Cindy, ma vie sexuelle : Alexandre et Sandy - histoire érotique

Quelques jours plus tard alors que j’étais à ma caisse et que je m’ennuyais ferme un gendarme avec un petit sac de course se met dans la file. Grand blond aux yeux bleus aux larges épaules il mignon et à l’air bien foutu. Alors que j’allais entamer la discussion il me demande si ce n’est pas trop ennuyeux comme métier et si j’ai chez moi de quoi me réconforter. Je lui réponds que oui et que s’il veut me réconforter il est le bienvenu, alors sur son ticket de caisse il écrit son numéro et le dit « Appelle moi quand tu as besoin d’un câlin. ». Je ne comprends pensais pas qu’il serait aussi direct. Comme je n’ai personne à ma caisse j’en profite pour lui envoyer aussitôt un message pour lui proposer de venir dès ce soir s’il est disponible. Il me répond tout de suite qu’il est disponible et je lui donne mon adresse.

Alexandre sonne à notre porte à 21h précise. Je lui ouvre et je manque d’avoir une crise cardiaque, chemise blanche parfaitement taillée, jean lui aussi impeccablement coupé, l’un et l’autre laissant deviner le corps de rêve qui se cache derrière. Un torse large et une belle bosse entre les jambes. Il entre, je prends sa main et le fait asseoir sur le canapé, on commence à discuter, on est même à la limite de s’embrasser quand à ce moment-là Sandy sort de sa chambre. Devant son regard interrogateur je lui dit :« C’est Sandy ma meilleure amie, colocataire et sex-friend. J’ajouterais que nous sommes toutes les deux bisexuelles et tu peux nous sauter toutes les deux. On dirait qu’elle a quelques kilos en trop mais c’est juste une illusion elle est magnifique et elle baise super bien. - Je serais curieux de voir ça fait il avec un sourire coquin. »Il n’en faut pas plus pour que Sandy nous rejoigne sur le canapé et nous embrasse. Nos bouches se collent et que nos langues se mélangent les unes aux autres. Tandis que ma main droite caresse le corps d’Alexandre, ma main gauche caresse celui de Sandy. Tout en la caressant je sens la main de notre amant et nos mains défont les boutons de chemise de ce dernier. Sous sa belle chemise je sens sa peau douce, sa musculature qui se dévoile lorsque nous écartons les pans de sa chemise. Alors nos bouches se séparent pour embrasser ce torse magnifiquement dessiné, tandis que nos mains s’égarent sur ses cuisses et son entrejambe. Je le sens qui bande. À son tour Alexandre fait glisser sa main le long de nos corps et caresse entre les cuisses. Je commence à mouiller vraiment lorsque je sens sa main puissante contre mon sexe tandis que celle de Sandy continue à caresser mes seins. Tous les deux commencent à me déshabiller alors qu’Alexandre est déjà quasiment nu. Il ne lui reste que son boxer noir qui laisse voir la bosse énorme que forme sa queue juste en dessous. Presque nue moi aussi je déshabille Sandy. Alexandre fini de nous déshabiller et à son regard je vois qu’il trouve Sandy jolie. Nos caresses sur son boxer s’intensifient puis Sandy après avoir embrassée sa bosse retire le caleçon et commence à lécher cette queue longue et épaisse qui se dresse devant nous. À mon tour je viens là lécher, nos langues se touchent sur cette belle tige. C’est la première fois et c’est agréable. Sandy décidément entreprenante ce soir est la première de nous deux à la prendre en bouche. Il est au bord de jouir mais se retient. À mon tour je ne suis pas loin de le faire jouir mais il parvient à se retenir. Il est fort parce je m’en suis donné à cœur joie avec sa grosse bite. Délicate et brutale je ne l’ai pas ménagé. Lorsque je me relève je le vois penché entre les cuisses de Sandy en train de lui faire un joli cunilungus. Ils semblent apprécier tout autant l’un que l’autre. Alexandre se relève avant que Sandy ne jouisse et il descend du canapé pour venir lécher mon sexe. Sandy se penche en avant pour faire de même. Encore une première, je suis gâtée ! À mon tour je me retiens de jouir et ce n’est pas facile tant leurs langues me donnent du plaisir. Je suis obligée de serrer la housse du canapé et de me mordre les lèvres pour me retenir. Sauvages et tendres elles explorent les moindres parties de mon sexe. Je leur crie « Encore, encore c’est trop bon ! » « Doucement sinon je vais jouir ! », avant qu’ils ne retirent leurs langues d’un coup. Ils se relèvent et m’emmènent vers le lit. Je me met sur le dos, j’écarte les jambes et laisse Alexandre me pénétrer, tandis que Sandy se penche sur mon sein. J’ai beau être bien humide le gourdin de mon amant à du mal à passer et me fait mal. Mais j’ai beau grimacer il continue de me l’enfoncer. Arrivé au bout il commence à me pilonner. J’ai mal, heureusement je peux admirer son torse et le caresser tandis qu’il prends mon sein dans sa main. Là aussi il me fait mal, lui qui c’était montré parfait jusque là me déçoit. Heureusement les baisers et les douces caresses de Sandy tempère ma douleur. Mais alors que j’étais prête à jouir quand il me léchait cette fois je n’y arrive pas et quand il se retire pour prendre Sandy je suis soulagée. Sandy sourit quand il la pénètre et rapidement contrairement à moi apprécie ses coups de bélier. J’aime la voir se faire prendre, galérer de plaisir, voir son corps, ses seins, son ventre s’agiter sous les coups de boutoir d’Alexandre. Elle va jouir. Alors pour ne pas être en reste je lèche le sein de Sandy tout en me branlant. Malgré la douleur je ressens un peu de plaisir et j’arrive même un peu à jouir quand Sandy atteint l’orgasme. Alexandre jouit à son tour avant de se retirer.
Après cette folle partie de baise nous discutons 10 minutes avant de nous endormir. Je lui dit qu’il m’a fait mal et s’excuse, Sandy ne dis rien si ce n’est qu’elle a adoré. Alexandre reconnaît que j’avais raison Sandy est jolie et fait très bien l’amour. « Maintenant je ne regarderais plus les filles rondes de la même manière. Fit il dans un grand sourire.