Chroniques érotiques d'Emilie (10) - histoire érotique

Soirée entre filles.

Moi, Emilie, petite brune qui n’aime que les filles. Alice la plus drôle, Marie la plus sage d'entre nous et Ninon, la plus dévergondée, sommes "Les meilleures amies du monde" très complices et sans tabou. Mais jamais, au point d'imaginer, avant cette soirée ce qui va suivre.

Ce soir, pour fêter la fin de notre année universitaire, et avant de nous séparer pour "les grandes vacances", Alice nous a invité à une soirée entre filles, chez elle, dont le thème a- t-elle dit en rigolant est : " soirée pyjama ".Tout un programme ! vous l'aurez sans doute deviné !

Soirée pyjamas; des souvenirs et des flashs "de quand j'étais gamine, puis lycéenne" me remontent. J'ouvre donc une parenthèse pour vous les faire partager.

Les souvenirs de mes pyjamas-parties sont nombreux. Ils remontent à l'époque où petite-fille, c'était très amusant, moi et toutes les autres vêtus de notre pyjama dans nos sacs de couchage, sur le sol de la chambre de l'une d'entre nous. C'était des soirées entières de fous-rires et une fois la lumière éteinte, des chuchotements à n'en plus finir, jusqu'à ce que, une par une, tout le monde finisse par s'endormir. Ensuite, à l'adolescence, c'était le temps des premiers émois et une amie qui venait, où chez qui j'allai passer la nuit pour partager des secrets de jouvencelle dans un lit Plus grande c'est l'éveil au sexe qui nous travaillait dans le grand lit. C'était la découverte de nos corps, du corps de l'autre, comparer nos seins, nos minous; des jeux taquins a pince nénés et touche pipi pour finir ensuite par toucher, lécher et sucer les seins de l'autre, mettre les doigts, découvrir le clitoris, manger les chattes à la découverte de nos premiers orgasmes.

Mais fermons la parenthèse pour revenir à ce soir.

Des notre arrivée chez Alice, tenue de soirée obligatoire ! Toutes en chœur, nous voila en train de revêtir le "fameux" pyjama que nous avons amenés et Ninon fidèle à son image nous lance un défi. Sans culotte et soutif dessous! "Pas cap !". Bien sur, fanfaronnes nous la prenons au mot sitôt dit sitôt fait, nous voila nues sous nos pyjamas en pilou, car la consigne était également d'être la plus déjantée possible. J 'oserai dire presque déguisées à celle qui porte le pyjama en pilou le plus "affreux" n'empêche que c'est très confortable et de plus nous sommes très à l'aise sans nos sous-vêtements.

Après cet habillage qui a donné le ton, la soirée débute, dans une chaude ambiance, très détendue, très colorée ! où les moments de fou rire sont nombreux, entretenus par l'apéritif, et le repas rapidement expédié pour que la "pyjamas-partie" commence... !!

Pyjamas obligent, cette soirée se passera dans la chambre d'Alice, qui outre son lit double a disposé un matelas à même le sol. Mais je sens, vu l'atmosphère et l'entourage, que l'on ne dormira pas beaucoup cette nuit !

Chacune, nous avons amené, a la demande de notre hôte, un DVD pour passer le début desoirée avec le meilleur d'entre eux... et à l'unanimité c'est celui de Marie, "Grease" qui est choisi. Etalées sur les couchages, Ninon et moi au pied du lit, Marie et Alice dessus. C'est dans un silence religieux que nous commençons à regarder cette comédie musicale. Puis progressivement l'attention se dilue. Alice s'enflamme à chaque déhanché un peu osé, Ninon avoue qu'elle aimerait bien être "collé serré" avec John Travolta, Marie et moi rions de leurs pitreries en mangeant des bonbons. Arrive la fin, commentaires sur le film, puis d'un propos à un autre, la conversation dévie sur le sexe. Marie rouge aux joues se déride, Alice cache son trouble derrière quelques blagues polissonnes dont elle a le secret et moi je joue un peu a la nunuche de service, pendant que Ninon nous vante ses exploits sexuels qui provoquent dans notre petite assemblée, rires, cris de surprise, de joie, et applaudissements exaltés. Heureusement que personne ne nous entend car ils nous prendraient pour des fofolles! Jusqu'a ce que Ninon se lève et lance à la cantonade : "Les filles ! fermez les yeux et ne pas les ouvrir avant que le film que j'insère débute". Intriguée et curieuse nous faisons comme elle dit.
Dès les premières images nous sommes toutes surprises ! sauf bien sur Ninon "qui se marre" car elle nous a mis un film porno et de surcroît lesbien.

Plus personne ne parle. Huit paires d'yeux sont rivés à l'écran. Dans la chambre, quatre filles sont progressivement prises dans un tourbillon d'érotisme et de sensualité et au fur a mesure que le film se déroule, l'ambiance s'électrise.

Marie, de plus en plus rouge, se ronge les ongles, Alice rigole et sourit à chaque scène osée et presse son oreiller dans son entrejambe; Ninon, quant à elle. "C'est pas vrai ! elle est en train de se toucher". Je l'observe à la dérobée, ses tétons pointent durs contre son haut de pyjama une main est dans son pantalon, son mouvement de va-et-vient est à peine visible mais il n'y a pas de doute elle se masturbe la coquine !!

Bien sur, çà m'excite, l'envie de faire pareil ou mieux de la gouiner me prend, je sens mes vannes s'ouvrir dans mon entrejambe, et une chaleur et des picotements que je connais trop bien m'envahir; sans parler de mes seins et de mes tétons qui durcissent à mort. je ne résiste pas longtemps et à mon tour je glisse ma main dans le bas de mon pyjama.

Je ne peux pas détourner mon regard du spectacle offert par Ninon, haletante, bouche ouverte, les yeux rivés sur l'écran. "seule au monde" elle rythme sa jouissance sur la scène qui se déroule sur l'écran. Mais un mouvement furtif et des gémissements sur le lit me font tourner la tête. Pas possible ! mais la chambre est en train de devenir un luna-park !!! Marie et Alice sont enlacées et s'embrassent langoureusement tout en regardant comme moi Ninon qui sans s'occuper de nous se déshabille !

Alice et Marie font comme elle, leurs pyjamas ne tardent pas a s'envoler dans la pièce pour laisser apparaître deux corps de rêve aux minous luisant de cyprine, et aux globes durcis de désir, que leurs mains caressent, pétrissent...

Mon excitation est a son comble. Après avoir été déconcertée par la tournure que prend la soirée, je me mets au diapason et en peu de temps j'abandonne mon pyjama sur le sol.
Ecarte mes jambes et commence une masturbation; toute haletante par le spectacle érotique qui est partout dans la pièce.

Mon regard, reviens vers Ninon, toute nue, gémissante, cuisses largement écartées, deux doigts qui vont et viennent dans son vagin avec un petit bruit de clapotis. Tout en se faisant bon, la belle blonde tourne sa tête vers moi et de son regard bleu dans le mien, me fait signe de la rejoindre.

Fascinée, je me rapproche lentement d'elle, tremblante d'envie. Je l'enlace, mes lèvres se posent sur les siennes. J'ouvre sa bouche avec ma langue et vais à la rencontre de la sienne, enivrée par l'odeur de sexe qui se dégage d'elle, ma bouche glisse le long de son cou.

Arrive sur ses petits seins fermes et joue avec les pointes dressées. Délicieuse sensation que ces boutons durs, sous mes lèvres, pressés, tirés, léchés. Je mouille comme une folle, surexcitée par les soupirs et les gémissements qui emplissent la chambre car sur le lit la tête de Marie est perdue dans la fourche d'Alice, elle lui lèche le minou avec intensité, tout en lui pétrissant les seins de ses deux mains. Dans la pièce seulement éclairée par la lueur de la télé (que d'ailleurs, plus personne ne regarde). Un long râle retentit et couvre les gémissements des deux coquines sur le lit. Ninon jouis; tremblante, cambrée a l'extrême, jambes tendues, orteils recroquevillés, à la recherche de son souffle, les doigts toujours profondément enfoncés dans son sexe.

Ma bouche lâche son téton, elle se redresse brusquement, m'allonge doucement et couvre mon corps de baisers. Mon con s'ouvre instinctivement, je sens ma mouille dégouliner.
Ninon continue de descendre le long de mon ventre, ouvre grand mon compas "Mumm ! hé ben petite cochonne on peut dire je t'ai fait de l'effet ! J'en suis flattée me lance-t-elle et pose sa bouche sur mon minou trempé. "J'adore",sa langue court sur ma fente, ses lèvres tirent sur mes nymphes, les doigts serrés elle me branle le bouton, je ferme les yeux, j'accompagne le plaisir que je prends par des gémissements, des petits cris. Je me tortille, me cambre sous l'intensité des caresses.

Pendant que sur le lit au dessus de nous .Alice main crispée sur la tête de Marie, chatte collée à sa bouche, cambrée, yeux au plafond, part dans un feulement bestial, un orgasme monstrueux tellement sa jouissance est forte.

Un moment après alors que Ninon me besogne, je sens des lèvres se poser sur les miennes, goût de mouille, Alice ? Marie ? Deux langues viennent balayer toutes mes interrogations pendant que l'une s'occupe de ma bouche, l'autre est sur mes nénés et leurs pointes dures. Je succombe sous les caresses prodiguées dans un ensemble parfait par les trois coquines. Un plaisir rarement éprouvé. J'ouvre les yeux pour observer à loisir cette scène érotique qui se joue là en vrai dans cette chambre et dont je suis la prisonnière consentante et ce que je vois décupler ma jouissance.

Marie, à quatre pattes, me suce seins et tétons, tout en masturbant d'une main son clito. Alice qui était en train de baiser ma bouche avec sa langue m'abandonne pour mettre un gode ceinture et passer derrière Marie et la prend en levrette, tout en lui pelotant seins et tétons.

De son côté, Ninon avec une main qui branle son clito, s'active sur le mien, avec sa langue, passant et repassant avec douceur et légèreté tout en me baisant avec les deux doigts de sa main libre. "Trop bon ! inouïe!" scènes et caresses conjugués je pars dans un orgasme terrifiant suivi pratiquement de suite par une Marie et une Ninon également au comble de leur plaisir.

Nous restons affalées l'une sur l'autre, pantelantes, inertes, vidées et comblées.

Après ce délicieux préambule, le restant de cette "soirée entre filles", que dis-je ? Nuit entre filles s'annonce chaude, très chaude de quoi nous faire des souvenirs pour les deux mois où nous serons séparées avec une seule envie recommencer au plus tôt !