Concerto pour quatre pieds
Récit érotique écrit par Anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2003 dans la catégorie Fétichisme
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Concerto pour quatre pieds
Hello everybody, je suis Marina, je vis dans la belle ville d'Oslo en Norvège.
J'exerce le métier de guide touristique, chaque jour, je prends en charge un groupe de touristes venus des quatres coins du monde et leur fait découvrir les merveilles patrimoniales de notre petite capitale nordique. C'est un peu répétitif mais je dois avouer que ma passion pour ce métier reste intacte depuis dix ans. Ejelsina travaille dans ma même agence que moi depuis plus de cinq ans maintenant, nous sommes devenue amies et partageons souvent nos moments de détentes. Pour la première fois, le mois dernier, nous avons guidé ensemble, sur une journée entière, un grand groupe de touristes taiwanais. Nous n'étions pas assez de deux. La journée fût éprouvante, tant pour nos touristes qui voulaient voir un maximum de choses en un minimum de temps, que pour nous qui avons sillonnées à pied la presque totalité de la ville. Le soir venu, notre repos fût bien mérité et apprécié. Ejelsina m'a proposé de venir me détendre chez elle, dans son jacouzi, pour les courbatures et les tensions musculaires que nous avions emmagasiné durant la journée de marche. J'avais tout mon temps de libre ce soir là, mon mari était abscent pour deux jours. , à presque quarante ans est célibataire, par choix et par conviction dit-elle. Je ne doute aucunement de cela car sa beauté mature ne laisse pas les hommes indifférents, bien au contraire. Nous entrions donc dans la maison d'Ejelsina et nous dirigions vers la salle de jacouzi.
-"ce bain va nous faire le plus grand bien"
Pendant qu'Ejelsina faisait couler le bain, je regardais les nombreux produits de soins et de beauté qui trônaient sur les étagères et les tablettes. Quelque chose atirait mon attention, non pas le nombre important de lotions et autres crèmes de beauté néantmoins commun chez la plupart des femmes, mais le grand nombre de lotions exclusivement destinées à être appliquées sur les pieds. Toutes sortes de crèmes hydratantes pour pieds sensibles, ongants parfumés spécial pieds, huiles essentielles pour les pieds. La salle de jacouzi de mon amie ressemblait à une petite boutique spécialisée de pédicure. Le plus étonnant, c'est que ma propre salle de bain regorge également de produits destinés aux pieds. Je voue une passion sans limite à cette partie de mon anatomie et je découvre qu'il en est de même pour mon amie. Le bain à bulle était maintenant rempli, Ejelsina se deshabillait, je faisait de même. J'avais déjà vue Ejelsina nue à plusieurs reprises, mais aujourd'hui, après m'être rendu compte qu'elle partageait sans doutela même passion que moi pour les pieds, je la regardais d'un oeil différent. Tout en ôtant mes lourds vêtements d'hiver, j'observais le corps de mon amie. Elle commençait par ôter son pull-over en laine, puis son tricot de corps disgrâcieux, elle ôtait ensuite son soutien gorge à balconnets pour laisser apparaître sa poitrine ferme, de taille moyenne. Elle s'assayait ensuite sur un tabouret de bois pour enlever ses lourdes chaussures adaptées à la neige, puis fît glisser ses grosses chaussettes de laine rouge. Je regardais avec une attention accrue la forme de ses pieds dont elle prenait tant soin. Je découvrais des courbes plantaires d'une élégance incroyable, une peau d'abricot sans la moindre trace de corne, des ongles entretenus avec minutie, vernis de rouge vif. Elle ôtait enfin son pantalon de jeans et sa petite culotte à dentelles également rouge vif. Les courbes de ses chevilles fines retenaient irresistiblement mon attention. Je regardais aussi les courbes de ses hanches épaisses et de ses fesses rondes et aussi fermes que ses seins.
- "c'est le meilleur moment de la journée. Tous les soirs, quand je rentre du travail, je fais couler un bain à bulles et je passe une heure à m'occuper de mon corps", dit-elle avec un souris ravis, posant un premier pied dans l'eau du bain.
J'enlevais ma petite culotte bleue, toute nue, je suivais mon amie dans le bain circulaire bouillonnant. Je prenais place en face d'elle. Je lançais le sujet des lotions pour les pieds:
- "je pensais ne jamais entrer dans une salle de bain autant fournie que la mienne en produits destinés au soin des pieds, je constate que nous avons toutes les deux le même attrait pour cette partie de notre corps."
- "je ne savais pas que tu avais aussi ce penchant"
- "nous n'en avions jamais parlé auparavant"
- "c'est vrai"
- "avec le métier que nous exerçons, nos pieds souffrent beaucoup, il est important de les protéger, c'est en fait notre outil de travail. Mais je dois t'avouer que c'est pour moi un véritable plaisir, c'est une zone érogène très sensible de mon corps. Je ressents un plaisir intense à les toucher."
- "je comprends parfaitement bien ton point de vue car c'est la même chose pour ma part. C'est la partie favorite de mon corps et j'en prends grand soin, je consacre de longs moments à les enduire de crème, à limer les peaux mortes, à prévenir les cals."
Ejelsina sortait délicatement un pied au dessus de la surface de l'eau, la jambe tendue, le pied bien droit dans l'alignement parfait de la jambe.
- "tes pieds sont magnifiques"
Je saisis sa cheville des deux mains et porte son pied tout près de mon visage pour mieux en observer les détails. La finesse et la beauté de ses pieds me fîrent frissonner. Du bout du doigt, je caressais le dessus de son pied, je sentais les sillons délicats de ses palanges, je descendais jusqu'aux orteils et je frollais la pulpes moelleuse. Le rouge vif de son verni excitait mes sens. Je ressentait des fourmillements dans mes propres orteils restés sous la surface de l'eau.
- "tes orteils ont une silhouette gracieuse"
- "merci, tu peux les caresser si tu veux, j'aime beaucoup cela" dit-elle en approchant plus près encore son pied de mon visage.
Le regard de mon amie devenait de plus en plus sensuel. Elle ajoutait:
- "veux-tu me montrer un de tes pieds?"
- "avec plaisir"
Tout en continuant à faire courir mes doigts sur la plante de son pied, je sortais un pied de l'eau pour le tendre vers Ejelsina. Elle le saisit sans gêne et l'observait avec interêt. Elle le manipulait comme un objet précieux, j'ai ressenti un plaisir immédiat. Tout en continuant à scruter mon pied, elle dit:
- "Plusieurs soirs par semaine, lorsque je rentre d'une journée de visite, je sents que mes pieds ont porté tout le poids de mon corps. Je me déshabille, me fait couler un bain à 39 degrés. Je rentre dans le bain, je m'assoie confortablement, j'allonge mes jambes pour atteindre le jet d'eau massant juste en face de moi, celui que tu sents en ce moment même masser tes fesses. Je plaque la plante de mes pieds à quelques centimètres du jet. Le fouet de l'eau provoque sur la plante de mes pieds une sensation de chatouilles intenses. C'est presque insoutenable. Au bout d'un moment, mes pieds s'habituent à la force de l'eau. Là, je commence à vraiment me détendre. Je plonge deux mains sous l'eau et je caresse mes jambes. Je remonte ensuite un pied jusqu'à ma poitrine, je saisi ma cheville d'une main, j'enveloppe mes orteils délicatement de l'autre main. Je frotte la pulpe des orteils contre mes seins,... je porte mon pied juste devant ma bouche..."
Tout en parlant, Ejelsina tenait toujours mon pied qu'elle malaxait doucement. Tout en me fixant droit dans les yeux, elle lapa mon gros orteil de bas en haut.
- "et je lèche, je lèche mon pied, et j'aime ça, j'aime ce contact avec mon propre corps, je me fais frémir, je me donne du plaisir."
Ejelsina léchait mon pied sur toute sa surface, traçait des volutes du bout de sa langue agile autour de ma cheville, écartait, avalait et suçottait mon gros orteil, comme s'il s'agissait d'un gland. Jai 'aimé son impétuosité, je me mis à lécher moi aussi son joli petit pied. Cessant de parler, nous nous fixions sensuellement du regard tout en frottant mutuellement nos langues sur nos pieds. La sincérité candide de mon amie m'avait plu, je décidais de prendre à mon tour le cours des bavardages, sur le même registre:
- "mon plaisir favori est de sentir entre mes jambes se rapprocher de mon sexe un gros orteil aux ongles courts et à la pulpe moelleuse. Quand il arrive tout contre ma chatte, je le saisis de mes deux mains et je le guide vers mon clitoris, je masturbe mon clito jusqu'à en jouir."
En même temps, je mimais ce que je disais à mon amie, je tenais son pied dans mes mains et je m'en servais d'ustensile de masturbation. Ejelsina appréciait mon audace, et les mouvement de cheville qu'elle appliquait sur mon clitoris me faisaient fondre littéralement. Je soulevais un peu une fesse pour sentir le jet d'eau chaude courrir le long de la raie de mon cul, comme un torrent vif glisse dans le lit de la rivière qu'il parcourt. Quelle sensation de bien-être. En équilibre sur une seule fesse, portée par le poids de l'eau, balottée par les remous, je cherchais avec mon seul pied libre à atteindre la chatte de mon amie. Sous l'eau, elle écartait largement ses jambes en signe d'accueil. Je plaquais mes orteils sur ses grandes lèvres, je m'insinuais par de lents mouvements circulaires. Je sentais le contact visqueux de son jus glisser sur la plante de mon pied. Ejelsina se régalait toujours de mon autre pied qu'elle lapait à grandes lampées, sa salivation abondante trahissant son plaisir.
- "tu me fais du bien, tu me fais jouir"
- "jouis, laisse toi aller..."
- "AHhhh...hummm....Ouiiiiii...."
Les yeux mis clos, sous mes caresses plantaires, Ejelsina fut prise soudain de soubressauts convulsifs et bruiyants. Elle se calma, et emmergea mon pied hors de la surface de l'eau, et lécha son jus, nettoyant bien. Egoïstement, elle ne se préoccupait plus de mon cas, elle avait retiré son pied de ma chatte et ne se souciait plus de savoir si j'avais joui. Elle goûtait seule son bonheur. Je me suis inclinée alors, de manière à ce que le jet d'eau vive qui me fouéttait l'anus depuis un long moment, me fouette à présent la chatte et me fasse jouir. Le contact vigoureux des bulles, à bout portant sur mon clitoris, à déclenché mon orgasme en quelques secondes. Nous sommes sorties du jacousi, heureuses, détendues, élevées d'un niveau sur l'echelle de notre complicité. Quel pied!
J'exerce le métier de guide touristique, chaque jour, je prends en charge un groupe de touristes venus des quatres coins du monde et leur fait découvrir les merveilles patrimoniales de notre petite capitale nordique. C'est un peu répétitif mais je dois avouer que ma passion pour ce métier reste intacte depuis dix ans. Ejelsina travaille dans ma même agence que moi depuis plus de cinq ans maintenant, nous sommes devenue amies et partageons souvent nos moments de détentes. Pour la première fois, le mois dernier, nous avons guidé ensemble, sur une journée entière, un grand groupe de touristes taiwanais. Nous n'étions pas assez de deux. La journée fût éprouvante, tant pour nos touristes qui voulaient voir un maximum de choses en un minimum de temps, que pour nous qui avons sillonnées à pied la presque totalité de la ville. Le soir venu, notre repos fût bien mérité et apprécié. Ejelsina m'a proposé de venir me détendre chez elle, dans son jacouzi, pour les courbatures et les tensions musculaires que nous avions emmagasiné durant la journée de marche. J'avais tout mon temps de libre ce soir là, mon mari était abscent pour deux jours. , à presque quarante ans est célibataire, par choix et par conviction dit-elle. Je ne doute aucunement de cela car sa beauté mature ne laisse pas les hommes indifférents, bien au contraire. Nous entrions donc dans la maison d'Ejelsina et nous dirigions vers la salle de jacouzi.
-"ce bain va nous faire le plus grand bien"
Pendant qu'Ejelsina faisait couler le bain, je regardais les nombreux produits de soins et de beauté qui trônaient sur les étagères et les tablettes. Quelque chose atirait mon attention, non pas le nombre important de lotions et autres crèmes de beauté néantmoins commun chez la plupart des femmes, mais le grand nombre de lotions exclusivement destinées à être appliquées sur les pieds. Toutes sortes de crèmes hydratantes pour pieds sensibles, ongants parfumés spécial pieds, huiles essentielles pour les pieds. La salle de jacouzi de mon amie ressemblait à une petite boutique spécialisée de pédicure. Le plus étonnant, c'est que ma propre salle de bain regorge également de produits destinés aux pieds. Je voue une passion sans limite à cette partie de mon anatomie et je découvre qu'il en est de même pour mon amie. Le bain à bulle était maintenant rempli, Ejelsina se deshabillait, je faisait de même. J'avais déjà vue Ejelsina nue à plusieurs reprises, mais aujourd'hui, après m'être rendu compte qu'elle partageait sans doutela même passion que moi pour les pieds, je la regardais d'un oeil différent. Tout en ôtant mes lourds vêtements d'hiver, j'observais le corps de mon amie. Elle commençait par ôter son pull-over en laine, puis son tricot de corps disgrâcieux, elle ôtait ensuite son soutien gorge à balconnets pour laisser apparaître sa poitrine ferme, de taille moyenne. Elle s'assayait ensuite sur un tabouret de bois pour enlever ses lourdes chaussures adaptées à la neige, puis fît glisser ses grosses chaussettes de laine rouge. Je regardais avec une attention accrue la forme de ses pieds dont elle prenait tant soin. Je découvrais des courbes plantaires d'une élégance incroyable, une peau d'abricot sans la moindre trace de corne, des ongles entretenus avec minutie, vernis de rouge vif. Elle ôtait enfin son pantalon de jeans et sa petite culotte à dentelles également rouge vif. Les courbes de ses chevilles fines retenaient irresistiblement mon attention. Je regardais aussi les courbes de ses hanches épaisses et de ses fesses rondes et aussi fermes que ses seins.
- "c'est le meilleur moment de la journée. Tous les soirs, quand je rentre du travail, je fais couler un bain à bulles et je passe une heure à m'occuper de mon corps", dit-elle avec un souris ravis, posant un premier pied dans l'eau du bain.
J'enlevais ma petite culotte bleue, toute nue, je suivais mon amie dans le bain circulaire bouillonnant. Je prenais place en face d'elle. Je lançais le sujet des lotions pour les pieds:
- "je pensais ne jamais entrer dans une salle de bain autant fournie que la mienne en produits destinés au soin des pieds, je constate que nous avons toutes les deux le même attrait pour cette partie de notre corps."
- "je ne savais pas que tu avais aussi ce penchant"
- "nous n'en avions jamais parlé auparavant"
- "c'est vrai"
- "avec le métier que nous exerçons, nos pieds souffrent beaucoup, il est important de les protéger, c'est en fait notre outil de travail. Mais je dois t'avouer que c'est pour moi un véritable plaisir, c'est une zone érogène très sensible de mon corps. Je ressents un plaisir intense à les toucher."
- "je comprends parfaitement bien ton point de vue car c'est la même chose pour ma part. C'est la partie favorite de mon corps et j'en prends grand soin, je consacre de longs moments à les enduire de crème, à limer les peaux mortes, à prévenir les cals."
Ejelsina sortait délicatement un pied au dessus de la surface de l'eau, la jambe tendue, le pied bien droit dans l'alignement parfait de la jambe.
- "tes pieds sont magnifiques"
Je saisis sa cheville des deux mains et porte son pied tout près de mon visage pour mieux en observer les détails. La finesse et la beauté de ses pieds me fîrent frissonner. Du bout du doigt, je caressais le dessus de son pied, je sentais les sillons délicats de ses palanges, je descendais jusqu'aux orteils et je frollais la pulpes moelleuse. Le rouge vif de son verni excitait mes sens. Je ressentait des fourmillements dans mes propres orteils restés sous la surface de l'eau.
- "tes orteils ont une silhouette gracieuse"
- "merci, tu peux les caresser si tu veux, j'aime beaucoup cela" dit-elle en approchant plus près encore son pied de mon visage.
Le regard de mon amie devenait de plus en plus sensuel. Elle ajoutait:
- "veux-tu me montrer un de tes pieds?"
- "avec plaisir"
Tout en continuant à faire courir mes doigts sur la plante de son pied, je sortais un pied de l'eau pour le tendre vers Ejelsina. Elle le saisit sans gêne et l'observait avec interêt. Elle le manipulait comme un objet précieux, j'ai ressenti un plaisir immédiat. Tout en continuant à scruter mon pied, elle dit:
- "Plusieurs soirs par semaine, lorsque je rentre d'une journée de visite, je sents que mes pieds ont porté tout le poids de mon corps. Je me déshabille, me fait couler un bain à 39 degrés. Je rentre dans le bain, je m'assoie confortablement, j'allonge mes jambes pour atteindre le jet d'eau massant juste en face de moi, celui que tu sents en ce moment même masser tes fesses. Je plaque la plante de mes pieds à quelques centimètres du jet. Le fouet de l'eau provoque sur la plante de mes pieds une sensation de chatouilles intenses. C'est presque insoutenable. Au bout d'un moment, mes pieds s'habituent à la force de l'eau. Là, je commence à vraiment me détendre. Je plonge deux mains sous l'eau et je caresse mes jambes. Je remonte ensuite un pied jusqu'à ma poitrine, je saisi ma cheville d'une main, j'enveloppe mes orteils délicatement de l'autre main. Je frotte la pulpe des orteils contre mes seins,... je porte mon pied juste devant ma bouche..."
Tout en parlant, Ejelsina tenait toujours mon pied qu'elle malaxait doucement. Tout en me fixant droit dans les yeux, elle lapa mon gros orteil de bas en haut.
- "et je lèche, je lèche mon pied, et j'aime ça, j'aime ce contact avec mon propre corps, je me fais frémir, je me donne du plaisir."
Ejelsina léchait mon pied sur toute sa surface, traçait des volutes du bout de sa langue agile autour de ma cheville, écartait, avalait et suçottait mon gros orteil, comme s'il s'agissait d'un gland. Jai 'aimé son impétuosité, je me mis à lécher moi aussi son joli petit pied. Cessant de parler, nous nous fixions sensuellement du regard tout en frottant mutuellement nos langues sur nos pieds. La sincérité candide de mon amie m'avait plu, je décidais de prendre à mon tour le cours des bavardages, sur le même registre:
- "mon plaisir favori est de sentir entre mes jambes se rapprocher de mon sexe un gros orteil aux ongles courts et à la pulpe moelleuse. Quand il arrive tout contre ma chatte, je le saisis de mes deux mains et je le guide vers mon clitoris, je masturbe mon clito jusqu'à en jouir."
En même temps, je mimais ce que je disais à mon amie, je tenais son pied dans mes mains et je m'en servais d'ustensile de masturbation. Ejelsina appréciait mon audace, et les mouvement de cheville qu'elle appliquait sur mon clitoris me faisaient fondre littéralement. Je soulevais un peu une fesse pour sentir le jet d'eau chaude courrir le long de la raie de mon cul, comme un torrent vif glisse dans le lit de la rivière qu'il parcourt. Quelle sensation de bien-être. En équilibre sur une seule fesse, portée par le poids de l'eau, balottée par les remous, je cherchais avec mon seul pied libre à atteindre la chatte de mon amie. Sous l'eau, elle écartait largement ses jambes en signe d'accueil. Je plaquais mes orteils sur ses grandes lèvres, je m'insinuais par de lents mouvements circulaires. Je sentais le contact visqueux de son jus glisser sur la plante de mon pied. Ejelsina se régalait toujours de mon autre pied qu'elle lapait à grandes lampées, sa salivation abondante trahissant son plaisir.
- "tu me fais du bien, tu me fais jouir"
- "jouis, laisse toi aller..."
- "AHhhh...hummm....Ouiiiiii...."
Les yeux mis clos, sous mes caresses plantaires, Ejelsina fut prise soudain de soubressauts convulsifs et bruiyants. Elle se calma, et emmergea mon pied hors de la surface de l'eau, et lécha son jus, nettoyant bien. Egoïstement, elle ne se préoccupait plus de mon cas, elle avait retiré son pied de ma chatte et ne se souciait plus de savoir si j'avais joui. Elle goûtait seule son bonheur. Je me suis inclinée alors, de manière à ce que le jet d'eau vive qui me fouéttait l'anus depuis un long moment, me fouette à présent la chatte et me fasse jouir. Le contact vigoureux des bulles, à bout portant sur mon clitoris, à déclenché mon orgasme en quelques secondes. Nous sommes sorties du jacousi, heureuses, détendues, élevées d'un niveau sur l'echelle de notre complicité. Quel pied!
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