Chez lui
Récit érotique écrit par Romaric180 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Chez lui
Les règles étaient simples : je devais obéir à ses désirs mais il ne devait pas m’imposer des choses au-delà de mes limites. Nous en avions discuté, c’était clair.
C’est la première fois que je me rendais chez lui, il m’accueillit comme toujours avec le sourire. Il m’entraina vers le salon, petite pièce meublée d’un canapé, de deux fauteuils, d’une table basse et d’une grande bibliothèque. Pas de quoi être effrayé, ce n’était pas un donjon !
Il était vêtu comme moi, d’une chemise et d’un pantalon, le déshabillage ne serait donc qu’une formalité.
- Nerveux, demanda-t-il ?
- Ca va, répondis-je.
Notre dernière rencontre dans les bois s’était bien passée, j’en avais eu pour mon déplacement et lui semblait satisfait. Je refusais simplement le verre qu’il me proposait, j’étais tout de même un peu inquiet de ce qui allait arriver.
- Déshabille-toi, dit-il.
Cet ordre ne souffrait pas de réplique et je m’exécutais, enlevant chemise et pantalon.
- Entièrement, osais-je demander ?
- Tu te fous de moi, à poil et dépêche-toi !
Je quittais donc mon slip et me montrais devant lui dans toute ma nudité.
- Approche !
J’obéis immédiatement, me tenant juste devant lui, tête baissée. Il attrapa ma queue en me tirant vers lui. Il me décalotta le sexe, me fit tourner sur moi-même, inspecta la raie de mes fesses et me les claqua d’une manière sonore.
- Aujourd’hui je vais un peu m’amuser avec toi.
Il se leva et alla chercher une boite sur le rebord d’une étagère, il l’ouvrit et en sortit un tube et ce que j’identifiais rapidement comme une racine de gingembre.
- Ca va un peu te changer, tu verras, tu vas aimer.
Avec un couteau il éplucha la racine, mettant à nu la partie odorante.
- Tu vas te mettre à genoux devant la cheminée, mains sur la tête et tu bougeras quand je te le dirai, pas avant, sinon…
C’était clair, je me mis en position.
Il s’approcha face à moi, se mit à genoux également et ouvrit le tube : c’était du dentifrice. Il m’enduisit copieusement le gland de cette pâte, insistant sur la partie découverte par le prépuce, avant de se relever. Il passa alors derrière moi, écarta mes fesses et approcha la racine de gingembre de mon anus.
- C’est froid mais ça ne va pas durer, dit-il en l’enfonçant d’un coup.
La racine était taillée avec une gorge de telle manière que le sphincter se resserre et empêche le plug végétal de sortir. Il s’installa dans le fauteuil et attendit.
Le gingembre commençait à faire effet et je sentais une chaleur envahir mon rectum, de l’autre côté le dentifrice me piquait un peu. Ces sensations ne firent qu’augmenter et le feu s’empara de mon côté pile et mon côté face. Je haletais mais je ne devais pas bouger et mes gémissements n’eurent pas raison de sa détermination.
Je restais ainsi peut-être une demi-heure, moment où la brulure de mon cul commença à décroitre. Il regarda la pendule et dit : « Ca doit suffire maintenant, tu as aimé ? ».
Il retira le gingembre d’un coup et m’emmena à la salle de bain pour nettoyer le dentifrice. Je sentais mon anus distendu et mon gland était tout rouge. Il en profita pour se déshabiller entièrement et nous sommes revenus dans le salon, nus tous les deux.
Il prit un préservatif dans la boite, le plaça sur sa verge et me fit m’appuyer sur la table basse, offrant ainsi mon postérieur à sa sollicitude. Il passa derrière moi, posa son gland sur mon anus et appuya sans autre préparation. La pénétration ne fut pas très facile et il s’y prit à plusieurs fois pour faire entrer le gland. La brulure du mâle ajoutée à cette du gingembre me coupèrent le souffle.
- Tu vois, ça rentre presque tout seul !
Il commença ses va et vient, lentement et profondément, puis plus rapidement jusqu’à me pilonner sans s’arrêter. Je ne savais plus depuis combien de temps cela durait mais je ressentais une chose inconnue jusqu’à présent, ce mélange de douleur et de plaisir. Il jouit en moi en poussant un grand cri.
Il se retira et alla s’assoir dans le fauteuil, je tombais presque de fatigue, mes jambes ne me portant plus.
Un peu plus tard, il se releva, se rendit à la cuisine et revint avec un pot de confiture.
- C’est ton quatre heures, dit-il en rigolant !
Il ouvrit le pot, prit de la confiture et en enduisit sa queue.
- A table !
Je m’approchais à genoux devant lui, posais mes lèvres sur son gland et commençais à lécher la confiture, insistant sur les parties sensibles pour ne pas en perdre. Son membre reprit vite du volume si bien qu’il fut prêt pour d’autres assauts.
Il se leva et prit un autre préservatif qu’il plaça sur sa queue. Il me demanda de m’approcher, le fit tourner et me dit : « Tu vas t’assoir sur ma queue, je vais te défoncer ».
Il guida son sexe vers mon anus prêt à s’ouvrir et m’attira brusquement à lui, me pénétrant d’un coup. Je commençais les mouvements en me soulevant et m’abaissant au rythme qu’il donnait à mes hanches, son membre coulissant sans problème tellement j’étais mouillé à l’intérieur. Lorsqu’il a éjaculé pour la deuxième fois, il me garda assis sur ses genoux pour rester le plus longtemps possible dans mon cul.
Décidément, je découvre chaque fois autre chose avec lui.
C’est la première fois que je me rendais chez lui, il m’accueillit comme toujours avec le sourire. Il m’entraina vers le salon, petite pièce meublée d’un canapé, de deux fauteuils, d’une table basse et d’une grande bibliothèque. Pas de quoi être effrayé, ce n’était pas un donjon !
Il était vêtu comme moi, d’une chemise et d’un pantalon, le déshabillage ne serait donc qu’une formalité.
- Nerveux, demanda-t-il ?
- Ca va, répondis-je.
Notre dernière rencontre dans les bois s’était bien passée, j’en avais eu pour mon déplacement et lui semblait satisfait. Je refusais simplement le verre qu’il me proposait, j’étais tout de même un peu inquiet de ce qui allait arriver.
- Déshabille-toi, dit-il.
Cet ordre ne souffrait pas de réplique et je m’exécutais, enlevant chemise et pantalon.
- Entièrement, osais-je demander ?
- Tu te fous de moi, à poil et dépêche-toi !
Je quittais donc mon slip et me montrais devant lui dans toute ma nudité.
- Approche !
J’obéis immédiatement, me tenant juste devant lui, tête baissée. Il attrapa ma queue en me tirant vers lui. Il me décalotta le sexe, me fit tourner sur moi-même, inspecta la raie de mes fesses et me les claqua d’une manière sonore.
- Aujourd’hui je vais un peu m’amuser avec toi.
Il se leva et alla chercher une boite sur le rebord d’une étagère, il l’ouvrit et en sortit un tube et ce que j’identifiais rapidement comme une racine de gingembre.
- Ca va un peu te changer, tu verras, tu vas aimer.
Avec un couteau il éplucha la racine, mettant à nu la partie odorante.
- Tu vas te mettre à genoux devant la cheminée, mains sur la tête et tu bougeras quand je te le dirai, pas avant, sinon…
C’était clair, je me mis en position.
Il s’approcha face à moi, se mit à genoux également et ouvrit le tube : c’était du dentifrice. Il m’enduisit copieusement le gland de cette pâte, insistant sur la partie découverte par le prépuce, avant de se relever. Il passa alors derrière moi, écarta mes fesses et approcha la racine de gingembre de mon anus.
- C’est froid mais ça ne va pas durer, dit-il en l’enfonçant d’un coup.
La racine était taillée avec une gorge de telle manière que le sphincter se resserre et empêche le plug végétal de sortir. Il s’installa dans le fauteuil et attendit.
Le gingembre commençait à faire effet et je sentais une chaleur envahir mon rectum, de l’autre côté le dentifrice me piquait un peu. Ces sensations ne firent qu’augmenter et le feu s’empara de mon côté pile et mon côté face. Je haletais mais je ne devais pas bouger et mes gémissements n’eurent pas raison de sa détermination.
Je restais ainsi peut-être une demi-heure, moment où la brulure de mon cul commença à décroitre. Il regarda la pendule et dit : « Ca doit suffire maintenant, tu as aimé ? ».
Il retira le gingembre d’un coup et m’emmena à la salle de bain pour nettoyer le dentifrice. Je sentais mon anus distendu et mon gland était tout rouge. Il en profita pour se déshabiller entièrement et nous sommes revenus dans le salon, nus tous les deux.
Il prit un préservatif dans la boite, le plaça sur sa verge et me fit m’appuyer sur la table basse, offrant ainsi mon postérieur à sa sollicitude. Il passa derrière moi, posa son gland sur mon anus et appuya sans autre préparation. La pénétration ne fut pas très facile et il s’y prit à plusieurs fois pour faire entrer le gland. La brulure du mâle ajoutée à cette du gingembre me coupèrent le souffle.
- Tu vois, ça rentre presque tout seul !
Il commença ses va et vient, lentement et profondément, puis plus rapidement jusqu’à me pilonner sans s’arrêter. Je ne savais plus depuis combien de temps cela durait mais je ressentais une chose inconnue jusqu’à présent, ce mélange de douleur et de plaisir. Il jouit en moi en poussant un grand cri.
Il se retira et alla s’assoir dans le fauteuil, je tombais presque de fatigue, mes jambes ne me portant plus.
Un peu plus tard, il se releva, se rendit à la cuisine et revint avec un pot de confiture.
- C’est ton quatre heures, dit-il en rigolant !
Il ouvrit le pot, prit de la confiture et en enduisit sa queue.
- A table !
Je m’approchais à genoux devant lui, posais mes lèvres sur son gland et commençais à lécher la confiture, insistant sur les parties sensibles pour ne pas en perdre. Son membre reprit vite du volume si bien qu’il fut prêt pour d’autres assauts.
Il se leva et prit un autre préservatif qu’il plaça sur sa queue. Il me demanda de m’approcher, le fit tourner et me dit : « Tu vas t’assoir sur ma queue, je vais te défoncer ».
Il guida son sexe vers mon anus prêt à s’ouvrir et m’attira brusquement à lui, me pénétrant d’un coup. Je commençais les mouvements en me soulevant et m’abaissant au rythme qu’il donnait à mes hanches, son membre coulissant sans problème tellement j’étais mouillé à l’intérieur. Lorsqu’il a éjaculé pour la deuxième fois, il me garda assis sur ses genoux pour rester le plus longtemps possible dans mon cul.
Décidément, je découvre chaque fois autre chose avec lui.
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