Conséquences inattendue d’une St Valentin ratée
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Conséquences inattendue d’une St Valentin ratée
/!\ Cette histoire fait suite à :
« St Valentin ratée »
« Vengeance de la St Valentin »
Margaux pensait beaucoup à son beau-père, Eric, avec qui elle avait eu une aventure aussi inattendu que fantastique. Cela s’était déroulé il y a quelques jours mais n’avait plus en tête que de renouveler l’expérience. Elle essayait de ne pas trop penser à Julien pour éviter de culpabiliser et pour se sentir moins coupable se répétait « Juste encore une fois et c’est fini ».
Le week-end suivant cette aventure, elle avait été invitée à venir passer les 2 jours chez les parents de Julien.
Margaux arriva le samedi matin en fin de matinée. Il faisait beau et chaud en ce mois de juillet et Margaux avait enfilé une robe assez courte. Julien, qui lui avait ouvert la porte, la trouva magnifique dans cette tenue. Ils s’embrassèrent et allèrent rejoindre Eric et Stéphanie pour prendre l’apéro à l’ombre de la pergola.
Ils s’assirent tous sur les fauteuils du salon de jardin et trinquèrent. Eric, laissa traîner discrètement son regard sur les jambes de Margaux. Sa robe remontait jusqu’au haut de ses cuisses et dévoilait ses belles jambes dont le père de Julien se rappelait l’agréable douceur. La jeune femme croisait et décroisait assez souvent les jambes ce qui mettait Eric en émoi. Elle frissonnait de plaisir en imaginant qu’il pouvait entre-apercevoir un bout de tissus de son string.
Ils passèrent à table, les deux couples se faisant face. Alors que la conversation sur les choix politique du pays animait la tablée, Eric sentit le pied de Margaux remonter sa jambe depuis sa cheville. Doucement elle parcouru la cuisse et s’arrêta sur le sexe du père de Julien. Rapidement, elle sentit la verge se réveiller sous ses orteils. Eric, troublé, tentait de garder le fil de la conversation. Après plusieurs minutes à jouer à déstabiliser le père de Julien, Margaux s’excusa pour aller aux toilettes. La tension étant retombée assez vite dans son short, Eric se leva pour débarrasser la table. Alors que sa femme allait l’aider, il s’empressa de dire :
- Non, laisse. Repose-toi, tu as déjà préparé tout le repas.
Stéphanie accepta de bonne grâce.
Après avoir déposé les assiettes dans la cuisine, il se dirigea vers les toilettes. Margaux en sorti au même moment. Il la pris par le poignet et l’entraîna précipitamment dans sa chambre voisine. Eric se jeta sur les lèvres de la jeune femme qui lui rendit son baiser avec fougue. Il lui caressa les seins puis descendit sous la jupe et inséra sa main dans le string de la jeune femme. Margaux écarta un peu les jambes pour lui permettre d’accéder à son intimité. Il introduisit un doigt dans sa chatte rendue humide par leurs petits jeux. Elle posa sa main sur la bosse qui s’était reformée sur le short d’Eric et se mit à la masser.
- Il faut y retourner sinon ils vont se demander ce que nous faisons, dit la jeune femme déçue.
Eric ne cessa pas ses caresses. Il était envoûté par le corps de la jeune femme. Cette dernière insista pour qu’il arrête, à regret, tellement elle aimait sentir ses mains se perdre sur sa peau.
Eric stoppa ses caresses de mauvaise grâce et Margaux retourna en premier sur la terrasse, suivit quelques minutes après par son amant qui demanda :
- Qui veut de la glace ?
Margaux passa la nuit à la maison et rien ne se passa entre elle et son beau-père. Dans le lit, alors que Julien venait de s’endormir, elle repensait à Eric. Elle sentit son ventre agréablement se réchauffer et être envahit de picotements. Elle remonta un peu sa nuisette et glissa sa main entre ses jambes. Ne portant pas de culotte, elle eut toute la liberté de se caresser. Elle commença par s’occuper de son clitoris puis descendit le long de sa fente pour accéder à son vagin humide. Elle y inséra un doigt, puis deux et entama des va-et-vient. Elle ressortait de temps en temps ses doigts pour les lécher puis recommençait. Elle remit ses doigts humides sur son clitoris pour le caresser à nouveau. Pendant qu’elle prenait du plaisir, pas une seule pensée ne fût pour Julien. Elles allaient toutes en direction de son père. Elle s’imaginait être prise par lui et son énorme queue dans différentes positions et qu’à l’ultime fin et il l’enculait d’abord avec douceur puis avec beaucoup de fougue. A cet instant, elle jouit. Elle se mordit les lèvres, plaqua sa main devant la bouche pour faire le moins de bruit possible. Enfin, son corps rassasié de plaisir, elle était détendue et pût s’endormir.
Au matin, elle descendit sans trop de gêne avec sa nuisette rouge. Elle arrivait à mi-cuisse et ne laissait rien voir de son corps. Elle trouva cela acceptable. Elle avait juste enfilé une culotte.
Alors que le petit déjeuner se terminait, Julien retourna dans sa chambre pour se préparer. Margaux se retrouva seul avec Eric et décida de jouer encore un peu avec lui. Elle se leva pour débarrasser ses couverts et en se dirigeant vers la cuisine fit, intentionnellement, tomber sa serviette. Elle se pencha en avant, jambes tendues, et pris tout son temps pour la ramasser. Eric pût alors se délecter du spectacle. Il avait devant lui les belles fesses de Margaux à peine cachées par un petit tanga blanc. Sa vulve, bien emprisonnée dans le tissus, ne demandait qu’à se faire dévorer. Étant très penchée en avant, la nuisette glissa le long du dos et laissa aussi apercevoir ses petites seins bien ronds. Margaux se relava doucement, se tourna vers Eric et d’un air aguicheur dit : « Oups ». Quand elle eût posé ses affaires dans la cuisine, elle retourna dans la chambre de Julien, non sans avoir lancé un dernier regard séducteur à Eric, satisfaite de lui avoir provoqué une belle érection.
Dans l’après-midi, tout le monde était en maillot pour profiter de la piscine. Le père de Julien ne resta pas longtemps. Il lui était difficile de voir Margaux dans son maillot turquoise sans bander assez fort. Il rentra alors dans la maison et laissa les autres profiter de la fraîcheur de l’eau.
N’arrivant pas à se libérer l’esprit de la jeune femme il se rendit dans sa chambre, depuis laquelle il pouvait voir la piscine depuis la porte fenêtre.
Voir Margaux onduler dans l’eau, sortir, plonger, bouger ou s’allonger pour profiter du soleil lui rendit sa vigueur. Il commença à se caressa doucement puis plus fortement quand sa queue eût atteint sa taille maximale. Il baissa son short et se masturba en observant Margaux. Alors qu’il se branlait depuis plusieurs minutes, la porte de la chambre s’ouvrit brusquement pour laisser entrer sa femme qui s’exclama :
- Mais putain, tu as encore envie de la baiser !!
Pour savourer sa vengeance jusqu’au bout , il avait en effet avoué à Stéphanie ce qu’il avait fait. L’ayant trompé elle aussi, ils étaient quittes et elle ne le lui avait pas reproché son aventure. Il avait par contre choisi, notamment à la demande de Margaux, de ne rien révéler à son fils.
Comme son mari ne disait rien, Stéphanie s’approcha de lui. Elle vint se coller contre lui, une main sur son torse et l’autre le long du corps qui se saisit de la queue tendue. Alors qu’elle se mit à le masturber, elle regarda par la fenêtre et admit :
- C’est vrai qu’elle est plutôt jolie. Je comprends que tu aies encore envie d’elle. Et je vois bien qu’elle t’allume cette petite salope.
Sur ces mots, elle s’accroupit et se mit à faire une fellation à Eric. Elle était d’avis qu’il ne fallait pas gâcher une occasion de faire ou se faire plaisir.
Sous ses coups de langues experts et ses caresses appliquées sur le membre et les couilles de son mari, ce dernier ne tarda pas à jouir. Lorsqu’il éjacula Stéphanie avait sa queue bien en bouche et reçu les puissantes giclées sur la langue. Elle se releva en essuyant sa lèvre inférieure sur laquelle avait coulé un peu de sperme et lui proposa :
- OK, je veux bien que tu la baises, mais à une condition.
- Oui ? l’invita Eric à poursuivre, avec excitation.
- Je veux être présente et goûter à sa chatte moi aussi.
Eric n’était pas plus surpris que cela, sa femme étant assez ouverte sexuellement.
- Je vais en parler à Margaux, je te dirai ce qu’elle en pense.
Margaux, ayant accepté la proposition, l’occasion se présenta 15 jours plus tard lorsque Julien retourna passer quelques jours chez son oncle et sa tante.
La jeune femme arriva chez les parents de Julien le samedi soir. Stéphanie l’invita à entrer et Eric pût l’admirer quand elle se présenta dans le salon. Elle s’était très apprêtée, comme pour se rendre à une soirée de gala. La coiffure était soignée et le maquillage léger mais bien choisi. Elle portait une longue robe de soirée marron dont le tissus léger épousait chaque forme de son corps élancé. Eric savoura les tétons qui saillaient sous le fin tissus et sentit déjà une forte excitation. La robe n’était pas très décolletée mais avait une longue fente sur le côté qui dévoilait sa jambe jusqu’à mi-cuisse quand elle marchait ainsi qu’un profond dos nu. Enfin, elle portait des escarpins qui la grandissait un peu.
Les parents de Julien avaient prévu un apéro pour commencer la soirée et permettre à chacun de se détendre.
Après quelques verres, Stéphanie sentit Charlotte plus décontractée aussi demanda-t-elle à Eric de s’approcher d’elle. Il se leva et vint se positionner devant sa femme. Elle défit son pantalon et fît glisser son boxer au sol. Elle libéra sa queue à moitié bandée. Elle entrepris de lui faire une fellation pour faire monter l’excitation.
Margaux fixait du regard sa belle-mère qui suçait cette queue qu’elle désirait tant qui grossissait à vue d’œil. Elle sentit son ventre se réchauffer. Quand le sexe d’Eric fût bien tendu, Stéphanie fît signe à la jeune femme de s’approcher et cette dernière vint s’asseoir à côté d’elle, affamée de ce sexe. Elles se partagèrent alors le chibre, le suçant de chaque côté ou l’une léchant le gland et l’autre les couilles. Par instant, elles s’embrassaient à moitié, le gland se partageant leur bouche. Eric était en extase.
Stéphanie finit par se tourner vers Margaux et la fît s’allonger dans le fauteuil. Elle se mit à genoux devant elle, remonta sa robe. La jeune femme écarta les jambes et dévoila un joli string noir tout transparent qui ne cachait rien de son intimité. Stéphanie écarta le tissus et commença à lécher la vulve de la jeune femme. Eric admirait la scène en se masturbant tout doucement. Finalement, il vint se placer derrière les fesses de sa femme, lui releva sa robe et fit glisser son string de long de ses cuisses. De son gland il caressa sa vulve et étala sa mouille entre ses lèvres gonflées. Il inséra alors sa queue dans sa chatte et commença des va-et-vient.
Le trio se délectait du plaisir procuré à l’autre.
Stéphanie se releva et alla s’installer dans un fauteuil.
- Montre-moi comment tu la baises, ordonna-t-elle à son mari.
Margaux se leva et Eric écarta les fines bretelles de sa robe pour la faire tomber au sol. Elle retira son string et resta immobile, complètement nue, offerte à la vue de son beau-père. Eric se délecta de ce jeune corps élancé qui lui faisait face. Sa peau douce, ses belles hanches et ses petits seins ronds sur lesquels se dressaient fièrement ses tétons. Il la désirait plus ardemment que jamais.
Il la fît finalement se mettre à quatre pattes sur la table basse, face à Stéphanie. Il se plaça derrière et la pénétra avec une grande facilité tant sa chatte suintait. Il entama ses coups de boutoir aussi fort que profond. Margaux gémissait à chaque mouvement et se délectait de la vue de l’intimité de Stéphanie qui avait écarté les jambes pour se caresser en admirant ce spectacle. Cette dernière était très excitée de voir son mari baiser une autre femme. Margaux savourait de sentir enfin à nouveau cette belle queue coulisser en elle, buter sur le fond de sa chatte. Elle en avait tellement rêvé ces derniers temps.
Au bout d’un moment, voulant revenir en jeu, la femme d’Eric leur demanda de changer de position. Elle retira sa robe pour ne garder que sa guêpière. Margaux se retourna, s’allongea sur la table et Stéphanie vint mettre ses jambes entre son visage pour que la jeune femme puis se délecter de son intimité. Eric poursuivit le pilonnage de la chatte de sa belle-fille. Alors qu’il avait entamé les caresses sur son clitoris, Margaux éprouva un orgasme qui la poussa à gémir fort, exprimant ainsi le puissant plaisir qu’elle avait ressenti.
Eric s’allongea sur le canapé, de côté, et sa femme vint faire de même devant lui. Il la pénétra ainsi, lui tenant sa jambe en l’air. Margaux entreprit de lécher les seins de Stéphanie, de mordiller ses tétons. Elle descendit ensuite vers son clitoris et parvint à le lécher, avec la queue d’Eric qui bougeait à quelques centimètres de son visage. Elle le fit s’arrêter, sorti le membre de la chatte de Stéphanie et entama une fellation. Elle replaça le sexe dans celui de sa belle-mère et retourna s’occuper avec gourmandise de son clitoris. La même scène se répéta plusieurs fois jusqu’à ce que un nouveau coup de langue et de queue fasse jouir Stéphanie. Quand l’orgasme fût passé, Margaux reprit en bouche le membre. Ses agréables caresses ne mirent pas longtemps à faire jouir Eric qui éjacula une belle quantité de sperme dans la bouche de la jeune femme. Cette dernière se dirigea vers Stéphanie et l’embrassa à pleine bouche, le sperme dégoulinant entre leurs langues et coulant sur leurs lèvres.
Eric retrouva vite de la vigueur, pour le plus grand bonheur de ses deux femmes. Elle vinrent se mettre en position de levrette sur le canapé, l’une à côté de l’autre. Pendant qu’Eric pénétrait Margaux, il doigtait sa femme. Il changea ensuite de position pour s’occuper de sa femme et caressait sa belle-fille.
Entre deux soupirs de plaisir, Stéphanie demanda :
- J’aimerai que tu m’encules maintenant.
- Avec plaisir, répondit Eric en allant chercher du lubrifiant dans la chambre.
Une fois revenu, il fit couler du liquide sur le petit trou de sa femme et commença à y insérer un doigt, puis deux et enfin trois. Quand elle fût assez dilatée, il inséra tout doucement sa hampe de chair jusqu’à l’enfoncer complètement. Il entama alors de lents va-et-vient.
Margaux observait la scène avec un mélange de crainte et d’envie en se caressant, confortablement installée dans un fauteuil. Elle trouvait très excitant de voir cette grosse queue s’insérer dans le cul de Stéphanie et d’observer ses seins ballotter à chaque puissante pénétration.
Eric s’assit sur le canapé, sa femme se mit sur lui, en lui tournant le dos, et imprima des mouvements verticaux sur cette queue bien dure. Margaux ne pu résister à la vue de cette chatte dégoulinante et vint mettre son visage entre les jambes de Stéphanie. Tant bien que mal, elle lécha la vulve de sa belle-mère et en recueilli le plus de mouille possible.
Elle se délecta enfin des gémissements que poussa Stéphanie lorsqu’elle eût atteint l’orgasme. A l’entendre, il semblait fort agréable et poussait Margaux à vouloir expérimenter ce plaisir anal.
La jeune femme vint se mettre à son tour à quatre pattes sur le canapé et réclama :
- Je veux me faire enculer aussi !
Stéphanie décida de préparer la jeune femme. Elle mit une abondante quantité de lubrifiant sur son anus et commença à la pénétrer. Quand Margaux fût prête, elle attrapa la queue de son mari et la dirigea vers l’orifice dilaté. Eric ne se fit pas prier et enfonça son membre, tout doucement, ne voulant surtout pas lui faire mal. La pénétration fût longue mais complète. Les aller-et-retour qu’il entama provoquait de longs soupirs de la part de la jeune femme. Elle savourait d’avoir en elle ce sexe qui la remplissait et sentit ses tétons se durcir comme jamais. Eric fût d’abord doux dans ses mouvements puis accéléra le rythme pour être de plus en plus bestial. Il donnait maintenant de puissants coups de queue, pour le plus grand plaisir de Margaux qui ne pensait plus qu’à ce membre qui la sodomisait avec force.
Après avoir besogner un bon moment la jeune femme, il finit par jouir en poussant des râles de plaisir. Elle sentit plusieurs jets de le sperme se répandre en elle. Cette sensation était nouvelle et exquise. Un orgasme explosa alors subitement en elle, déferlant dans tout son corps, de son anus à ses seins elle ressenti de profondes vagues de plaisir, qui lui semblèrent durer une éternité. Alors que les spasmes ne s’arrêtaient pas elle continuait de gémir de plaisir.
Eric ressortit son sexe du cul de sa partenaire et Stéphanie s’en saisit pour le masturber et faire tomber les dernières goûtes de son sperme sur les fesses de Margaux. Elle lécha alors avec avidité toutes les traces de foutre sur le postérieur de la jeune femme pour s’en délecter.
La soirée se poursuivit dans la chambre conjugale où les ébats se prolongèrent encore un peu avant que tous les trois ne s’endorment nus, et un peu serrés, dans le lit, repus et rassasiés.
Eric se réveilla au petit matin. N’entendant aucun bruit à côté de lui, il décida de se lever. Il sortit du lit tout en douceur pour ne pas réveiller ses deux femmes. Il admira Stéphanie qui dormait sur le côté du lit, allongée sur le ventre. Le drap était baissé et dévoilait ses fesses nues. Margaux était au milieu du lit et dormait sur le dos. Le tissus arrivait sur le bas de son ventre et dévoilait une petite partie du duvet de son pubis. Il admira les petits seins soyeux de la jeune femme. Il les trouva magnifiques toutes les deux, ainsi abandonnées aux bras de Morphée. Il sortit doucement de la chambre et alla ramasser ses vêtements qui traînaient sur le sol du salon. Il fit une rapide toilette puis s’habilla avant de sortir de la maison pour aller chercher des croissants au bourg du village, sous les rayons de soleil déjà chaud de ce matin d’été.
Lorsqu’il rentra une trentaine de minutes plus tard, il trouva les deux femmes debout dans la cuisine, appuyées contre un meuble.
Stéphanie portait uniquement une babydoll verte transparente qui ne cachait rien de son corps tandis que Margaux avait seulement revêtue son string noir de la veille.
- Vous venez de vous lever ? demanda Eric.
- Non, on t’a entendu partir et on a trouvé un bon moyen de se réveiller, expliqua Stéphanie en jouant avec un des tétons de Margaux et en l’embrasant à pleine bouche. La jeune femme lui rendit son baiser et elles continuèrent leur caresses.
- Et toi, tu es bien réveillé ? demanda Stéphanie à son mari sur un ton d’envie.
Elle s’approcha de lui se mit à genoux et sortit son sexe à moitié bandé de son pantalon. Margaux la rejoignit et elles lui firent une fellation.
Eric posa son sachet sur la table, les croissants attendront.
Le mari de Stéphanie profita de chaque caresse avec plaisir et très vite il sentit l’orgasme venir. Comme sa femme devina qu’il se tendait, elle fit se reculer un peu Margaux et masturba seule la queue. Une dernière caresse sur ses couilles et entre ses jambes et il éjacula de grosses giclées de sperme sur les seins de la jeune femme. Il admira avec satisfaction la poitrine de Margaux couverte de son foutre.
Le reste de la journée se déroula entre balades, baignades dans la piscine et relations sexuelles. Le soir venu, Margaux repartit.
- Tu peux revenir le week-end prochain Margaux, proposa Stéphanie. Julien ne sera pas encore rentré.
- J’en serai ravie, dit la jeune femme, encore dans l’euphorie de ces deux jours incroyables.
Elle ne savait pas où la mènerait cette aventure et si son couple avec Julien y survivrait, mais elle voulait profiter de l’instant présent. Elle était simplement ravie d’être devenue la maîtresse de ses beau-parents.
« St Valentin ratée »
« Vengeance de la St Valentin »
Margaux pensait beaucoup à son beau-père, Eric, avec qui elle avait eu une aventure aussi inattendu que fantastique. Cela s’était déroulé il y a quelques jours mais n’avait plus en tête que de renouveler l’expérience. Elle essayait de ne pas trop penser à Julien pour éviter de culpabiliser et pour se sentir moins coupable se répétait « Juste encore une fois et c’est fini ».
Le week-end suivant cette aventure, elle avait été invitée à venir passer les 2 jours chez les parents de Julien.
Margaux arriva le samedi matin en fin de matinée. Il faisait beau et chaud en ce mois de juillet et Margaux avait enfilé une robe assez courte. Julien, qui lui avait ouvert la porte, la trouva magnifique dans cette tenue. Ils s’embrassèrent et allèrent rejoindre Eric et Stéphanie pour prendre l’apéro à l’ombre de la pergola.
Ils s’assirent tous sur les fauteuils du salon de jardin et trinquèrent. Eric, laissa traîner discrètement son regard sur les jambes de Margaux. Sa robe remontait jusqu’au haut de ses cuisses et dévoilait ses belles jambes dont le père de Julien se rappelait l’agréable douceur. La jeune femme croisait et décroisait assez souvent les jambes ce qui mettait Eric en émoi. Elle frissonnait de plaisir en imaginant qu’il pouvait entre-apercevoir un bout de tissus de son string.
Ils passèrent à table, les deux couples se faisant face. Alors que la conversation sur les choix politique du pays animait la tablée, Eric sentit le pied de Margaux remonter sa jambe depuis sa cheville. Doucement elle parcouru la cuisse et s’arrêta sur le sexe du père de Julien. Rapidement, elle sentit la verge se réveiller sous ses orteils. Eric, troublé, tentait de garder le fil de la conversation. Après plusieurs minutes à jouer à déstabiliser le père de Julien, Margaux s’excusa pour aller aux toilettes. La tension étant retombée assez vite dans son short, Eric se leva pour débarrasser la table. Alors que sa femme allait l’aider, il s’empressa de dire :
- Non, laisse. Repose-toi, tu as déjà préparé tout le repas.
Stéphanie accepta de bonne grâce.
Après avoir déposé les assiettes dans la cuisine, il se dirigea vers les toilettes. Margaux en sorti au même moment. Il la pris par le poignet et l’entraîna précipitamment dans sa chambre voisine. Eric se jeta sur les lèvres de la jeune femme qui lui rendit son baiser avec fougue. Il lui caressa les seins puis descendit sous la jupe et inséra sa main dans le string de la jeune femme. Margaux écarta un peu les jambes pour lui permettre d’accéder à son intimité. Il introduisit un doigt dans sa chatte rendue humide par leurs petits jeux. Elle posa sa main sur la bosse qui s’était reformée sur le short d’Eric et se mit à la masser.
- Il faut y retourner sinon ils vont se demander ce que nous faisons, dit la jeune femme déçue.
Eric ne cessa pas ses caresses. Il était envoûté par le corps de la jeune femme. Cette dernière insista pour qu’il arrête, à regret, tellement elle aimait sentir ses mains se perdre sur sa peau.
Eric stoppa ses caresses de mauvaise grâce et Margaux retourna en premier sur la terrasse, suivit quelques minutes après par son amant qui demanda :
- Qui veut de la glace ?
Margaux passa la nuit à la maison et rien ne se passa entre elle et son beau-père. Dans le lit, alors que Julien venait de s’endormir, elle repensait à Eric. Elle sentit son ventre agréablement se réchauffer et être envahit de picotements. Elle remonta un peu sa nuisette et glissa sa main entre ses jambes. Ne portant pas de culotte, elle eut toute la liberté de se caresser. Elle commença par s’occuper de son clitoris puis descendit le long de sa fente pour accéder à son vagin humide. Elle y inséra un doigt, puis deux et entama des va-et-vient. Elle ressortait de temps en temps ses doigts pour les lécher puis recommençait. Elle remit ses doigts humides sur son clitoris pour le caresser à nouveau. Pendant qu’elle prenait du plaisir, pas une seule pensée ne fût pour Julien. Elles allaient toutes en direction de son père. Elle s’imaginait être prise par lui et son énorme queue dans différentes positions et qu’à l’ultime fin et il l’enculait d’abord avec douceur puis avec beaucoup de fougue. A cet instant, elle jouit. Elle se mordit les lèvres, plaqua sa main devant la bouche pour faire le moins de bruit possible. Enfin, son corps rassasié de plaisir, elle était détendue et pût s’endormir.
Au matin, elle descendit sans trop de gêne avec sa nuisette rouge. Elle arrivait à mi-cuisse et ne laissait rien voir de son corps. Elle trouva cela acceptable. Elle avait juste enfilé une culotte.
Alors que le petit déjeuner se terminait, Julien retourna dans sa chambre pour se préparer. Margaux se retrouva seul avec Eric et décida de jouer encore un peu avec lui. Elle se leva pour débarrasser ses couverts et en se dirigeant vers la cuisine fit, intentionnellement, tomber sa serviette. Elle se pencha en avant, jambes tendues, et pris tout son temps pour la ramasser. Eric pût alors se délecter du spectacle. Il avait devant lui les belles fesses de Margaux à peine cachées par un petit tanga blanc. Sa vulve, bien emprisonnée dans le tissus, ne demandait qu’à se faire dévorer. Étant très penchée en avant, la nuisette glissa le long du dos et laissa aussi apercevoir ses petites seins bien ronds. Margaux se relava doucement, se tourna vers Eric et d’un air aguicheur dit : « Oups ». Quand elle eût posé ses affaires dans la cuisine, elle retourna dans la chambre de Julien, non sans avoir lancé un dernier regard séducteur à Eric, satisfaite de lui avoir provoqué une belle érection.
Dans l’après-midi, tout le monde était en maillot pour profiter de la piscine. Le père de Julien ne resta pas longtemps. Il lui était difficile de voir Margaux dans son maillot turquoise sans bander assez fort. Il rentra alors dans la maison et laissa les autres profiter de la fraîcheur de l’eau.
N’arrivant pas à se libérer l’esprit de la jeune femme il se rendit dans sa chambre, depuis laquelle il pouvait voir la piscine depuis la porte fenêtre.
Voir Margaux onduler dans l’eau, sortir, plonger, bouger ou s’allonger pour profiter du soleil lui rendit sa vigueur. Il commença à se caressa doucement puis plus fortement quand sa queue eût atteint sa taille maximale. Il baissa son short et se masturba en observant Margaux. Alors qu’il se branlait depuis plusieurs minutes, la porte de la chambre s’ouvrit brusquement pour laisser entrer sa femme qui s’exclama :
- Mais putain, tu as encore envie de la baiser !!
Pour savourer sa vengeance jusqu’au bout , il avait en effet avoué à Stéphanie ce qu’il avait fait. L’ayant trompé elle aussi, ils étaient quittes et elle ne le lui avait pas reproché son aventure. Il avait par contre choisi, notamment à la demande de Margaux, de ne rien révéler à son fils.
Comme son mari ne disait rien, Stéphanie s’approcha de lui. Elle vint se coller contre lui, une main sur son torse et l’autre le long du corps qui se saisit de la queue tendue. Alors qu’elle se mit à le masturber, elle regarda par la fenêtre et admit :
- C’est vrai qu’elle est plutôt jolie. Je comprends que tu aies encore envie d’elle. Et je vois bien qu’elle t’allume cette petite salope.
Sur ces mots, elle s’accroupit et se mit à faire une fellation à Eric. Elle était d’avis qu’il ne fallait pas gâcher une occasion de faire ou se faire plaisir.
Sous ses coups de langues experts et ses caresses appliquées sur le membre et les couilles de son mari, ce dernier ne tarda pas à jouir. Lorsqu’il éjacula Stéphanie avait sa queue bien en bouche et reçu les puissantes giclées sur la langue. Elle se releva en essuyant sa lèvre inférieure sur laquelle avait coulé un peu de sperme et lui proposa :
- OK, je veux bien que tu la baises, mais à une condition.
- Oui ? l’invita Eric à poursuivre, avec excitation.
- Je veux être présente et goûter à sa chatte moi aussi.
Eric n’était pas plus surpris que cela, sa femme étant assez ouverte sexuellement.
- Je vais en parler à Margaux, je te dirai ce qu’elle en pense.
Margaux, ayant accepté la proposition, l’occasion se présenta 15 jours plus tard lorsque Julien retourna passer quelques jours chez son oncle et sa tante.
La jeune femme arriva chez les parents de Julien le samedi soir. Stéphanie l’invita à entrer et Eric pût l’admirer quand elle se présenta dans le salon. Elle s’était très apprêtée, comme pour se rendre à une soirée de gala. La coiffure était soignée et le maquillage léger mais bien choisi. Elle portait une longue robe de soirée marron dont le tissus léger épousait chaque forme de son corps élancé. Eric savoura les tétons qui saillaient sous le fin tissus et sentit déjà une forte excitation. La robe n’était pas très décolletée mais avait une longue fente sur le côté qui dévoilait sa jambe jusqu’à mi-cuisse quand elle marchait ainsi qu’un profond dos nu. Enfin, elle portait des escarpins qui la grandissait un peu.
Les parents de Julien avaient prévu un apéro pour commencer la soirée et permettre à chacun de se détendre.
Après quelques verres, Stéphanie sentit Charlotte plus décontractée aussi demanda-t-elle à Eric de s’approcher d’elle. Il se leva et vint se positionner devant sa femme. Elle défit son pantalon et fît glisser son boxer au sol. Elle libéra sa queue à moitié bandée. Elle entrepris de lui faire une fellation pour faire monter l’excitation.
Margaux fixait du regard sa belle-mère qui suçait cette queue qu’elle désirait tant qui grossissait à vue d’œil. Elle sentit son ventre se réchauffer. Quand le sexe d’Eric fût bien tendu, Stéphanie fît signe à la jeune femme de s’approcher et cette dernière vint s’asseoir à côté d’elle, affamée de ce sexe. Elles se partagèrent alors le chibre, le suçant de chaque côté ou l’une léchant le gland et l’autre les couilles. Par instant, elles s’embrassaient à moitié, le gland se partageant leur bouche. Eric était en extase.
Stéphanie finit par se tourner vers Margaux et la fît s’allonger dans le fauteuil. Elle se mit à genoux devant elle, remonta sa robe. La jeune femme écarta les jambes et dévoila un joli string noir tout transparent qui ne cachait rien de son intimité. Stéphanie écarta le tissus et commença à lécher la vulve de la jeune femme. Eric admirait la scène en se masturbant tout doucement. Finalement, il vint se placer derrière les fesses de sa femme, lui releva sa robe et fit glisser son string de long de ses cuisses. De son gland il caressa sa vulve et étala sa mouille entre ses lèvres gonflées. Il inséra alors sa queue dans sa chatte et commença des va-et-vient.
Le trio se délectait du plaisir procuré à l’autre.
Stéphanie se releva et alla s’installer dans un fauteuil.
- Montre-moi comment tu la baises, ordonna-t-elle à son mari.
Margaux se leva et Eric écarta les fines bretelles de sa robe pour la faire tomber au sol. Elle retira son string et resta immobile, complètement nue, offerte à la vue de son beau-père. Eric se délecta de ce jeune corps élancé qui lui faisait face. Sa peau douce, ses belles hanches et ses petits seins ronds sur lesquels se dressaient fièrement ses tétons. Il la désirait plus ardemment que jamais.
Il la fît finalement se mettre à quatre pattes sur la table basse, face à Stéphanie. Il se plaça derrière et la pénétra avec une grande facilité tant sa chatte suintait. Il entama ses coups de boutoir aussi fort que profond. Margaux gémissait à chaque mouvement et se délectait de la vue de l’intimité de Stéphanie qui avait écarté les jambes pour se caresser en admirant ce spectacle. Cette dernière était très excitée de voir son mari baiser une autre femme. Margaux savourait de sentir enfin à nouveau cette belle queue coulisser en elle, buter sur le fond de sa chatte. Elle en avait tellement rêvé ces derniers temps.
Au bout d’un moment, voulant revenir en jeu, la femme d’Eric leur demanda de changer de position. Elle retira sa robe pour ne garder que sa guêpière. Margaux se retourna, s’allongea sur la table et Stéphanie vint mettre ses jambes entre son visage pour que la jeune femme puis se délecter de son intimité. Eric poursuivit le pilonnage de la chatte de sa belle-fille. Alors qu’il avait entamé les caresses sur son clitoris, Margaux éprouva un orgasme qui la poussa à gémir fort, exprimant ainsi le puissant plaisir qu’elle avait ressenti.
Eric s’allongea sur le canapé, de côté, et sa femme vint faire de même devant lui. Il la pénétra ainsi, lui tenant sa jambe en l’air. Margaux entreprit de lécher les seins de Stéphanie, de mordiller ses tétons. Elle descendit ensuite vers son clitoris et parvint à le lécher, avec la queue d’Eric qui bougeait à quelques centimètres de son visage. Elle le fit s’arrêter, sorti le membre de la chatte de Stéphanie et entama une fellation. Elle replaça le sexe dans celui de sa belle-mère et retourna s’occuper avec gourmandise de son clitoris. La même scène se répéta plusieurs fois jusqu’à ce que un nouveau coup de langue et de queue fasse jouir Stéphanie. Quand l’orgasme fût passé, Margaux reprit en bouche le membre. Ses agréables caresses ne mirent pas longtemps à faire jouir Eric qui éjacula une belle quantité de sperme dans la bouche de la jeune femme. Cette dernière se dirigea vers Stéphanie et l’embrassa à pleine bouche, le sperme dégoulinant entre leurs langues et coulant sur leurs lèvres.
Eric retrouva vite de la vigueur, pour le plus grand bonheur de ses deux femmes. Elle vinrent se mettre en position de levrette sur le canapé, l’une à côté de l’autre. Pendant qu’Eric pénétrait Margaux, il doigtait sa femme. Il changea ensuite de position pour s’occuper de sa femme et caressait sa belle-fille.
Entre deux soupirs de plaisir, Stéphanie demanda :
- J’aimerai que tu m’encules maintenant.
- Avec plaisir, répondit Eric en allant chercher du lubrifiant dans la chambre.
Une fois revenu, il fit couler du liquide sur le petit trou de sa femme et commença à y insérer un doigt, puis deux et enfin trois. Quand elle fût assez dilatée, il inséra tout doucement sa hampe de chair jusqu’à l’enfoncer complètement. Il entama alors de lents va-et-vient.
Margaux observait la scène avec un mélange de crainte et d’envie en se caressant, confortablement installée dans un fauteuil. Elle trouvait très excitant de voir cette grosse queue s’insérer dans le cul de Stéphanie et d’observer ses seins ballotter à chaque puissante pénétration.
Eric s’assit sur le canapé, sa femme se mit sur lui, en lui tournant le dos, et imprima des mouvements verticaux sur cette queue bien dure. Margaux ne pu résister à la vue de cette chatte dégoulinante et vint mettre son visage entre les jambes de Stéphanie. Tant bien que mal, elle lécha la vulve de sa belle-mère et en recueilli le plus de mouille possible.
Elle se délecta enfin des gémissements que poussa Stéphanie lorsqu’elle eût atteint l’orgasme. A l’entendre, il semblait fort agréable et poussait Margaux à vouloir expérimenter ce plaisir anal.
La jeune femme vint se mettre à son tour à quatre pattes sur le canapé et réclama :
- Je veux me faire enculer aussi !
Stéphanie décida de préparer la jeune femme. Elle mit une abondante quantité de lubrifiant sur son anus et commença à la pénétrer. Quand Margaux fût prête, elle attrapa la queue de son mari et la dirigea vers l’orifice dilaté. Eric ne se fit pas prier et enfonça son membre, tout doucement, ne voulant surtout pas lui faire mal. La pénétration fût longue mais complète. Les aller-et-retour qu’il entama provoquait de longs soupirs de la part de la jeune femme. Elle savourait d’avoir en elle ce sexe qui la remplissait et sentit ses tétons se durcir comme jamais. Eric fût d’abord doux dans ses mouvements puis accéléra le rythme pour être de plus en plus bestial. Il donnait maintenant de puissants coups de queue, pour le plus grand plaisir de Margaux qui ne pensait plus qu’à ce membre qui la sodomisait avec force.
Après avoir besogner un bon moment la jeune femme, il finit par jouir en poussant des râles de plaisir. Elle sentit plusieurs jets de le sperme se répandre en elle. Cette sensation était nouvelle et exquise. Un orgasme explosa alors subitement en elle, déferlant dans tout son corps, de son anus à ses seins elle ressenti de profondes vagues de plaisir, qui lui semblèrent durer une éternité. Alors que les spasmes ne s’arrêtaient pas elle continuait de gémir de plaisir.
Eric ressortit son sexe du cul de sa partenaire et Stéphanie s’en saisit pour le masturber et faire tomber les dernières goûtes de son sperme sur les fesses de Margaux. Elle lécha alors avec avidité toutes les traces de foutre sur le postérieur de la jeune femme pour s’en délecter.
La soirée se poursuivit dans la chambre conjugale où les ébats se prolongèrent encore un peu avant que tous les trois ne s’endorment nus, et un peu serrés, dans le lit, repus et rassasiés.
Eric se réveilla au petit matin. N’entendant aucun bruit à côté de lui, il décida de se lever. Il sortit du lit tout en douceur pour ne pas réveiller ses deux femmes. Il admira Stéphanie qui dormait sur le côté du lit, allongée sur le ventre. Le drap était baissé et dévoilait ses fesses nues. Margaux était au milieu du lit et dormait sur le dos. Le tissus arrivait sur le bas de son ventre et dévoilait une petite partie du duvet de son pubis. Il admira les petits seins soyeux de la jeune femme. Il les trouva magnifiques toutes les deux, ainsi abandonnées aux bras de Morphée. Il sortit doucement de la chambre et alla ramasser ses vêtements qui traînaient sur le sol du salon. Il fit une rapide toilette puis s’habilla avant de sortir de la maison pour aller chercher des croissants au bourg du village, sous les rayons de soleil déjà chaud de ce matin d’été.
Lorsqu’il rentra une trentaine de minutes plus tard, il trouva les deux femmes debout dans la cuisine, appuyées contre un meuble.
Stéphanie portait uniquement une babydoll verte transparente qui ne cachait rien de son corps tandis que Margaux avait seulement revêtue son string noir de la veille.
- Vous venez de vous lever ? demanda Eric.
- Non, on t’a entendu partir et on a trouvé un bon moyen de se réveiller, expliqua Stéphanie en jouant avec un des tétons de Margaux et en l’embrasant à pleine bouche. La jeune femme lui rendit son baiser et elles continuèrent leur caresses.
- Et toi, tu es bien réveillé ? demanda Stéphanie à son mari sur un ton d’envie.
Elle s’approcha de lui se mit à genoux et sortit son sexe à moitié bandé de son pantalon. Margaux la rejoignit et elles lui firent une fellation.
Eric posa son sachet sur la table, les croissants attendront.
Le mari de Stéphanie profita de chaque caresse avec plaisir et très vite il sentit l’orgasme venir. Comme sa femme devina qu’il se tendait, elle fit se reculer un peu Margaux et masturba seule la queue. Une dernière caresse sur ses couilles et entre ses jambes et il éjacula de grosses giclées de sperme sur les seins de la jeune femme. Il admira avec satisfaction la poitrine de Margaux couverte de son foutre.
Le reste de la journée se déroula entre balades, baignades dans la piscine et relations sexuelles. Le soir venu, Margaux repartit.
- Tu peux revenir le week-end prochain Margaux, proposa Stéphanie. Julien ne sera pas encore rentré.
- J’en serai ravie, dit la jeune femme, encore dans l’euphorie de ces deux jours incroyables.
Elle ne savait pas où la mènerait cette aventure et si son couple avec Julien y survivrait, mais elle voulait profiter de l’instant présent. Elle était simplement ravie d’être devenue la maîtresse de ses beau-parents.
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