Chapitre 5 : Nouvelle vie, nouvelles règles
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Chapitre 5 : Nouvelle vie, nouvelles règles
Chapitre 5 : Nouvelle vie, nouvelles règles
« Mais qu’est-ce que j’ai encore foutu !? ». C’est la phrase qui tourne en boucle dans ma tête. Je suis dans l’avion et je suis recroquevillé sur moi-même à me lamenter en ne réalisant pas vraiment encore ce qu’il se passe. Je décide de me calmer mais à peine je cherche à penser à autre chose que tout me ramène à cette phrase : « T’as ruiné ta vie ! ». Je pars dans une ville inconnue dans le plus grand secret sans que ma famille ne le sache et en sachant que je n’ai aucune chance de survivre si je retourne dans mon quartier maintenant.
Je passe toute la durée du vol à réfléchir à comment j’ai réduit ma vie en cendre. Je suis encore sous le choc et je ne réalise pas encore tout ce qui vient de se passer. Je suis tellement bloqué dans mes pensées que je n’avais pas vu que nous avions déjà atterri.
Je passe les différents portiques pour sortir et je réalise que je ne sais même pas qu’est-ce que je dois faire. Où je dois aller ? Quelqu’un m’attend ? Si oui, où ? Mais les portes s’ouvrent et à une trentaine de mètres de moi, un beau rebeu musclé m’attend, c’est Mohamed.
J’arrive à sa hauteur et c’est en voyant son regard et tout ce qu’il pouvait exprimer que je m’effondre en larmes dans ses bras. Je pleure toutes les larmes de mon corps et m’insultant. Mohamed, patient, me serre fort dans ses bras et m’encourage à continuer. J’ai complètement oublié où nous sommes et me fiche totalement que des gens me voient pleurer, chose que je n’aurais pas fait il y a un jour. Je finis néanmoins à me calmer quelques minutes après. Enfin, je suis un peu déphasé car je remarque que ça fait déjà 10 minutes que je pleure.
Mohamed m’entraine avec lui dans sa voiture et nous partons pour son appartement. Le silence est effrayant dans la voiture mais je ne suis pas en capacité de parler. Mohamed me connait par cœur et sait très bien qu’une discussion n’est pas envisageable. Il se tait et me jette quelques regards pour s’assurer que je ne pars pas en sucette.
On arrive chez lui et il me montre ma chambre. Par chance son coloc n’est pas là pour plusieurs semaines, de quoi pouvoir rebondir et réfléchir à l’après. Mais aujourd’hui je n’ai pas la tête à réfléchir. Il me fait le tour de l’appartement mais je n’en ai pas grand-chose à carrer. Je tente de me contenir pour ne pas repleurer mais je tiens pour faire face. Puis, réflexe bête, je regarde mon portable et vois plusieurs messages d’insultes de numéro inconnu ou de mecs de la bande. Je bloque et tente de me maintenir quand Mohamed, ayant remarqué ma situation, s’empresse de me retirer le portable en me disant qu’il ne faut pas que je lise tout ça. C’est trop. Je m’effondre à nouveau en pleurs. Mohamed m’emmène dans mon lit pour que je dorme un peu et, alors qu’il faisait demi-tour, je lui demande de bien vouloir rester avec moi. Il s’installe alors à mes côtés et me prends dans ses bras.
***
Je me réveille soudainement par un cauchemar. J’ouvre les yeux et me retrouve seul, plongé dans le noir d’une pièce que je ne reconnais pas. Il me faut quelques minutes pour calmer ma panique et me remémorer tout ce qu’il s’est passé ces dernières 24h. Je me sens mieux et un éclair de détermination traverse mon esprit. Je m’empresse de me lever et je pars à la recherche d’un stylo et d’une feuille.
Mon regard croise le réveil qui indique 5h mais je m’en fiche, je dois écrire. Réécrire ma vie.
Une fois muni d’un stylo et d’une feuille, je reprends un à un tous les faux pas que j’ai pu faire. Coucher avec son cousin, accepter de se faire baiser par un inconnu, donner trop de confiance à quelqu’un, accepter de coucher avec d’autres inconnus dans un lieu public et filmé. La liste est un peu longue mais chaque mot écrit me libère un peu plus.
Je respire un bon coup et entame alors la liste de ce qui sera mes règles d’or pour les années à venir :- Je ne donnerai plus ma confiance à des inconnus.
- Je ne serai plus passif- Je n’ouvrirai plus mon cœur à quelqu’un- Je ne veux plus de sentiments- Je dominerai pour ne pas être dominé- Je ne montrerai aucune faille
Je réfléchis à ajouter que je ne coucherai plus avec des mecs mais, à y réfléchir, ce serait compliqué car je remarque bien aujourd’hui que je ne suis plus du tout attiré par les filles. Je ne chercherai juste plus à aimer, juste à baiser. Avoir ouvert mon cœur m’a ruiné la vie et je ne compte pas renouveler cette expérience maintenant.
Il commence à être tard et je m’endors, la feuille sur mon ventre.
***
Je me réveille la tête embuée et encore sous le choc d’hier. Je suis néanmoins plus à même de me relever, ma phase d’effondrement s’étant terminée. Mohamed le remarque d’ailleurs et se montre rassuré de me voir reprendre des forces.
Après un échange sur la liste que j’ai fais cette nuit, nous discutons de tout ce qui m’a amené à atterrir ici. Il se montre compréhensible et me rassure mais ne peut s’empêcher de me dire qu’il m’a averti à de nombreuses reprises. Je l’admets et lui promet de l’écouter à l’avenir. Puis il revient sur ce gang bang en demandant des détails. La soirée en elle-même ne m’a pas déplu et je lui raconte leur fonctionnement. Je le vois pensif, comme si ça l’inspirait.
Je le questionne sur lui et son réseau. Il me dit qu’il a sa copine ici donc qu’il n’est plus dans aucun réseau mais il déclare connaitre un pote qui fait partie d’un réseau. Mais après ce que j’ai vécu, je ne veux plus faire partie de tout ça et veux faire cavalier seul.
***
Trois semaines ont passées et ma vie semble se reconstruire. J’ai eu ma famille au téléphone et je leur ai dit que je suis allé rendre visite par surprise à Mohamed et que j’ai eu une belle opportunité de travail et que je vais rester un peu. Ils ne sont au courant de rien et m’encourage à rester pour travailler et en faire la fierté de la famille. Je souris intérieurement en me disant que s’il savait toute l’histoire je serais renié.
Pour le travail, je n’ai même pas mitonné parce que je suis allé faire un tour des offres de travail et j’ai décroché un poste sympa dans un quartier d’affaires. Rien de bien prenant et pas de grosses responsabilités mais au moins j’ai une vraie source de revenu. Le coloc de Mohamed a repoussé son retour et j’ai encore un mois pour mettre de côté et me trouver un appartement.
J’ai décidé de partir en recherche d’un plan cul pour ce soir car je commence à ne plus en pouvoir. Je regarde les bars gays dans la ville et en choisis un pas trop visible mais où j’ai l’occasion de faire des rencontres.
***
Je fais un premier pas dans le bar et déjà plusieurs regards se figent sur moi. Je me sens observé de partout et je vois qu’ils n’ont pas l’habitude de voir des inconnus, ou dumoins tous les habitués se reconnaissent vite. Je fais mine de ne rien voir, trop de fierté pour montrer ma déstabilisation et comme je l’ai écrit, je ne laisse plus aucune faille apparaître.
Je m’installe au bar et commande un verre. Plusieurs mecs s’approchent et viennent me parler pour taper la discussion. Je comprends que je n’aurai pas trop de mal à chopper ce soir. Je transpire l’alpha et reste dressé pour montrer que je suis inatteignable. Et plus je continue, plus les soumis et les excités du cul s’intéressent à moi. Je snobe la plupart pour d’une part rester dans mon jeu mais aussi pour faire une sélection car il y en a qui ne sont pas du tout mon type.
Le barman s’approche alors de moi et semble me confier un secret.
« T’as l’air nouveau toi ! J’ai vu que t’as l’air un peu dominant et on recherche de nouveau mâles dans ton genre pour notre partie secrète. »
Je le regarde d’un air questionnant et il me demande de le suivre.
Je suis alors le barman et passe une porte réservée au staff. On traverse un couloir, un escalier et une porte noire fait face. Il me dit alors d’attendre deux minutes là. Il passe cette porte et j’attends patiemment. Il revient rapidement avec un autre mec qui semble être un gorille. Il lui demande alors de m’escorter jusqu’à la loge. Je suis intrigué.
On passe la porte et je découvre un univers complètement différent du bar en surface. C’est une grande salle destinée à des plaisirs plus charnels. Des dizaines de gays dansent sur le rythme de la musique habillés de manière très légère. Dans un coin, des mecs qui s’embrassent, d’autres qui sucent ou qui s’enculent. J’aperçois un couloir menant surement à des backrooms. On passe une nouvelle porte et un nouveau mec m’attend.
« Bonjour. Assieds-toi et mets-toi à l’aise. Appelle-moi Will. Je suis le gérant de cet établissement et t’as été repéré dans le bar de surface. Tu semble être de type dominateur et t’es un type plutôt recherché car t’es vraiment mignon. Je te propose de te mettre en tenue plus évocatrice et d’aller te placer sur le siège central pour que tu puisses choisir qui tu veux baiser. Ça te va ? »
« Comment vous savez que ça pourrait m’intéresser ? »
« On connait les gens dans ton genre. Tu attires, tu snobes, tu repères et t’attaques. On te propose juste d’avoir un plus large choix et de consommer directement. »
J’avoue qu’il m’a bien cerné. Ce soir je veux me vider et son plan me semble excitant. J’accepte et me lève pour enfiler le harnais qu’il me tend. Il y a aussi un slip qui semble extensible et assez fin. Je me déshabille et lui donne mes affaires qui sont rangées dans un casier. Alors que je suis nu, je l’entends me complimenter sur mon physique et particulièrement sur ma queue. Heureusement, le slip est bien extensible et même si ma queue se tend dedans, j’ai assez de place pour tout mettre dedans.
Je suis prêt à rejoindre la salle et un gorille me prend par le bras pour me demander de le suivre jusqu’au siège central. C’est un siège en hauteur avec des marches à ses pieds. Il semble confortable et avoir une vue d’ensemble. Je m’assieds dessus et une voix résonne dans le micro.
« Un nouvel étalon est disponible sur le siège. A vous de le convaincre de vous choisir mes belles. »
Après ces mots, la majorité des regards se tournent vers moi et je croise pas mal de regards pleins de désirs. Déjà plusieurs mecs ont monté une partie des marches et se mettent en scène pour que je sois attiré par eux. Je les observe un à un. Je repère un jeune de mon âge plutôt bien foutu qui semble avoir un cul bien bombé. J’apprécie les mecs bien foutus et me passe volontiers des folles efféminées et tout fin.
La troupe des passifs s’agrandit et il devient compliqué d’avoir sa place sur l’escalier. Je décide alors d’en dissuader certains et m’assurer que celui que je choisirai assumera jusqu’au bout. Je me fais bander un max puis me lève et retire mon slip. Je frappe ma queue dans ma main en les regardant et m’assieds à nouveau. Je vois les regards stupéfaits et ceux qui se détournent pour rebrousser chemin. Cela fait son effet car l’escalier se dégorge rapidement.
Reste encore quelques mecs dont mon favori. Je lui jette un coup d’œil et lui fait signe de s’approcher et de me montrer son cul. Il monte proche de moi, se retourne et écarte bien ses fesses. Il est en jockstrap et tout ça semble faciliter les choses. Il semble d’ailleurs habitué à encaisser car son trou est déjà pas mal ouvert.
Je lui fais signe de venir à mes genoux et il commence à me sucer. Je lui mets une claque pour installer ma domination et l’invite à resucer ma queue. Je lui mets ensuite mes doigts dans sa bouche pour bien qu’il les lèche puis je le fais cambrer pour le doigter le cul. En bon passif qu’il est, il se cambre un max et continue à me sucer la queue. Je relève la tête et vois que beaucoup de personnes nous regardent en se touchant.
La voix dans les hauts parleurs retentit à nouveau.
« On dirait que notre petit rebeu à envie de s’exhiber ce soir ! Regardez-le se faire sucer la queue. Jusqu’où ira-t-il pour nous faire plaisir ? »
Je me rends compte alors qu’à la base je devais choisir quelqu’un puis partir dans la backroom, ce qui explique pourquoi tant de mecs me regardent excités. Je réfléchis quelques secondes mais je suis trop excité pour aller dans un autre lieu. Puis je me dis que si ça peut en exciter certains, ça sera plus facile pour baiser par la suite.
Je décide donc de passer à la vitesse supérieure et tente des gorges profondes qu’il encaisse avec plus ou moins de mal. Il pleure d’étouffement mais ne semble pas vouloir arrêter. Je finis par le retourner pour lui bouffer le cul, toujours assis sur mon siège bien confortable.
Mon passif se tient au sol avec les mains pour ne pas tomber tandis que je lui bouffe le cul comme jamais. Je le fesse quand l’envie me prends et je remarque l’effet instantané que cela à sur notre public. Pris dans ce jeu exhibitionniste, je m’adresse à mon public pour m’aider à choisir.
« Alors vous voulez du show hard ou bien que je le baise bien ? »
Je les entends hurler hard et je vois mon passif s’exciter un max. Je le fesse à nouveau et le place à quatre pattes sur le fauteuil de profil. Je crache dans son trou et présente ma queue. Je m’enfonce sans prévenir et lui attrape les cheveux pour le tirer en arrière. Je commence alors à l’enculer profond et le fesse comme si je baisais une grosse chienne.
Je me sens puissant en cet instant et j’ai envie que ça continue. Je regarde toutes ces personnes qui se branlent en me regardant baiser.
Je change de position pour qu’il vienne s’empaler sur moi, dos à moi pour que le public puisse voir son visage en orgasme. Je l’attrape par les hanches et le baise par-dessous de manière rapide et sèche. Il hurle tellement qu’on entend que lui dans la salle. Je le baise comme ça encore quelques minutes puis le lève et le lance au sol pour qu’il se mette à quatre pattes. Je me tourne vers mon public et secoue ma queue bien dure.
« Alors vous voulez encore voir ma teub défoncer cette chienne ? Si elle encaisse bien et que d’autres chiennes sont parmi vous, je songerai peut-être à revenir baiser une ou deux petites salopes. »
J’utilise ma voix bien grave et virile et n’oublie pas de bander mes muscles. Mon message fait de l’effet car je vois déjà des mecs se cambrer et à défaut d’avoir ma queue, s’empale sur leur voisin.
Je retourne sur ma petite chienne et m’enfonce sans respect et le défonce à même le sol. Je lui appuie sa tête au sol avec ma main. Il gémit au possible et je l’insulte de tous les noms. Je sens que mon jus monte de plus en plus et que je ne vais pas tenir encore très longtemps.
Je me retire et lui claque les fesses. Je retourne m’asseoir sur mon siège et me redresse comme un roi, la queue dans ma main. Je la masturbe et la secoue en regardant ma salope. Elle reste au sol et malgré mes appels autoritaires, il ne semble pas vouloir se relever.
« Cette chienne semble pas apte à encaisser jusqu’au bout mon gourdin. L’un de vous en est-il apte ? En attendant, j’invite toutes les petites salopes qui veulent une faciale à venir se mettre à mes pieds ! J’en choisirai une qui recevras mon jus d’alpha. Soyez convaincant ! »
Ma salope s’est relevée pour se déplacer dans un coin et se remettre de mon assaut. Pendant ce temps-là, une dizaine de mecs en chaleurs sont venus à mes pieds et m’attendent bouche ouverte. Certains me caressent les jambes pour me toucher et je continue de me branler au-dessus d’eux. Je les gifle quand l’envie me prend et je sens mon jus monte.
Je me lève alors et dans un râle bien viril, grave et sonore, j’éjacule sur un maximum de mecs à mes pieds. Certains reçoivent de gros jet bien épais, d’autres des restes.
Je m’approche de chacun d’eux et encule tour à tour leur petite bouche pour qu’ils nettoient ma queue comme il faut.
Après avoir terminé. Je prends la porte pour rejoindre la loge, histoire de faire une transition. Je suis accueilli comme un roi par Will
« Magnifique ! Ton show était impressionnant ! Je ne m’attendais pas à voir un tel spectacle ! T’es bien le premier qui ose baiser un mec comme ça devant tout le monde ! Je crois qu’on va devoir discuter affaire tous les deux. Tu as vu comme tous les regards étaient sur toi ? Je veux revoir ça ! Mais cette fois-ci tu seras payé. Plus tu accrois ma clientèle, plus je te paye cher. »
Je le remercie et lui dis que je réfléchirai à sa proposition. Cela m’a grave excité et j’ai envie de recommencer. En plus si je suis payé, alors ça me permettra d’avoir encore plus de thunes. Je négocie alors mon prix et de mes autres talents. Il est totalement sous le charme et me demande quand est-ce que je peux revenir. Je lui explique que je peux être là demain soir si tout se passe bien.
Être payé pour baiser de la chienne, tout ce dont j’ai besoin en ce moment.
Je finis par rentrer chez moi et Mohamed comprend que j’ai tiré mon coup. On en parle un instant qui se transforme en heure quand je lui explique toute ma soirée. Je le vois bander un max et me féliciter. Il s’excuse auprès de moi en m’expliquant qu’il doit aller se branler pour calmer son excitation. Je rigole et le laisse partir dans sa chambre.
« Mais qu’est-ce que j’ai encore foutu !? ». C’est la phrase qui tourne en boucle dans ma tête. Je suis dans l’avion et je suis recroquevillé sur moi-même à me lamenter en ne réalisant pas vraiment encore ce qu’il se passe. Je décide de me calmer mais à peine je cherche à penser à autre chose que tout me ramène à cette phrase : « T’as ruiné ta vie ! ». Je pars dans une ville inconnue dans le plus grand secret sans que ma famille ne le sache et en sachant que je n’ai aucune chance de survivre si je retourne dans mon quartier maintenant.
Je passe toute la durée du vol à réfléchir à comment j’ai réduit ma vie en cendre. Je suis encore sous le choc et je ne réalise pas encore tout ce qui vient de se passer. Je suis tellement bloqué dans mes pensées que je n’avais pas vu que nous avions déjà atterri.
Je passe les différents portiques pour sortir et je réalise que je ne sais même pas qu’est-ce que je dois faire. Où je dois aller ? Quelqu’un m’attend ? Si oui, où ? Mais les portes s’ouvrent et à une trentaine de mètres de moi, un beau rebeu musclé m’attend, c’est Mohamed.
J’arrive à sa hauteur et c’est en voyant son regard et tout ce qu’il pouvait exprimer que je m’effondre en larmes dans ses bras. Je pleure toutes les larmes de mon corps et m’insultant. Mohamed, patient, me serre fort dans ses bras et m’encourage à continuer. J’ai complètement oublié où nous sommes et me fiche totalement que des gens me voient pleurer, chose que je n’aurais pas fait il y a un jour. Je finis néanmoins à me calmer quelques minutes après. Enfin, je suis un peu déphasé car je remarque que ça fait déjà 10 minutes que je pleure.
Mohamed m’entraine avec lui dans sa voiture et nous partons pour son appartement. Le silence est effrayant dans la voiture mais je ne suis pas en capacité de parler. Mohamed me connait par cœur et sait très bien qu’une discussion n’est pas envisageable. Il se tait et me jette quelques regards pour s’assurer que je ne pars pas en sucette.
On arrive chez lui et il me montre ma chambre. Par chance son coloc n’est pas là pour plusieurs semaines, de quoi pouvoir rebondir et réfléchir à l’après. Mais aujourd’hui je n’ai pas la tête à réfléchir. Il me fait le tour de l’appartement mais je n’en ai pas grand-chose à carrer. Je tente de me contenir pour ne pas repleurer mais je tiens pour faire face. Puis, réflexe bête, je regarde mon portable et vois plusieurs messages d’insultes de numéro inconnu ou de mecs de la bande. Je bloque et tente de me maintenir quand Mohamed, ayant remarqué ma situation, s’empresse de me retirer le portable en me disant qu’il ne faut pas que je lise tout ça. C’est trop. Je m’effondre à nouveau en pleurs. Mohamed m’emmène dans mon lit pour que je dorme un peu et, alors qu’il faisait demi-tour, je lui demande de bien vouloir rester avec moi. Il s’installe alors à mes côtés et me prends dans ses bras.
***
Je me réveille soudainement par un cauchemar. J’ouvre les yeux et me retrouve seul, plongé dans le noir d’une pièce que je ne reconnais pas. Il me faut quelques minutes pour calmer ma panique et me remémorer tout ce qu’il s’est passé ces dernières 24h. Je me sens mieux et un éclair de détermination traverse mon esprit. Je m’empresse de me lever et je pars à la recherche d’un stylo et d’une feuille.
Mon regard croise le réveil qui indique 5h mais je m’en fiche, je dois écrire. Réécrire ma vie.
Une fois muni d’un stylo et d’une feuille, je reprends un à un tous les faux pas que j’ai pu faire. Coucher avec son cousin, accepter de se faire baiser par un inconnu, donner trop de confiance à quelqu’un, accepter de coucher avec d’autres inconnus dans un lieu public et filmé. La liste est un peu longue mais chaque mot écrit me libère un peu plus.
Je respire un bon coup et entame alors la liste de ce qui sera mes règles d’or pour les années à venir :- Je ne donnerai plus ma confiance à des inconnus.
- Je ne serai plus passif- Je n’ouvrirai plus mon cœur à quelqu’un- Je ne veux plus de sentiments- Je dominerai pour ne pas être dominé- Je ne montrerai aucune faille
Je réfléchis à ajouter que je ne coucherai plus avec des mecs mais, à y réfléchir, ce serait compliqué car je remarque bien aujourd’hui que je ne suis plus du tout attiré par les filles. Je ne chercherai juste plus à aimer, juste à baiser. Avoir ouvert mon cœur m’a ruiné la vie et je ne compte pas renouveler cette expérience maintenant.
Il commence à être tard et je m’endors, la feuille sur mon ventre.
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Je me réveille la tête embuée et encore sous le choc d’hier. Je suis néanmoins plus à même de me relever, ma phase d’effondrement s’étant terminée. Mohamed le remarque d’ailleurs et se montre rassuré de me voir reprendre des forces.
Après un échange sur la liste que j’ai fais cette nuit, nous discutons de tout ce qui m’a amené à atterrir ici. Il se montre compréhensible et me rassure mais ne peut s’empêcher de me dire qu’il m’a averti à de nombreuses reprises. Je l’admets et lui promet de l’écouter à l’avenir. Puis il revient sur ce gang bang en demandant des détails. La soirée en elle-même ne m’a pas déplu et je lui raconte leur fonctionnement. Je le vois pensif, comme si ça l’inspirait.
Je le questionne sur lui et son réseau. Il me dit qu’il a sa copine ici donc qu’il n’est plus dans aucun réseau mais il déclare connaitre un pote qui fait partie d’un réseau. Mais après ce que j’ai vécu, je ne veux plus faire partie de tout ça et veux faire cavalier seul.
***
Trois semaines ont passées et ma vie semble se reconstruire. J’ai eu ma famille au téléphone et je leur ai dit que je suis allé rendre visite par surprise à Mohamed et que j’ai eu une belle opportunité de travail et que je vais rester un peu. Ils ne sont au courant de rien et m’encourage à rester pour travailler et en faire la fierté de la famille. Je souris intérieurement en me disant que s’il savait toute l’histoire je serais renié.
Pour le travail, je n’ai même pas mitonné parce que je suis allé faire un tour des offres de travail et j’ai décroché un poste sympa dans un quartier d’affaires. Rien de bien prenant et pas de grosses responsabilités mais au moins j’ai une vraie source de revenu. Le coloc de Mohamed a repoussé son retour et j’ai encore un mois pour mettre de côté et me trouver un appartement.
J’ai décidé de partir en recherche d’un plan cul pour ce soir car je commence à ne plus en pouvoir. Je regarde les bars gays dans la ville et en choisis un pas trop visible mais où j’ai l’occasion de faire des rencontres.
***
Je fais un premier pas dans le bar et déjà plusieurs regards se figent sur moi. Je me sens observé de partout et je vois qu’ils n’ont pas l’habitude de voir des inconnus, ou dumoins tous les habitués se reconnaissent vite. Je fais mine de ne rien voir, trop de fierté pour montrer ma déstabilisation et comme je l’ai écrit, je ne laisse plus aucune faille apparaître.
Je m’installe au bar et commande un verre. Plusieurs mecs s’approchent et viennent me parler pour taper la discussion. Je comprends que je n’aurai pas trop de mal à chopper ce soir. Je transpire l’alpha et reste dressé pour montrer que je suis inatteignable. Et plus je continue, plus les soumis et les excités du cul s’intéressent à moi. Je snobe la plupart pour d’une part rester dans mon jeu mais aussi pour faire une sélection car il y en a qui ne sont pas du tout mon type.
Le barman s’approche alors de moi et semble me confier un secret.
« T’as l’air nouveau toi ! J’ai vu que t’as l’air un peu dominant et on recherche de nouveau mâles dans ton genre pour notre partie secrète. »
Je le regarde d’un air questionnant et il me demande de le suivre.
Je suis alors le barman et passe une porte réservée au staff. On traverse un couloir, un escalier et une porte noire fait face. Il me dit alors d’attendre deux minutes là. Il passe cette porte et j’attends patiemment. Il revient rapidement avec un autre mec qui semble être un gorille. Il lui demande alors de m’escorter jusqu’à la loge. Je suis intrigué.
On passe la porte et je découvre un univers complètement différent du bar en surface. C’est une grande salle destinée à des plaisirs plus charnels. Des dizaines de gays dansent sur le rythme de la musique habillés de manière très légère. Dans un coin, des mecs qui s’embrassent, d’autres qui sucent ou qui s’enculent. J’aperçois un couloir menant surement à des backrooms. On passe une nouvelle porte et un nouveau mec m’attend.
« Bonjour. Assieds-toi et mets-toi à l’aise. Appelle-moi Will. Je suis le gérant de cet établissement et t’as été repéré dans le bar de surface. Tu semble être de type dominateur et t’es un type plutôt recherché car t’es vraiment mignon. Je te propose de te mettre en tenue plus évocatrice et d’aller te placer sur le siège central pour que tu puisses choisir qui tu veux baiser. Ça te va ? »
« Comment vous savez que ça pourrait m’intéresser ? »
« On connait les gens dans ton genre. Tu attires, tu snobes, tu repères et t’attaques. On te propose juste d’avoir un plus large choix et de consommer directement. »
J’avoue qu’il m’a bien cerné. Ce soir je veux me vider et son plan me semble excitant. J’accepte et me lève pour enfiler le harnais qu’il me tend. Il y a aussi un slip qui semble extensible et assez fin. Je me déshabille et lui donne mes affaires qui sont rangées dans un casier. Alors que je suis nu, je l’entends me complimenter sur mon physique et particulièrement sur ma queue. Heureusement, le slip est bien extensible et même si ma queue se tend dedans, j’ai assez de place pour tout mettre dedans.
Je suis prêt à rejoindre la salle et un gorille me prend par le bras pour me demander de le suivre jusqu’au siège central. C’est un siège en hauteur avec des marches à ses pieds. Il semble confortable et avoir une vue d’ensemble. Je m’assieds dessus et une voix résonne dans le micro.
« Un nouvel étalon est disponible sur le siège. A vous de le convaincre de vous choisir mes belles. »
Après ces mots, la majorité des regards se tournent vers moi et je croise pas mal de regards pleins de désirs. Déjà plusieurs mecs ont monté une partie des marches et se mettent en scène pour que je sois attiré par eux. Je les observe un à un. Je repère un jeune de mon âge plutôt bien foutu qui semble avoir un cul bien bombé. J’apprécie les mecs bien foutus et me passe volontiers des folles efféminées et tout fin.
La troupe des passifs s’agrandit et il devient compliqué d’avoir sa place sur l’escalier. Je décide alors d’en dissuader certains et m’assurer que celui que je choisirai assumera jusqu’au bout. Je me fais bander un max puis me lève et retire mon slip. Je frappe ma queue dans ma main en les regardant et m’assieds à nouveau. Je vois les regards stupéfaits et ceux qui se détournent pour rebrousser chemin. Cela fait son effet car l’escalier se dégorge rapidement.
Reste encore quelques mecs dont mon favori. Je lui jette un coup d’œil et lui fait signe de s’approcher et de me montrer son cul. Il monte proche de moi, se retourne et écarte bien ses fesses. Il est en jockstrap et tout ça semble faciliter les choses. Il semble d’ailleurs habitué à encaisser car son trou est déjà pas mal ouvert.
Je lui fais signe de venir à mes genoux et il commence à me sucer. Je lui mets une claque pour installer ma domination et l’invite à resucer ma queue. Je lui mets ensuite mes doigts dans sa bouche pour bien qu’il les lèche puis je le fais cambrer pour le doigter le cul. En bon passif qu’il est, il se cambre un max et continue à me sucer la queue. Je relève la tête et vois que beaucoup de personnes nous regardent en se touchant.
La voix dans les hauts parleurs retentit à nouveau.
« On dirait que notre petit rebeu à envie de s’exhiber ce soir ! Regardez-le se faire sucer la queue. Jusqu’où ira-t-il pour nous faire plaisir ? »
Je me rends compte alors qu’à la base je devais choisir quelqu’un puis partir dans la backroom, ce qui explique pourquoi tant de mecs me regardent excités. Je réfléchis quelques secondes mais je suis trop excité pour aller dans un autre lieu. Puis je me dis que si ça peut en exciter certains, ça sera plus facile pour baiser par la suite.
Je décide donc de passer à la vitesse supérieure et tente des gorges profondes qu’il encaisse avec plus ou moins de mal. Il pleure d’étouffement mais ne semble pas vouloir arrêter. Je finis par le retourner pour lui bouffer le cul, toujours assis sur mon siège bien confortable.
Mon passif se tient au sol avec les mains pour ne pas tomber tandis que je lui bouffe le cul comme jamais. Je le fesse quand l’envie me prends et je remarque l’effet instantané que cela à sur notre public. Pris dans ce jeu exhibitionniste, je m’adresse à mon public pour m’aider à choisir.
« Alors vous voulez du show hard ou bien que je le baise bien ? »
Je les entends hurler hard et je vois mon passif s’exciter un max. Je le fesse à nouveau et le place à quatre pattes sur le fauteuil de profil. Je crache dans son trou et présente ma queue. Je m’enfonce sans prévenir et lui attrape les cheveux pour le tirer en arrière. Je commence alors à l’enculer profond et le fesse comme si je baisais une grosse chienne.
Je me sens puissant en cet instant et j’ai envie que ça continue. Je regarde toutes ces personnes qui se branlent en me regardant baiser.
Je change de position pour qu’il vienne s’empaler sur moi, dos à moi pour que le public puisse voir son visage en orgasme. Je l’attrape par les hanches et le baise par-dessous de manière rapide et sèche. Il hurle tellement qu’on entend que lui dans la salle. Je le baise comme ça encore quelques minutes puis le lève et le lance au sol pour qu’il se mette à quatre pattes. Je me tourne vers mon public et secoue ma queue bien dure.
« Alors vous voulez encore voir ma teub défoncer cette chienne ? Si elle encaisse bien et que d’autres chiennes sont parmi vous, je songerai peut-être à revenir baiser une ou deux petites salopes. »
J’utilise ma voix bien grave et virile et n’oublie pas de bander mes muscles. Mon message fait de l’effet car je vois déjà des mecs se cambrer et à défaut d’avoir ma queue, s’empale sur leur voisin.
Je retourne sur ma petite chienne et m’enfonce sans respect et le défonce à même le sol. Je lui appuie sa tête au sol avec ma main. Il gémit au possible et je l’insulte de tous les noms. Je sens que mon jus monte de plus en plus et que je ne vais pas tenir encore très longtemps.
Je me retire et lui claque les fesses. Je retourne m’asseoir sur mon siège et me redresse comme un roi, la queue dans ma main. Je la masturbe et la secoue en regardant ma salope. Elle reste au sol et malgré mes appels autoritaires, il ne semble pas vouloir se relever.
« Cette chienne semble pas apte à encaisser jusqu’au bout mon gourdin. L’un de vous en est-il apte ? En attendant, j’invite toutes les petites salopes qui veulent une faciale à venir se mettre à mes pieds ! J’en choisirai une qui recevras mon jus d’alpha. Soyez convaincant ! »
Ma salope s’est relevée pour se déplacer dans un coin et se remettre de mon assaut. Pendant ce temps-là, une dizaine de mecs en chaleurs sont venus à mes pieds et m’attendent bouche ouverte. Certains me caressent les jambes pour me toucher et je continue de me branler au-dessus d’eux. Je les gifle quand l’envie me prend et je sens mon jus monte.
Je me lève alors et dans un râle bien viril, grave et sonore, j’éjacule sur un maximum de mecs à mes pieds. Certains reçoivent de gros jet bien épais, d’autres des restes.
Je m’approche de chacun d’eux et encule tour à tour leur petite bouche pour qu’ils nettoient ma queue comme il faut.
Après avoir terminé. Je prends la porte pour rejoindre la loge, histoire de faire une transition. Je suis accueilli comme un roi par Will
« Magnifique ! Ton show était impressionnant ! Je ne m’attendais pas à voir un tel spectacle ! T’es bien le premier qui ose baiser un mec comme ça devant tout le monde ! Je crois qu’on va devoir discuter affaire tous les deux. Tu as vu comme tous les regards étaient sur toi ? Je veux revoir ça ! Mais cette fois-ci tu seras payé. Plus tu accrois ma clientèle, plus je te paye cher. »
Je le remercie et lui dis que je réfléchirai à sa proposition. Cela m’a grave excité et j’ai envie de recommencer. En plus si je suis payé, alors ça me permettra d’avoir encore plus de thunes. Je négocie alors mon prix et de mes autres talents. Il est totalement sous le charme et me demande quand est-ce que je peux revenir. Je lui explique que je peux être là demain soir si tout se passe bien.
Être payé pour baiser de la chienne, tout ce dont j’ai besoin en ce moment.
Je finis par rentrer chez moi et Mohamed comprend que j’ai tiré mon coup. On en parle un instant qui se transforme en heure quand je lui explique toute ma soirée. Je le vois bander un max et me féliciter. Il s’excuse auprès de moi en m’expliquant qu’il doit aller se branler pour calmer son excitation. Je rigole et le laisse partir dans sa chambre.
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