvements et la table bouge de folie. Pour éviter de tout péter, je le relève assez brutalement et le retourne contre le mur. Je m’enfonce en lui comme il faut et explose son petit cul de noir contre le mur. Mais les coups sont encore bruyants et je ne veux éveiller des soupçons chez les voisins. Je me retire et lui demande de m’emmener où il veut.

Il me dit alors de le suivre et je le vois prendre la direction du salon. Il s’installe en cambrant sur le canapé encore jonché de merde d’hier. Le salon sent encore l’alcool et avec la vue des bouteilles et du bordel présent, j’ai l’impression d’être encore en soirée. Je me refixe sur Kaleb et je le vois en position très chaude avec un trou ouvert qui n’attend que ma queue. Je ne tarde pas et après lui avoir bien fessé le cul à en devenir rouge et craché dans son trou, je l’encule bien fort en le maintenant par les hanches. Il encaisse de folie et je relâche toute cette pression de devoir trouver quelqu’un qui veuille bien prendre ma queue. Il gémit au possible et moi je ne suis pas mieux. Je le fesse dès que j’y pense.

« Putain vas-y féconde moi j’vais pas tenir très longtemps ! »
« T’inquiètes petite salope je vais refaire ta déco intérieure ! »
Je lâche toutes les vannes et dans un dernier coup je m’effondre sur lui, ce qui nous vaut de perdre l’équilibre. Je me retrouve par terre sur le dos avec lui toujours enfoncé sur ma queue. Le processus d’éjaculation déjà enclenché me procure une sensation bizarre où je continue de l’enculer par spasmes alors que je me remets de ma chute. De son côté, des jets de foutre giclent dans tous les sens de sa queue.

On peine à se remettre de nos émotions et on reste allongé au milieu du bordel de la veille un sacré moment. On rit de notre péripétie et je finis par me lever pour aller aux toilettes. Kaleb est encore trop épuisé pour faire quoi que ce soit et il reste nu sur le ventre, son cul suintant le sperme, au milieu du salon. Je passe en vitesse regarder mon portable et remarque un sms de Moundir qui me demande où je suis et un suivant annonçant le fait qu’il part chez Kaleb si je veux le rejoindre là-bas.

Le stress s’empare de moi et je vois que le message a été envoyé il y a déjà 10 minutes. Il ne va donc plus tarder !

« Kaleb ! Bouge ton cul ! Moundir débarque d’une minute à l’autre ! Allez vite !! »
Je transfère mon stress à Kaleb qui passe d’un corps inerte à une pile électrique. On court vite s’habiller et je remarque Kaleb en chie un peu à bouger avec son cul défoncé. Je remarque surtout mon foutre le long de ses cuisses qui continue de sortir. Il s’essuie rapidement et enfile les premières fringues qui passent.

Pour feindre l’action passée, on commence à ranger en mode normal l’appart même si on est encore sous le coup de pression. Pression qu’on a bien fait de se mettre car 3 minutes après, la sonnette retentit et Moundir apparaît accompagné de deux autres mecs d’y hier. Ils rigolent de nos états et proposent de ranger avant de tous partir en ville.

Ouf ils n’ont rien capté. J’ai juste une pensée subite pour Kaleb qui va devoir se trimballer en ville avec mon foutre en lui. Heureusement pour lui, il feint le besoin d’aller chier avant de partir et d’aller mettre de nouvelles fringues. Intérieurement, je m’excitais à l’idée de l’imaginer en ville encore dans son état après baise.