comme dans un reve .........
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 850 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Georges ont reçu un total de 13 729 282 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 11 389 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
comme dans un reve .........
Mes parents on loué un appartement en bord de mer dans le midi, a dix sept ans je m’y emmerde un peu toute seule, cette nuit là impossible de dormir tellement il faisait chaud, je me tournais et me retournais de ce lit, si bien que j’ai décidé de me lever pour prendre l’air dehors, j’enfile ma petite robe a bretelles sans rien dessous je vais rester tout prés alors a quoi bon mettre des sous-vêtements , les ronflements de mon père me rassurent il dort a poing fermé, sans bruits je sort de l’appartement
C’est la première fois que je sors seule en pleine nuit la lumière des réverbères me rassure, il fait doux je suis heureuse
De l’autre coté de la route c’est la plage, confiante je traverse, je m’assoie au bord de l’eau, bercée par le clapotis des vagues, je scrute la plage, personne, je m’allonge les yeux fermés savourant cet escapade, l’air frais sur ma vulve est si bon que j’écarte un peu plus les jambes afin d’en profiter au maximum, la chatte nue en pleine nature c’est super ! Mes tétons s’érigent sous le mince tissu, et si je me caressais ……
Soudain, une impression de présence … j’ouvre les yeux, a quelques mètres de moi un garçon assis sur le sable qui me regarde surement depuis mon arrivée, nos regards se croisent, nous nous fixons comme dans un affrontement
Il se lève …hésite, et vient s’assoir prés de moi …Je le trouve beau sous cette lumière que nous envoie la lune, blond les yeux clairs, d’une voix douce il dit simplement :
- Bonjour …
- Bonjour ….
- Il fait doux …
- oui …….j’aime bien je m’appelle Julia
- C’est joli, moi c’est Bob
- J’aime bien aussi !
Nous avons parlé de banalités de jeunes en vacances , et d’un coup, sans plus hésiter sa main passe dans mes cheveux son corps chaud se colle au mien nos lèvres hésitantes se cherchent, ensembles nous basculons en arrière dans le sable sa main se pose sur mon sein sans que j’y trouve a redire , une jambe passe sur la mienne, naturellement j’écarte la mienne , sa cuisse remonte sur la mienne remontant du coup ma robe vers le haut jusqu’ a ce que la rondeur de son genou butte sur ma motte poilue , il ne montre aucune surprise en découvrant que je suis sans nue sous ma robe , d’autant que je me liquéfie depuis quelques minutes
Devant mon assentiment il fait glisser ma brettelle sur mon épaule découvrant un sein qu’il recouvre de sa bouche, tétant comme un bébé, sur ma hanche, a travers son bermuda je décèle une forte érection, je faufile une main vers celle-ci, pour faciliter ma progression il se décolle légèrement de moi, je peux alors saisir une grosse verge comprimée dans un boxer,, je n’ai fait l’amour qu’une fois et j’en garde un bon souvenir mais celui qui m’a dépucelée était largement moins bien monté
Ayant compris l’un et l’autre que nous allions faire l’amour nous devenons impatient, nos geste sont fébriles, de plus il faut tenir compte que nous sommes sur le sable, il faut éviter d’en propager partout, mais j’avais trop envie de sentir nos corps nus l’un sur l’autre
Je me suis mise a genoux, le temps de faire passer ma robe par-dessus ma tête, il me découvre entièrement nue sous la lumière douce de la pleine lune, avec précaution j’étale ma robe sur le sable et m’assoie dessus
Sans me quitter des yeux à son tour il envoie balader ses fringues, qu’il est beau avec ce sexe arrogant qui pointe vers moi
Je tends la main vers cette queue, il fait un pas afin qu’elle soit a hauteur de ma bouche, sans hésiter je l’avale, elle est satinée, agréable a sucer ses mains posée sur mon crane donnent le rythme, il râle de bonheur
J’ai tellement envie qu’il vienne au fond de ma gorge que je le branle frénétiquement en même temps le tenant par les couilles au cas où il voudrait se retirer, très vite il se cambre retenant mes mouvements de tête, de longues giclées fusent jusqu'à ma luette, je suis obligée de recracher le membre si je ne veux pas mourir étouffée , mes seins profitent des dernières filets épais
Sa queue a encore des soubresauts, il se met a genoux prés de moi nos bouches s’unissent, je lui injecte de la salive encore mélangée de sperme, il semble apprécier ! Puis lentement il me bascule sur le sable, j’ouvre les jambes, j’ai envie de sentir sa langue sur mon clitoris exacerbé
Avec la maladresse de notre jeunesse il me lape comme un jeune chiot, un doigt entre en moi, il l’agite comme une bitte, puis un deuxième le rejoint, mes muqueuses a vif apprécient, tendue comme un arc je lâche une formidable giclée de jus, aussi surpris que moi il se retire en s’essuyant le visage d’un revers de main
- Quand tu jouis tu ne fait pas semblant !çà m’es ressortit par les narines !... est ce que je peux te baiser ?
- Me baiser ? Surement pas !! Me faire l’amour OUIIIII !!! Vient sur moi, met là moi entièrement
- Tu es belle …. Ta chatte est serrée dit donc !
- En même temps çà ne fait que la deuxième fois qu’elle sert ! Et la première était vachement moins grosse que la tienne !
En connaisseur il saisie sa bitte et positionné entre mes cuisse il frotte tout l’intérieur de mes lèvres, retroussant au passage le capuchon du clito qui réagit en me procurant des décharges électriques qui parcourent tout mon être
- Va y enfonce toi ne me fait pas languir, huuuuuummmmm VITE !!!! VITE ! VITE !!!
Le gland, enfin écarte mes chairs, lentement il progresse, je pousse un profond soupir, mon ventre s’encombre de cette colonne rigide, une fois nos pubis réunis il marque une pose appréciant la chaleur de ma chatte, je noue mes jambes autour de sa taille et lance mon bassin vers lui
- Va-y baise moi longtemps, très longtemps ! Donne-moi tout ton foutre
Il pourrait y avoir du monde attiré par mes cris à peine couverts par le ressac mais je m’en fous, je suis tellement heureuse, que partie dans mon délire que tout m’est égal, je n’arrêterais pas même si mon père arrivait maintenant
Visage contre visage lèvres contre lèvres nous soufflons comme des animaux, il me besogne très vite, très loin, soudain
Sa verge sort de mon puits d’amour, immédiatement je suis réinvestie jusqu’aux couilles, a ce moment l’orgasme monte, monte, violemment et éclate en même temps que le sien …. Serrés l’un contre l’autre nous tremblons mais surement pas de froid, sa liqueur coule en moi généreusement, une source c’est formée entre mes lèvres pour glisser sur mon entre cuisses,
Sa queue ramollissante glisse peu à peu hors de moi
- Tu viens ? On va se laver dans la mer ? J’ai une serviette juste à coté
Comme deux vieux amants nous avons fait les fous dans cette eau, assoiffés de sexe ,nos mains cherchent l’entre jambe de l’autre, sa verge a nouveau raidie se faufile entre mes cuisses, le moins que je puisse dire c’est qu’il a la santé !accrochée a lui je lève une jambe, sa queue trouve très facilement le chemin de ma grotte a peine remise de la jouissance , accrochée a son cou mes jambes nouées autour de lui ,une houle se forme entre nous deux inondant nos visages, ce n’est plus de l’amour c’est simplement une baise animale , jouir pour jouir !
Sa queue rendue très sensible par ses trois éjaculations sa raidie une ultime fois, il se répand une dernière fois dans mon ventre en feu
Il faut se résigner à sortir … lavée essuyée, a regret je remets ma robe
- Quelle heure est-il ?
- Houa ! Quatre heures du matin, cela fait plus de deux heures que nous baisons !!
- Tu veux dire que nous faisons l’amour ! Je dois me sauver si jamais mon père est réveillé, bonjour l’angoisse !!On se revoit ??
- Hélas je repars demain…….çà me fend le cœur... Je crois que je t’aime ……
- Moi aussi je t’aime… tu resteras mon plus beau souvenir de vacance
Le lendemain je me suis réveillée a midi une main entre mes cuisses poisseuses, ai-je rêvé ?je me revois étalée sur cette plage un garçon sur moi… mais non, si j’en crois le sperme séché sur mes doigts, ils sentent bon … je les lèche avec application en guise de p’tit dej !!!
C’est la première fois que je sors seule en pleine nuit la lumière des réverbères me rassure, il fait doux je suis heureuse
De l’autre coté de la route c’est la plage, confiante je traverse, je m’assoie au bord de l’eau, bercée par le clapotis des vagues, je scrute la plage, personne, je m’allonge les yeux fermés savourant cet escapade, l’air frais sur ma vulve est si bon que j’écarte un peu plus les jambes afin d’en profiter au maximum, la chatte nue en pleine nature c’est super ! Mes tétons s’érigent sous le mince tissu, et si je me caressais ……
Soudain, une impression de présence … j’ouvre les yeux, a quelques mètres de moi un garçon assis sur le sable qui me regarde surement depuis mon arrivée, nos regards se croisent, nous nous fixons comme dans un affrontement
Il se lève …hésite, et vient s’assoir prés de moi …Je le trouve beau sous cette lumière que nous envoie la lune, blond les yeux clairs, d’une voix douce il dit simplement :
- Bonjour …
- Bonjour ….
- Il fait doux …
- oui …….j’aime bien je m’appelle Julia
- C’est joli, moi c’est Bob
- J’aime bien aussi !
Nous avons parlé de banalités de jeunes en vacances , et d’un coup, sans plus hésiter sa main passe dans mes cheveux son corps chaud se colle au mien nos lèvres hésitantes se cherchent, ensembles nous basculons en arrière dans le sable sa main se pose sur mon sein sans que j’y trouve a redire , une jambe passe sur la mienne, naturellement j’écarte la mienne , sa cuisse remonte sur la mienne remontant du coup ma robe vers le haut jusqu’ a ce que la rondeur de son genou butte sur ma motte poilue , il ne montre aucune surprise en découvrant que je suis sans nue sous ma robe , d’autant que je me liquéfie depuis quelques minutes
Devant mon assentiment il fait glisser ma brettelle sur mon épaule découvrant un sein qu’il recouvre de sa bouche, tétant comme un bébé, sur ma hanche, a travers son bermuda je décèle une forte érection, je faufile une main vers celle-ci, pour faciliter ma progression il se décolle légèrement de moi, je peux alors saisir une grosse verge comprimée dans un boxer,, je n’ai fait l’amour qu’une fois et j’en garde un bon souvenir mais celui qui m’a dépucelée était largement moins bien monté
Ayant compris l’un et l’autre que nous allions faire l’amour nous devenons impatient, nos geste sont fébriles, de plus il faut tenir compte que nous sommes sur le sable, il faut éviter d’en propager partout, mais j’avais trop envie de sentir nos corps nus l’un sur l’autre
Je me suis mise a genoux, le temps de faire passer ma robe par-dessus ma tête, il me découvre entièrement nue sous la lumière douce de la pleine lune, avec précaution j’étale ma robe sur le sable et m’assoie dessus
Sans me quitter des yeux à son tour il envoie balader ses fringues, qu’il est beau avec ce sexe arrogant qui pointe vers moi
Je tends la main vers cette queue, il fait un pas afin qu’elle soit a hauteur de ma bouche, sans hésiter je l’avale, elle est satinée, agréable a sucer ses mains posée sur mon crane donnent le rythme, il râle de bonheur
J’ai tellement envie qu’il vienne au fond de ma gorge que je le branle frénétiquement en même temps le tenant par les couilles au cas où il voudrait se retirer, très vite il se cambre retenant mes mouvements de tête, de longues giclées fusent jusqu'à ma luette, je suis obligée de recracher le membre si je ne veux pas mourir étouffée , mes seins profitent des dernières filets épais
Sa queue a encore des soubresauts, il se met a genoux prés de moi nos bouches s’unissent, je lui injecte de la salive encore mélangée de sperme, il semble apprécier ! Puis lentement il me bascule sur le sable, j’ouvre les jambes, j’ai envie de sentir sa langue sur mon clitoris exacerbé
Avec la maladresse de notre jeunesse il me lape comme un jeune chiot, un doigt entre en moi, il l’agite comme une bitte, puis un deuxième le rejoint, mes muqueuses a vif apprécient, tendue comme un arc je lâche une formidable giclée de jus, aussi surpris que moi il se retire en s’essuyant le visage d’un revers de main
- Quand tu jouis tu ne fait pas semblant !çà m’es ressortit par les narines !... est ce que je peux te baiser ?
- Me baiser ? Surement pas !! Me faire l’amour OUIIIII !!! Vient sur moi, met là moi entièrement
- Tu es belle …. Ta chatte est serrée dit donc !
- En même temps çà ne fait que la deuxième fois qu’elle sert ! Et la première était vachement moins grosse que la tienne !
En connaisseur il saisie sa bitte et positionné entre mes cuisse il frotte tout l’intérieur de mes lèvres, retroussant au passage le capuchon du clito qui réagit en me procurant des décharges électriques qui parcourent tout mon être
- Va y enfonce toi ne me fait pas languir, huuuuuummmmm VITE !!!! VITE ! VITE !!!
Le gland, enfin écarte mes chairs, lentement il progresse, je pousse un profond soupir, mon ventre s’encombre de cette colonne rigide, une fois nos pubis réunis il marque une pose appréciant la chaleur de ma chatte, je noue mes jambes autour de sa taille et lance mon bassin vers lui
- Va-y baise moi longtemps, très longtemps ! Donne-moi tout ton foutre
Il pourrait y avoir du monde attiré par mes cris à peine couverts par le ressac mais je m’en fous, je suis tellement heureuse, que partie dans mon délire que tout m’est égal, je n’arrêterais pas même si mon père arrivait maintenant
Visage contre visage lèvres contre lèvres nous soufflons comme des animaux, il me besogne très vite, très loin, soudain
Sa verge sort de mon puits d’amour, immédiatement je suis réinvestie jusqu’aux couilles, a ce moment l’orgasme monte, monte, violemment et éclate en même temps que le sien …. Serrés l’un contre l’autre nous tremblons mais surement pas de froid, sa liqueur coule en moi généreusement, une source c’est formée entre mes lèvres pour glisser sur mon entre cuisses,
Sa queue ramollissante glisse peu à peu hors de moi
- Tu viens ? On va se laver dans la mer ? J’ai une serviette juste à coté
Comme deux vieux amants nous avons fait les fous dans cette eau, assoiffés de sexe ,nos mains cherchent l’entre jambe de l’autre, sa verge a nouveau raidie se faufile entre mes cuisses, le moins que je puisse dire c’est qu’il a la santé !accrochée a lui je lève une jambe, sa queue trouve très facilement le chemin de ma grotte a peine remise de la jouissance , accrochée a son cou mes jambes nouées autour de lui ,une houle se forme entre nous deux inondant nos visages, ce n’est plus de l’amour c’est simplement une baise animale , jouir pour jouir !
Sa queue rendue très sensible par ses trois éjaculations sa raidie une ultime fois, il se répand une dernière fois dans mon ventre en feu
Il faut se résigner à sortir … lavée essuyée, a regret je remets ma robe
- Quelle heure est-il ?
- Houa ! Quatre heures du matin, cela fait plus de deux heures que nous baisons !!
- Tu veux dire que nous faisons l’amour ! Je dois me sauver si jamais mon père est réveillé, bonjour l’angoisse !!On se revoit ??
- Hélas je repars demain…….çà me fend le cœur... Je crois que je t’aime ……
- Moi aussi je t’aime… tu resteras mon plus beau souvenir de vacance
Le lendemain je me suis réveillée a midi une main entre mes cuisses poisseuses, ai-je rêvé ?je me revois étalée sur cette plage un garçon sur moi… mais non, si j’en crois le sperme séché sur mes doigts, ils sentent bon … je les lèche avec application en guise de p’tit dej !!!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Georges
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
exellent. Tes récits sont toujours très bandants et c'est bien écrit. Bravo. Vite de
nouvelles aventures!!
nouvelles aventures!!
Que dire d'autre que bravo, toujours aussi bon. J'aime ce genre de récit une rencontre
fortuite, une baise magistrale et un talent d'auteur fantastique.
fortuite, une baise magistrale et un talent d'auteur fantastique.