Chaque famille a son histoire.....la votre aussi ?? - histoire érotique

- Pascal, que se passe-t-il ? Je ne suis que votre belle mère mais je vous connais aussi bien que votre mère, dite moi ce qui vous tracasse ?

- Rien Michelle rien …

- Allons ne faites pas l’enfant je peux tout entendre rien ne sortira d’ici, c’est Adeline ma fille ? après seulement cinq ans de mariage ne me dites pas que ça ne va plus entre vous ?

- Tout va bien je vous assure, c’est bien là le problème, notre vie est aussi lisse que cette nappe, elle m’aime je l’aime, elle est fidèle ça j’en suis sûr, moi aussi, nous avons du travail et de l’argent en suffisance tout pour être heureux …

- Alors il ne reste plus que le sexe ? …..

- Exactement … comment vous dire … Adeline ne supporte pas l’idée d’essayer une autre position que la missionnaire, impossible de lui faire admettre qu’il existe des préliminaires autres que le simple toucher digital, a trente cinq ans je suis en pleine force de l’âge et j’ai envie d’en profiter !

- Voulez vous que je lui parle ?

- Ça ne ferait qu’envenimer les choses

- Alors que faire ?

- Je crois que je vais aller voir des prostituées ou bien prendre une maitresse

- Je vous comprends parfaitement, ce n’est pas moi qui vais vous juger, vous savez pascal, elle tient de son père pour cela, ma vie n’est pas folichonne sexuellement, mais méfiez vous des maladies avec un prostituée et du chantage au divorce avec une maitresse

- Je me masturbe très souvent mais je suis a court d’excitation cérébrale, je n’arrive plus a bander, si je pouvais simplement trouver une femme qui s’exhiberait un peu devant moi cela me suffirais pour me caresser et faire tomber la pression

- Évidement ce serais une bonne solution …

- Bon je vous ai assez embêtée avec ça je me sauve au revoir Michelle

- Au revoir Pascal ….

Le lendemain je découvre un étrange message sur mon portable :

« Pascal j’ai peut être trouvée une solution a votre problème passez me voir ce soir a seize heures, bisous Michelle «

Quelle solution ? Boff je vais quand même passer par politesse elle est si gentille ……lorsque je rentre chez elle je la trouve nerveuse, anxieuse

- Ha vous êtes venu c’est bien

- Qu’aviez-vous à me dire Michelle ?

- J’espère ne pas vous choquer … cette femme qui ferait de l’exhibe devant vous ….

- Vous en connaissez une ?

- …….. moi …….

- VOUS ? Michelle vous rendez vous compte de ce que vous dites ?

- Et alors ? je ne vous plais pas ? je suis trop vielle ? pourquoi ne pas nous unir dans notre malheur, nous avons tous les deux le même genre de vie, je ne suis pas encore trop fripée regardez ….

En se tortillant ma belle mère remonte sa jupe jusqu'à son triangle intime recouvert d’une jolie culotte de soie noire, des bas auto-fixant couleur chair garnissent des jambes très bien faites, je devrais lui dire de baisser sa jupe mais je reste hypnotisé par le spectacle

- Pascal ??

- Heuu oui ?

- Qu’attendez-vous pour faire ce qui vous tient tant à cœur ?

- Vous voulez que je me branle devant vous ?

- Vous n’en voyez peut être pas assez ?

- Si si si ! … vous avez raison Michelle, je bande …

- Alors sortez là et je baisse un peu ma culotte...

Je tire sur le zip de ma fermeture de braguette et fouille dans mon slip pour sortir ma queue mais impossible de la plier en deux

- Baissez donc ce froc ! ne vous gênez pas devant moi

- Oui …..

Je suis quand même confus de montrer ma verge a ma belle mère mais au diable les principes, du moment qu’elle va me montrer sa chatte …une fois libérée de son carcan ma queue bondit sous le regard émerveillé de Michelle

- Quelle imbécile de fille ! Se priver de ça est un pécher ! Excusez moi je vais m’assoir sur le divan…je suis trop émotive !

La femme s’assoit en prenant bien garde de laissez son ventre bien exposé a ma vue, je l’imite m’assoyant cul nu sur une chaise face a elle ma queue servant de paratonnerre, elle ne perd pas de vue ma main qui décalotte lentement mon nœud, son bassin avance sur le bord du divan, ses mains cherchent l’élastique de la culotte, ses fesses se soulèvent …le sous-vêtement git sur la moquette, les cuisses s’ouvrent a nouveau son minou blond est légèrement entrouvert, je crache au creux de ma main et entreprend une branlette exquise de mon gland

- Vous voulez que je m’ouvre la moule ?

- S’il vous plait belle maman, vous me faites bander comme un âne !

- Je vois ça …quelle belle bitte !!

Ses doigts se fraient un passage entre les lèvres gonflées qui font un bruit mouillé en se séparant, j’ai une envie folle de me précipiter entre ses jambes pour lécher ce vagin en feu, mon regard doit parler pour moi ……

- Vous avez envie hein ?....... Vient me bouffer la chatte Pascal !

- Tout de suite !

Ses deux jambes sur mes épaules je lui bouffe la moule en lapant comme un chien, Michelle geint en maintenant à deux mains mon visage sur son ventre, à la limite de l’étouffement je la bascule sur le divan

- Je vais te baiser dans toutes les positions possibles Michelle, laquelle te tente en premier ? Je vais t’ouvrir en deux grosse salope

- Ho oui dit moi des mots orduriers, traite moi comme une catin

- Ôte tes fringues de pute et montre-moi ta moule en l’écartant avec tes doigts

- Oui pascal … Comme ça ? Que vois-tu ?

- Des filaments de mouille qui relient tes lèvres, ton con est tout rouge dedans... regarde dans la glace …

- HOOOOO !!! jamais je n’avais osé regarder comme ça…elle est rouge parce qu’elle a envie de se faire bourrer par ta queue, je peux te demander une faveur ?

- Bien sûr,

- Un souvenir me hante j’aimerais le revivre dans tes bras

- Va-y raconte ?

- Tu va t’assoir sur cette chaise je vais m’empaler sur toi et en même temps je vais te raconter l’histoire de mes seize ans

- Hummmm je suis sur que c’est croustillant … assied toi vite sur ma bitte Michelle …… haaaaaaaaa tu es brulante…..

A cheval sur moi ma belle mère s’enfonce dans un râle, sa tête se pose sur mon épaule et entre deux soupirs elle commence à parler presqu’a voix basse, ses phrases sont hachées entrecoupées de soupirs

- C’était le jour de mes seize ans, ma mère m’avait achetée une belle robe, une vraie robe de femme ample que je m’amusais a faire virevolter autour de moi découvrant mes cuisses, maman m’a grondée : - Michelle tu n’est plus une gamine arrête ça tout de suite - , sans doute parce qu’ils avaient invités un couple d’amis très proche et l’homme aux tempes argentées que je kiffais grave ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais, pour moi ça n’avais pas d’importance cet homme m’avait fait sauter sur ses genoux depuis ma plus tendre enfance et puis je voulais le vamper
- Tu étais encore vierge ?
- Oui …
Elle fait onduler sa chatte sur ma queue, prise par son histoire je passe au second plan elle se fait du bien elle même…

- Tu aurais aimé qu’il fasse de toi une femme ?
- Oui …après un déjeuner bien arrosé mes parents et sa femme sont partis au jardin admirer les fleurs de maman, lui somnolait sur une chaise, pour le taquiner je me suis assise comme sur toi a cheval, ma robe sagement en corole autour de moi il aurait fallut regarder de prés pour voir son avant bras disparu sous mon vêtement, son pouce et son index pinçais mes grandes lèvres a travers mon slip, il les faisait rouler entrainant mon clitoris qui n’avait jamais été aussi gonflé , la tête enfouie dans le creux de son épaule ma main est tombée sur la bosse énorme qui déformait son pantalon, mes petits doigts pétrissaient cette chose monstrueuse recourbée dans son slip, il allait écarter ma culotte lorsque des bruits de voix nous ont faits sursauter
- Vous avez étés surpris ?
- Maman nous a vus mais elle n’a rien dit c’est seulement un peu plus tard qu’elle l’a prit a part… - je ne te suffis plus ? il te faut aussi ma fille ? c’est fini entre nous ! - voilà la conversation que j’ai surprise ….Va y pascal baise moi comme j’aurais aimé qu’il le fasse ….haaaaaaaaaaaaaaaaa je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!!!!!!!!
Michelle reprend lentement son souffle son vagin dégouline sur moi, ce n’est pas moi qui la baisait c’est l’ami de ses parents….

- OUUUUH ! J’ai jouis comme une folle sur cette chaise et toi ?

- Pas encore …décidément toutes les familles ont une histoire …
- Tu en as une aussi ?
- Oui mais je vais te la raconter comme toi, dans le même contexte… accroche toi a moi pour ne pas te démancher, je vais poser ton cul sur le bord de la table...
- A toi de raconter …..enfonce-toi bien en moi avant … Ouuuiiiiiiiiiiiiiii !
- J’avais quatorze ans, un samedi après midi j’aidais mon père au jardin à faire bruler des herbes il me dit … - fiston, va a la cuisine chercher les allumettes, je suis rentré par le garage la porte de la cuisine était entrouverte des bruits ou plutôt des plaintes me sont parvenues, je mes suis approché discrètement et j’ai vu la carrure imposante de mon grand père, le père de papa, face a la table, deux jambes nues écartées a angle droit dépassaient de chaque cotés de lui , deux bras étaient noués autour de son cou il donnait de violents coups en avant COMME CA !!!! oh tu me fais du bien Michelle …..tétanisé je suis resté à regarder ce couple baiser, jamais je n’avais assisté a une séance de sexe, j’entends encore les pieds de la table crisser sur le carrelage, dans ma tête ce n’était pas ma maman qui se faisait secouer comme ça ! je me suis mis à imaginer une femme fictive pour protéger mon subconscient, jusqu'à ce que j’entende mon père crier : - alors ? ça vient ces allumettes ? j’ai couru dehors sans les allumettes mon père m’a traité de bon a rien – il faut tout faire soi- même ici, j’y vais … - NON ! non papa n’ya va pas j’y retourne ! les amants s’étaient séparés et quittés la pièce, papa n’en a jamais rien su mais ma mère s’est mise à céder à tous mes caprices et me faire plein de cadeaux

- Vas-y décharge dans mon con pascal, je suis la femme imaginaire que baisait ton grand- père, délivre ta conscience ce n’était pas ta mère qui écartait les cuisses

- HAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaa oooouuuuuuuuuiiiiiiii cette femme était une puuuute hhoooooooooooooooo !!

- Tu me remplis pascal ton foutre gicle dans mon ventre je jouis encoooooooore !

Vidés apaisés encore imbriqués l’un dans l’autre nous reprenons lentement notre souffle

- Longtemps j’ai fais des cauchemars, sans distinguer les sexes je voyais maman qui s’accouplait devant moi avec un homme dont la silhouette demeurait floue, elle me souriait sans s’arrêter de baiser
- Tu réalise que nous venons de créer une histoire de famille ???????
- Qui la connaitra …….