Charlotte et Emilie se découvrent
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Charlotte et Emilie se découvrent
/!\ Cette histoire fait suite à « Entrevue chez le directeur » et « Nouvelle entrevue chez le directeur ».
Suite aux agréables caresses qu’elle avaient partagées lors de leur dernier entretien chez le directeur, Charlotte pensait beaucoup à la jeune secrétaire. Elle aimait les homme et n’avait jamais envisagé un seul instant d’avoir des relations sexuelles avec une femme. Pourtant, les baisers, caresses et orgasmes qu’elle avait eues avec Emilie l’avait beaucoup marqué. Elle y avait pris beaucoup de plaisir et ses pensées s’envolaient souvent vers la jeune femme.
Un jour, alors que Charlotte ne pensait pas revoir le corps d’Emilie en dehors du bureau du directeur, la jeune secrétaire de direction lui proposa de venir boire un verre chez elle. La jeune comptable hésita. Elle savait comment finirait la soirée, et si la perspective d’avoir du plaisir avec cette femme lui plaisait beaucoup, elle n’en trompait pas moins son mari. Ce qui se déroulait dans le bureau du directeur était purement sexuel, et Charlotte ne considérait pas tromper son mari. Par contre, elle une aventure avec Emilie était plus intimiste, plus sentimentale et elle en mesurait toute la différence. Cependant, le regard insistant et le sourire enjôleur d’Emilie firent tomber ses réticences.
« Carpe diem » se dit-elle.
Cette dernière, ravie, griffonna son adresse sur un bout de papier et le tendit à Charlotte en lui disant : « A demain, 21h ».
Charlotte, essaya plusieurs tenues le lendemain soir. Aucune ne lui plaisait vraiment. Après avoir porté les habits qui la tentaient, mais sans satisfaction, elle remit la deuxième tenue qu’elle avait essayé. Il s’agissait d’une longue robe noire pailleté, très élégante. Elle se regarda dans sa psyché. « Non, c’est trop class, je ne vais pas à un gala ! », s’exclama-t-elle. Finalement, elle mit une simple jupe en jean et un léger cardigan blanc.
- Ce soir, tu te rappelles, je passe la soirée avec une copine, indiqua Charlotte à son mari. Ne m’attends pas.
- Tu vois qui ? demanda son mari sans jalousie.
- Une collègue de boulot avec qui j’ai bien sympathisé. Bonne soirée, ajouta-t-elle avant de sortir de son domicile après avoir déposé un baiser sur ses lèvres.
Charlotte se sentait un peu honteuse, mais voulait aller au bout de ses envies. Arrivée chez son amie, elle déboutonna un bouton de son cardigan pour rendre plus visible la naissance de ses seins. Elle en déboutonna finalement un deuxième pour laisser entrevoir un joli décolleté.
Lorsque la sonnette retentit, Emilie alla ouvrir. Charlotte se tenait devant la porte. Avec une moue à moitié timide, la jeune femme la trouva charmante.
- Je t’en prie, entre.
- Merci.
Charlotte la suivit dans le petit salon de son appartement. Elle admira le joli corps d’Emilie que sa jupe longue bleue près du corps et son haut à manches trois quart assortit mettaient magnifiquement en valeur.
- Ton ensemble est très joli, s’hasarda à avouer la jeune comptable.
- Merci. Tu portes très bien ta tenue aussi.
- Ho, c’est pas très original. J’ai essayé plusieurs tenues avant de prendre la plus classique de toute. Je n’était pas très inspirée, reconnu-t-elle.
- Ha oui, je connais, rétorqua Emilie en riant. Elles ne sont jamais parfaites : trop sexy, pas assez sexy, trop gaie, trop triste, pas assez colorée, trop colorée, ne va pas avec les chaussures !
Emilie invita Charlotte à s’installer sur le canapé.
- Un verre de rosé pamplemousse ça te va ?
- Oui, parfait, merci.
L’hôte revint avec 2 verres et en tendit un à son invitée puis déposa quelques bols avec des gâteaux apéro.
Sentant Charlotte un peu crispée, Emilie lança la conversation sur des banalités. Au deuxième verre de vin, elles commencèrent à apprendre à mieux se connaître : leur goûts en terme de musique, film, cuisine. Au troisième verre, la conversation partit sur leur préférences en terme de sexe, d’homme, ou de femme pour Emilie. Cette dernière apprit à Charlotte qu’elle était pansexuel. Elle aimait les simplement les êtres. Seuls comptait les sentiments, l’attirance, peut importait le genre. Pendant la conversation, leurs mains se frôlaient parfois lorsqu’elles plongeaient dans un bol. A d’autres moments, Emilie, emportées par ses explications devenait tactile et posait tantôt sa main sur le bras, l’épaule ou même la cuisse de Charlotte.
Chaque contact provoquait un frisson à la jeune comptable. L’alcool, les échanges ouverts et les contacts électrisants avaient libérés la jeune femme. Alors qu’un blanc s’était installé, elle fixa Emilie pendant plusieurs secondes puis cette dernière, ressentant la magie de l’instant, avança lentement son visage en direction de son invitée. Charlotte se pencha en avant jusqu’à ce que ses lèvres frôlent celles d’Emilie.
Le baiser fut tendre puis les lèvres humides s’ouvrirent un peu plus. Les langues se touchèrent d’abord timidement puis avec avidité. Le baiser était à présent passionné. Emilie avait sa main sur la cuisse de Charlotte tandis que cette dernière avait la sienne sur la joue de sa compagne.
Emilie, en avançant, fit basculer Charlotte sur la canapé et se plaça au dessus d’elle, à califourchon, après avoir remonté sa jupe aux genoux. Sa main libre parcourut son ventre puis passa sur ses seins. Elle sentit sous le tissus un mamelon se dresser au contact ses doigts avides de caresses. Sa main descendit vers l’une des jambes de Charlotte jusqu’à son genou. Elle remonta tout doucement le long de la cuisse, d’abord sur l’extérieur puis s’aventura à l’intérieur. Elle rencontra une peau d’une douceur exquise et s’y attarda avec beaucoup de plaisir. Charlotte fermait les yeux et se laissait envahir par les divines explorations de son hôte. Son souffle devenait un peu plus fort et elle commençait à onduler du bassin à chaque caresse.
Sentent son plaisir étreindre son corps, Emilie voulut enlever les vêtements qui couvraient sa peau. Elle se releva, pris Charlotte par la main et l’entraîna à sa suite. Elle l’emmena dans sa chambre, une pièce joliment décorée avec des tons blancs et taupe. Devant le grand lit, Emilie ôta son haut. Charlotte était très excitée d’admirer la jeune femme se déshabiller. Avec sensualité, elle retira son soutien-gorge bandeau vert qui ne cachait absolument rien de sa belle poitrine. Les lourds seins de la jeune femme se retrouvèrent enfin libérés, attendant avec impatience les caresses. La jeune secrétaire poursuivit son érotique effeuillage et fit glisser sa jupe le long de ses cuisses galbées et ses jambes fines. Son tanga assortit à son haut ne cachait pas plus son intimité. Avec toujours autant de sensualité, elle le retira.
Charlotte était subjuguée devant le magnifique corps nu de la jeune femme. Comme elle ne bougeait pas, Emilie prit les choses en main. Elle se rapprocha de son invitée. Elle déboutonna, avec beaucoup de lenteur, un à un les boutons du cardigan, prolongeant au maximum l’érotique effeuillage. Le vêtement alla rejoindre au sol ceux d’Emilie. Cette dernière dégrafa le soutien-gorge prune en dentelle pour le faire glisser le long de ses bras. Elle déposa un voluptueux baiser sur chacun des tétons avant de les faire rouler quelques instants dans sa bouche. Elle déboutonna ensuite la jupe en jean qui tomba directement sur les pieds de Charlotte. Après lui avoir caressé les deux fesses nues, Emilie se mit à genoux pour retirer le string en dentelle. Le bout de tissus parti, Emilie déposa un autre baiser sensuel sur la fine toison de Charlotte qui se cambra de plaisir en sentant les lèvres s’approcher de son intimité.
Les deux jeunes femmes étaient à présent nues dans la chambres, très excitées par les caresses passées et celles à venir.
Elles s’enlacèrent et leurs mains parcoururent avec passion chaque centimètre de leur peau. Elles se perdaient dans leur dos, s’aventuraient sur leurs fesses, exploraient leurs seins et s’attardaient volontiers dans leur cou ou leur cheveux. Alternativement, elles léchèrent les seins de leur partenaire, savourant la douceur de la peau, l’exquise sensation d’un mamelon dur dans leur bouche. Emilie plongea sa main entre les cuisses de Charlotte et introduisit deux doigts dans sa chatte humide et y fit un rapide va-et-vient. Elle ressortit ses doigts luisants et les porta à sa bouche. Elle recommença mais invita cette fois Charlotte à goutter à son jus, ce que cette dernière fit avec beaucoup de plaisir.
Emilie se dirigea vers le lit et s’y allongea. Elle écarta les jambes pour dévoiler son sexe aux yeux de sa partenaire et l’inviter à venir s’en délecter. Charlotte la rejoignit et s’allongea entre ses jambes. Elle déposa des baisers sur son genou et en fit de nombreux autres sur le parcours qu’elle fit le long de sa cuisse jusqu’au duvet de son pubis. Elle redescendit et ses lèvres frôlèrent très légèrement le clitoris pour se déposer sur ses lèvres gonflées. Elle embrassa, aspira ces dernières avec gourmandise avant de descendre à l’entrée de sa chatte trempée de mouille. Elle y introduisit sa langue et avec toutes sortes de mouvements se délecta du jus de cet abricot, tout en caressant de ses longs doigts fins l’intérieur des cuisses.
Les effleurements, les baisers, les coups de langues délicieux se prolongèrent pour le plus grand plaisir d’Emilie qui haletait de bonheur.
Charlotte pris enfin à pleine à bouche le clitoris hyper sensible qui réclamait des caresses depuis un moment. Après quelques baisers, elle laissa sa langue jouer avec le petit bouton gonflé et enfin l’aspira. Tout en s’occupant de la partie la plus sensible du corps de sa partenaire, elle introduisit deux doigts dans sa chatte détrempée et entama un va-et-vient fort agréable.
Emilie ne résista pas longtemps face à ces attentions. Elle jouit, fort et longtemps. Son ventre bondissait sous les spasmes qui l’envahissaient. La jeune femme poussait de longs gémissements de plaisir, s’agrippant au drap.
Quand le délicieux orgasme fut passé, Charlotte remonta doucement jusqu’à la bouche de sa partenaire en embrassant chaque parcelle de peau qu’elle parcourait. Elles s’embrassèrent avec passion, leurs lèvres humides se désirant plus que tout.
Emilie fit mettre sa partenaire à quatre pattes et dirigea sa langue directement vers l’entrée de sa chatte. Elle en but le jus avec plaisir. Tout en se délectant de sa cyprine, elle remontait et descendait doucement sa main le long de sa cuisse. Elle cessa un instant ses jeux de langue pour enfoncer son index dans le vagin. Elle posa ensuite ce dernier sur le clitoris et le fit bouger dans tous les sens, un peu comme joystick de manette, tout en léchant avidement sa vulve gonflée de désir.
De son autre main, avec son pouce humidifié de la mouille de partenaire, elle caressa son anus. Elle fit des mouvements circulaires puis força l’entrée du petit trou avec attention. Le pouce s’introduisit doucement et entama un délicieux va-et-vient.
Son anus, sa vulve et son clitoris ainsi stimulé le plaisir montait au galop dans le corps de Charlotte. Elle jouit fortement à son tour, gémissant, criant presque, de plaisir. Son vagin se contractait, ses mamelons se dressaient. Elle avait l’impression que ses jambes allaient se dérober sous elle.
Ne voulant pas en rester là, Emilie lui proposa de faire un 69 pour essayer de jouir ensemble. Elle trouvait que recevoir et donner du plaisir en même temps était très agréable. Elle se mirent dans la position adéquat et se donnèrent du plaisir. Chacune à l’écoute du corps de sa partenaire, accentuait ses caresses ou au contraire les freinaient afin d’essayer d’être synchronisée avec l’autre. Cette connexion à son amante plus beaucoup à Charlotte. Après de longues, ou trop courtes, minutes d’extase elles eurent un divin orgasme simultané.
Les deux jeunes femmes s’embrassèrent un moment pour prolonger l’instant de bonheur puis se laissèrent tomber sur le lit, repues de plaisir. Elles se blottirent l’une contre l’autre, tendrement, gagnées par une douce torpeur que les deux jeunes femmes eurent aimé que jamais elle ne s’arrêtât.
Charlotte ne savait pas si elle était pansexuelle, mais ne voulait pas trop se poser de question à ce moment. Elle voulait simplement profiter de l’instant présent, écouter son corps, ses sentiments, ses envies. Simplement profiter de la vie, être heureuse.
« Carpe Diem » pensa-t-elle en fermant les yeux.
Suite aux agréables caresses qu’elle avaient partagées lors de leur dernier entretien chez le directeur, Charlotte pensait beaucoup à la jeune secrétaire. Elle aimait les homme et n’avait jamais envisagé un seul instant d’avoir des relations sexuelles avec une femme. Pourtant, les baisers, caresses et orgasmes qu’elle avait eues avec Emilie l’avait beaucoup marqué. Elle y avait pris beaucoup de plaisir et ses pensées s’envolaient souvent vers la jeune femme.
Un jour, alors que Charlotte ne pensait pas revoir le corps d’Emilie en dehors du bureau du directeur, la jeune secrétaire de direction lui proposa de venir boire un verre chez elle. La jeune comptable hésita. Elle savait comment finirait la soirée, et si la perspective d’avoir du plaisir avec cette femme lui plaisait beaucoup, elle n’en trompait pas moins son mari. Ce qui se déroulait dans le bureau du directeur était purement sexuel, et Charlotte ne considérait pas tromper son mari. Par contre, elle une aventure avec Emilie était plus intimiste, plus sentimentale et elle en mesurait toute la différence. Cependant, le regard insistant et le sourire enjôleur d’Emilie firent tomber ses réticences.
« Carpe diem » se dit-elle.
Cette dernière, ravie, griffonna son adresse sur un bout de papier et le tendit à Charlotte en lui disant : « A demain, 21h ».
Charlotte, essaya plusieurs tenues le lendemain soir. Aucune ne lui plaisait vraiment. Après avoir porté les habits qui la tentaient, mais sans satisfaction, elle remit la deuxième tenue qu’elle avait essayé. Il s’agissait d’une longue robe noire pailleté, très élégante. Elle se regarda dans sa psyché. « Non, c’est trop class, je ne vais pas à un gala ! », s’exclama-t-elle. Finalement, elle mit une simple jupe en jean et un léger cardigan blanc.
- Ce soir, tu te rappelles, je passe la soirée avec une copine, indiqua Charlotte à son mari. Ne m’attends pas.
- Tu vois qui ? demanda son mari sans jalousie.
- Une collègue de boulot avec qui j’ai bien sympathisé. Bonne soirée, ajouta-t-elle avant de sortir de son domicile après avoir déposé un baiser sur ses lèvres.
Charlotte se sentait un peu honteuse, mais voulait aller au bout de ses envies. Arrivée chez son amie, elle déboutonna un bouton de son cardigan pour rendre plus visible la naissance de ses seins. Elle en déboutonna finalement un deuxième pour laisser entrevoir un joli décolleté.
Lorsque la sonnette retentit, Emilie alla ouvrir. Charlotte se tenait devant la porte. Avec une moue à moitié timide, la jeune femme la trouva charmante.
- Je t’en prie, entre.
- Merci.
Charlotte la suivit dans le petit salon de son appartement. Elle admira le joli corps d’Emilie que sa jupe longue bleue près du corps et son haut à manches trois quart assortit mettaient magnifiquement en valeur.
- Ton ensemble est très joli, s’hasarda à avouer la jeune comptable.
- Merci. Tu portes très bien ta tenue aussi.
- Ho, c’est pas très original. J’ai essayé plusieurs tenues avant de prendre la plus classique de toute. Je n’était pas très inspirée, reconnu-t-elle.
- Ha oui, je connais, rétorqua Emilie en riant. Elles ne sont jamais parfaites : trop sexy, pas assez sexy, trop gaie, trop triste, pas assez colorée, trop colorée, ne va pas avec les chaussures !
Emilie invita Charlotte à s’installer sur le canapé.
- Un verre de rosé pamplemousse ça te va ?
- Oui, parfait, merci.
L’hôte revint avec 2 verres et en tendit un à son invitée puis déposa quelques bols avec des gâteaux apéro.
Sentant Charlotte un peu crispée, Emilie lança la conversation sur des banalités. Au deuxième verre de vin, elles commencèrent à apprendre à mieux se connaître : leur goûts en terme de musique, film, cuisine. Au troisième verre, la conversation partit sur leur préférences en terme de sexe, d’homme, ou de femme pour Emilie. Cette dernière apprit à Charlotte qu’elle était pansexuel. Elle aimait les simplement les êtres. Seuls comptait les sentiments, l’attirance, peut importait le genre. Pendant la conversation, leurs mains se frôlaient parfois lorsqu’elles plongeaient dans un bol. A d’autres moments, Emilie, emportées par ses explications devenait tactile et posait tantôt sa main sur le bras, l’épaule ou même la cuisse de Charlotte.
Chaque contact provoquait un frisson à la jeune comptable. L’alcool, les échanges ouverts et les contacts électrisants avaient libérés la jeune femme. Alors qu’un blanc s’était installé, elle fixa Emilie pendant plusieurs secondes puis cette dernière, ressentant la magie de l’instant, avança lentement son visage en direction de son invitée. Charlotte se pencha en avant jusqu’à ce que ses lèvres frôlent celles d’Emilie.
Le baiser fut tendre puis les lèvres humides s’ouvrirent un peu plus. Les langues se touchèrent d’abord timidement puis avec avidité. Le baiser était à présent passionné. Emilie avait sa main sur la cuisse de Charlotte tandis que cette dernière avait la sienne sur la joue de sa compagne.
Emilie, en avançant, fit basculer Charlotte sur la canapé et se plaça au dessus d’elle, à califourchon, après avoir remonté sa jupe aux genoux. Sa main libre parcourut son ventre puis passa sur ses seins. Elle sentit sous le tissus un mamelon se dresser au contact ses doigts avides de caresses. Sa main descendit vers l’une des jambes de Charlotte jusqu’à son genou. Elle remonta tout doucement le long de la cuisse, d’abord sur l’extérieur puis s’aventura à l’intérieur. Elle rencontra une peau d’une douceur exquise et s’y attarda avec beaucoup de plaisir. Charlotte fermait les yeux et se laissait envahir par les divines explorations de son hôte. Son souffle devenait un peu plus fort et elle commençait à onduler du bassin à chaque caresse.
Sentent son plaisir étreindre son corps, Emilie voulut enlever les vêtements qui couvraient sa peau. Elle se releva, pris Charlotte par la main et l’entraîna à sa suite. Elle l’emmena dans sa chambre, une pièce joliment décorée avec des tons blancs et taupe. Devant le grand lit, Emilie ôta son haut. Charlotte était très excitée d’admirer la jeune femme se déshabiller. Avec sensualité, elle retira son soutien-gorge bandeau vert qui ne cachait absolument rien de sa belle poitrine. Les lourds seins de la jeune femme se retrouvèrent enfin libérés, attendant avec impatience les caresses. La jeune secrétaire poursuivit son érotique effeuillage et fit glisser sa jupe le long de ses cuisses galbées et ses jambes fines. Son tanga assortit à son haut ne cachait pas plus son intimité. Avec toujours autant de sensualité, elle le retira.
Charlotte était subjuguée devant le magnifique corps nu de la jeune femme. Comme elle ne bougeait pas, Emilie prit les choses en main. Elle se rapprocha de son invitée. Elle déboutonna, avec beaucoup de lenteur, un à un les boutons du cardigan, prolongeant au maximum l’érotique effeuillage. Le vêtement alla rejoindre au sol ceux d’Emilie. Cette dernière dégrafa le soutien-gorge prune en dentelle pour le faire glisser le long de ses bras. Elle déposa un voluptueux baiser sur chacun des tétons avant de les faire rouler quelques instants dans sa bouche. Elle déboutonna ensuite la jupe en jean qui tomba directement sur les pieds de Charlotte. Après lui avoir caressé les deux fesses nues, Emilie se mit à genoux pour retirer le string en dentelle. Le bout de tissus parti, Emilie déposa un autre baiser sensuel sur la fine toison de Charlotte qui se cambra de plaisir en sentant les lèvres s’approcher de son intimité.
Les deux jeunes femmes étaient à présent nues dans la chambres, très excitées par les caresses passées et celles à venir.
Elles s’enlacèrent et leurs mains parcoururent avec passion chaque centimètre de leur peau. Elles se perdaient dans leur dos, s’aventuraient sur leurs fesses, exploraient leurs seins et s’attardaient volontiers dans leur cou ou leur cheveux. Alternativement, elles léchèrent les seins de leur partenaire, savourant la douceur de la peau, l’exquise sensation d’un mamelon dur dans leur bouche. Emilie plongea sa main entre les cuisses de Charlotte et introduisit deux doigts dans sa chatte humide et y fit un rapide va-et-vient. Elle ressortit ses doigts luisants et les porta à sa bouche. Elle recommença mais invita cette fois Charlotte à goutter à son jus, ce que cette dernière fit avec beaucoup de plaisir.
Emilie se dirigea vers le lit et s’y allongea. Elle écarta les jambes pour dévoiler son sexe aux yeux de sa partenaire et l’inviter à venir s’en délecter. Charlotte la rejoignit et s’allongea entre ses jambes. Elle déposa des baisers sur son genou et en fit de nombreux autres sur le parcours qu’elle fit le long de sa cuisse jusqu’au duvet de son pubis. Elle redescendit et ses lèvres frôlèrent très légèrement le clitoris pour se déposer sur ses lèvres gonflées. Elle embrassa, aspira ces dernières avec gourmandise avant de descendre à l’entrée de sa chatte trempée de mouille. Elle y introduisit sa langue et avec toutes sortes de mouvements se délecta du jus de cet abricot, tout en caressant de ses longs doigts fins l’intérieur des cuisses.
Les effleurements, les baisers, les coups de langues délicieux se prolongèrent pour le plus grand plaisir d’Emilie qui haletait de bonheur.
Charlotte pris enfin à pleine à bouche le clitoris hyper sensible qui réclamait des caresses depuis un moment. Après quelques baisers, elle laissa sa langue jouer avec le petit bouton gonflé et enfin l’aspira. Tout en s’occupant de la partie la plus sensible du corps de sa partenaire, elle introduisit deux doigts dans sa chatte détrempée et entama un va-et-vient fort agréable.
Emilie ne résista pas longtemps face à ces attentions. Elle jouit, fort et longtemps. Son ventre bondissait sous les spasmes qui l’envahissaient. La jeune femme poussait de longs gémissements de plaisir, s’agrippant au drap.
Quand le délicieux orgasme fut passé, Charlotte remonta doucement jusqu’à la bouche de sa partenaire en embrassant chaque parcelle de peau qu’elle parcourait. Elles s’embrassèrent avec passion, leurs lèvres humides se désirant plus que tout.
Emilie fit mettre sa partenaire à quatre pattes et dirigea sa langue directement vers l’entrée de sa chatte. Elle en but le jus avec plaisir. Tout en se délectant de sa cyprine, elle remontait et descendait doucement sa main le long de sa cuisse. Elle cessa un instant ses jeux de langue pour enfoncer son index dans le vagin. Elle posa ensuite ce dernier sur le clitoris et le fit bouger dans tous les sens, un peu comme joystick de manette, tout en léchant avidement sa vulve gonflée de désir.
De son autre main, avec son pouce humidifié de la mouille de partenaire, elle caressa son anus. Elle fit des mouvements circulaires puis força l’entrée du petit trou avec attention. Le pouce s’introduisit doucement et entama un délicieux va-et-vient.
Son anus, sa vulve et son clitoris ainsi stimulé le plaisir montait au galop dans le corps de Charlotte. Elle jouit fortement à son tour, gémissant, criant presque, de plaisir. Son vagin se contractait, ses mamelons se dressaient. Elle avait l’impression que ses jambes allaient se dérober sous elle.
Ne voulant pas en rester là, Emilie lui proposa de faire un 69 pour essayer de jouir ensemble. Elle trouvait que recevoir et donner du plaisir en même temps était très agréable. Elle se mirent dans la position adéquat et se donnèrent du plaisir. Chacune à l’écoute du corps de sa partenaire, accentuait ses caresses ou au contraire les freinaient afin d’essayer d’être synchronisée avec l’autre. Cette connexion à son amante plus beaucoup à Charlotte. Après de longues, ou trop courtes, minutes d’extase elles eurent un divin orgasme simultané.
Les deux jeunes femmes s’embrassèrent un moment pour prolonger l’instant de bonheur puis se laissèrent tomber sur le lit, repues de plaisir. Elles se blottirent l’une contre l’autre, tendrement, gagnées par une douce torpeur que les deux jeunes femmes eurent aimé que jamais elle ne s’arrêtât.
Charlotte ne savait pas si elle était pansexuelle, mais ne voulait pas trop se poser de question à ce moment. Elle voulait simplement profiter de l’instant présent, écouter son corps, ses sentiments, ses envies. Simplement profiter de la vie, être heureuse.
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