D'employée minable a réceptioniste de standing
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2018 dans la catégorie Plus on est
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D'employée minable a réceptioniste de standing
Je m’appelle Élodie je vais passer un bac pro de comptabilité, j’ai tout bien calculé, je n’ai pas l’intention de rater les bonnes occasions qui se présenterons dans ma vie, je vais me marier avec Jérôme qui va me faire deux beaux enfants et dans quelques années j’ouvre mon propre cabinet expert comptable… mais tout ne se passe pas comme l’on veut … la preuve …
Après avoir galéré je trouve enfin un stage dans un cabinet réputé dirigé par le père secondé par son fils, il est canon ce mec …De plus il roule en décapotable rouge ! Le père n’est pas mal non plus, il est très séduisant avec ses cheveux grisonnants, si je devais choisir entre les deux je serais très embêtée ! Le patron est très prévenant envers moi, limite collant, en ce moment je travaille avec le fils qui me fait découvrir les logiciels, assis côte à côte la chaleur de ses cuisses n’est pas désagréable, toutefois j’ai l’impression que le père nous surveille car son fils est marié, ou alors c’est un prétexte pour venir lorgner dans mon décolleté par-dessus mon épaule
- Ah Didier, demain tu prendras Élodie... pardon tu ‘emmèneras’ Élodie, ne confondons pas ! Elle fera la tournée des clients avec toi afin de voir comment se passe les bilans
- Bien papa
- Après demain c’est moi qui l’emmènerais au ‘Vendôme’
- Le grand hôtel ?
- Oui Élodie, un rendez-vous d’affaire, je vous ferais visiter ce qui fait rêver tant de gens
- Chouette
- Je vous demanderais d’être réservée avec le directeur, c’est un gros client autant par la corpulence que par le chiffre d’affaire
- Je sais garder mes distances monsieur,
- Bien sûr ! bien sûr !
Le lendemain je suis grisée dans ce cabriolet décapoté, le vent malicieux fait voler ma robe légère, il la soulève pour la déposer tout en haut de mes cuisses, je l’ai rabattue deux fois, je n’insiste plus !
- Inutile de luter contre les éléments, et puis pourquoi cacher de si belles jambes
- Vous avez raison, l’air frais me fait un bien fou entre les jambes !
Son regard est plus souvent sur moi que sur la route, et après tout nous somment seuls sur cette route toute droite pourquoi ne pas lui en montrer davantage … je ramène le genou gauche vers son siège, de ce fait l’angle obtenu est plutôt sympas ….je vois bien que sa main posée sur le pommeau du levier de vitesse hésite à venir sur mon genou, je prends la décision de poser la mienne sur son poignet pour le tirer vers moi
- Que faites-vous Élodie ?
- Ce que vous n’osez pas faire …
- Je suis marié voyons !
- Et moi fiancée et alors ?
- Je…. Je suis fidèle
- N’empêche que vous bandez …
Je joins le geste à la parole et agrippe la bosse de son pantalon, il ne me repousse pas, uns a uns je dépatte les boutons de la braguette, il ralenti et cherche visiblement un chemin moins fréquenté, il stoppe au moment ou ma main écarte le boxer pour en extraire une belle verge bien raide, son siège recule lentement, dés que je peux passer la tête entre le volant j’engouffre cette friandise vermeille
Il ne reste pas inactif et allonge son bras entre mes cuisses, mon slip trempé est viré dans mon aine
Deux doigts lissent mes lèvres avant de les séparer et visiter mon vagin en profondeur, tant pis pour les gouttes qui tombent sur le cuir, il me traite de salope en ajoutant que je suis bonne suceuse et qu’il va décharger dans ma bouche, j’acquiesce d’un mouvement de tête, j’accentue ma succion, son canal se gonfle par saccades, je vais boire sa semence
- Avale tout ! Fais gaffe à mon pantalon !
- Huuummmm- huuuuummmm …
Mes lèvres forment un joint étanche tant qu’il expulse son jus, par précaution il a sorti un mouchoir de papier et en coiffe son gland dés que je relève la tête
- Alors ? Ça ne valait pas le coup ?
- Je dois reconnaitre que si
- Bon, mais à présent tu me baise
- On va être en retard
- Je suis prête à jouir, ça ne prendra qu’une minute, le temps de quitter ma petite culotte, fait le tour et ouvre la portière, je reste assise sur le siège
Ce qu’il voit une fois la porte ouverte fait tomber ses dernières hésitations , a moitié renversée, les jambes écartées reposent en dehors, ma vulve baille, le froc aux chevilles il avance la queue a la main , je prend le relais et tire le membre vers ma chatte, il pose une main sur le dossier du siège et l’autre sur le tableau de bord, les reins cambrés il n’a plus qu’a pousser
- Enfonce-moi ta pine à fond
- T’es vraiment une chaudasse toi !
- Personne n’en souffrira, baise- moi
Je tire sur sa cravate pour qu’il m’embrasse, sa queue me laboure merveilleusement bien, ma chatte en se contractant sur sa queue lors de mon orgasme l’oblige à décharger une seconde fois, des jets puissants frappent mon utérus, je noue mes jambes autour de lui pour le garder en moi le plus longtemps possible
- Lâche-moi, ont est a la bourre !
- Jure moi qu’ont recommencera ?
- Nous verrons ça, remet ton slip, tu va tacher mon cuir
- Donne-moi des mouchoirs pour tout absorber
La virée des clients s’est super bien passée, son père malgré des doutes sur notre retard nous fait des compliments
- Vous apprenez vite Élodie c’est bien, demain au Vendôme, ce sera plus coton, soignez votre Tenue
- Plus stricte ?
- Non au contraire …une robe légère et fleurie comme celle-ci sera bien
- D’accord
Le lendemain bien coiffée, maquillée sans trop, robe a mis cuisses, bas auto-fixant et talons hauts le patron applaudit
- Exactement ce qui convient a mon client, vous êtes très belle Élodie
- Merci
Lorsque j’entre dans cet hôtel ou tout est rutilant, j’en ai le souffle coupé, je ne pourrais jamais me payer une seule nuit dans cet établissement, apparemment les deux hommes se connaissent bien ils sont même assez intimes, ils se congratulent a grandes claques dans le dos, il est vrai que le directeur a plutôt un beau ventre !
- Alors c’est ta nouvelle recrue Antoine ?
- Off, une petite stagiaire pour deux mois
- Tu devrais la garder
- Dit-moi, elle aimerait visiter ta suite royale, elle est libre ?
- Oui jusqu'à demain, une actrice l’a réservée, venez, nous parlerons chiffres après
Il donne des consignes afin de ne pas être dérangé avant de nous diriger vers l’ascenseur
Avec son passe il ouvre cet appartement au dernier étage, tout n’est que féerie, j’adore la chambre au lit baldaquin immense, mes yeux s’écarquillent de curiosité
- Je n’ai jamais vu de lit aussi grand !
- Dans ce lit une chanteuse invitait ses cinq musiciens à dormir, et ce n’était pas par souci d’économie !
- Ah ??? qu’y faisaient-ils ?
Les joues rouges je venais de me rendre compte de la stupidité de ma réflexion
- Venez voir la terrasse … ça vaut le coup d’œil
Pour traverser le salon, je n’ose même pas marcher sur ce parquet raffiné, tout est luxe et paillettes ! Sur la terrasse la vue est sublime à trois cent soixante degrés
- Et ça ? Qu’est-ce que c’est ?
- Tu ne l’avais jamais vu Antoine ? c’est un jacuzzi, prévu pour six personnes … ça vous dit ??? teste la température de l’eau … un régal !
- Tu veux que nous prenions un bain Élodie ?
- Ce n’est pas un bain ordinaire, allez chiche ! mademoiselle qu’en pensez-vous ?
- Hé bien… c’est que … je n’ai pas de maillot !
- Un maillot ? vous n’y pensez pas ! on s’y prélasse nus, une coupe de champagne a la main, bon, si vous êtes pudique, vous pouvez garder vos sous-vêtements, une fois dans le bain bouillonnant nous ne verrons rien si vous tenez à les garder …
- Allez Élodie ? faites plaisir a monsieur ….
- Puisque tout le monde est contre moi … mais tournez vous le temps que j’entre dedans, gardez vous aussi vos sous-vêtements !
Ils entre dans la chambre le temps de faire passer ma robe par-dessus ma tête et j’enjambe le jacuzzi… je m’assois dans un angle, les bulles me fouettent de partout et surtout entre mes cuisses ! un vrai délice ….
- Vous pouvez venir !
J’ai faillit pouffer de rire en voyant le directeur avec un grand slip kangourou,… cependant bien remplit ….mon patron arbore un boxer noir prometteur aussi. Si on m’avait dit ce matin que je prendrais un bain avec deux hommes ‘mûrs’ !
- Vous n’avez pas choisi la meilleure place, c’est au milieu, là ou ça bouillonne le plus essayez a genoux, vos petites fesses seront satisfaites !
- Pourquoi pas ? ….. haaaaa ouuuuuuuuii !
- Et encore vous avez un slip …..osez l’enlever pour comparer la différence
- Vous promettez de rester sage ?
- Nous somment des gentlemans !
Je fais glisser le tissu qui protège ma vertu, non sans excitation, je le pose sur le rebord, les hommes ouvrent de grands yeux, étonnés de mon audace, ils regardent flotter ce mini bout de chiffon qui protégeait ma vertu, une fois positionnée au centre, c'est-à-dire entre eux deux, c’est un festival pour ma vulve, les lèvres sont bousculées, ouvertes, fouettées, des bulles d’air cherchent à violer mon vagin, si je reste ainsi une minute de plus je jouis devant ces hommes
Soudain un pied touche mes fesses, plus exactement il essai de s’insinuer entre, surprise, je perds l’équilibre et me retrouve face au directeur de l’hôtel, en essayant de me rattraper je passe entre ses genoux ouverts, ma main glisse et trouve une queue courte mais d’un diamètre exceptionnel, le cri qu’il pousse n’est pas réprobateur… au fait ? Ou est passé son slip ?
Mon patron s’est sans doute mépris sur mes intentions car il dégrafe mon soutient gorge, ses mains remplacent aussitôt les bonnets, il malaxe mes seins méthodiquement, je deviens aussitôt fontaine
- Redresse toi, sort ta queue hors de l’eau, elle va te sucer
- Mais non voyons ! je ne veux pas sucer monsieur !
- Ne fait pas ta mijaurée, tu es là pour ça, lève un peu le cul, je vais te prendre
A quoi bon résister a ce que je désire, l’homme une fois debout est a bonne hauteur de ma bouche, je dois ouvrir grand la mâchoire pour engouffrer son membre mafflu, derrière moi Antoine ne perd pas de temps, après m’avoir longuement masturbée avec ses doigts, il prend la forme de ma colonne vertébrale, la queue pointée vers ma moule constamment sollicitée par les remous
Sa pine trouve facilement le chemin de mon vagin, il me prend en poussant une longue plainte que je répercute en suçant la bitte qui tressaute déjà dans mon palais
- MERDE ! elle est trop bonne, je lui arrose les amygdales !
- Soulage-toi, nous allons la finir sur le lit
- T’as raison, dans la table de nuit y’a des menottes et des godes, j’adore baiser ces petites minettes attachées
Les salauds ! ils veulent me soumettre ? ceci dit être violée est un de mes grands fantasmes, Antoine s’épanche à son tour dans mon ventre en trois giclées, sa queue se retire aussitôt me laissant sur ma faim
- Vient dans la chambre Élodie
- Qu’allez-vous faire ?
- S’amuser avec tes trous pardi !
- A notre âge recharger les batteries prend du temps
- On va te fourrer tous ce que pourra avaler ta matrice
- C’est du viol !
- Pas de commentaires ! allonge toi et tend les bras au dessus de toi
Mes poignet sont entravés par de bracelets capitonnés, aucun risque de blessures, ils n’ont pas a me forcer pour que j’écarte les jambes …une fois en croix, du gel est rependu a l’entrée de mon vagin, je vois le gros enduire une réplique d’énorme queue noire
- Soulève tes reins, je vais mettre un oreiller sous ton cul, Antoine ? Écarte-lui la chatte …
- Tu vas lui péter le con …
- Pense-tu, elles adorent se faire élargir le réceptacle a bite
Mon col se distend peu à peu, l’engin fait son passage, la langue tirée l’homme force autant qu’il peut pour faire pénétrer la chose en moi, la dilatation me procure un plaisir insoupçonné, des jets drus fusent de ce qui était ma vulve, je jouis d’une force telle que tout l’hôtel doit être en alerte rouge ! Je lâche même involontairement des pets sonores
- La petite salope ! Elle en pète de joie
- Tu bande toi ?
- Comme un cerf
- Alors retire lui ce truc en plastique et baisons là avec une bonne bite bien raide qui donne du jus !
- T’as raison ! si elle veut je l’engage comme réceptionniste à trois mille euros par mois dès ce soir ! logée et nourrie !!!!!!!
- Tu profites de ta situation tu ne penses pas à moi ?
- Tu viens quand tu veux … ton fils aussi évidemment !
Après avoir galéré je trouve enfin un stage dans un cabinet réputé dirigé par le père secondé par son fils, il est canon ce mec …De plus il roule en décapotable rouge ! Le père n’est pas mal non plus, il est très séduisant avec ses cheveux grisonnants, si je devais choisir entre les deux je serais très embêtée ! Le patron est très prévenant envers moi, limite collant, en ce moment je travaille avec le fils qui me fait découvrir les logiciels, assis côte à côte la chaleur de ses cuisses n’est pas désagréable, toutefois j’ai l’impression que le père nous surveille car son fils est marié, ou alors c’est un prétexte pour venir lorgner dans mon décolleté par-dessus mon épaule
- Ah Didier, demain tu prendras Élodie... pardon tu ‘emmèneras’ Élodie, ne confondons pas ! Elle fera la tournée des clients avec toi afin de voir comment se passe les bilans
- Bien papa
- Après demain c’est moi qui l’emmènerais au ‘Vendôme’
- Le grand hôtel ?
- Oui Élodie, un rendez-vous d’affaire, je vous ferais visiter ce qui fait rêver tant de gens
- Chouette
- Je vous demanderais d’être réservée avec le directeur, c’est un gros client autant par la corpulence que par le chiffre d’affaire
- Je sais garder mes distances monsieur,
- Bien sûr ! bien sûr !
Le lendemain je suis grisée dans ce cabriolet décapoté, le vent malicieux fait voler ma robe légère, il la soulève pour la déposer tout en haut de mes cuisses, je l’ai rabattue deux fois, je n’insiste plus !
- Inutile de luter contre les éléments, et puis pourquoi cacher de si belles jambes
- Vous avez raison, l’air frais me fait un bien fou entre les jambes !
Son regard est plus souvent sur moi que sur la route, et après tout nous somment seuls sur cette route toute droite pourquoi ne pas lui en montrer davantage … je ramène le genou gauche vers son siège, de ce fait l’angle obtenu est plutôt sympas ….je vois bien que sa main posée sur le pommeau du levier de vitesse hésite à venir sur mon genou, je prends la décision de poser la mienne sur son poignet pour le tirer vers moi
- Que faites-vous Élodie ?
- Ce que vous n’osez pas faire …
- Je suis marié voyons !
- Et moi fiancée et alors ?
- Je…. Je suis fidèle
- N’empêche que vous bandez …
Je joins le geste à la parole et agrippe la bosse de son pantalon, il ne me repousse pas, uns a uns je dépatte les boutons de la braguette, il ralenti et cherche visiblement un chemin moins fréquenté, il stoppe au moment ou ma main écarte le boxer pour en extraire une belle verge bien raide, son siège recule lentement, dés que je peux passer la tête entre le volant j’engouffre cette friandise vermeille
Il ne reste pas inactif et allonge son bras entre mes cuisses, mon slip trempé est viré dans mon aine
Deux doigts lissent mes lèvres avant de les séparer et visiter mon vagin en profondeur, tant pis pour les gouttes qui tombent sur le cuir, il me traite de salope en ajoutant que je suis bonne suceuse et qu’il va décharger dans ma bouche, j’acquiesce d’un mouvement de tête, j’accentue ma succion, son canal se gonfle par saccades, je vais boire sa semence
- Avale tout ! Fais gaffe à mon pantalon !
- Huuummmm- huuuuummmm …
Mes lèvres forment un joint étanche tant qu’il expulse son jus, par précaution il a sorti un mouchoir de papier et en coiffe son gland dés que je relève la tête
- Alors ? Ça ne valait pas le coup ?
- Je dois reconnaitre que si
- Bon, mais à présent tu me baise
- On va être en retard
- Je suis prête à jouir, ça ne prendra qu’une minute, le temps de quitter ma petite culotte, fait le tour et ouvre la portière, je reste assise sur le siège
Ce qu’il voit une fois la porte ouverte fait tomber ses dernières hésitations , a moitié renversée, les jambes écartées reposent en dehors, ma vulve baille, le froc aux chevilles il avance la queue a la main , je prend le relais et tire le membre vers ma chatte, il pose une main sur le dossier du siège et l’autre sur le tableau de bord, les reins cambrés il n’a plus qu’a pousser
- Enfonce-moi ta pine à fond
- T’es vraiment une chaudasse toi !
- Personne n’en souffrira, baise- moi
Je tire sur sa cravate pour qu’il m’embrasse, sa queue me laboure merveilleusement bien, ma chatte en se contractant sur sa queue lors de mon orgasme l’oblige à décharger une seconde fois, des jets puissants frappent mon utérus, je noue mes jambes autour de lui pour le garder en moi le plus longtemps possible
- Lâche-moi, ont est a la bourre !
- Jure moi qu’ont recommencera ?
- Nous verrons ça, remet ton slip, tu va tacher mon cuir
- Donne-moi des mouchoirs pour tout absorber
La virée des clients s’est super bien passée, son père malgré des doutes sur notre retard nous fait des compliments
- Vous apprenez vite Élodie c’est bien, demain au Vendôme, ce sera plus coton, soignez votre Tenue
- Plus stricte ?
- Non au contraire …une robe légère et fleurie comme celle-ci sera bien
- D’accord
Le lendemain bien coiffée, maquillée sans trop, robe a mis cuisses, bas auto-fixant et talons hauts le patron applaudit
- Exactement ce qui convient a mon client, vous êtes très belle Élodie
- Merci
Lorsque j’entre dans cet hôtel ou tout est rutilant, j’en ai le souffle coupé, je ne pourrais jamais me payer une seule nuit dans cet établissement, apparemment les deux hommes se connaissent bien ils sont même assez intimes, ils se congratulent a grandes claques dans le dos, il est vrai que le directeur a plutôt un beau ventre !
- Alors c’est ta nouvelle recrue Antoine ?
- Off, une petite stagiaire pour deux mois
- Tu devrais la garder
- Dit-moi, elle aimerait visiter ta suite royale, elle est libre ?
- Oui jusqu'à demain, une actrice l’a réservée, venez, nous parlerons chiffres après
Il donne des consignes afin de ne pas être dérangé avant de nous diriger vers l’ascenseur
Avec son passe il ouvre cet appartement au dernier étage, tout n’est que féerie, j’adore la chambre au lit baldaquin immense, mes yeux s’écarquillent de curiosité
- Je n’ai jamais vu de lit aussi grand !
- Dans ce lit une chanteuse invitait ses cinq musiciens à dormir, et ce n’était pas par souci d’économie !
- Ah ??? qu’y faisaient-ils ?
Les joues rouges je venais de me rendre compte de la stupidité de ma réflexion
- Venez voir la terrasse … ça vaut le coup d’œil
Pour traverser le salon, je n’ose même pas marcher sur ce parquet raffiné, tout est luxe et paillettes ! Sur la terrasse la vue est sublime à trois cent soixante degrés
- Et ça ? Qu’est-ce que c’est ?
- Tu ne l’avais jamais vu Antoine ? c’est un jacuzzi, prévu pour six personnes … ça vous dit ??? teste la température de l’eau … un régal !
- Tu veux que nous prenions un bain Élodie ?
- Ce n’est pas un bain ordinaire, allez chiche ! mademoiselle qu’en pensez-vous ?
- Hé bien… c’est que … je n’ai pas de maillot !
- Un maillot ? vous n’y pensez pas ! on s’y prélasse nus, une coupe de champagne a la main, bon, si vous êtes pudique, vous pouvez garder vos sous-vêtements, une fois dans le bain bouillonnant nous ne verrons rien si vous tenez à les garder …
- Allez Élodie ? faites plaisir a monsieur ….
- Puisque tout le monde est contre moi … mais tournez vous le temps que j’entre dedans, gardez vous aussi vos sous-vêtements !
Ils entre dans la chambre le temps de faire passer ma robe par-dessus ma tête et j’enjambe le jacuzzi… je m’assois dans un angle, les bulles me fouettent de partout et surtout entre mes cuisses ! un vrai délice ….
- Vous pouvez venir !
J’ai faillit pouffer de rire en voyant le directeur avec un grand slip kangourou,… cependant bien remplit ….mon patron arbore un boxer noir prometteur aussi. Si on m’avait dit ce matin que je prendrais un bain avec deux hommes ‘mûrs’ !
- Vous n’avez pas choisi la meilleure place, c’est au milieu, là ou ça bouillonne le plus essayez a genoux, vos petites fesses seront satisfaites !
- Pourquoi pas ? ….. haaaaa ouuuuuuuuii !
- Et encore vous avez un slip …..osez l’enlever pour comparer la différence
- Vous promettez de rester sage ?
- Nous somment des gentlemans !
Je fais glisser le tissu qui protège ma vertu, non sans excitation, je le pose sur le rebord, les hommes ouvrent de grands yeux, étonnés de mon audace, ils regardent flotter ce mini bout de chiffon qui protégeait ma vertu, une fois positionnée au centre, c'est-à-dire entre eux deux, c’est un festival pour ma vulve, les lèvres sont bousculées, ouvertes, fouettées, des bulles d’air cherchent à violer mon vagin, si je reste ainsi une minute de plus je jouis devant ces hommes
Soudain un pied touche mes fesses, plus exactement il essai de s’insinuer entre, surprise, je perds l’équilibre et me retrouve face au directeur de l’hôtel, en essayant de me rattraper je passe entre ses genoux ouverts, ma main glisse et trouve une queue courte mais d’un diamètre exceptionnel, le cri qu’il pousse n’est pas réprobateur… au fait ? Ou est passé son slip ?
Mon patron s’est sans doute mépris sur mes intentions car il dégrafe mon soutient gorge, ses mains remplacent aussitôt les bonnets, il malaxe mes seins méthodiquement, je deviens aussitôt fontaine
- Redresse toi, sort ta queue hors de l’eau, elle va te sucer
- Mais non voyons ! je ne veux pas sucer monsieur !
- Ne fait pas ta mijaurée, tu es là pour ça, lève un peu le cul, je vais te prendre
A quoi bon résister a ce que je désire, l’homme une fois debout est a bonne hauteur de ma bouche, je dois ouvrir grand la mâchoire pour engouffrer son membre mafflu, derrière moi Antoine ne perd pas de temps, après m’avoir longuement masturbée avec ses doigts, il prend la forme de ma colonne vertébrale, la queue pointée vers ma moule constamment sollicitée par les remous
Sa pine trouve facilement le chemin de mon vagin, il me prend en poussant une longue plainte que je répercute en suçant la bitte qui tressaute déjà dans mon palais
- MERDE ! elle est trop bonne, je lui arrose les amygdales !
- Soulage-toi, nous allons la finir sur le lit
- T’as raison, dans la table de nuit y’a des menottes et des godes, j’adore baiser ces petites minettes attachées
Les salauds ! ils veulent me soumettre ? ceci dit être violée est un de mes grands fantasmes, Antoine s’épanche à son tour dans mon ventre en trois giclées, sa queue se retire aussitôt me laissant sur ma faim
- Vient dans la chambre Élodie
- Qu’allez-vous faire ?
- S’amuser avec tes trous pardi !
- A notre âge recharger les batteries prend du temps
- On va te fourrer tous ce que pourra avaler ta matrice
- C’est du viol !
- Pas de commentaires ! allonge toi et tend les bras au dessus de toi
Mes poignet sont entravés par de bracelets capitonnés, aucun risque de blessures, ils n’ont pas a me forcer pour que j’écarte les jambes …une fois en croix, du gel est rependu a l’entrée de mon vagin, je vois le gros enduire une réplique d’énorme queue noire
- Soulève tes reins, je vais mettre un oreiller sous ton cul, Antoine ? Écarte-lui la chatte …
- Tu vas lui péter le con …
- Pense-tu, elles adorent se faire élargir le réceptacle a bite
Mon col se distend peu à peu, l’engin fait son passage, la langue tirée l’homme force autant qu’il peut pour faire pénétrer la chose en moi, la dilatation me procure un plaisir insoupçonné, des jets drus fusent de ce qui était ma vulve, je jouis d’une force telle que tout l’hôtel doit être en alerte rouge ! Je lâche même involontairement des pets sonores
- La petite salope ! Elle en pète de joie
- Tu bande toi ?
- Comme un cerf
- Alors retire lui ce truc en plastique et baisons là avec une bonne bite bien raide qui donne du jus !
- T’as raison ! si elle veut je l’engage comme réceptionniste à trois mille euros par mois dès ce soir ! logée et nourrie !!!!!!!
- Tu profites de ta situation tu ne penses pas à moi ?
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