Chère lectrice rousse aux petits seins

- Par l'auteur HDS Mysterious1991 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Chère lectrice rousse aux petits seins Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chère lectrice rousse aux petits seins
Chère lectrice rousse aux petits seins

Ta tête repose sur ma poitrine velue, nue. Tu reprends ton souffle et tu récupères. Ta respiration est une jolie mélodie, et tu sais quoi? Elle est apaisante, en plus. C’est comme si c’était une berceuse. Tu es belle. Tu l’es davantage quand tu souris parce que tu as joui. J’ai une main qui est plongée dans tes cheveux. Je te regarde et je te souris. Je ne te résiste pas. Plus. Ce n’est juste pas possible, ça.

– Mysterious… C’est comme ça que j’imaginais le sexe avec toi, quand je lisais tes histoires sur le site. Aaah… Je me sens bien.

Je te regarde, Candice, et je te souris. Ah nos échanges par messages interposés… Ah tes invitations au plaisir, en virtuel… C’est devenu réalité.

(...)


Quand j’ai écrit «Joy», oui, j’avais bel et bien comme source d’inspiration une jeune femme rousse aux taches de rousseur et aux petits seins en poire. Tout simplement parce que c’est un fantasme qui est tout en haut sur ma liste. Mais non, je ne pensais pas que ce texte plaise particulièrement… et que quelqu’un s’identifie à ce point à «Joy». Et toi, chère lectrice, quand tu t’es manifestée et que tu m’as signalé que tes seins sont deux petites poires… J’avoue… Je me suis mis à t’imaginer. À fantasmer sur toi. À rêver de toi. Quand je t’ai répondu, Candice, j’ai relu l’histoire juste après. Mais ça a été toi, la camgirl. Ça a été toi que j’ai imaginée…

Là, nous sommes ensemble, EN-FIN, Candice… et nous nous embrassons à pleine bouche. Nous nous en donnons à cœur joie. Tu es fougueuse. Tu es mignonne. Tu sens bon. C’est tout ce que j’aime. Et je suis bien à l’instant-t, avec toi. Ça a été un feu d’artifice quand tu es arrivée tout à l’heure. Tu as pris un covoiturage pour venir ici, dans ma ville. La route a été longue, je sais. On en a parlé… La moindre des choses, c’était de t’accueillir comme il se devait. Je me suis fait tout beau. Ma préparation a été consciencieuse. Je voulais te plaire, Candice. Je voulais te séduire pour de vrai comme je t’ai séduite avec mes textes coquins. Mais toi… Toi… Tu étais ma-gni-fi-que quand tu es descendue de la voiture, quand tu m’as regardé pour la première fois et que tu m’as souri. Toi aussi, tu t’es mise sur ton trente-et-un. Tu m’as plu instantanément. Et quand tu as remué les lèvres pour m’adresser la parole… J’ai su alors que j’avais pris la bonne décision de te répondre sur le site. Plus on s’est écrit, plus j’ai été curieux. Plus j’ai été curieux, plus je me suis imaginé ton corps, ton regard, ta voix. Plus je t’ai imaginée, Candice, plus tu m’as plu. Et plus tu m’as plu, moins j’ai résisté à l’envie de te rencontrer. Aujourd’hui, nous concrétisons cette envie réciproque. Car toi aussi, tu voulais me rencontrer. Tes messages ne faisaient aucun doute là-dessus. Quand tu disais que «mes messages commençaient à t’exciter sérieusement»… Toi, alors, tu m’as chauffé sérieusement, en retour. Et là, nous nous roulons des pelles et nous nous pelotons. Candice… Tu m’excites…

Je t’embrasse. Je ne m’en lasse pas. Tu es tellement mignonne. Tu es espiègle. Je ne peux pas te résister, ma belle. C’est irréel et pourtant, c’est bel et bien ce qu’il est en train de se passer. Tu as beau être coquine… Tu m’embrasses langoureusement et tu savoures mes baisers en retour. C’est donnant-donnant. Ce que nous vivons là, déjà, il n’y a pas de qualificatif que je puisse trouver à l’instant-t pour te décrire ce que je suis en train de ressentir. Juste… C’est bien plus fort que lors de nos échanges en virtuel. Tout simplement parce que c’est désormais pour de vrai. Tout simplement parce que les minutes sont torrides…

Je prends ton visage dans mes mains et ma bouche fait main basse sur la tienne. Candice… Ton haleine est mentholée et tes lèvres, elles, sont sucrées. Ce n’est que pur délice de t’embrasser. Je fais abstraction de tout et je me donne entièrement dans ce baiser dans lequel, toi aussi, tu donnes tout. J’y donne tout aussi. Et puis, je décolle mes lèvres des tiennes. Tu halètes. Tes yeux se braquent dans les miens. Tu ne dis rien. En fait, tu ne comprends pas. En me regardant comme ça, tu cherches justement à comprendre pourquoi. Je ne dis rien. Mes mains se posent sur tes épaules et abaissent les bretelles de ta jolie robe d’été légère…

(…)
Tu trembles alors que je te serre dans mes bras. Comme je te comprends, Candice… Tu es belle et je ne me lasse pas du contact et du toucher de ta peau nue contre la mienne. Tu me regardes comme si tu me demandais si je suis bien réel, si c’est bien avec moi que tu es, là. Ma main se pose sur tes cheveux et je te les caresse tendrement avec le revers. Ma main descend et c’est au tour de ton front d’être touché. Cet attouchement te fait frissonner. Tu pousses un gémissement éloquent. Ça te plaît…

Candice… Tu es jolie et j’aime ça, t’embrasser. Oh… oui. Alors, je vis le moment présent. Je savoure ces baisers que tu me donnes. En retour, je m’investis corps et âme et je te les rends goulûment, ces bisous. Je suis bien avec toi. J’aimerais que tu le saches. Que tu le sentes. Que tu le vois. Que tu l’entendes. Que tu le goûtes. Ça dépasse, et de loin, ce que j’espérais, ce que j’imaginais. Avec toi, je ne réfléchis pas et je deviens moi. Avec toi, je dis oui au plaisir et c’est tout pour toi, rien que pour toi. Candice… Tu es nue parce que j’ai joué avec les bretelles de ta robe, il y a quelques minutes. La surprise a été totale quand j’ai découvert que tu ne portais rien du tout dessous. Quand ta robe a fini sur la moquette de la chambre, tu m’as regardé dans les yeux et tu m’as adressé un joli sourire. Tes lèvres entrouvertes et tes mains sur mes joues, tu m’as exprimé ton désir, même sans dire un mot.

Candice… Ma chère lectrice rousse aux petits seins… C’est pour de vrai que nous nous rencontrons et que nous sommes ensemble, EN-FIN. Tu es sensuelle et coquine à la fois. L’un n’empêche pas l’autre et vice-versa, je sais. Mais j’aime ça chez toi.

Tu ne me laisses pas indifférent. Il faut dire que tu as titillé ma curiosité dès le départ et que tu as su l’aiguiser au fur et à mesure. Et là, je ne pense à rien et je fais abstraction de tout. En fait, j’écoute juste mon instinct, mes désirs. Je m’imprègne de toi, tout entière. Je savoure tes yeux et ta bouche. Je savoure ton corps et ton âme. Je t’embrasse, je te touche. Candice… Moi non plus, tu sais, j’ai du mal à me faire à l’idée. Par conte, ce que je sais, c’est ce que je suis bien contre toi.

Tu me laisses te toucher. Tu me fais confiance. C’est un beau cadeau que tu es en train de me faire. Alors, tout en laissant mes deux mains sur toi, je te regarde et je te souris. Je t’adresse l’un de ces sourires radieux, amoureux dont j’ai le secret. Je suis ému. J’ai envie de toi. Oui. Mais… Ces moments qu’on est en train de vivre là, ils sont tout aussi importants. On aiguise tous les deux une sensualité qui nous est propre. Tu es belle. Tu es sexy. Tu as du charme. Et tu as su mettre en valeur tes charmes pour me faire perdre direct’ la tête. Candice… Si tu savais à quel point j’ai envie de toi, là… Okay, je suis silencieux. Mais tu es intelligente. Ma main sur ta joue et mes lèvres sur les tiennes en sont la preuve. Je te dis tout en fait…

(…)
À ton tour de poser ta bouche et tes mains sur mon corps, Candice… Partout. Tu ne fais aucune exception. Je te laisse me toucher. Me caresser. M’embrasser. Me lécher. Je veux que tu saches que tu as carte blanche. Tout ce dont tu as envie, moi aussi je le veux. Ne sois pas farouche. Toi qui as dit les choses de but en blanc jusqu’à présent… Reste toi-même. Si quelque chose te passe par la tête, Candice, dis-le. Fais-le. Tu es belle. T’as de beaux yeux, tu sais… Et que dire de ton corps… Regarde-moi. Émoustille-moi. Sois comme sur le site. Tu m’as séduit comme ça.

Tout ça, je te le dis avec mes yeux, mon regard. Je t’encourage. Mais dans le même temps, je te supplie. Ce que nous nous sommes dit sur le site, j’ai envie de le vivre pour de vrai. Alors, je te regarde et je ne te quitte plus des yeux. C’est ma manière de te faire comprendre que j’aime tout ça… et que je veux… surtout… que tu continues, Candice. Je m’empare de tes deux mains doucement et je les pose sur mon corps. Tout en les maintenant délicatement, sans te brusquer, je les déplace sur la chemise que je porte. Tu glousses, tu soupires. Candice… Regarde-moi. N’aies pas peur. Tout ce qu’il se passe, c’est tout pour toi, rien que pour toi. Oui…

(…)
De fil en aiguille, moi aussi je me mets à nu. Pour être honnête… C’est toi qui as déboutonné ma chemise et qui me l’as enlevée. C’est toi qui me déshabilles, petite touche par petite touche. Tu t’y prends bien, Candice. Tu m’émoustilles. Continue… J’aime être avec toi. C’est un truc de dingue, ça! C’est fou! C’est… bon.

Mon torse est nu et tu y poses tes deux mains. C’est à ton tour de me découvrir, Candice. Ne sois pas farouche. L’eau te vient à la bouche. Je le sais. Tes mains sont curieuses, espiègles. Gourmandes, affamées. Ma peau se couvre de chair de poule. C’est agréable. Tu es douée, toi, dis donc! Oui… Ne t’arrêtes pas. Surtout pas…

Tout en me regardant, tout en usant et en abusant de ta bouche, tes mains découvrent mon corps. Elles y sont bien dessus, à ce que je sens. Oui, elles y sont bien. Tu me manges des yeux. Tu glousses. Ça te plaît d’après ce que je sens, d’après ce que j’entends. Ne te prives pas, surtout pas, alors. Candice… C’est ça… C’est ça! C’est à mon tour de me laisser faire. Je dois dire que c’est agréable…

Nous nous regardons. Nous nous mangeons, nous nous dévorons des yeux. Te toucher me manque, Candice. Alors, je repose mes deux mains sur ta peau et je les laisse errer dessus. Ta peau est soyeuse et bien qu’elle soit pâle, je me l’approprie sans me poser de question. Oh Candice…

Ton corps est mince et tu es fluette. Ça ne me dérange pas. Au contraire… Tu me plais. Je continue de me l’approprier et de le faire mien, ton corps, Candice. Ta peau est douce. Je te fais les caresses que j’imaginais quand je t’écrivais ET quand je lisais tes messages. C’est tout pour toi, rien que pour toi. Tu m’émoustilles, tu me fais fondre. Tu me plais, tu me donnes envie de te découvrir en plus en détail. Candice… Tu pensais par contre que je négligerais tes petits seins dont tu m’as tant parlé? Tu avais tort et c’était mal me connaître, tu sais? Ils ont beau être petits, ils me plaisent beaucoup. Tu le vois, ça. Oui, tu le vois… Je pose mes deux mains sur eux. Là. Eux aussi, je les fais miens…

(…)
Mes lèvres se sont posées sur le téton de ton sein droit et je te le suce délicatement. Ce ne doit être que du plaisir. Candice… Dis-y oui… Ce doit être tout pour toi, rien que pour toi. Ton sein est chaud, il est humide. Bon d'accord… À force d'y poser ma langue et d'en lécher la peau pour continuer de t'éveiller au plaisir, tes petites poires luisent. Je te tète. C'est comme si j'avais envie de goûter à ton lait. Candice… Tu as ta main posée sur l'arrière de ma tête. Ta main est douce, précautionneuse. Tu me guides: tu raffermis ou bien tu desserres la pression de ta main sur ma tête, de tes doigts dans mes cheveux. Tu soupires, tu gémis. Tu me parles, tu m'encourages. Je prends ton téton entre mes lèvres, j'y donne des coups de langue. Je le titille, il pointe. Il durcit, il s'allonge. Can… dice!

(…)
Tu es délicieusement mouillée. Est-ce que c’est dû au fait que tu as fantasmé sur nous deux quand on s’écrivait sur le site? Est-ce que j’en suis responsable depuis que je m’occupe de toi? Candice… Quoiqu’il en soit… Je suis fier que tu sois dans cet état-là, que tu sois excitée à ce point. Tu… mouilles pour moi! Et moi, j’aime ça, te lécher… Oh… oui. Ton sexe a bon goût. Je suis concentré, je m’applique. C’est tout pour toi, rien que pour toi, Candice. Toi, tu me parles, tu me guides. Tes doigts s’enfoncent dans mes cheveux. Tu ondules, tu frottes ton sexe contre ma bouche…
(…)
C’est tellement… bon d’être en toi, Candide. Ça aussi, j’en ai rêvé et pas qu’une fois. Oh… non. Tout ce qu’on vit tous les deux aujourd’hui dans cette jolie chambre propice à la sensualité, à la découverte des corps, aux plaisirs de la chair et aux coquineries, je me le suis visualisé dans mon imagination libidineuse fertile… et je l’ai enregistré précieusement dans mon cortex coquin. Seul, je pensais à toi, je n’avais qu’à mettre le film en route et je me donnais du plaisir. Par contre, je reconnais qu’être seul, ce n’est pas du tout la même chose. Tu es tellement mouillée, Candice. Te lécher… Te pénétrer d’un, de deux doigts… Te parler du désir et de l’envie que j’avais pour toi… Je suis allongé sur toi à présent et je vais, je viens. Je vais, je viens. Je vais et je viens entre tes reins, Candice. C’est pour de vrai. Tu ne rêves pas. Tes yeux brillent. Tu es belle. Je suis à toi, je suis en toi. Tu es à moi, tu me mets dans tous mes états. Ne pensons à rien. Prolongeons la magie…

(…)
Je suis sur le dos à mon tour. Toi, tu montes et tu descends sur mon sexe. Je t’accompagne dans tes mouvements. Ce que je vois me plaît, m’émoustille. Ça m’excite, ça me rend fou de te voir prendre ton pied comme tu le fais. Tu es sexy, Candice. Oh… oui. Continue de bouger sur moi. Ton vagin et mon pénis se complètent. Nous ne faisons plus qu’un. Tes longs cheveux sont lâchés et ils bougent dans tous les sens, de fil en aiguille. Ça te donne un côté… sauvage. Plus nous faisons l’amour, plus je remarque que tu transpires. Plus tu t’empales sur moi, et plus tes tétons sont allongés. Candice… Je remonte mes mains qui sont posées jusque-là sur tes côtes. Là. Je les pose sur tes deux petits seins tout mignons…
(…)
De fil en aiguille, nous prenons notre pied ensemble. J’aime faire l’amour avec toi, Candice. Oh… oui. Qu’est-ce que j’aime ça… Tu es à quatre pattes sur le lit et je te prends désormais par-derrière. Ton cul est émoustillant et tu es on-ne-peut-plus humide. Mes deux mains reposent sur tes fesses et je les malaxe. Je les écarte. Je vois par ailleurs ton anus qui me tenterait bien. Je vais et je vais bien dans ton vagin qui a bien éclos. Toi, sous l’effet, sous l’emprise du plaisir qui te ravage et qui te brûle à petit feu, tu sers la couette fort et tu t’y agrippes. Tu es une sauvageonne, une femme insatiable. J’aime ça. Je m’allonge sur toi et mon torse se colle à ton dos. Je t’embrasse. Je te prends plus fort. Tu gémis, tu cries. Ton corps se raidit. Tu pousses un cri libérateur. Tu t’effondres sur le lit, épuisée. Tu viens de jouir...

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