Chère lectrice rousse aux petits seins 2, partie 2

- Par l'auteur HDS Mysterious1991 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Chère lectrice rousse aux petits seins 2, partie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chère lectrice rousse aux petits seins 2, partie 2
Candice… Je ne me lasse pas, plus de toi. C’est aussi simple que ça. Je te regarde et je braque mes yeux dans les tiens. Je suppose qu’ils sont brillants, dilatés. Brûlants, incandescents. Oui, je ne dis pas un mot et tu vois que mes lèvres sont ouvertes tout en étant muettes. Mais non, ce n’est pas ce que tu pourrais penser. Candice… Je suis subjugué parce que tu es sexy là. Je tombe devant ta beauté. Je tombe des nues. Un point c’est tout. Point final. Si seulement j’avais l’audace de… Non…
Nos baisers sont confiants, inspirés. Et… ils me font de l’effet, plus que jamais, je dirais même. Oui, Candice… Pendant que je presse mon corps contre le tien, pendant que mes lèvres se posent sur les tiennes, pendant que ma langue cherche la tienne puis joue avec, je bande. Je bande parce que je pense, repense à ta lingerie en froufrous. Ça aussi, ça fait partie du cadeau que tu as voulu me faire, Candice. Ta lingerie et tes poils… Jolie rousse… MA «petite» rousse… Je te regarde. Je suis ému. Je suis à nu.

Candice… Tu es belle comme une Vénus, là, telle que tu es. Tu me rappelles cette toile de Raphaël, là. C’est quoi, ce titre à ce tableau? Ah. Ça y est. Ça me revient. La Naissance de Vénus. Là, tu n’as pas émergée d’un coquillage. Mais… Ton sexe orné d’un délicat mont de Vénus roux EST ce coquillage. Tes petites et grandes lèvres forment la coquille. Que dire de ton clitoris rose qui est la perle de ton sexe…

– Mysterious… Lèche-moi. Honore-moi. Fais-moi l’amour comme j’aime. Continue… Tu es un bon lécheur, toi. MON lécheur. Arrêtes pas. Surtout pas.

Candice… Je te regarde droit dans les yeux. J’ai bien entendu ce que tu viens de me dire. Mais… Comprends-moi. S’il te plaît. Tu ornes ton bas-ventre d’un subtil duvet roux et tu me dévoiles cette lingerie fine de froufrous. Laisse-moi… en jouir, s’il te plaît.

– Candice… Can… dice!
– Mysterious…
– Ma jolie rousse aux petits seins en poires…
– Mysterious…

Nous nous regardons dans le blanc des yeux. Tu sais ce que tu veux. Et moi, je sais ce que je veux. Et la femme dont j’ai envie, c’est toi. Ni plus, ni moins. Je me dévoue à toi. Tu es la sainte à laquelle je me voue. Une sainte qui sait ce qu’elle veut. Une sainte aux cheveux roux et à la poitrine menue. Une religieuse mais sexy et toute sauf innocente qui se couvre de froufrous et qui s’abandonne aux fantasmes secrets mais perceptibles de son amant… et qui ose. Can… dice! Tu me regardes. Je te regarde. Ton sexe est à portée de bouche. Il n’y a que toi. Tu le sais. Ne dis rien. Je sais. Tu sais. Tes poils roux… Tes petits seins… Ton attitude émoustillante et provocatrice, juste ce qu’il faut, à la fois… Tu es MA muse. Tu es MA Candice. Je veux t’honorer. Tu es à moi. Et moi, donnant-donnant, je suis à toi. Je te regarde, Candice. Candice… Ton sexe, mes doigts… Ton sexe, ma bouche… Nous ne faisons qu’un.

(…)
Candice… Tes yeux et tes froufrous… Tes yeux et ton minou… Oui, j’ai du plaisir à t’embrasser parce que tes lèvres sont cerises, sucrées. Mais oui, aussi, j’ai le même plaisir à les embrasser, tes lèvres… intimes: ces nymphes boursoufflées parce qu’elles pleurent de désir ET de plaisir. Et moi… je te désire, plus que jamais, Candice. Tu es émoustillante et moi, je n’ai d’yeux que pour toi. Oui, j’ai arrêté pour un court, court moment, ce cunni que je te faisais. Mais non. Ne t’inquiètes pas. Je ne vais pas te priver de ce plaisir… et de cet orgasme que tu attends. Tu le sais. Tu me connais.

Très délicatement, je t’aide à t’allonger sur le lit. Je veux que tu t’y sentes bien, chérie. Et pendant que je vais continuer de m’occuper de toi, je veux que tu ne penses à rien et que tu te laisses juste aller. Là. Tu es allongée sur la couette et tu ne fais désormais qu’un avec le lit. Je vois ce joli spectacle que tu m’offres et je t’admire comme si tu étais une œuvre d’art dans un musée.
Je t’ai laissé ta robe, Candice. Ne t’inquiètes pas. Tu sais que je les adore, tes beaux petits seins. Mais vois-tu… Ce sont déjà des cadeaux émoustillants que tu me fais alors que j’ai sous les yeux ta petite culotte en froufrous ET ton sexe qui est désormais duveteux mais entretenu. Je te regarde. Oui… Tu le vois, ça. Et je vois qu’en retour, tu ne me quittes pas des yeux. Nos yeux se captent et ne se quittent plus. Tout en te bouffant des yeux, je tends la main droite entre nous et je la pose sur ta minette qui a éclos, depuis. Je touche et je caresse ce joli ensemble rose…

(…)
Candice… Je sais… Mes yeux sont en permanence sur toi. Comprends-moi. Tu es émoustillante. Tu portes des froufrous sous tes vêtements et tes poils sont… un poil plus longs mais épilés un minima. Ta sensualité est revendiquée et tu braques tes yeux dans les miens. Moi, dès lors, c’est un message que tu m’envoies, jolie Candice. C’est moi et pas un autre que moi à qui tu veux plaire. Je reçois le message cinq sur cinq. C’est moi et pas un autre que moi que tu désires émoustiller. Et quand je jette un coup d’œil à ta robe… à tes sous-vêtements… à ce roux qui t’orne telle la Vénus du peintre Raphaël… C’est TOI que je désire. C’est de TOI dont j’ai faim. Toi, tu es sur le dos et tu te laisses aller. Je te vois, tu sais? Tu te touches par-dessus le tissu de ta robe. Tu fais du bruit. Tu te fais du bien. Tu prends ton pied.
Soudain… Oui… Soudain. Ta main se porte vers ma tête. Tu fourrages mes cheveux et puis tu les empoignes. Tu sais ce que tu veux, Candice. Et ce dont tu as envie, là, à l’instant-t, c’est que je me remette à te lécher. Tu sais comment je m’en doute, ma belle? Je relève la tête et puis je lève les yeux vers toi. Je te regarde. Je ne te lâche pas. Plus. Je suis à l’affût de tes moindres faits et gestes. Tes yeux sont braqués en retour dans les miens. Sous l’effet du désir, tu n’arrives plus à te calmer et du coup, tu gigotes. Tu poses le bout de tes doigts sur ton thorax. À… mon avis… Tu fais ça pour écouter ton cœur battre. Et l’instant d’après, tes deux mains se posent sur ta belle petite poitrine et tout en me dévorant des yeux, tu te les caresses, tes deux jolies poires. Candice… Si tu savais à quel point tu m’émoustilles quand tu fais des trucs comme ça…
Je savoure, je jouis du moment présent, ma belle. Tout ce que tu me donnes, tout ce que l’on vit, toi et moi, j’en tire toute la quintessence. Et dans le même temps, je ne pense pas à hier, je ne me projette pas sur demain. Candice… Ma chérie… Ne te méprends pas. Tu deviens importante dans ma vie, lentement mais sûrement. Simplement… On ne sait pas de quoi demain sera fait. Et du coup… Toi et moi, nous sommes amants. Je suppose, par conséquent, que tu es plus ou moins comme moi. Tu jouis des bons moments et tu en profites autant que tu le peux. Tu te mets sur ton trente-et-un, Candice. Tu es comme moi. Je suis un hédoniste et j’assume le fait d’être curieux. J’assume le fait de découvrir de nouvelles choses, d’explorer des facettes de moi qui m’ont été imperceptibles jusqu’à présent. Hier, on était dans cet hôtel de ma ville, on s’est rencontrés, on a commencé à aiguiser cette sensualité qui n’appartient qu’à nous et nous avons fait avec bonheur. Tu t’en souviens, Candice? Oui, tu t’en souviens. Parce que moi aussi, je m’en souviens. Aujourd’hui, nous sommes dans ton lit et nous nous découvrons davantage. Je dirais même que nous nous faisons des surprises. Nous nous offrons l’un à l’autre en cadeau. Tes jambes écartées, tes froufrous, tes poils, ta robe… Tu me rends fou.

(…)
Je t’ai regardée, les yeux dans les yeux, quand je frottais mon sexe tout dur, sur et contre le tien. Candice… Tu es tellement humide, là, les jambes grandes ouvertes alors que je vais et que je viens à l’intérieur de toi. C’est doux… et pourtant bien chaud, ce que ton corps sécrète. Là. Je plonge mes yeux dans les tiens. Je te dis tout. Je ne remue pas les lèvres, pourtant. Quand je te lèche, ma langue te dit que ton sexe a un goût qui me plaît particulièrement. Quand je te lèche et que mon visage est tout contre ton entrejambe, mon nez te dit que ton sexe sent bon et qu’il a un parfum dont je ne peux plus me passer. Quand je te pénètre avec un, deux doigts ou bien avec mon pénis, mon corps te dit que c’est doux, chaud et humide à l’intérieur de toi et que c’est un délice de faire l’amour avec toi.
L’association, la combinaison de tout ça, eh bien, c’est tout simple: ça te fait donner de la voix, Candice. Ça fait que tu frottes ton sexe allègrement contre ma bouche pour me sentir encore plus. Ça te fait me guider, que ce soit quand tu me parles ou bien quand tes doigts s’enfoncent dans mon cuir chevelu et que tu orientes mes caresses. Je me laisse faire et je TE laisse faire volontiers. Parce que ainsi, tu me dis, tu me fais comprendre si je m’y prends bien, si ça te plaît. Parce que ainsi, également, je sais si je dois rester sur la même ligne de conduite ou si je dois changer et m’adapter à tes besoins, à tes désirs, à tes envies. Candice… Ainsi, nous sommes à l’écoute de l’autre, et vice-versa. Nous nous complétons. Nous ne faisons qu’un.

(…)
Je me suis relevé et je t’observe un peu. Tu es belle. Je te l’ai déjà dit mais… Je trouve que le plaisir te va bien quand tu y dis oui. Tu es en sueur et tu reprends lentement ton souffle. Tu me regardes. Tu me souris. Tu me touches, tu m’émeus.
– Mysterious… Aaah… Ça reste toujours aussi… bon, quant tu me fais l’amour. Déshabille-moi à présent, s’il te plaît…

(…)
Notre partie de baisers et de caresses est interminable. Ces baisers et ces caresses sont divers et variés et tu sais quoi, ma jolie muse? Ne comptes pas… surtout pas sur moi pour y mettre un terme. Je suis si bien avec toi. Avec toi, la vie a une autre senteur, un goût différent. Avec toi, les mots et les sourires ont une toute autre signification. Ché… rie… Oui. Tu es ma chérie. De plus en plus. Et quand tu n’es pas là, je pense à ce que tu as porté, à ce que nous avons fait. Et l’instant d’après, je rêve de ta tenue, de ce que nous ferons la prochaine fois…
Un coup, c’est de tes lèvres sucrées dont je m’empare et j’y presse goulûment, allègrement les miennes. La fois d’après, je descends et c’est ta peau senteur fruits rouges que j’honore et je l’embrasse, je la lèche. Je sais… Ta peau est mouillée. Tu le sais. Tes petites poires m’émoustillent. Elles… Ton nombril… Ton pubis… Toi, tout entière, tu m’émoustilles, Candice. Je fais de toi, mon essentielle.

(…)
Tu as écarté à un moment donné soudainement tes jambes un peu plus encore. Et tu m’as regardé avec ces yeux suppliants que je commence à connaître. Tes yeux me parlent de ton désir irrépressible, insatiable. Tu haletais parce que je venais de te faire jouir avec mes lèvres et ma langue. Je suis sûr que ton coeur battait la chamade et que tu ne savais plus à quel saint te vouer, toi, à ton tour. Tout ce que je savais, c’était que tes yeux étaient braqués sur moi et que par conséquent, ils m’exprimaient ce dont tu avais envie, plus que tout… La suite m’a donné raison, Candice.

– Mysterious… Je suis toute mouillée… Perdue… PRENDS-MOI! BAISE-MOI! MAINTENANT!

À l’instant-t, tu n’avais pas besoin d’être plus claire. J’avais tout compris. Le message était reçu cinq sur cinq. Et vu que moi, dans le même temps, j’étais tout dur, perdu… J’ai posé mes mains sur tes jambes et je les ai maintenues bien écartée. J’ai fait en sorte que mon pénis et ta vulve se redécouvrent. Frotti-frotta, nous n’avons refait qu’un, petite touche par petite touche. Effectivement, tu l’étais, humide. Puis je me suis emparé d’un préservatif et je m’en suis paré. Mais avant… Avant que je ne te pénètre, j’ai aussi pris ce bandeau noir en soie que j’avais posé au préalable sur la couette. Je t’ai privée de la vue, ma belle. Et même les yeux bandés, tu étais sexy. Rhoo… Je te désire tellement, ma jolie. Et là, je vais… et je viens entre tes reins…

(…)
Même si c’est toi qui est allongée sur le lit, même si c’est moi, à priori, qui ai le dessus sur toi, ma belle, toi, tu es toute sauf passive. Oh… non. C’est même tout le contraire. Candice… Continue… C’est comme tout à l’heure, quand tu étais sur les genoux, quand tu m’as fait cette pipe qui me laisse, là encore, dans tous mes états. Tu t’y prends bien. Et là, même si tu ne me vois temporairement plus… Tu me sens. Oui… Tu ne peux que me sentir tout entier, enfoncé en toi. Tu as tes mains posées sur mon corps et tu les laisses me parcourir comme bon te semble. Ça fait que je vais… et que je viens entre tes reins, ma muse. Ma jolie rousse… Tu ne peux pas me voir, là. Mais… Tu sais que je suis tout contre toi. Tu me parles et tu me dis que tu es trempée, brûlante. Tu me dis que j’ai l’air d’être bien à l’intérieur de ton vagin étant donné que je suis on-ne-peut-plus gros et que je n’en finis plus de m’en aller puis de revenir. Tu viens de dire ça, Candice… Moi? Ça rentre par une oreille mais… attention…! Ça ne ressort pas par l’autre. Je te regarde. J’essaie de m’imaginer tes yeux, leur éclat, leur expression. Je t’admire, ma Mona Lisa rousse et aux petits seins. Je suis partagé… Tu es émoustillante, les yeux bandés. Et… dans le même temps, j’aime te regarder et te bouffer des yeux. Le choix est cornélien. Ce que je sais, en revanche, c’est que ce n’est que pur délice d’être en toi, de te faire l’amour.

(…)
Si tu savais à quel point tu ravives les flammes de notre sensualité quand tu te caresses et que l’instant d’après, tu te mords la lèvre, Candice… Là, ce n’est même plus raviver cette flamme. Non… Tu jettes carrément de l’huile sur le feu, ma chérie! Tu croyais que je n’aurais rien remarqué, que je n’aurais pas découvert ton petit jeu, Candice? Tu as eu tort. Car oui, tu es un appel au crime, aujourd’hui.

Tu restes le même appel au crime, ma chère lectrice… et désormais maîtresse. Tes longs cheveux roux et tes yeux espiègles, en permanence expressifs, de féline… Tes petits seins en poires et leurs tétons qui sont allongés parce qu’ils pleurent de désir ET de plaisir… Tes sous-vêtements en froufrous dont tu raffoles et ton mont de Vénus couleur flamme… Ta belle «petite» chatte rose, inondée et on-ne-peut-plus éclose… Et à présent, ton anus qui apparaît et que je ne peux que voir puisque tu as décidé de ton propre chef d’écarter de manière carrément outrageuse, là, tes jambes. Même si tes yeux sont plongés dans le noir, je suis convaincu que tu me regardes… et que tu ne me lâches pas. À… mon avis… ce sont tes quatre autres sens qui te guident. Je me suis relevé pour te permettre d’écarter les cuisses. Auparavant, c’était pour que tu te masturbes pendant que je te pénétrais. Un nouveau cadeau, alors, que tu veux me faire, Candice? À mon tour de te regarder et de ne plus te lâcher… Là. Je vais… et je viens plus fort. Je te prends. Je te baise…
(…)
La dernière fois, j'ai cru remarquer que tu apprécies d'être à quatre pattes, en levrette, réceptive à l'homme qui te fait l'amour. Candice… A… lors… Ça corrobore ce que tu m'as écrit dans nos échanges. Ne mens pas, ma belle. Pas maintenant. S'il te plaît. Je te sais sur la même longueur d'onde que moi. Je ne supporterai pas que tu aies fait semblant, comme ça, juste pour me plaire et pour me séduire, et puis basta. Candice… Mon instinct ne me trompe que rarement, tu sais? Et là, je SAIS que tu ne joues pas. Oui, tu es coquine et tu aimes user, abuser de tes charmes. Mais non, je te vois comme une femme qui est passionnée et qui, par conséquent, ne briserait pas le cœur… et le corps d'un homme qu'elle a dans la peau et que cet homme, il a lui aussi cette femme dans la peau. Candice… Moi aussi, je me mets à nu. Moi aussi, je veux t'appartenir.

(…)
Candice… Ma chère lectrice aux petits seins… Et… désormais… ma jolie rousse à quatre pattes… Je vais et puis je viens plus vite, plus fort. Je te baise. Je ne t'épargne plus. Tes chairs roses détrempés m'accueillent à merveille. Dès lors, je m'en donne à cœur joie. Mais… attention… Moi aussi, du coup, je t'appartiens, trésor. Et j'ai beau avoir dit «que je te baise»… Je n'aime pas dire ça. Ça m'est venu dans le feu de l'action, sans réfléchir. À l'instant-t, je réalise que c'est davantage faire l'amour, ce que nous sommes en train de vivre. Et je ne sais que trop bien que ce terme… «baiser» ne te plaît pas et ce, même si tu l'as prononcé pendant que je te prenais tout à l'heure, jolie Candice. Nous faisons l'amour. JE TE FAIS L'AMOUR.
Je prends tes fesses à pleines mains et par le biais de ces va-et-vient que je mène et qui nous lient, je te fais bouger d'avant en arrière. Ta peau se couvre petite touche par petite touche de transpiration et bien que je fasse encore et toujours main basse sur toi, Candice, j'éprouve quelques difficultés pour m'arrimer de la meilleure des façons à toi. Pourtant, j'y parviens malgré tout. Le spectacle de tes cheveux longs qui s'agitent dans tous les sens à cause de mes coups de rein ET de ton cul qui s'entrechoque avec mon bas-ventre m'émoustille au plus haut point. Mais ce qui m'excite encore plus, hmmm… Je dois avouer que c'est le fait de t'entendre. Tu soupires, tu gémis. Tu inspires, tu expires. Tu respires, tu halètes. Tu me parles, tu me supplies. Tu ne me vois plus pour le moment, Candice. Mais tu me sens. Et je veux que tu me sentes, plus que jamais sur toi. En toi, au plus profond de toi...

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