Comment d’homme par nature dominateur, je deviens bi et soumis - histoire érotique

Tout le monde se connait ou croit se connaitre. Ceci est mon histoire mais beaucoup pourrait se reconnaitre dans celle-ci.

Il y a maintenant pratiquement 11 ans, j’étais marié, pas avec un top model mais avec une femme que j’aimais. Depuis, la vie est passée et nous nous sommes séparés mais cette histoire a changé ma vie à jamais.

De tout temps, j’ai toujours été un homme dominateur sachant ce qu’il voulait, voulant aller au bout des choses et toujours sur mes exigences. Mon ex - femme, elle, plus réservé du à son passée, s’est petit à petit libérée au fil des années ensemble.

Sur le côté sexuel notre relation était plutôt banale au début comme pour le commun des couples. Un soir lors d’un de nos câlins, du fait que j’en voulais toujours plus, je lui ai demandé comme bon nombre d’hommes si elle voulait aller plus loin et me faire plaisir. Elle me demanda aussitôt à quoi je pensais, j’ai abordé les choses direct, je lui ai expliqué que je voulais faire des photos coquines soft et hard, nous filmer en train de faire l’amour, la filmer en train de se doigter, bref faire un petit porno amateur.

Sur ces points - là, elle accepta, certes pas tout de suite et avec un peu de crainte mais elle accepta, elle fut beaucoup plus réticente voire en position de refus lorsque la discussion arriva sur l’envie de lui faire une éjaculation faciale, de la photographier avec mon sperme sur son visage, la filmer en train d’avaler et encore pire : la sodomiser.

Son refus résonna sur ces paroles : « tu me demande des trucs, mais toi, les ferait tu ? Est tu capable de les faire ? De les accepter ? »

La discussion se stoppa net, moi, je suis l’homme, je ne fais pas ça.

Les jours passèrent, ses mots me restait en tête, nous reprîmes la discussion plus posément un soir.

Je me rendais compte malgré moi que nous les hommes, nous demandions toujours plus aux femmes sans pour autant se mettre à leur place.

Alors ce soir-là, lors de notre discussion ou nous ré abordions les sujets, je lui avouai que je comprenais sa réaction et lui justifiai chaque point de mes envies. Je ne pus me mettre totalement à sa place. Nous avons bien discuté au moins pendant deux bonnes heures à expliquer le point de vue de chacun, jusqu’au moment où ma femme me sorti un gode et me dit : met le dans ta bouche tu sauras ce que c’est de sucer comme ça ! Pour ne pas perdre la face ou pour ne pas perdre ce que je prenais pour un défi, je pris le gode et entama une fellation comme elle me les faisait si bien et comme j’aimais les recevoir. Elle me dit attends, je vais te le tenir comme ça tu verras comment c’est vraiment quand tu appuies sur ma tête.

Elle le fit presque immédiatement après ces paroles, je me pris au jeu et elle fut surprise de voir ce qui se passait. Moi étonnement, après coup, je me suis rendu compte que je venais pratiquement de faire une fellation à un gode, mais qu’est que j’ai fait, qu’est ce qui m’arrive me demandai je ? Elle n’osa rien dire, peut-être de par la situation ?

Je n’ai évidemment pas osé dire que cela ne m’avait pas déplu, mais tout en gardant ma fierté d’homme, je lui rétorquai que je n’avais pas peur de le faire et que je comprenais ce qu’elle ressentait (toujours vouloir compatir pour arriver à ses fins). Je lui dis qu’elle avait vu que j’étais capable de le faire par amour pour elle, donc elle pouvait dire oui à mes demandes, de plus je lui sortis que j’étais capable de faire exactement ce que je lui demandai.

Puis reprenant le rythme des défis, elle me lance : « un gode oui mais un vrai mec avec une vrai bite, tu en serais capable, tu en es sur ??? »

Ne voulant pas perdre la face, sachant qu’elle n’irait pas jusqu’au bout je rétorquai par l’affirmative.

En moi-même, je ne me savais pas bi et ne l’avais jamais imaginé, même si parfois je me demandai bien ce qu’une femme pouvait ressentir lors des actes sexuels.

Nous avons clos la discussion ce soir-là comme ça. Quelques jours plus tard, je lui demandai d’accepter de faire du libertinage, avec une femme (évidemment, je suis un homme), elle refusa par contre avec un homme pourquoi pas. L’idée m’avait traversé l’esprit mais un petit côté jaloux avait fait surface, clôturant cette idée.

Le chemin dans ma tête se fit petit à petit, cela m’exciter au final de voir ma femme faire l’amour avec un autre homme, devant moi, avec moi, de la voir prendre du plaisir avec deux hommes, de savoir qu’elle ferait une fellation à un autre homme juste le temps d’une soirée.

Puis un soir, je lui annonçai que j’étais d’accord pour un autre homme dans notre lit, mais tout lui demandant à elle de réfléchir pour une femme.

Nous avons commencé nos recherches et sommes tombé sur julien, un jeune homme de 25 ans, blond aux yeux bleu. Cette soirée fut mémorable, je vis pour ma première fois ma femme faire l’amour avec un autre homme que moi, elle prenait du plaisir, je dirais même son pied. Cela m’excitait encore plus.

Etant donné que j’avais cédé sur quelque chose, elle pouvait faire de même, je repartais avec mes envies, elle m’annonça que je n’avais pas été au bout, que ce qui s’est passé était aussi pour mon plaisir.

Elle me fit du coup voir la recherche sur internet en cochant la case bi cochée, et me dit alors tu es sur, tu en es capable ?

Je commençai à moins faire le malin mais pour ne pas perdre la face, je lui répondu oui sans vraiment bien y réfléchir, et puis je pensais réellement qu’elle n’irait pas jusqu’au bout.

C’est comme ça que nous avons rencontré Manu, un mec brun d’une trentaine d’année, bi cette fois ci. Pendant la soirée, alors que nous faisions l’amour, ma femme me dit : «alors tu es toujours capable », je n’y pensais pas, jusqu’au moment où ses paroles sont sorties de sa bouches, Manu lui était au courant, elle lui en avait parlé, c’est comme ça que je me suis retrouvé à faire ma première fellation à un homme, c’est ce soir-là, que pour la première fois, je lécher le gland d‘un homme, que je passai ma langue sur la hampe de son sexe, que je prenais en bouche ce membre et que je faisais tourner ma langue dessus, que je m’appliquai à lécher cette bite, à la prendre en bouche et à jouer avec ma langue dessus tout en aspirant sa bite et en faisant des va et viens dans ma bouche.

C’est ce jour-là que je me suis rendu compte que j’avais aimé ça et que ça ne m’avait pas dérangé.

Ce soir-là, ce fut un festival de nouveauté pour moi, Manu m’a dit que je pouvais le sodomiser, et c’est ce que je fis en regardant ma femme, en lui disant que si lui accepté, elle aussi pouvait le faire. Nous passâmes une formidable soirée à faire l’amour ensemble tous les trois. Reste que moi je ne me suis pas fait sodomiser et ça, ma femme le savait.

En en discutant, elle me tendit un paquet, dedans : du gel annal et des boules annales. Dans ma tête, je me dis chouette elle est d’accord, je lui souris, je cru trop vite avoir le droit de la voir céder à mes envies, elle me dit que c’est pour nous deux !!

La, à ce moment je dis : «stop », je lui ai dit qu’il ne fallait pas pousser. Sa réplique fut cinglante, si tu veux que je dise oui tu le fais aussi. Je me suis retrouvé pris à mon propre piège.

Sur les semaines suivantes, effectivement chacun de nous deux prépara le petit trou de l’autre, je me rendis compte que j’aimais les boules annales, que j’avais envie de lui faire l’amour avec les boules au fond de mon cul, que j’aimai cette sensation d’avoir le cul rempli.

C’est d’ailleurs dans cette situation là que j’ai eu le droit pour la première fois de lui faire une sodomie. Je ne fus pas en reste car après elle, c’est moi qui y suis passé mais avec un gode de petite taille. Mais que c’était bon, je prenais un pied à me faire emplir le cul par elle. Dommage que ce ne fut pas un sexe d’hommes pensait je en moi. Je suis resté un long moment le cul en l’air, présentant mon petit trou et en jouissant de ses a coups et de sentir mon cul se faire remplir, j’eu même une autre éjaculation qui se termina sur les draps tellement c’était bon. Je jouissais du cul.

Au-delà de mes limites, elle avait su me les faire dépasser et accepter ce que j’avais en moi : ma bi sexualité.

Depuis ce jour-là, elle et moi savions que j’étais bi, que j’avais éprouvé du plaisir à sucer le sexe d’un autre homme, et que j’aimais le sexe anal.

Malheureusement pour moi, avec ma femme, nous n’avons pas été plus loin. Nous nous sommes séparés et tout s’est arrêté là. Enfin avec elle.

Lorsque j’avoua cela à ma confidente qui n’est autre que mon amie Sandra, amie que je connais depuis le lycée et avec qui j’ai eu une relation ami-amant, elle fut surprise mais cela lui plus.

Elle en abusera par la suite et me fera découvrir mon côté soumis…..