Corinne et Isabelle, les copines de mon pote.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Corinne et Isabelle, les copines de mon pote.
Comme je l'ai cité dans d'autres textes, j'hébergeai un ami, Que je renommerai Bruno qui habitais chez ses parents dans les pays de la Loire.
Il avait fini son service militaire dans la marine, et adorai ma ville, il cherchait un emploi pour s'y installer.
J'avais 24 ans, lui 20, nous étions très complices, au point qu'un jour une fille nous a demandé, si nous n'étions pas gay, en fait, nous n'avons jamais baisé ensemble et il ne savait pas que j'étais bi!
Il avait la gouaille facile, et abordait facilement les filles.
Ca me fait toujours rire quand j'y repense, mais il râlait sans cesse en se plaignant que je séduisais toujours la plus jolie des deux qu'on abordait.
On a séduit énormément de filles en un peu plus d'un an de cohabitation, mais il devenait jaloux du temps que je passais avec Lisa.
Je lui ai donc demandé de rentrer chez lui, puisque sa situation, n'avait pas évoluée.
Je regrette notre amitié, j'ai essayé de le recontacter, mais je n'ai jamais eu de réponse.
Mais revenons aux anecdotes qui nous intéressent.
Bruno avait connu Corinne, sans moi, il a eu une histoire assez courte avec elle.
Personnellement, je la trouvais mignonne, mais sans plus, surtout qu'elle était plus grande que moi, comme Bruno.
Ils ont eu une petite séparation, lors du retour de Bruno chez ses parents afin de récupérer quelques affaires, pendant une semaine.
Bizarrement, ils n'avaient pas repris leur relation, dès son retour.
Un soir, que nous "chassions" de nouvelles conquêtes, on croise Corinne.
Immanquablement, ils reprennent leur histoire.
Je "tiens la chandelle" toute la soirée, puis nous rentrons dormir chez moi.
N'ayant qu'un seul lit, nous avons convenu de profiter du lit chacun notre tour,.
Mon lit était composé de deux matelas, un fin en mousse et l'autre plus épais, sur un sommier ancien a ressort.
On enlevait le matelas, le plus épais pour le poser au sol pour avoir chacun un lit, afin de "câliner" notre conquête du soir.
Ce soir là, Bruno doit dormir au sol, avec Corinne.
Tout le monde se couche, j'ai du mal à dormir, je les entends se taquiner, enfin surtout Bruno, qui a manifestement envie de la baiser.
"Allez, Corinne! s'il te plait!".
"Non, Bruno! Arrêtes! Y a Patrick à coté, c'est non!".
"Mais, il s'en fout!".
Il la taquine sans cesse, en riant à chaque refus. Je ne les vois pas, mais je devine qu'elle repousse ses mains baladeuses sans arrêt.
Elle lui brandit alors une menace:
"Si tu continues, je vais dormir avec Patrick!".
"T'oseras pas! Allez, s'il te plais! Laisses toi faire!".
Il réitère ses avances.
"T'as gagné!".
Elle se lève et viens se coucher à coté de moi, je suis un peu gêné de la situation, et lui laisse un bon écart pour ne pas que l'on se touche.
Tout le monde s'endort.
Dans la nuit, je m'éveille légèrement, et constate qu'elle a son visage sur mon épaule.
Je suis étonné et troublé, j'ai un peu froid. Je nous couvre avec le drap, trop bas, jusqu'au niveau des épaules.
Elle a du se réveiller à ce moment, puisqu'elle pose sa main sur ma joue pour tourner mon visage vers le sien.
Elle m'embrasse tendrement. Je suis paniqué, mon ami est juste à coté, on l'entend ronfler, mais quand même, ça se fait pas!
Sa main vient caresser ma queue encore sous son érection nocturne, puis elle se met à la prendre fermement entre ses doigts, pour me masturber sans quitter mes lèvres.
Je me tourne vers elle pour répondre à ses tendres avances, je lui caresse fermement ses seins lourds et fermes.
Je la sens gémir dans ma bouche.
Doucement, nous enlevons nos sous-vêtements. c'est elle qui prend l'initiative de monter sur moi.
Nos sexes se trouvent sans difficulté, elle se pénètre lentement sans dire un mot.
Le moment est magique, comme elle est plus grande que moi, ses seins sont parfaitement placés pour que je lui dévore, pendant qu'elle s'empale sur ma queue.
Notre échange de tendresse sexuelle dure une bonne vingtaine de minutes.
Puis, elle prend ma main droite pour la porter à sa bouche en continuant sa pénétration.
Elle veux me faire partager son plaisir en me mordant la paume de la main, son orgasme a l'air intense.
Après quelques puissants mouvements de pénétration supplémentaires, elle se couche contre moi en posant son visage de coté sur mon épaule, elle a joui, et j'ai adoré lui donner ce plaisir.
Puis, elle se dégage de ma queue, et va remplacer son vagin par sa bouche.
sa fellation est douce et délicieuse, j'ai du mal à retenir mes gémissements.
J'éjacule dans sa bouche, au bout de plusieurs longues minutes, en serrant le matelas, avec mes deux mains pour encaisser mon plaisir.
Elle avale mon sperme, puis viens m'embrasser.
Je lui murmure:
"Pourquoi, t'as fais ça, tu sais que je suis avec Lisa! On peut pas sortir ensemble! Et il y a Bruno!".
"Je sais, mais j'en avais envie, et Bruno, je m'en fous!".
Elle se tourne, pour se mettre en chien de fusil contre moi, puis nous nous endormons.
Au matin, elle me réveille parce que je l'entend remettre ses sous vêtements, je l'imite sans faire de bruit, moi non plus.
Lorsque Bruno se lève, bien plus tard, je sens qu'il n'a pas aimé qu'elle le laisse dormir seul. Leur relation a cessé ce jour là.
En croisant une amie de Corinne, je lui raconte sans aller jusqu'aux détails sexuels, qu'elle m'a rejoint dans le lit.
"Ca m'étonne pas, elle est amoureuse de toi, tu le savais pas?".
"Non, comment j'aurais pu le savoir?".
Environ un an plus tard, elle fait la connaissance de celui qui deviendra le père de ses enfants, on échangeait tout le temps des regards complices, en se croisant, désormais.
La seconde histoire m'étonne encore, aujourd'hui, par l'étrange réaction de la fille concernée, si quelqu'un peut m'expliquer, je suis preneur!
Avec Bruno, nous avons connu deux filles, l'une très jolie et petite comme je les adore (malgré son adorable physique, je ne la trouve pas intéressante) et la seconde quelconque, trop mince et très masculine.
Pour une fois, c'est Bruno qui a la faveur d'isabelle, la plus jolie.
Bruno, doit dormir avec elle sur le sol, pendant que je me consacre à l'autre fille sans conviction.
Je l'embrasse quelque fois, puis la caresse, mais je ne reçois aucune réaction, puis je la pénètre, son vagin n'est pas humide du tout.
Après deux minutes, je me retire de son vagin et lui dis:
"Désolé, je peux pas faire ça comme ça, j'ai l'impression de me taper une poupée morte".
La fille ne réagit pas et nous nous endormons, elle ne comprends au matin, que je ne l'embrasse que sur la joue.
Avec elle, l'histoire se termine là.
Puis Bruno doit se rendre encore chez ses parents, sa relation avec Isabelle est épisodique, il ne considère plus d'ailleurs qu'ils sont ensemble.
Pendant le semaine, je croise le duo de filles, on boit un verre sur le port, assez tard.
En fin de soirée, elles me demandent, si elles peuvent dormir chez moi.
Bien sûr, j'accepte, elles insistent pour que je ne démonte pas mon lit, et nous nous couchons ensemble.
Je suis a gauche, Isabelle au milieu et la seconde fille a droite( je ne me souviens plus de son prénom).
La présence d'Isabelle à coté de moi, m'excite, elle a les seins nus, c'est trop pour moi.
J'ose lentement envoyer une main vers ses seins, elle ne réagit pas.
Je prend ça pour un oui, et je lui dévore les seins en les massant en même temps.
Elle a un orgasme mammaire, au bout de quelques minutes.
Puis je me dirige vers sa chatte, j'écarte son minuscule string pour lui lêcher le clitoris.
Mon cunnilingus est goulu et humide, je lui mordille de temps en temps, puis lui lèche le vagin et la pénètre avec ma langue.
Je lui dévore la chatte comme un affamé, elle jouit sans retenue puissamment.
Son plaisir, retombe, je commence à remonter vers sa bouche pour l'embrasser avec l'intention de la pénétrer ensuite.
Au moment ou ma bouche va toucher la sienne, elle me dit:
"Non, je peux pas, je suis avec Bruno!".
Je me suis retourné sur le dos, avec mon érection et mon incompréhension.
Quand à l'autre fille, à coté, je suis désolé de dire que je me moquais qu'elle assiste à notre échange.
J'ai tout raconté à Bruno, quand il est rentré, il a rit en disant qu'il n'en avait rien à faire de cette fille.
Il avait fini son service militaire dans la marine, et adorai ma ville, il cherchait un emploi pour s'y installer.
J'avais 24 ans, lui 20, nous étions très complices, au point qu'un jour une fille nous a demandé, si nous n'étions pas gay, en fait, nous n'avons jamais baisé ensemble et il ne savait pas que j'étais bi!
Il avait la gouaille facile, et abordait facilement les filles.
Ca me fait toujours rire quand j'y repense, mais il râlait sans cesse en se plaignant que je séduisais toujours la plus jolie des deux qu'on abordait.
On a séduit énormément de filles en un peu plus d'un an de cohabitation, mais il devenait jaloux du temps que je passais avec Lisa.
Je lui ai donc demandé de rentrer chez lui, puisque sa situation, n'avait pas évoluée.
Je regrette notre amitié, j'ai essayé de le recontacter, mais je n'ai jamais eu de réponse.
Mais revenons aux anecdotes qui nous intéressent.
Bruno avait connu Corinne, sans moi, il a eu une histoire assez courte avec elle.
Personnellement, je la trouvais mignonne, mais sans plus, surtout qu'elle était plus grande que moi, comme Bruno.
Ils ont eu une petite séparation, lors du retour de Bruno chez ses parents afin de récupérer quelques affaires, pendant une semaine.
Bizarrement, ils n'avaient pas repris leur relation, dès son retour.
Un soir, que nous "chassions" de nouvelles conquêtes, on croise Corinne.
Immanquablement, ils reprennent leur histoire.
Je "tiens la chandelle" toute la soirée, puis nous rentrons dormir chez moi.
N'ayant qu'un seul lit, nous avons convenu de profiter du lit chacun notre tour,.
Mon lit était composé de deux matelas, un fin en mousse et l'autre plus épais, sur un sommier ancien a ressort.
On enlevait le matelas, le plus épais pour le poser au sol pour avoir chacun un lit, afin de "câliner" notre conquête du soir.
Ce soir là, Bruno doit dormir au sol, avec Corinne.
Tout le monde se couche, j'ai du mal à dormir, je les entends se taquiner, enfin surtout Bruno, qui a manifestement envie de la baiser.
"Allez, Corinne! s'il te plait!".
"Non, Bruno! Arrêtes! Y a Patrick à coté, c'est non!".
"Mais, il s'en fout!".
Il la taquine sans cesse, en riant à chaque refus. Je ne les vois pas, mais je devine qu'elle repousse ses mains baladeuses sans arrêt.
Elle lui brandit alors une menace:
"Si tu continues, je vais dormir avec Patrick!".
"T'oseras pas! Allez, s'il te plais! Laisses toi faire!".
Il réitère ses avances.
"T'as gagné!".
Elle se lève et viens se coucher à coté de moi, je suis un peu gêné de la situation, et lui laisse un bon écart pour ne pas que l'on se touche.
Tout le monde s'endort.
Dans la nuit, je m'éveille légèrement, et constate qu'elle a son visage sur mon épaule.
Je suis étonné et troublé, j'ai un peu froid. Je nous couvre avec le drap, trop bas, jusqu'au niveau des épaules.
Elle a du se réveiller à ce moment, puisqu'elle pose sa main sur ma joue pour tourner mon visage vers le sien.
Elle m'embrasse tendrement. Je suis paniqué, mon ami est juste à coté, on l'entend ronfler, mais quand même, ça se fait pas!
Sa main vient caresser ma queue encore sous son érection nocturne, puis elle se met à la prendre fermement entre ses doigts, pour me masturber sans quitter mes lèvres.
Je me tourne vers elle pour répondre à ses tendres avances, je lui caresse fermement ses seins lourds et fermes.
Je la sens gémir dans ma bouche.
Doucement, nous enlevons nos sous-vêtements. c'est elle qui prend l'initiative de monter sur moi.
Nos sexes se trouvent sans difficulté, elle se pénètre lentement sans dire un mot.
Le moment est magique, comme elle est plus grande que moi, ses seins sont parfaitement placés pour que je lui dévore, pendant qu'elle s'empale sur ma queue.
Notre échange de tendresse sexuelle dure une bonne vingtaine de minutes.
Puis, elle prend ma main droite pour la porter à sa bouche en continuant sa pénétration.
Elle veux me faire partager son plaisir en me mordant la paume de la main, son orgasme a l'air intense.
Après quelques puissants mouvements de pénétration supplémentaires, elle se couche contre moi en posant son visage de coté sur mon épaule, elle a joui, et j'ai adoré lui donner ce plaisir.
Puis, elle se dégage de ma queue, et va remplacer son vagin par sa bouche.
sa fellation est douce et délicieuse, j'ai du mal à retenir mes gémissements.
J'éjacule dans sa bouche, au bout de plusieurs longues minutes, en serrant le matelas, avec mes deux mains pour encaisser mon plaisir.
Elle avale mon sperme, puis viens m'embrasser.
Je lui murmure:
"Pourquoi, t'as fais ça, tu sais que je suis avec Lisa! On peut pas sortir ensemble! Et il y a Bruno!".
"Je sais, mais j'en avais envie, et Bruno, je m'en fous!".
Elle se tourne, pour se mettre en chien de fusil contre moi, puis nous nous endormons.
Au matin, elle me réveille parce que je l'entend remettre ses sous vêtements, je l'imite sans faire de bruit, moi non plus.
Lorsque Bruno se lève, bien plus tard, je sens qu'il n'a pas aimé qu'elle le laisse dormir seul. Leur relation a cessé ce jour là.
En croisant une amie de Corinne, je lui raconte sans aller jusqu'aux détails sexuels, qu'elle m'a rejoint dans le lit.
"Ca m'étonne pas, elle est amoureuse de toi, tu le savais pas?".
"Non, comment j'aurais pu le savoir?".
Environ un an plus tard, elle fait la connaissance de celui qui deviendra le père de ses enfants, on échangeait tout le temps des regards complices, en se croisant, désormais.
La seconde histoire m'étonne encore, aujourd'hui, par l'étrange réaction de la fille concernée, si quelqu'un peut m'expliquer, je suis preneur!
Avec Bruno, nous avons connu deux filles, l'une très jolie et petite comme je les adore (malgré son adorable physique, je ne la trouve pas intéressante) et la seconde quelconque, trop mince et très masculine.
Pour une fois, c'est Bruno qui a la faveur d'isabelle, la plus jolie.
Bruno, doit dormir avec elle sur le sol, pendant que je me consacre à l'autre fille sans conviction.
Je l'embrasse quelque fois, puis la caresse, mais je ne reçois aucune réaction, puis je la pénètre, son vagin n'est pas humide du tout.
Après deux minutes, je me retire de son vagin et lui dis:
"Désolé, je peux pas faire ça comme ça, j'ai l'impression de me taper une poupée morte".
La fille ne réagit pas et nous nous endormons, elle ne comprends au matin, que je ne l'embrasse que sur la joue.
Avec elle, l'histoire se termine là.
Puis Bruno doit se rendre encore chez ses parents, sa relation avec Isabelle est épisodique, il ne considère plus d'ailleurs qu'ils sont ensemble.
Pendant le semaine, je croise le duo de filles, on boit un verre sur le port, assez tard.
En fin de soirée, elles me demandent, si elles peuvent dormir chez moi.
Bien sûr, j'accepte, elles insistent pour que je ne démonte pas mon lit, et nous nous couchons ensemble.
Je suis a gauche, Isabelle au milieu et la seconde fille a droite( je ne me souviens plus de son prénom).
La présence d'Isabelle à coté de moi, m'excite, elle a les seins nus, c'est trop pour moi.
J'ose lentement envoyer une main vers ses seins, elle ne réagit pas.
Je prend ça pour un oui, et je lui dévore les seins en les massant en même temps.
Elle a un orgasme mammaire, au bout de quelques minutes.
Puis je me dirige vers sa chatte, j'écarte son minuscule string pour lui lêcher le clitoris.
Mon cunnilingus est goulu et humide, je lui mordille de temps en temps, puis lui lèche le vagin et la pénètre avec ma langue.
Je lui dévore la chatte comme un affamé, elle jouit sans retenue puissamment.
Son plaisir, retombe, je commence à remonter vers sa bouche pour l'embrasser avec l'intention de la pénétrer ensuite.
Au moment ou ma bouche va toucher la sienne, elle me dit:
"Non, je peux pas, je suis avec Bruno!".
Je me suis retourné sur le dos, avec mon érection et mon incompréhension.
Quand à l'autre fille, à coté, je suis désolé de dire que je me moquais qu'elle assiste à notre échange.
J'ai tout raconté à Bruno, quand il est rentré, il a rit en disant qu'il n'en avait rien à faire de cette fille.
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